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dépendance au GHB

adrenochrome a dit:
Enfin bref je sais pas d'où tu tiens ça !

Ah nan attend, en fait, tu avais peut-être mis ça sur le compte d'un (léger) sevrage au Phenibut... mais bref, y avait une histoire de mal aux jambes (si si) et de Phenibut, les deux étant liés et dans les deux cas, ça semblait plutôt négatif.
Après rapide recherche sur le net, je ne vois pas trace de douleurs musculaires ou osseuses dues au Phenibut (cela dit j'ai pas enquêté avec beaucoup d'ardeur), donc ça devait être la première solution (sevrage), plus crédible, ou bien même, la douleur avait une toute autre cause. Mais dans le doute, évitons de faire l'apologie de ce merveilleux médicament soviétique.
 
tagadatagada a dit:
Je te parle de 6 mois de consommation non stop ou presque, jour et nuit...

Ah ben là avec une telle consommation,je pense que même le chocolat pourrait être dur à arrêté.

Plus sérieusement,tu sais que l'on ne réagit pas tous pareil.Moi par exemple,je fume la clope depuis passé 10ans tout les jours (clope que l'on sait,fortement addictif) et pourtant si j'en ai pas,ça va.L'envi est là mais stop ! (ah je serais peut être,surement un peu plus speed).
Ensuite je comprend pas les sevrage au cachetons (surtout pour du GHB,l'alcool est mieux je trouve.UNe petite cuite,pu de manque et un sommeil qui viendra obligatoirement.
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Un être ne peut il pas être autre qu'il n'est.
Ride The Snake ~To The Lake ~ The Ancient Lake
 
Une cuite de 72 heures il faut en vouloir quand même... l'alcool reste un produit toxique, bien plus que le diazepam. De plus, le valium à une demie vie très longue, adapté pour un sevrage.

J'aurais préféré de la gabapentine, comme on me l'a conseillé, mais le doc a refusé du fait de "sa trop grande ressemblance avec le ghb" (lol).

Je tiens à préciser que 50 mg de diazepam c'est vraiment léger, les médecins semblent peu au courant des souffrances encourues lors d'un sevrage.

Pour les 6 mois de conso, il faut savoir qu'après un mois seulement je disais ça :
500 ml de GBL en trois (quatre ?) semaines...

au debut, pas de problème, une dose toutes les 2 heures pendant la journée, au pif sans pipette ni rien, quelques gouttes dans du jus de fruits... la dernière semaine gros problème pour dormir, du coup redrop toutes les 3 heures pour m'endormir... des nuits de 9 heures à la minutes près ou presque, et hop quelques gorgées au reveil... juste pour la motivation je me disais. Après, une fois, en descente de 2ce, les provisions sont épuisés et je suis pas chez moi... je me sens mal, impossible de dormir, gros tremblements... je met ça sur le compte de la fatigue et de la defonce... rentré chez moi c'est reparti je m'en remet une couche et, miracle, je me sens mieux... je fais toujours pas le rapport... deux jours plus tard, rebellote (la j'étais bien à 4 cuillères à soupe/24h, aucune idée du dosage en ml), je finis par faire le rapport... sevrage ? ben ouai... mal être, tremblements enormes (jamais eu ça même avec les opiacés), "insomnie", peau hyper sensible et "qui gratte", vagues de chaleur... bizarre et désagréable... beurk. Une bonne nuit vraiment difficile, après je me suis gavé d'un célèbre opiacés disponible sans ordonnance et c'est passé en deux jours...

Voilà... ah oui, et pendant le "sevrage" des trucs bizarres pendant la nuit... j'ai jamais parlé dans mon sommeil, mais la je délirais carrement... limite l'impression d'avoir bouffé un anticholinergique parce que je dormais pas en fait... demi sommeil agité, rêve hyper réaliste... grandes discussions avec des potes, je "rejoue" des scènes qui se sont passées durant la semaine ecoulée et... bam ! en fait jsuis dans mon pieu. Plein de trucs comme ça..

Tout le monde réagit de la même manière face à de telles doses, JP... qu'on vienne pas me parler de dépendance physique au tabac, et pourtant je fume moi aussi depuis de nombreuses années.
 
Essayes vraiment le phenibut, sur 3 semaines à 1 mois maximum car le phénibut présente beaucoup moins de risques de dépendance sauf si t'en prends de grosses doses tous les jours sur plus d'un mois.

La première semaine tu prends 1,5mg à 2mg (3 à 4 gélules) et tu ne sentiras pas le manque je pense (6 gélules, soit 3g de phenibut me fracassent comme du GBL en + light, en moins "drunk like"), donc tu restes à ce dosage une demaine, puis ensuites 1 semaine à 1mg, puis le reste de la boite 1 gélulle de 500mg par jour !

A savoir le phenibut a une durée d'action très longue, aussi longue que le diazepam. les effets sont differents du valium mais ciblent mieux tes symptomes de manque, le phenibut est un excellent relaxant musculaire, bien + efficace que le diazepam ou le myolastan (tetrazepam), il est aussi nootropique donc il t'aide à retrouver toutes tes fonctions cérébrales, et il lutte efficacement contre l'anxiété, moins efficacement que le valium si pris à dose correcte mais bien + efficacement à hautes doses (j'me suis endormi par terre et j'm'étais pissé dessus avec 3,5g de phenibut, sensation d'ivresse totale et de bien être, envie de dormir et relaxation complete de tous les muscles).

Sinon c'est vrai que l'alcool aide aussi, mais pas thérapeutiquement, pas tous les jours quoi, à la limite tu prends du phénibut en semaine et tu te prends une cuite le week-end, et au bout d'un mois tu seras sevré mec !
 
tagadatagada a dit:
Ceux qui prétendent que le ghb n'entraîne pas d'addiction physique me font bien rire

Jeune__Peyotl a dit:
Ça c'est ton ressenti sur ta personne.

tagadatagada a dit:
Je te parle de 6 mois de consommation non stop ou presque, jour et nuit...

Jeune__Peyotl a dit:
Plus sérieusement,tu sais que l'on ne réagit pas tous pareil.

tagadatagada a dit:
Tout le monde réagit de la même manière face à de telles doses, JP...

C'est ce que je me tue à essayait de te dire depuis le début la fraise-tagada. :)
Bon j'avoue,je suis pas toujours très clair à comprendre.

Par contre,putain,j'ai chopé une putain d'idée !
Si on ouvrer une section nommé "en ke-ke" et on y mettrais adé en modo ! ça le ferait non ?! :mrgreen:
(Travaille en pharmacie mec "sur Lille,portes-des-postes" :wink: )
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Un être ne peut il pas être autre qu'il n'est.
Ride The Snake ~To The Lake ~ The Ancient Lake
 
tagadatagada a dit:
...Il me reste plus qu'a faire chauffer la carte bleue et pecho dla gabapentine... ouaaai...
J'ai pas fini de lire le topic, mais je vais te livrer mon expérience perso avec la gabapentine : fais gaffe au sevrage !

J'en prenais pour des douleurs articulaires -donc rien de récréatif du tout du tout- et j'ai déjà eu pas mal de peine à m'y habituer (quand tu fais de la hotline 3rd level en informatique comme je le faisais à l'époque, c'est hardcore !), mais le pire, ça a été l'arrêt (en fait, je ne supportais plus d'avoir en permanence le sentiment d'être fracass' et de pas avoir la maîtrise totale de mon job!) après un peu plus d'un an.

Rien de particulier dans la notice et mon rhumatologue ne m'avait rien dit de particulier à ce sujet... Donc, un vendredi soir, en début de we, je décide d'arrêter et ne prends pas mon p'tit cach'ton. Samedin matin non plus. Samedi midi, je me suis effondrée dans mon salon, plus aucun tonus musculaire, comme une impression de "paralysie", et quand je respirais, je ne ressentais plus l'air qui passait dans mon nez, ma gorge, puis mes poumons ! C'est super flippant comme sensation !!!! J'ai du mettre la main devant mon nez pour me rassurer et dire à mon cerveau que "t'as beau penser que je respire pas, mais je respire, et je vais pas crever par étouffement". Ca, ça a duré tout le we, alternant moment +/- OK avec ce que j'ai baptisé mes moments "poupée de chiffon" et, lundi matin à la première heure, je suis allée chez mon généraliste. Qui n'avait pas connaissance de ce genre d'effets à l'arrêt de la gabapentine (ça fait 5 ans), mais qui m'a fait reprendre le médoc en plus petite quantité, pour me permettre de faire un sevrage correct. Je voulais vraiment pas, mais c'était insupportable, cette sensation d'étouffer qui survenait à n'importe quel moment, et le fait de pouvoir m'effondre n'importe quand pouvait être dangereux. Et, ouf, ça s'est arrêté à la reprise, et j'ai fait mon sevrage en un mois. Et que ce soit gabapentine ou prégabaline, les effets sont les mêmes !

J'ai un mental très "fort" (pour expliquer, on dira que quand je prends une substance, quelle qu'elle soit, j'ai toujours une partie de moi qui se met automatiquement en mode "gardien" et qui fait attention à moi et qui, en cas de besoin, reprend la main. Une forme de "schizophrénie de la récréation", si vous voulez), et j'arrive assez facilement à "canaliser" et analyser rationnellement ce qui se passe... Mais... PLUS JAMAIS CA !!!!!!!!!!! PLUS JAMAIS !!!!!!!!!!! Cette totale absence de perception de la respiration a failli me rendre dingue, tellement elle a mobilisé mon mental pour ne pas commencer à contrôler, et, du coup, suffoquer ! (Ben vi, amusez-vous a respirer en ayant conscience de chaque insipiration et expiration... Essoufflement garanti au bout de très peu de temps !)

Bref, je ne souhaite à personne de vivre ça, parce que c'est comme se noyer. Et se noyer une 20 aine de fois en un we, c'est atroce.
 
Pardon du HS mais pour répondre à supervixen les seules drogues qui m'ont fait souffrir énormément des jambes sont les opiacés : héroine, subutex et méthadone, j'ai encore toute ma tête, j'ai jamais eu de symptomes de manque au phénibut et GBL à part petite déprime, mais Ohh GRAND JAMAIS le phenibut ne m'a fait souffrir des jambes !

Tu dois confondre, j'ai souvent parlé de mes douleurs aux jambes, mais dans le contexte de ma dépendance aux opioïdes, pas une fois le phenibut ne m'a fait souffrir physiquement, bien au contraire il m'a toujours relaxé, et vu que je n'en prends jamais plus d'un mois, je ne souffre d'aucun symptomes de manque (en + le phenibut est bien moins addictif que le GHB/GBL).

Sinon tu confonds avec une nuit où j'ai fumé 2 paquets de clopes et tapé 1,5g de bonne coke sans dormir, le dimanche j'avais d'atroces douleurs aux mollets et aux jambes, je pensais avoir un caillot de sang à cause de cette soirée d'abus, mais dieu m'en est témoin il n'y avait pas de phenibut cette soirée là !

Enfin bref, je me rappel de mes mauvaises experiences et surtout de mes douleurs physiques liées aux drogues, j'en ai jamais eu avec le phenibut, j'en ai eu avec le GBL à cause de trop grosses doses mais c'était pas physique, j'avais l'impression que j'allais tomber dans l'coma.

Phenibut/GBL = JAMAIS EU MAL AUX JAMBES.

Voilà pour la dernière fois je tenais à le re-préciser car là y'a intox supervixen, j'ai commandé seulement 4 fois du phenibut en 1 an, à chaque fois la boite me faisait entre 2 semaines et 1 mois, et quand j'arrêtais j'avais juste le manque psychologique !

Peut être que trop fonzdé au GBL je me suis pété la geule en tombant sur les genoux, mais là ce serait la chute qui serait en cause de la douleur, et je dis ça mais je suis jamais tombé sur les genoux sous GBL, j'en prenais que en soirée et 98% du temps avant d'allé au lit, donc dur de tomber de mon lit qui est à ras du sol !
 
lol dynamarsicaa...

L'effet que tu décris avec la respiration, je connais très bien. Par contre, j'ai jamais pris de gabapentine ou quoi que ce soit de similaire. Moi, c'était quand j'ai commencé à fumer du cannabis oO

En effet, au début, il m'arrivait régulièrement, quand je fumais "trop", de ne plus ressentir du tout ma respiration, donc incapable de savoir si je respirais ou non. Je te l'accorde, TRÈS flippant. C'est ce qui fut à la base de mes plus gros badtrips, toutes substances confondues. Je me suis déjà ramassé dans mon lit en boule la bouche collée sur un genou afin de m'entendre respirer.
Avec le temps, j'ai appris que mon corps ne se laissera pas mourir, alors y'a qu'à arrêter d'y penser, et cinq minutes plus tard "tiens tiens je respire toujours :) "
 
Psychoid, t'es désormais mon pote de suffocation :finga: ! M'sens moins seule !
 
J'ai commencer a prendre du ghb l'annee derniere. Se qui a commencer par un rituel de party est devenu une habitude quotidienne car a force de rapprocher les doses, je ne pouvais plus m'en defair. J'en prennais surtout car la drogue m'aidait a dormir et me detendait. Lorsque j'ai decider d arreter, apres 7 mois, je ne m'attendais pas a quelle point le sevrage serait un film d'horreur. J'ai ete en psychose pendant 48h, en subissant des douleurs physique, les plus severe que j ai connue. Des hallucinations monstrueuses, mon conjoint et ma mere qui me surveillaient m'ont dit que je ne fesais aucun sens, je tremblais tellement que j'en avais des spasmes et que si ils n' etaient pas intervenue je me serais arracher les ongles avec une pince. Apres le 46h toujours dans le meme etat, ils ont decider de m'amener a l'urgence. Le docteur m'a immediatement mis en hospitalisation sur des valiums, des la premiere prise j'allais beaucoup mieux. J'ai ete suivie pendant 3 mois sur de la quetiapine et depuis une semaine je suis simplement sur des tisanes a la camomille, c'est encore difficile de controler mon anxciete. Donc oui j'ai eu les plus gros effet de sevrage, ca fait 3 mois et demi que j ai rien consommer et le stress n'est toujours pas terminer. La drogue devrait rester une chose a prendre disons une fois au 3 mois.
 
Ouaww sa devait pas etre sympa!J'aimerais savoir aussi quels etait tes prises!

Sinon bon courage....

Sur ceux..
 
Comme quoi, c'est vraiment loin d'être anodin comme truc...
J'ai souvent entendu dire que y avait pas de dépendance avec le G, mais en fait si clairement.
Bon courage pour la suite de ton sevrage Rubyheart24.. :wink:
 
jhdoux a dit:
Comme quoi, c'est vraiment loin d'être anodin comme truc...
J'ai souvent entendu dire que y avait pas de dépendance avec le G, mais en fait si clairement.
Bon courage pour la suite de ton sevrage Rubyheart24.. :wink:

Ya pas une dépendance de "complusion" comme avec les stimulants et les opiacés, les clopes, tout ce qui joue sur la dopamine quoi. ya juste une (très insidueuse) dépendance psychologique qui te pousse a te mettre en manque physiquement a force de rapprocher les doses et c'est là que ça deviens hardcore.
 
D'après les différentes lectures que j'ai pu faire relatant des expériences diverses et variées, l'addiction semble pas mal liée à la qualité du produit consommé également.

Celui que j'utilise, de qualité remarquable et constante, ne semble pas générer d'addiction plus forte que du chocolat (addiction psychologique)

Serval
 
Il n'y a pas de dépendance au GHB si on l'utilise 2 à 3 fois par jour en doses bien espacées. Henri Laborit celui qui a synthétisé le GHB et qui en fit la promotion en prenait 2 fois par jour le matin et le soir.
De plus le GHB est aussi connu sous le nom de Xyrem/Sodium Oxybate médicament sous prescription utilisé pour traiter la narcolepsie et troubles du sommeil, de nombreuses personnes qui prennent le xyrem n'ont pas d'effets de sevrage ni dépendance après un arrêt brutal, selon les doses prescrites ils prennent entre 2.25g à 4.5g de GHB 2 fois dans la nuit (1 fois avant de dormir puis 3 à 4h après) soit l'équivalent GBL 1,4mL à 2,8mL.
La dépendance n'apparaît que lors d'un usage chronique, je ne parle pas d'en prendre une ou deux fois tous les jours, je parle d'en prendre 5 à 10 fois par jour toutes les 1-2 heures, c'est ce qu'on appelle du dosage 24/7.
Pour éviter tous risques il suffit de respecter quelques règles simples :
- limiter les prises, bien les espacer et ne pas doser 24/7
- commencer avec de faibles doses pour éviter l'overdose, mais une fois la dose idéale atteinte il faut la conserver, c'est à dire ne pas baisser les doses (car les études montrent qu'une prise à faible dose est plus neurotoxique qu'une forte dose qui l'est très peu) et surtout ne pas les monter (si jamais vous constatez une tolérance ne montez pas les doses, prenez de la L-glycine ou 6 à 12g de gélatine alimentaire ne pas dépasser les 1g, la glycine permet de redonner les effets type-alcool par contre pour les effets liés au récepteur GHB sous-régulé à moins que vous réussissiez à avoir de la sulpiride ou amisulpride il faudra attendre des semaines voire des mois pour tout remettre à zéro)
- éviter de mélanger avec d'autres molécules
- et surtout éviter le mélange à de l'alcool et tout ce qui touche aux récepteurs GABA, c'est mortel
- si vous en avez pris trop et que vous devenez dépendant ne jamais arrêter d'une traite, réduisez la dose sur plusieurs jours/semaines ou prenez des benzos, du phénibut, alcool, picamilon pour maintenir les niveaux de GABA et les faire diminuer progressivement

En ayant une consommation responsable et en sachant anticiper les risques on peut prendre du GHB sûrement... J'ajouterais que prendre du piracetam/aniracetam après la prise de GHB est conseillée car le GHB interfère avec les récepteurs NMDA et peut causer des problèmes de mémoire et d'apprentissage spatial (en tout cas selon certaines études sur des rats donc à prendre avec des pincettes), les nootropes sont donc utiles pour contrer cette action ou tout du moins l'anticiper.
 
Dans tous les cas il y a une dépendance mentale.
 
driver512 : Ton message est intéressant mais je t'invite à te présenter dans le topic approprié du Salon & Annonces Générales.
 
Oui ça c'est clair, la dépendance mentale on peut pas y faire grand chose, ça dépend des personnes par contre, certaines supportent facilement la dépendance mentale ou sinon assez difficilement mais arrivent à se convaincre de ne pas en reprendre, d'autres malheuresement ne s'arrêtent jamais et en ce qui concerne le GHB les dégâts sont énormes...
Une supplémentation de substances agonistes au GABA peut suffire à enrayer la dépendance mentale, surtout le phenibut qui a une demi-vie très longue. (par contre il y a une inconnue quant à son effet sur le foie!)
C'est peut-être ça la différence avec ceux qui prennent le xyrem, ils n'expérimentent pas les effets du GHB vu qu'ils dorment ce qui est peu prompt à causer une dépendance mentale.
@Sludge : désolé, mais voilà c'est fait ! :)
 
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