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Tu m'étonnesc'est quand même drôlement drôle de pas réussir a dormir avec 1 zolpidem et 1 bromazépam. C'est vraiment bizarre
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Tu m'étonnesc'est quand même drôlement drôle de pas réussir a dormir avec 1 zolpidem et 1 bromazépam. C'est vraiment bizarre
hahahahahahahaha meilleur screen de rajout sur wikipedia
La tête du reuf en haut à droite
[ICON]Locklire[/ICON]
L'humain est une machine à produire du senspourquoi toutes ces putains de synchronicités si le délire de transducteur est faux ?
bon beh voilà,
ça donne ça une "petite" bouffée délirante
Désolé pour la gêne occasionnée
c'est grisant l'hypomanie, c'est le crash et le retour à la réalité qui sont difficiles dans mon expérience de la choseTous mes vœux de courage sont pour toi.
C'est jamais facile les bouffées délirantes, mais t'as quand-même l'air d'avoir un certain recul. Enfin aujourd'hui en tout cas
Quant à la gêne occasionnée... Je pense que c'est surtout gênant pour toi en fait, tu ne nous a rien fait de mal. À part pê squatter des mo de données pour des images pas très utiles, mais les modos on fini par t'en empêcher donc vraiment, pour moi ya pas mort d'homme
J'avoue que sans refuser, j'évite de causer aux gens qui délirent. C'est parce que je ne connais pas/plus les "règles du jeu conversationnel" et que j'ai l'impression que tout ce que je dirai ou ferai aura des conséquences imprévisibles et potentiellement douloureuses de l'un ou l'autre côté. Donc c'est plus simple de ne rien dire et de passer son chemin. Si j'avais des indications concrètes de comment avoir une interactions positive avec une personne délirante, je pense que je le ferais davantage.Le plus grave je trouve c'est que la plupart des gens refusent de causer aux gens qui délirent.
C'est grave car en fait avec beaucoup d'acceptation et de non-jugement on peut au moins rendre la chose moins désagréable.
très intéressant comme remarqueJ'avoue que sans refuser, j'évite de causer aux gens qui délirent. C'est parce que je ne connais pas/plus les "règles du jeu conversationnel" et que j'ai l'impression que tout ce que je dirai ou ferai aura des conséquences imprévisibles et potentiellement douloureuses de l'un ou l'autre côté. Donc c'est plus simple de ne rien dire et de passer son chemin. Si j'avais des indications concrètes de comment avoir une interactions positive avec une personne délirante, je pense que je le ferais davantage.
C'est un bon conseil en soi, mais je sais pas si ça s'applique bien en dehors du cadre d'une séance de psychologie.si je peux me permettre je suggère d'être comme tous bon psychologues, simplement à l'écoute, sans chercher à orienter la discussion
L'humain est une machine à produire du sens
faut juste être là. Il n'y a rien à faire d'autre..... Moi j'aimerais vraiment en savoir d'avantage, avoir des consignes opérationnelles, des tips éprouvés et que je puisse appliquer.