Simba
Holofractale de l'hypervérité
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Oui ça fait un peu cul-cul et tout et tout, je vous l'accorde (à moins que ce ne soit que dans ma tête...).
Toujours est-il que ce sujet me tient à cœur et qu'il mérite que j'y mette tout mon sérieux. Et puis j'ai tout mon temps, je suis en arrêt maladie, ça fait plaisir ^^
La question est la suivante: Que faites-vous individuellement à votre échelle pour rendre le monde meilleur? Ou que feriez-vous?
Et pour approfondir : -qu'est-ce qu'un groupe de personnes organisées pourrait faire pour rendre le monde meilleur?
Quels champs d'actions? Quels moyens utilisés?
Je sais pas s'il est vraiment inutile de préciser que les messages du genre "moi je fais ma vie, le monde tourne comme il veut",
ne seront d'aucun intérêt.
Bon, forcément, vu que je lance le sujet, je dois bien apporter ma contribution.
Permettez-moi tout d'abord (merci, vous êtes trop aimables^^) de raconter un peu ma vie, mon petit cheminement intérieur, et tout et tout:
Je pense que ça n'a pas échappé à certains, pendant un bon moment sur le forum, je me suis fatigué inutilement et désespérément à tenir un discours hyper-rageux contre le système dans sa globalité. Oui "nique le système". J'assume le côté ado du machin.
Et je continue de penser que ce système est une merde infecte que seuls les dirigeants et autres pourritures devraient essayer de bouffer.
Bref, pendant cette période, intérieurement, j'étais vraiment au plus mal. La rage contre tout le monde, c'est sûr, vu que personne n'est vraiment fautif...
Le sentiment d'injustice était tellement fort que j'en voulais à la Terre entière. Ca pouvait se résumer à ça: "Je suis né sans rien demander, maintenant on ose me demander de travailler jusqu'à mes 60 piges pour simplement avoir le droit de vivre dans un monde dont je ne cautionne pas le fonctionnement" ou plus simplement "marche ou crèves, poto".
J'ai mit un temps avant de me rendre compte que j'étais en train de me tuer de l'intérieur. Tout ce que je pensais avait beau contenir une part de vérité (non parce-que desfois ça partait loin quand-même), ça n'empêche qu'il est très mauvais de ressasser ce genre d'idées; d'entretenir en permanence cette rage, que ce soit contre le système ou autre. Entretenir la haine ne peut que mener à une sorte d'auto-destruction. On se consume à petit feu jusqu'à y perdre la santé.
Pire encore, ma femme et mes 2 filles en bas-âge commençaient à en pâtir.
Parce-que mon mal-être se traduisait pas des sautes d'humeur, des accès de rage bien (mais alors bien bien BIEN) haineux.
Quand je commençais à porter ma haine sur quelqu'un, j'allais pas la voir en face pour lui dire, voyons!, non je préférai déverser mon venin pendant des heures (oui bon, presque).
Et je voulais que ma femme soit compréhensive, qu'elle compatisse ou je ne sais quoi. Ca en devenait même vicieux, en fait. J'essayais de la persuader que tout ce que je disais avait un sens. Au final je voulais qu'elle ait autant la rage que moi. Heureusement qu'elle est solide: elle ne s'est jamais laissée embourber là-dedans et mon Dieu, qu'est-ce que c'est rassurant!
Pas la peine de faire un dessin de ce que ça donnait au niveau familial à l'époque: c'est pas bon.
Je ne voyais plus vraiment mes filles. Pareil pour ma femme. J'étais là sans être là. Trop perturbé pour rester ancré dans la vie de tous les jours.
Bon, quand j'ai commencé à prendre conscience de tout ça, au niveau du forum, ça s'est traduit par "je jette les armes, le système m'a eu. Si c'est marche ou crève, je marche. Dessines-moi un mouton, il sera mon modèle".
D'ailleurs j'avais amorcé le début de ce qui aurait pû être un long débat avec Puki.
J'ai lâchement décidé de ne pas poursuivre, je l'avoue. Parce-qu'à ce moment, elle m'a mit un peu au pied du mur. Certains de mes arguments ne tenaient pas la route.
Puki, si tu me lis: merci. Tu as joué un rôle dans la direction que je suis en train de prendre, tout doucement mais sûrement. Tu n'as pas changé mes idées mais tu m'as fait comprendre que je me fatiguais pour rien depuis trop longtemps. Et c'est déjà beaucoup!
Chez moi, j'ai décidé de la mettre un peu en veilleuse dans un premier temps, pour au moins épargner à ma femme mes "beaux" discours et arrêter de foutre une sale ambiance dans le foyer.
J'ai décidé qu'il y aurait vraiment un grand changement dans mon comportement. Et ça ne pouvait pas se faire, dans mon cas, sans un profond changement intérieur.
Mais j'étais toujours paumé. Entre deux chaises. Je croyais devoir renoncer à mes convictions pour pouvoir continuer à vivre.
Je me sentais comme.. je sais pas, moi. J'ai l'image d'un bœuf qui part à l'abattage. C'était un peu ça. Complètement vidé, usé, plus que perturbé. L'impression de n'être qu'une enveloppe corporelle (vide) baladée par le vent, comme une girouette. Un zombie, un mec a qui on viendrait de retirer le cerveau.
Jours après jours, j'ai commencé à avoir de plus en plus de pensées positives.
Je me suis rendu compte que j'étais pas obligé de laisser mes idées de côté pour pouvoir vivre "tranquille". Je m'étais complètement trompé, j'avais ciblé le mauvais problème.
En fait, j'ai le droit d'être Moi. Contrairement à ce que je croyais (oui c'est con; merci).
J'ai commencé à réaliser que j'avais passé des mois et des années à me torturer l'esprit, à chercher la petite bête. J'ai toujours trouvé des causes extérieures à mes malheurs (même si j'avais une certaine conscience de mon mal-être intérieur, bien-sûr).
Mais je n'ai jamais vraiment apprit à positiver. D'ailleurs, j'ai jamais aimé ce mot-là. Je trouvais ça niais, mais d'une force!
Etant donné que j'étais tombé très bas, je me suis dit que j'avais rien à perdre à essayer cette façon de voir les choses. Qui sait? Ca pourrait fonctionner, dis-donc.
Donc, depuis 2-3 semaines maintenant, j'agis sur 2 fronts en même-temps.
1. Je tente de positiver quoi qu'il arrive (même si desfois ça fait limite méthode Coué).
2. Je bride mes pulsions de haine. Même si je m'autorise de temps en temps à déverser ma rage (ben oui, quand-même, faut pas déconner, quoi!)
Ma femme me dit qu'elle ressent un changement positif dans mon comportement (alors que je ne lui ai pas parlé de tout ça, exprès, justement, pour voir si un changement se faisait sentir).
Moi-même je me sens changé/changer (nuance).
Au taf aussi, je commence à m'ouvrir un peu aux autres. Moi qui ait passé plusieurs années à faire le solitaire renfrogné, faudrait vraiment que je sois aveugle pour pas me rendre compte de ce changement-là. Avant, c'était "bonjour" "au revoir". Maintenant il m'arrive de plus en plus de passer un peu de temps à discuter (bon, c'est souvent des discussions à 2 balles, j'dois dire) avec des collègues. Et bizarrement, je me force pas vraiment. Et plus le temps passe, plus je m'ouvre et plus j'ai d'opportunités de m'ouvrir et d'échanger.
Le Gollum redevient humain, faut croire, maintenant qu'il n'est plus accaparé par son "précieux" (désolé pour ceux qui n'ont rien pigé à cette phrase. C'est pas important).
Bon, je reste toujours ce mec pas bavard et solitaire, mais le changement s'amorce et c'est plutôt bénéfique.
On en vient au sujet de ce thread. (merci à ceux qui auront supporté le pavé ci-dessus. C'était pas prévu mais ça fait du bien^^).
Voilà, ce que moi je fais pour changer le monde à mon échelle. Pour l'instant.
J'ai d'abord décidé d'aller mieux pour moi-même, bien-sûr.
Mais aussi pour ma famille.
Changer le monde est peut-être une phrase exagérée, diront certains.
Mais je pars de cette phrase, qui vient de je ne sais plus qui (Gandhi?): "Sois le changement que tu veux voir dans ce monde".
Donc pour l'instant, je m'occupe de moi. Comment je pourrai aider autour de moi si moi-même je ne vais pas bien?
"Sois le changement... " Je l'applique à ma façon dans mes relations. En tout cas j'essaye, selon mes limites.
Concrètement: qu'est-ce que j'attends des gens la plupart du temps? Au travail, dans la famille, les proches, même les inconnus....
J'attends qu'on me comprenne un minimum. Qu'on ne me juge pas bêtement (j'insiste sur le bêtement car quoi qu'il arrive, on juge, et c'est normal, je crois).
Donc, à moi maintenant de ne pas juger bêtement, d'essayer de comprendre les gens. De les accepter. J'aime croire que ce comportement est contagieux. Et je suis convaincu qu'il l'est.
Voilà en gros, vous avez l'idée globale.
J'ai quelques idées; je développerai plus tard.
Notamment: la création d'une page Facebook-une première pour moi, Facebook- où j'aimerai publier des images fortes positives, des phrases etc... le genre de choses qui pourraient au moins avoir un peu d'impact sur d'autres personnes. Ca fait un moment que je me dis que Facebook pourrait être un outil vraiment utile. Autre que de discuter avec des gens qu'on voit déjà tous les jours... Ca pourrait être un outil vachement puissant. Une bombe atomique. Faudrait juste que les gens réalisent l'outil qu'ils ont à leur disposition et l'usage qu'ils pourraient en faire.
Allez, j'vais me coucher. En espérant ne pas vous avoir trop gavé.
Toujours est-il que ce sujet me tient à cœur et qu'il mérite que j'y mette tout mon sérieux. Et puis j'ai tout mon temps, je suis en arrêt maladie, ça fait plaisir ^^
La question est la suivante: Que faites-vous individuellement à votre échelle pour rendre le monde meilleur? Ou que feriez-vous?
Et pour approfondir : -qu'est-ce qu'un groupe de personnes organisées pourrait faire pour rendre le monde meilleur?
Quels champs d'actions? Quels moyens utilisés?
Je sais pas s'il est vraiment inutile de préciser que les messages du genre "moi je fais ma vie, le monde tourne comme il veut",
ne seront d'aucun intérêt.
Bon, forcément, vu que je lance le sujet, je dois bien apporter ma contribution.
Permettez-moi tout d'abord (merci, vous êtes trop aimables^^) de raconter un peu ma vie, mon petit cheminement intérieur, et tout et tout:
Je pense que ça n'a pas échappé à certains, pendant un bon moment sur le forum, je me suis fatigué inutilement et désespérément à tenir un discours hyper-rageux contre le système dans sa globalité. Oui "nique le système". J'assume le côté ado du machin.
Et je continue de penser que ce système est une merde infecte que seuls les dirigeants et autres pourritures devraient essayer de bouffer.
Bref, pendant cette période, intérieurement, j'étais vraiment au plus mal. La rage contre tout le monde, c'est sûr, vu que personne n'est vraiment fautif...
Le sentiment d'injustice était tellement fort que j'en voulais à la Terre entière. Ca pouvait se résumer à ça: "Je suis né sans rien demander, maintenant on ose me demander de travailler jusqu'à mes 60 piges pour simplement avoir le droit de vivre dans un monde dont je ne cautionne pas le fonctionnement" ou plus simplement "marche ou crèves, poto".
J'ai mit un temps avant de me rendre compte que j'étais en train de me tuer de l'intérieur. Tout ce que je pensais avait beau contenir une part de vérité (non parce-que desfois ça partait loin quand-même), ça n'empêche qu'il est très mauvais de ressasser ce genre d'idées; d'entretenir en permanence cette rage, que ce soit contre le système ou autre. Entretenir la haine ne peut que mener à une sorte d'auto-destruction. On se consume à petit feu jusqu'à y perdre la santé.
Pire encore, ma femme et mes 2 filles en bas-âge commençaient à en pâtir.
Parce-que mon mal-être se traduisait pas des sautes d'humeur, des accès de rage bien (mais alors bien bien BIEN) haineux.
Quand je commençais à porter ma haine sur quelqu'un, j'allais pas la voir en face pour lui dire, voyons!, non je préférai déverser mon venin pendant des heures (oui bon, presque).
Et je voulais que ma femme soit compréhensive, qu'elle compatisse ou je ne sais quoi. Ca en devenait même vicieux, en fait. J'essayais de la persuader que tout ce que je disais avait un sens. Au final je voulais qu'elle ait autant la rage que moi. Heureusement qu'elle est solide: elle ne s'est jamais laissée embourber là-dedans et mon Dieu, qu'est-ce que c'est rassurant!
Pas la peine de faire un dessin de ce que ça donnait au niveau familial à l'époque: c'est pas bon.
Je ne voyais plus vraiment mes filles. Pareil pour ma femme. J'étais là sans être là. Trop perturbé pour rester ancré dans la vie de tous les jours.
Bon, quand j'ai commencé à prendre conscience de tout ça, au niveau du forum, ça s'est traduit par "je jette les armes, le système m'a eu. Si c'est marche ou crève, je marche. Dessines-moi un mouton, il sera mon modèle".
D'ailleurs j'avais amorcé le début de ce qui aurait pû être un long débat avec Puki.
J'ai lâchement décidé de ne pas poursuivre, je l'avoue. Parce-qu'à ce moment, elle m'a mit un peu au pied du mur. Certains de mes arguments ne tenaient pas la route.
Puki, si tu me lis: merci. Tu as joué un rôle dans la direction que je suis en train de prendre, tout doucement mais sûrement. Tu n'as pas changé mes idées mais tu m'as fait comprendre que je me fatiguais pour rien depuis trop longtemps. Et c'est déjà beaucoup!
Chez moi, j'ai décidé de la mettre un peu en veilleuse dans un premier temps, pour au moins épargner à ma femme mes "beaux" discours et arrêter de foutre une sale ambiance dans le foyer.
J'ai décidé qu'il y aurait vraiment un grand changement dans mon comportement. Et ça ne pouvait pas se faire, dans mon cas, sans un profond changement intérieur.
Mais j'étais toujours paumé. Entre deux chaises. Je croyais devoir renoncer à mes convictions pour pouvoir continuer à vivre.
Je me sentais comme.. je sais pas, moi. J'ai l'image d'un bœuf qui part à l'abattage. C'était un peu ça. Complètement vidé, usé, plus que perturbé. L'impression de n'être qu'une enveloppe corporelle (vide) baladée par le vent, comme une girouette. Un zombie, un mec a qui on viendrait de retirer le cerveau.
Jours après jours, j'ai commencé à avoir de plus en plus de pensées positives.
Je me suis rendu compte que j'étais pas obligé de laisser mes idées de côté pour pouvoir vivre "tranquille". Je m'étais complètement trompé, j'avais ciblé le mauvais problème.
En fait, j'ai le droit d'être Moi. Contrairement à ce que je croyais (oui c'est con; merci).
J'ai commencé à réaliser que j'avais passé des mois et des années à me torturer l'esprit, à chercher la petite bête. J'ai toujours trouvé des causes extérieures à mes malheurs (même si j'avais une certaine conscience de mon mal-être intérieur, bien-sûr).
Mais je n'ai jamais vraiment apprit à positiver. D'ailleurs, j'ai jamais aimé ce mot-là. Je trouvais ça niais, mais d'une force!
Etant donné que j'étais tombé très bas, je me suis dit que j'avais rien à perdre à essayer cette façon de voir les choses. Qui sait? Ca pourrait fonctionner, dis-donc.
Donc, depuis 2-3 semaines maintenant, j'agis sur 2 fronts en même-temps.
1. Je tente de positiver quoi qu'il arrive (même si desfois ça fait limite méthode Coué).
2. Je bride mes pulsions de haine. Même si je m'autorise de temps en temps à déverser ma rage (ben oui, quand-même, faut pas déconner, quoi!)
Ma femme me dit qu'elle ressent un changement positif dans mon comportement (alors que je ne lui ai pas parlé de tout ça, exprès, justement, pour voir si un changement se faisait sentir).
Moi-même je me sens changé/changer (nuance).
Au taf aussi, je commence à m'ouvrir un peu aux autres. Moi qui ait passé plusieurs années à faire le solitaire renfrogné, faudrait vraiment que je sois aveugle pour pas me rendre compte de ce changement-là. Avant, c'était "bonjour" "au revoir". Maintenant il m'arrive de plus en plus de passer un peu de temps à discuter (bon, c'est souvent des discussions à 2 balles, j'dois dire) avec des collègues. Et bizarrement, je me force pas vraiment. Et plus le temps passe, plus je m'ouvre et plus j'ai d'opportunités de m'ouvrir et d'échanger.
Le Gollum redevient humain, faut croire, maintenant qu'il n'est plus accaparé par son "précieux" (désolé pour ceux qui n'ont rien pigé à cette phrase. C'est pas important).
Bon, je reste toujours ce mec pas bavard et solitaire, mais le changement s'amorce et c'est plutôt bénéfique.
On en vient au sujet de ce thread. (merci à ceux qui auront supporté le pavé ci-dessus. C'était pas prévu mais ça fait du bien^^).
Voilà, ce que moi je fais pour changer le monde à mon échelle. Pour l'instant.
J'ai d'abord décidé d'aller mieux pour moi-même, bien-sûr.
Mais aussi pour ma famille.
Changer le monde est peut-être une phrase exagérée, diront certains.
Mais je pars de cette phrase, qui vient de je ne sais plus qui (Gandhi?): "Sois le changement que tu veux voir dans ce monde".
Donc pour l'instant, je m'occupe de moi. Comment je pourrai aider autour de moi si moi-même je ne vais pas bien?
"Sois le changement... " Je l'applique à ma façon dans mes relations. En tout cas j'essaye, selon mes limites.
Concrètement: qu'est-ce que j'attends des gens la plupart du temps? Au travail, dans la famille, les proches, même les inconnus....
J'attends qu'on me comprenne un minimum. Qu'on ne me juge pas bêtement (j'insiste sur le bêtement car quoi qu'il arrive, on juge, et c'est normal, je crois).
Donc, à moi maintenant de ne pas juger bêtement, d'essayer de comprendre les gens. De les accepter. J'aime croire que ce comportement est contagieux. Et je suis convaincu qu'il l'est.
Voilà en gros, vous avez l'idée globale.
J'ai quelques idées; je développerai plus tard.
Notamment: la création d'une page Facebook-une première pour moi, Facebook- où j'aimerai publier des images fortes positives, des phrases etc... le genre de choses qui pourraient au moins avoir un peu d'impact sur d'autres personnes. Ca fait un moment que je me dis que Facebook pourrait être un outil vraiment utile. Autre que de discuter avec des gens qu'on voit déjà tous les jours... Ca pourrait être un outil vachement puissant. Une bombe atomique. Faudrait juste que les gens réalisent l'outil qu'ils ont à leur disposition et l'usage qu'ils pourraient en faire.
Allez, j'vais me coucher. En espérant ne pas vous avoir trop gavé.