Synthèse de mes experiences.
- Auteur de la discussion CarlGustav
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CarlGustav
Neurotransmetteur
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- 3/8/12
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Pourtant, la réponse fournie par la Salvia me semblait très claire, étonnant que celle-ci ne t'ai apporté que de nouvelles questions.
La Salvia ne pourvoit pourtant aucune croyance mais des certitudes, elle ne fait aucune supposition ni ne fait deviner mais projette la vérité en pleine poire.
La rencontre avec son corps-mental n'admet aucun doute sur la véritable nature de SOI.
Mes propos, malgré leurs apparences, sont de type cartésien, selon Descartes, le corps et l'âme sont deux substances distinctes.
Sinon, tu ne m'as pas répondu sur "tatave"?
La Salvia ne pourvoit pourtant aucune croyance mais des certitudes, elle ne fait aucune supposition ni ne fait deviner mais projette la vérité en pleine poire.
La rencontre avec son corps-mental n'admet aucun doute sur la véritable nature de SOI.
Mes propos, malgré leurs apparences, sont de type cartésien, selon Descartes, le corps et l'âme sont deux substances distinctes.
Sinon, tu ne m'as pas répondu sur "tatave"?
Bah, comme tu le dis toi même, "il s'agit de garder les pieds sur terre et de relativiser car il serait facile, pour un esprit fragile, de se dérationaliser complément"
Je le crois aussi, ce serai me fourvoyer gravement que de fonder ma perception du monde sur ce qui pourrait n'être qu'une illusion, même si je pense que ce n'est pas le cas, alors je relativise mes expériences subjectives et ne leur donne pas valeur de vérité.
Tout en écrivant cela je me rends compte que si je venais de me prendre une claque à la salvia je n'aurai pas le même discours lol
Quant à Tatave , il n'y a pas de raison particulière à t'appeler ainsi. C'est juste le lot des Gustave, même Flaubert a dû y passer
Je le crois aussi, ce serai me fourvoyer gravement que de fonder ma perception du monde sur ce qui pourrait n'être qu'une illusion, même si je pense que ce n'est pas le cas, alors je relativise mes expériences subjectives et ne leur donne pas valeur de vérité.
Tout en écrivant cela je me rends compte que si je venais de me prendre une claque à la salvia je n'aurai pas le même discours lol
Quant à Tatave , il n'y a pas de raison particulière à t'appeler ainsi. C'est juste le lot des Gustave, même Flaubert a dû y passer
CarlGustav
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Il est clair que les concepts philosophiques dualistes peuvent sembler irrationnels de prime abord, et j'avoue que le fait que tu m'ais cité pour me rappeler à l'ordre m'a plus qu'interpellé. Aurais-je cédé à la déraison?
J'essaie de me rassurer en me disant que Platon, Aristote ou encore Descartes concevaient la relation matière/esprit. Prendre conscience de sa véritable nature nous permet(trait) de se discriminer (SOI ou Esprit) du MOI (couple Esprit/Corps-mental) et ainsi d'appréhender cette relation. Prendre conscience de l'extériorité du corps (nous ne sommes pas notre corps) est le seul moyen de ressentir l'attachement qui nous lie à lui (il est inconcevable d'imaginer pouvoir attacher quelque chose avec ce même quelque chose), et par extension à la matière, aux choses et événements manifestés.
Un exercice de méditation intéressant, le soir venu, une fois allongé tranquillement dans le lit, les yeux fermés, se positionner en tant qu'observateur guettant la moindre pensée (tel un chat posté devant un trou de souris attendant que celles-ci sortent). Chacune des productions du mental (donc du corps) seront ainsi saisies au vol.
Ne pouvant être à la fois sujet (Soi) et objet (Pensées), la conclusion s'imposera d'elle-même.
Nous ne sommes pas ces pensées mais l'être les observant.
J'essaie de me rassurer en me disant que Platon, Aristote ou encore Descartes concevaient la relation matière/esprit. Prendre conscience de sa véritable nature nous permet(trait) de se discriminer (SOI ou Esprit) du MOI (couple Esprit/Corps-mental) et ainsi d'appréhender cette relation. Prendre conscience de l'extériorité du corps (nous ne sommes pas notre corps) est le seul moyen de ressentir l'attachement qui nous lie à lui (il est inconcevable d'imaginer pouvoir attacher quelque chose avec ce même quelque chose), et par extension à la matière, aux choses et événements manifestés.
Un exercice de méditation intéressant, le soir venu, une fois allongé tranquillement dans le lit, les yeux fermés, se positionner en tant qu'observateur guettant la moindre pensée (tel un chat posté devant un trou de souris attendant que celles-ci sortent). Chacune des productions du mental (donc du corps) seront ainsi saisies au vol.
Ne pouvant être à la fois sujet (Soi) et objet (Pensées), la conclusion s'imposera d'elle-même.
Nous ne sommes pas ces pensées mais l'être les observant.
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