H.Putnam
Neurotransmetteur
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- 30/8/22
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Bonjour à tous,
C'est mon deuxième post sur ce forum. J'espère que m'a question n'a pas été déjà posée, autrement je m'en excuse.
Comme je l'ai précisé dans ma présentation, il y a une vingtaine d'années j'ai goûté au LSD en free party. Je m'étais éloigné des psychédéliques car ce n'est pas très accepté socialement, sans parler du mouvement techno... (je baisse le son quand j'approche du boulot !).
Puis je tombe sur des articles, séries documentaires, livres, sur l'usage des psychédéliques pour assister des psychothérapies. Par ailleurs, je m'intéresse à la méditation, la plasticité du cerveau, la dissolution de l'égo. Je découvre que la DMT, le LSD, la psilocybine et la mescaline produisent un effet similaire à de longue pratiques de méditation, en évitant au réseau du mode par défaut de prendre toute la place. Les expériences d'unicité avec le monde ou d'amour infini m'intriguent. Si la substance me permet d'accéder à mon inconscient, alors j'aimerais y jeter un coup d'oeil.
Donc, les questions :
1. J'aimerais m'en faire ma propre idée, expérimenter, voir si je partage l'analyse de Michael Pollan par exemple. Est-ce que ce que j'ai lu vous parle et partagez-vous ce point de vue ?
2. Je ne peux pas rentrer un soir avec un sachet de truffe et demander à ma femme de me surveiller pendant 6 heures parce que je suis sous psilocybine... J'aimerais en prendre un jour où je suis seul. Mais cela est-il raisonnable ? Quelles précautions ?
3. Mais seul, sans personne avec qui partager l'expérience, est-ce que je ne risque pas de passer à côté de quelque chose. Pollan, sans son livre, décrit ces expériences avec le LSD, la psilocybine, la DMT alors qu'il est toujours accompagné dans ses expériences. J'ai eu l'impression que l'accompagnement était très discret, que seule la présence suffisait. Finalement le voyage semblait assez solitaire donc pourquoi pas essayer seul. Qu'en pensez-vous ?
C'est mon deuxième post sur ce forum. J'espère que m'a question n'a pas été déjà posée, autrement je m'en excuse.
Comme je l'ai précisé dans ma présentation, il y a une vingtaine d'années j'ai goûté au LSD en free party. Je m'étais éloigné des psychédéliques car ce n'est pas très accepté socialement, sans parler du mouvement techno... (je baisse le son quand j'approche du boulot !).
Puis je tombe sur des articles, séries documentaires, livres, sur l'usage des psychédéliques pour assister des psychothérapies. Par ailleurs, je m'intéresse à la méditation, la plasticité du cerveau, la dissolution de l'égo. Je découvre que la DMT, le LSD, la psilocybine et la mescaline produisent un effet similaire à de longue pratiques de méditation, en évitant au réseau du mode par défaut de prendre toute la place. Les expériences d'unicité avec le monde ou d'amour infini m'intriguent. Si la substance me permet d'accéder à mon inconscient, alors j'aimerais y jeter un coup d'oeil.
Donc, les questions :
1. J'aimerais m'en faire ma propre idée, expérimenter, voir si je partage l'analyse de Michael Pollan par exemple. Est-ce que ce que j'ai lu vous parle et partagez-vous ce point de vue ?
2. Je ne peux pas rentrer un soir avec un sachet de truffe et demander à ma femme de me surveiller pendant 6 heures parce que je suis sous psilocybine... J'aimerais en prendre un jour où je suis seul. Mais cela est-il raisonnable ? Quelles précautions ?
3. Mais seul, sans personne avec qui partager l'expérience, est-ce que je ne risque pas de passer à côté de quelque chose. Pollan, sans son livre, décrit ces expériences avec le LSD, la psilocybine, la DMT alors qu'il est toujours accompagné dans ses expériences. J'ai eu l'impression que l'accompagnement était très discret, que seule la présence suffisait. Finalement le voyage semblait assez solitaire donc pourquoi pas essayer seul. Qu'en pensez-vous ?