Mélusine
Glandeuse Pinéale
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- 7/7/09
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Je viens rajouter ma petite pière à l'édifice:
Je vois des psy depuis que je suis petite et je traverse assez régulièrement des passage à vide voir des épisodes dépressifs plus ou moins graves.
A côté de ça ben je vie.
J'ai raté mes études à cause de ça, j'ai toujours su que je vallais mieux mais de toute façon on ne choisit pas certaines choses.
J'ai réussi à reprendre mes études mais c'est réorientation, et proffessionnel. Bref tout ce que j'ai fait avant m'a donc servi à rien sur ce plan professionnel. Mais pas de regrets.
Mon principal pb est d'ordre affectif. Et ça c'est chaud à faire passer, car ont aura beau tout avoir sur le plan matériel, rien ne pourra vous rendre heureux.
Bref je m'égare.
Les médocs, ouè on peut en prendre quand plus rien ne va, je ne suis pas forcément contre. Pas vraiment pour non plus.
Faut voir ce qu'on entend par "dépression". Si ce n'est pas un petit passage à vide.
Le truc plus grave se situe plutôt dans la duré. Si "ça" dur depuis un moment (plusieurs semaines voir plusieurs mois) ouè il y a eut être un problème plus grave.
Donc consulter peut être utile et les médocs aussi. Ils sont parfois nécessaires quand notre cerveau déconne et devient malade. Car la dépression est bien une maladie; et pas un trait de caractère.
Qui dit maladie dit médicaments.
Vallable pour une courte duré, pas forcément certains en auront besoin toute leur vie durant. Et je ne parle pas d'AD.
Sinon les AD n'entrainent que peu ou pas de dépendance. Pas comme les benzo. Les neuro et thymorégulateurs non plus.
J'ai pris pas mal d'AD, mais ça ne faisait qu'empirer mon état. J'ai pris du risperdal, du zyprex aussi, entre autre. Mais ça ne faisait que m'assommer sans parler du fait de grossir (aillant un pb relationnel avec ça en plus).
On a finit par me prescrire du dépakote qui a plutôt donné des résultats mais le pb c'est que dans mon cas le traitement est à vie car ce que j'ai ne se soigne mais ne se guéri pas; et ça j'ai du mal a l'accepter.
J'ai choisi de m'en passer. J'ai tenu bon un an et là c'est vrai que je me rends bien compte que tout ce que je fais c'est me détruire à petit feu.
Je n'ai pas encore la réponse vis à vis du chemin que je dois suivre. Je cherche.
Je connais la plus part des vecteurs de mes pb. Ce n'est pas pour autant que j'irais mieux.
Et pourtant je garde souvent un certain espoir. Je ne suis sans doute pas la meilleurs personne pour tenir des propos concrets autour de ce sujet en ce moment.
Je sais toutefois qu'il peut être utile voir nécessaire de faire appel à un pros avant que ça ne finisse vraiment mal.
Et il ne faut pas hésiter sous prétexte que l'on se trouverait "faible".
Il y a une véritable hypocrisie dans nos société. D'un côté on nous encourage à prendre des médocs, énormément de gens sont accro aux benzo etc.
Et à côté de ça, les maladies mentales -en particulier la dépression- aspirent à le plus de rejets, incompréhensions. Dans d'autres sociétés, certains schizo peuvent guérir car on ne les mets pas en ban.
Je crois que je suis en mode HS, désolé.
Voilà.
Bonne soirée et du courage.
Je vois des psy depuis que je suis petite et je traverse assez régulièrement des passage à vide voir des épisodes dépressifs plus ou moins graves.
A côté de ça ben je vie.
J'ai raté mes études à cause de ça, j'ai toujours su que je vallais mieux mais de toute façon on ne choisit pas certaines choses.
J'ai réussi à reprendre mes études mais c'est réorientation, et proffessionnel. Bref tout ce que j'ai fait avant m'a donc servi à rien sur ce plan professionnel. Mais pas de regrets.
Mon principal pb est d'ordre affectif. Et ça c'est chaud à faire passer, car ont aura beau tout avoir sur le plan matériel, rien ne pourra vous rendre heureux.
Bref je m'égare.
Les médocs, ouè on peut en prendre quand plus rien ne va, je ne suis pas forcément contre. Pas vraiment pour non plus.
Faut voir ce qu'on entend par "dépression". Si ce n'est pas un petit passage à vide.
Le truc plus grave se situe plutôt dans la duré. Si "ça" dur depuis un moment (plusieurs semaines voir plusieurs mois) ouè il y a eut être un problème plus grave.
Donc consulter peut être utile et les médocs aussi. Ils sont parfois nécessaires quand notre cerveau déconne et devient malade. Car la dépression est bien une maladie; et pas un trait de caractère.
Qui dit maladie dit médicaments.
Vallable pour une courte duré, pas forcément certains en auront besoin toute leur vie durant. Et je ne parle pas d'AD.
Sinon les AD n'entrainent que peu ou pas de dépendance. Pas comme les benzo. Les neuro et thymorégulateurs non plus.
J'ai pris pas mal d'AD, mais ça ne faisait qu'empirer mon état. J'ai pris du risperdal, du zyprex aussi, entre autre. Mais ça ne faisait que m'assommer sans parler du fait de grossir (aillant un pb relationnel avec ça en plus).
On a finit par me prescrire du dépakote qui a plutôt donné des résultats mais le pb c'est que dans mon cas le traitement est à vie car ce que j'ai ne se soigne mais ne se guéri pas; et ça j'ai du mal a l'accepter.
J'ai choisi de m'en passer. J'ai tenu bon un an et là c'est vrai que je me rends bien compte que tout ce que je fais c'est me détruire à petit feu.
Je n'ai pas encore la réponse vis à vis du chemin que je dois suivre. Je cherche.
Je connais la plus part des vecteurs de mes pb. Ce n'est pas pour autant que j'irais mieux.
Et pourtant je garde souvent un certain espoir. Je ne suis sans doute pas la meilleurs personne pour tenir des propos concrets autour de ce sujet en ce moment.
Je sais toutefois qu'il peut être utile voir nécessaire de faire appel à un pros avant que ça ne finisse vraiment mal.
Et il ne faut pas hésiter sous prétexte que l'on se trouverait "faible".
Il y a une véritable hypocrisie dans nos société. D'un côté on nous encourage à prendre des médocs, énormément de gens sont accro aux benzo etc.
Et à côté de ça, les maladies mentales -en particulier la dépression- aspirent à le plus de rejets, incompréhensions. Dans d'autres sociétés, certains schizo peuvent guérir car on ne les mets pas en ban.
Je crois que je suis en mode HS, désolé.
Voilà.
Bonne soirée et du courage.