Tout d'abord bonjour amis psychonautes,
je remercie aussi Psyche670 (lui aussi nouveau semble t'il puisque à l'heure ou j'écris il n'as qu'un seul post à son compteur) d'avoir éxhumer pour moi ce "vieux post" bien que ce qui m'amène à écrire soit principalement d'un autre ordre. Il s'agit en fait de souligner quelques points importants qui semblent ressortir de cette conversation comme l'anglais, la production de MDMA (punie par la loi française), les éventuels dangers de réactions chimiques mal préparées (et même si celà peut sembler crus posé comme cela en se référancant à ce qui est arrivé à Zarb), ou encore le simple fait de tenter d'aérer son post (et tout particulierement lorsqu'il est long) afin d'en améliorer l'accès.
C'est par ce point que je voudrais commencer puisqu'il me permettras d'en ammener d'autres. Je ne me prétends pas être un maître ès rhétorique de forum, mais je ne serais pas le premier à constater que la lecture même sur écran d'ordinateur est loin d'être confortable (le soleil frappe actuellement mon écran d'ordinateur de telle manière que le contraste est presque inexistant, il me faut lever la main pour faire de l'ombre et ainsi pouvoir me relire ou alors ateendre le passage d'un nuage).
Il est possible, en faisant des paragraphes, de faciliter la lecture (et donc sa propre relecture). Ce n'est pas ce qu'il y à de plus dur quand on écrit, mais cela permettras que plus de gens lisent les longs posts jusqu'a la fin. Tout particulièrement quand ils sont aussi intérréssants que le témoignage de Zarb. Il dit avoir passer six heures à écrire son premier post cela montre une grande détermination à vouloir surmonter son handicap, il est dommage que celà soit désservit par un manque de retours à la ligne.
Cette détermination pourrait être la clef de la réussite (pour Zarb comme pour d'autres) mais il va falloir travailler peut-être plus durement et, très probablement, différamment des autres. Mais cette détermination n'est évidament pas tout et on peut facilement émettre des réserves quand aux capacités de Zarb (et du fait de son handicap) à pouvoir mener à bien certaines réactions chimiques. De plus, une partie des produits utilisées en chimie sont potentiellement explosifs (dans certaines conditions) mais je pense que les précautions seront sans doute une chose qui seras pour toi quelque chose de primordial lors du déroulement de telles réactions.
D'autre part du risque potentiel d'être victime d'une explosion ou d'être intoxiquer lors de la fabrication de composés chimiques, il y à le risque, dans le cas de la fabrication de drogue de synthèse ou même de simples extractions, de présences d'impurétés qui peuvent être toxiques. Ceci constitue un des problèmes des "drugs designers" amateurs, l'autre problèmes majeurs est, selon moi, le coût général (en dehors des risques légaux) du matériel et des précurseurs nécéssaires (la encore en dehors de la surveillance dont il font preuve). Vous trouverez
ici un lien vers un vendeur de matériels. L'exemple parfait de ce qui consitue l'essentiel du drug designer/utilisateur est une bonne balance, par bonne j'entends une précision supérieure à 0.001g (1 mg) car un certain nombre de drogues sont effectives avant même un milligramme (voir
ici un site spécialisé dans la vente de balances). Tout ceci coûte cher, spécialement si l'on veut du matériel de qualité. L'accéssibilité à ce genre de matériel est assez faible sans parler des connaissances nécéssaires pour les utiliser (mais pourquoi ne pas éspérer de voir des magazins ouvrir qui seraient aux drugs designers ce que sont les grow-shops aux cultivateur, voir de réunir les deux).
Pour résumer je dirais que à mon sens et en théorie, le handicap dont souffre Zarb ne serait pas un frein (et bien que cela puisse l'être en pratique) à son apprentissage de la chimie, mais la encore je doit avouer ne pas être spécialiste. Le "frein" qui pourrait exister dans la pratique pourrait comme nous l'avons vus se greffer sur le problème plus général de l'accéssibilité à ce genre d'activité (la encore outre le fait que ces "activités" soit interdites et sanctionnés par la loi). Donc à tout ceux qui souhaiterais reprendre la chimie je ne conseilerais que trop de reprendre contact (dans la mesure du possible) avec d'anciens professeurs de chimie que vous savez "ouvert d'esprit" mais sans forcement aborter dès le début la question de la synthése de MDMA ou autre drogues. Servez vous en pour (ré)apprendre les bases, vous faire conseiller, prété du matériel ou du temps de labo. Ainsi, je l'éspère, vous ne serez pas pas victimes de votre curiosité et de vos expérimentations (que ce soit physiquement ou intellecutellement). Il existe des risques de se faire "exploser la tête" sans qu'il y ait forcement un explosif dérrière cela. Aussi si vous trouvez de "nouvelles recettes" étudiez les de manière théorique avant de les mettre en pratique.
Ce qui m'amène enfin au sujet de l'anglais, qui comme vous le savez surement est considéré par beaucoup comme la langue de communication dans de nombreux domaines, tout particulièrement lorsqu'il s'agit d'être précis et qui tient, selon moi, de la tendance de la langue à fonctionner principalement sur le mode de la dénotation.
Celle-ci se prête donc tout naturellement à transcire un certain nombre de procédés de façon "standardisé" ce qui procure (si l'on ajoute à cela les avantages de n'avoir "qu'une langue" cf Babel) une plate-forme d'éxpérimentations et de partage de résultats qui serait capable d'éviter de refaire de recherches (potentiellement coûteuses).
Ce ne sont que quelques unes des raisons qui font que dans la cas des drogues comme dans celui de la vie quotidienne, l'anglais à pris une part importante des langues d'échanges et cela tient peut-être des besoins de rationalité qu'éprouve la société et qui est tellement visibles aux Etats-Unis (par comparaison au fait que le francais est resté longtemps la langue de la diplomatie de par sa capacité à "faire passer des vessies pour des lanternes sans faire passer l'autre pour un imbécile" si je puis dire.
De plus, et c'est pourquoi l'exemple du MDMA est si bien choisit, en lisant un peu sur le sujet de cette drogue on découvre qu'après avoir été synthétisée une première fois en Allemagne voir
MDMA timeline pour être "redécouverte" en 1965 par Alexander Shulgin dont le travail et les livres sont les bases (pour moi) du "drug design" dans sa méthode mais aussi dans le système d'éxperimentations qu'il met en place et qui à probablement contribué à faire qu'a plus de 78 ans, dont plus de 40 d'éxplorations, il soit encore vivant et, selon lui, en bonne santé.
Tout cela pour dire que votre (saine?) curiosité pour les psychédéliques peut vous permettre d'apprendre et de pratiquer des disciplines différentes (ie: chimie, biologie, anglais) en ayant un élément qui contribue à motiver, que cette motivation peut déplacer des montagnes (sans parler de la dépendance :smirk
. Profitez en pour en faire le maximum.
Enfin, et il s'agit d'une remarque destinée à être confirmer par d'autres, je voudrais tout d'abord demander : pourquoi le MDMA? et ensuite faire remarquer que le MDMA (principalement dans la phase de "déscente") semble amener les utilisateurs à se sentir déprimé. N'en ayant jamais pris moi même, je fait part ici d'une rumeur que j'ai entendue et lue de nombreuses fois. Est-ce compatible avec la situation que vis Zarb, lui seul peut répondre.
Je laisserais mon premier post peut apreès vous avoir rappeler la morale du conte "La belle au bois dormant", qui dit qu'un mal que l'on ne connais pas (volontairement ou involontairement) peut vous nuire plus que si vous le connaissiez. Ceci pour vous faire réfléchir à ces "informations auxquelles personnes ne devraient avoir accès"
(je crois pour ma part que l'information à peut de chances de tuer, l'application, elle, a souvent beaucoup plus de chances de le faire). Et que toute personnes y voyant une parabole sur des lois concernants certains produits et priée de considérée celle-ci comme sienne.
Merci de votre attention. Et c'est avec impatience que j'attends vos réactions. En attendant je vous salue.
McAdam