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Arrêter le spliff

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion or@nge
  • Date de début Date de début
Tu connaissais pas Cannamanpeace?

Je pensais que c'était aussi connu que Madonna ou Jhonny ou Michael Jackson moi^^

Bon alors, sur le même thème mais plus drôle alors:

[video=youtube;TqjTVsQ5toA]
 
Moi, une star ? Wooouah ! ^^

Nan mais je trouve juste que quotidiennement les effets négatifs prennent plus que largement le pas sur les effets plus que bénéfiques, après évidemment chacun est libre d'agir comme bon lui semble...
Mais en tant qu'ami cela ne me fait pas forcément plaisir de voir un pote s'échouer comme cela !

Sinon Orange, ta vidéo a bugué nan ?
Ou bien est-ce mon ordi qui ne voit pas la vidéo ou le lien ?
 
Stoi^^
 
Ah, je confirme ^^

Autant pour moi ! ;)
 
Grammar nazi : "au temps" ;) .

Regarde sur internet c'est assez marrant l'origine de cette orthographe, enfin les hypothétiques origines. Il me semble d'ailleurs que l'orthographe "autant" est aussi accepté étant donné la sournoiserie de la chose...

Désolé pour HS total ^^.
 
Bon alors, Dasfrog, d'abord tu lock, après tu flood, tout modo que tu es tu veux t'y frotter à l'agrume??????:evil:

Maintenant tu vas nous sortir un truc pertinent sur l’arrêt du spliff, ou je traverse l'océan à la nage et viens te ramoner les trous d'nez!

Ceci dit cette expression m'a toujours faite marré, et comme toi ds que je vois quelqu'un faire l'erreur, j'adore le reprendre, donc si je résume, en plus tu viens de me couper l'herbe sous le pied (cf le titre de ce topic^^)

Il paraitrait que ce serais le "temps" d'une manoeuvre militaire.
 
Le pire c'est que j'étais certain qu'un c#n allait parler de ça !! ^^

Moi j'ai toujours penché pour "autant" mais il est vrai que les 2 peuvent s'employer, même si il me semble que "au temps" est plus employé "littérairement" parlant !
 
or@nge a dit:
Bon alors, Dasfrog, d'abord tu lock, après tu flood, tout modo que tu es tu veux t'y frotter à l'agrume??????:evil:

Maintenant tu vas nous sortir un truc pertinent sur l’arrêt du spliff, ou je traverse l'océan à la nage et viens te ramoner les trous d'nez!

Atata, je t'ai pas encore montré mon lance-ban hehe.

En fait je crois que la quantité fumée importe moins (dans une certaine mesure) que la raison et la situation dans laquelle on fume.

Edit : Je suis peut-être un peu à côté de la plaque, je reviendrai un peu plus tard si je peux ;) .
 
DasFrog a dit:
En fait je crois que la quantité fumée importe moins (dans une certaine mesure) que la raison et la situation dans laquelle on fume.

J'pense pareil (et c'est ce qui fait la différence, je pense, entre une addiction et une dépendance physique)


Par exemple Cannamanpeace dit que son pote s'enfonce dans sa merde en fumant toute la journée, et je suppose que c'est vrai ; mais je connais des gens qui fument tout le temps (autant que des clopes quoi) sans que ça leur pose de problème pour avoir une vie saine et bien construite. C'est le rôle que joue le spliff qui compte plus que la consommation elle-même.
 
Voui totalement.

En fait :
- Le spiff dirige la vie = problème.
- Le spiff dépend de la vie (quand on a finit de bosser, quand on a pas d'obligations, pas parce que "j'en ai besoin") = plus ok déjà.

Par contre je pense que le passage du deuxième cas au premier peut se faire aisément et sournoisement, donc prudence !

Et je suis aussi persuadé que chacun est différent et ce qui vaut pour l'un ne vaut pas forcément pour l'autre. Faut en être conscient et être honnête avec soi-même.
 
Parfois ca se régule avec le temps aussi, a partir d'un moment y' a moyen d'en avoir marre d'etre tout le temps tout mou.
 
or@nge a dit:
Maintenant tu vas nous sortir un truc pertinent sur l’arrêt du spliff, ou je traverse l'océan à la nage et viens te ramoner les trous d'nez!

DasFrog a dit:
Voui totalement.

En fait :
- Le spiff dirige la vie = problème.
- Le spiff dépend de la vie (quand on a finit de bosser, quand on a pas d'obligations, pas parce que "j'en ai besoin") = OK.

Par contre je pense que le passage du deuxième cas au premier peut se faire aisément et sournoisement, donc prudence !
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Et je suis aussi persuadé que chacun est différent et ce qui vaut pour l'un ne vaut pas forcément pour l'autre. Je ne pourrais pas avoir de vie active si je fumais comme certains de mes amis qui eux y arrivent très bien. Faut en être conscient et être honnête avec soi-même.

Héhéééééééé!!!!

Or@nge, dresseur de grenouilles^^:mrgreen:

Non mais sans dec!
 
j'ajouterais que je connais tellement de gens qui ne fument pas et qui pourtant restent à ne rien faire en remettant tout au lendemain, qui n'ont envie de rien de spécial et s'en contentent. On peut toujours mettre les gens dans des cases mais heureusement il y en a pleins pour qui ça ne marche pas. Ce n'est pas parce qu'on fume des joints qu'on correspond au stéréotype du fumeur et idem avec les autres produits. Et effectivement, tout dépend de la personne, du pourquoi et du comment. Il ne s'agit pas de minimiser la consommation de l'herbe, mais ayant grandi avec un père alcoolique et une mère accroc à tout un tas de cachets, je me pose souvent la question : et comment ça aurait été s'ils avaient fumé au lieu de picoler et de servir de cobaye pharmaceutique????
 
Salut, j'ai sauté les quelques commentaires qui étaient HS et j'aimerai apporté une autre vision sur la question de base.
Je fumais régulièrement mais j'ai du arrêter, il y a environ 2 mois... Comme dit plus haut, il n'y a pas vraiment de dépendance physique, ou très légère qui persiste quelques jours après un dernier joint. Mais question psychique c'est la cata ! Enfin, je vois ça de cette manière parce que j'ai du arrêter par obligation, et je suis censé arrêter définitivement mais, me connaissant, je sais très bien que je reprendrais. Se souvenir de ses rêves, être plus stable dans ses humeurs, meilleure mémoire, et compagnie ça à l'air bien mais franchement je trouve pas qu'il y est de différence appréciable. Je passe les conneries qu'on peut entendre par rapport au "syndrome amotivationnel", car je suis d'avis que la procrastination n'est pas imputable au joint.
Bref, revenons à nos moutons : me souvenir de mes rêves c'est un cauchemar, ça m'étais pas arrivé depuis quelques années, je rêve de choses qui m'ont touchés et qui me touchent encore, ce qui apparaît donc plus comme des cauchemars. Ensuite, fumer des joints ça me permettait de fuir mes soucis, donc là, de les avoir bien devant la gueule et de les regarder en face c'est pas évident, mais bon on s'y fait c'est la vie. Et justement j'arrive à mon dernier point, la vie. Parce que j'ai beau faire des études qui m'intéressent, avoir des amis sur qui compter, une situation assez stable, aucun problème familial... je me fais chier. Franchement j'ai l'impression que la vie est monotone et chiante. Le joint procure un plaisir, qui même s'il est éphémère, permet de "pimenter" des activités, d'embellir des journées. On m'a répondu "bienvenu dans le monde réel" quand j'ai dit ça à un pote. Je comprends mieux les gens qui peuvent être à fond dans leur métier, leur famille, leur couple ou leurs centre d'intérêt pour compenser et se donner une illusion que la vie est belle. Mais j'en vois pas l'utilité, de se créer un faux bonheur. D'un autre côté le joint en est aussi un, mais étant donné qu'il agit chimiquement, autant que les autres plaisirs "normaux" du l'Homme lambda, en quoi est-il moins bien ? Si tout est question de récompense, je me vois mal chercher à avoir les mêmes plaisirs que monsieur toutlemonde, et avoir une vie bien monotone et ennuyeuse.
En disant ça je vais passer pour un vrai toxico je pense, mais j'attends d'un autre côté qu'on me contredise, c'est une vision que j'ai en ce moment.

En plus, en étant face tout les jours à des maladies graves qui touchent les gens de façon précoce (j'entends avant l'espérance de vie à la naissance), et plus ou moins aléatoirement (cancers surtout), je vois mal en quoi faire le choix de se détruire les poumons, ou d'augmenter notre risque d'attraper un cancer, et donc de mourir "avant l'heure" peut-être un mauvais choix. On ne choisis pas de quoi on va mourir, pouvoir influer sur notre mort permet d'avoir le contrôle d'une certaine manière. Donc tout les avantages cliniques liés à l'arrêt du cannabis sont, pour moi, minimes.
 
Wow, j'ai surtout pas envie de parler bête, moi le canna c'est en quelque sorte "ma vie", je fume depuis mes 15 ans, donc je ne peux savoir si j'aurai été différent si je n'avais pas fumé ce que je serai, et ce que je penserai dans ce cas. Effectivement j’accélère par la nicotine dans le joint les risques tellement cités, mais le THC me plait: ma gourmandise, ma récompense, mon ami, mon somnifère, mon anti-dépresseur, merci joint ! Mais du coup j'altère certaines choses en moi, comme la motivation, tout ça temporairement. Je n'ai pas tout lu, mais il faudrait prendre en compte ceux qui ont fumé qu'un joint car ce fameux joint a fait surgir une maladie mentale sur une personne prédisposée comme le plus fréquemment la schizophrénie. Pour eux c'était, c'est et ça sera "joint 0 - 1 mort". Pour d'autres, parce que je côtoie tout type de personnalité donc de consommation (n'oublions pas l'alcool, l'alcoolique toxicomane) entre les gens que je côtoie, ceux qui diraient comme untel que c'est mal, d'autres que c'est dangereux et d'autres bénin.

'Peu importe le flacon pourvu qu'on a l’ivresse" - Alfred de Musset

Si on fume, on recherche un effet, tout comme l'alcool. Parce que l'alcoolique boira avant d'aller travailler le matin.

C'est pareil pour tout selon sa mesure.

Je procrastinationne sévère depuis toujours, je le faisait déjà avant de découvrir le joint, c'est en moi même avant de découvrir la fumette. On est tous issu d'un moule différent, donc comme DasFrog par exemple dit, je pencherai sur lui. Et c'est pas pour foutre le bazar, c'est juste mon avis. Ça dépend des personnes, le cannabis agit pas pareil sur tout le monde.

J'espère n'avoir rien répété et j'espère m'être fait comprendre comme je pense.
 
Parce que j'ai beau faire des études qui m'intéressent, avoir des amis sur qui compter, une situation assez stable, aucun problème familial... je me fais chier. Franchement j'ai l'impression que la vie est monotone et chiante. Le joint procure un plaisir, qui même s'il est éphémère, permet de "pimenter" des activités, d'embellir des journées. On m'a répondu "bienvenu dans le monde réel" quand j'ai dit ça à un pote.

Le monde réel c'est ton esprit qui te le créé, il peut te paraître génial ou à chier suivant l’état d'esprit dans lequel tu es. Comme dit bouddha : " Nous sommes ce que nous pensons. Tout ce que nous sommes résulte de nos pensées. Avec nos pensées, nous bâtissons notre monde."
 
C'est évident, la loi d'attraction et les théories de la "pensée positive" le rappellent. Mais c'est pas toujours évident, dans des cas concrets comme ici pour arrêter le joint, de se répéter "je veux arrêter le cannabis, c'est mauvais pour moi" alors qu'au fond on a habitué notre pensée à être dans un état second, et notre cerveau à recevoir du THC et qu'on apprécie une substance parce qu'elle est un échappatoire à la vie de tout les jours.
 
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