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justement, je ne sais plus.... puis black out perdurant sur des années...
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Sorence a dit:Je trouve assez injuste et partial que tu accuses de crisper le débat en citant des gens qu’ont fait l’effort de produire plusieurs fois des réponses argumentées, mais par contre que tu nous enjoignes à comprendre une personne qui traite quiconque nuance sa position, de vendu ou de décérébré.
snap2 a dit:Ah, merci d'illustrer la théorie scientifique dominante, qui explique que les syndrômes de sevrage et post-sevrages sont liés à la modification de circuits neuronaux et n'a rien à voir avec un stockage dans les graisses.
Le réel problème vient du fait qu'on ait pas mieux. C'est joli de trouver des points problématiques à des mégacorpo, mais tu veux faire quoi des dépressifs ? On les laisse se démerder sans traitement ? On leur sert des dilutions de trèfles à 4 feuilles ? La comparaison avec l'industrie du tabac est trop facile. Personne n'a besoin de tabac pour vivre et ça n'apporte que du négatif aux individus, pour les industries pharmaceutiques ces deux points ne se vérifient pas.
Je trouve qu'il y a un gros parallèle avec le nucléaire. Oui ça fait peur à certains parce qu'il y a eu quelques scandales, mais par rapport à de l'énergie fossile ça sauve un énorme nombre des vies de cancers et de maladies respiratoires. Est-ce qu'il faut cracher sur le nucléaire ? Je pense qu'il y a d'autres priorités si on s'arrête au factuel et pas au ressenti de la majorité. Surtout que détruire des centrales nucléaires nécessitera plus de fossile, détruire des entreprises pharma mènera à plus de bullshit quantique et homéopathique comme c'était le cas à l'ancienne.
Après je suis tout à fait partant de discuter sur les méthodes de "comment faire en sorte que ça aille mieux" en parlant des améliorations politiques et sociales envisageables pour améliorer le comportement et les résultats des industries pharmaceutiques dans un topic dédié. C'est juste que les problèmes se trouvent dans la solution imho, et éradiquer les problèmes en défonçant la solution, ben c'est un peu se tirer une balle dans le pied.
L’agomélatine (Valdoxan ou autre), d’efficacité non démontrée au-delà de celle d’un placebo, expose à des hépatites et des pancréatites, des suicides et des accès d’agressivité, des rhabdomyolyses, des atteintes cutanées graves (dont des syndromes de Stevens-Johnson).
Le citalopram (Seropram, Celexa…) et l’escitalopram (Seroplex, Lepraxo, Cipralex…), « des antidépresseurs inhibiteurs dits sélectifs de la recapture de la sérotonine (IRS), exposent à un surcroît d’allongements de l’intervalle QT de l’électrocardiogramme et de torsades de pointes par rapport à d’autres antidépresseurs IRS, ainsi qu’à des surdoses aux conséquences plus graves. »
La duloxétine (Cymbalta ou autre), le milnacipran (Ixel ou autre) et la venlafaxine (Effexor LP ou autre), des inhibiteurs de la recapture de la sérotonine et de la noradrénaline, exposent aux effets indésirables des antidépresseurs IRS, et en plus à des troubles cardiaques liés à leur activité noradrénergique, dont des hypertensions artérielles, des tachycardies, des troubles du rythme cardiaque, des allongements de l’intervalle QT de l’électrocardiogramme et, pour la venlafaxine, à un risque élevé d’arrêts cardiaques en cas de surdose. La duloxétine expose aussi à des hépatites et à des réactions d’hypersensibilité avec des atteintes cutanées graves (dont des syndromes de Stevens-Johnson).
Acacia a dit:C'est complètement HS mais au sujet de l'Oxy, personnellement, malgré des études truquées, je me dis c'était des médecins et des pharmaciens qui l' ont distribués. Ça me semble difficile à croire qu'ils aient sincèrement pensés qu'un anti-douleur qui a une forte affinité pour les récepteurs opioides serait particulièrement addictogène .
Ils avaient forcément un peu conscience que les ´etudes étaient truquées, je sais qu'il faut pas partir en généralisations trop vite mais là quand meme ...
je n'attends pas de réponse. Je tiens à rester marginal à côté des fadaises.
Sorence a dit:En fait l'amicale est un guerrier celte consacré à Odin
amicale_du_pc a dit:non mais j'ai compris je crois les autres propos énoncés... L'industrie pharmaceutique est pourrie... il s'agit d'une pègre en conformité avec la loi... La contre-mesure proposée serait de passer à des médications de nature différente pour ne plus accréditer la norme détournée de ses principes originaux...
Sorence a dit:Bon du coup, tout le monde est plus ou moins d’accord sur le fait que les médicaments psychiatriques, c’est pas la panacée, mais ça fait quand même partie des solutions ? Car il me semble que vous regardez le même verre d’eau à moitié quelque-chose
Au passage, attention avec le millepertuis, ça annule l’effet de la pilule contraceptive (interaction métabolique).
C'est le problème, mais dans une société capitaliste on a pas d'autres choix que de dépendre de telles organisations. L'industrie pharmaceutique a le contrôle absolue de la production de médicaments.
snap2 a dit:C'est le problème, mais dans une société capitaliste on a pas d'autres choix que de dépendre de telles organisations. L'industrie pharmaceutique a le contrôle absolue de la production de médicaments.
C'est faux, tu peux dès demain te former en chimie et acheter de quoi faire ton aspirine, et la consommer toi-même sans problème. Tant que la molécule n'est pas sous brevet, tu peux l'autoproduire et la consommer. Après la vente est limité pour des raisons évidentes.
snap2 a dit:C'est faux, tu peux dès demain te former en chimie
snap2 a dit:Et le millepertuis c'est aussi un photosensibilisant même par voie orale, qui facilite la formation de mélanomes et leur développement en cas d'exposition au soleil. Nice, le naturel c'est vraiment trop bien.
Les extraits de millepertuis (Hypericum perforatum) sont utilisés dans le traitement de la dépression. Ils contiennent diverses substances dont les naphtodianthrones hypericine et pseudohypericine sont les ingrédients caractéristiques. Il a été démontré que ces composés provoquent une phototoxicité dans les cultures cellulaires et chez les animaux. Un essai clinique randomisé contrôlé par placebo avec surveillance de la concentration plasmatique d'hypéricine et de pseudohypéricine a été réalisé pour évaluer l'augmentation de la photosensibilité dermique chez l'homme après l'application d'extraits d'hypericum à haute dose.
Les doses utilisées dans cette étude étaient plus élevées que les doses typiques des préparations commerciales actuelles. Malgré ces doses élevées dans la partie en double aveugle à dose unique, la fréquence des effets secondaires était égale à celle du médicament placebo et la sensibilité à la lumière UV n'a pas été augmentée ou seulement de façon marginale. L'étude n'exclut cependant pas des réactions phototoxiques avec des doses supérieures à 11,25 mg d'hypéricine totale et des taux plasmatiques supérieurs à 100 microgrammes/l. En outre, la phototoxicité peut être différente après l'application d'hypericine pure, car certains constituants de l'extrait végétal peuvent présenter des effets protecteurs.
L'administration d'une dose unique et à l'état d'équilibre d'un extrait d'Hypericum perforatum (millepertuis) n'influence pas la sensibilité de la peau au rayonnement UV, à la lumière visible et au rayonnement simulé par le soleil.
Les résultats ne fournissent pas de preuve d'un potentiel phototoxique de l'extrait d'Hypericum LI 160 chez l'homme lorsqu'il est administré par voie orale à des doses cliniques typiques allant jusqu'à 1800 mg par jour.
à dose unique
d'une dose unique
Souci de méthodologie je pense.In the single-dose study
snap2 a dit:Souci de méthodologie je pense.
In the single-dose study the volunteers (n = 48) received 6 or 12 coated tablets (5400 or 10 800 microgram hypericin). In the steady-state study the volunteers (n = 24) received an initial dose of 6 tablets (5400 microgram hypericin), and subsequently 3 x 1 tablets (2700 microgram hypericin) per day for 7 days. Phototesting was performed on the volar forearms prior to medication and 6 h after the last administration of Hypericum extract. The erythema-index and melanin-index were evaluated photometrically using a mexameter. After both single-dose and steady-state administration, no significant influence on the erythema-index or melanin-index could be detected, with the exception of a marginal influence on UVB induced pigmentation (p = 0.0471) in the single-dose study.