Bonjour, tout d'abord désolé d'avoir un peu spammé sur le fofo, mais j'ai besoin d'aide, et je ne sais pas où la trouver, c'est vraiment dur.
J'ai commencé les cigarettes à 11 ans, les joints à 12. Très vite ma conso monta à plusieurs fois par semaine, je séchais les cours pour fumer, mais d'un naturel intelligent, j'ai toujours réussis à suivre en cours. Avec les années, ma consommation augmenta de plus en plus jusqu'au moment où, à 17 ans, mes parents se séparèrent, ma copine m'a quitté au même moment, et quelques mois plus tard mon chien est mort. J'encaissais plutôt bien ces coups durs, enfin je le pensais, mais en parallèle, ma consommation monta en flèche, jusqu'à arriver à une dizaine de joints par jour. L'été dernier je m'initia aux prods, avec tout ma bande de potes (qui ne sont pas dans mon lycée, je précise). Et après cet été, c'est le drame. Mon unique raison de sortir était d'acheter à fumer, ou de chercher de l'argent me permettant de le faire, heureusement que dans mon groupe d'amis j'en avais à disposition, sinon je pense bien que j'aurai aussi perdu de vue ces amis, enfin j'en sais rien...,Mon humeur n'était régulée que par ma consommation, les jours où je n'avait rien c'était la panique, et le grattage de pet intensif (vraiment en mode geush...) En parallèle je continuais à aller en cours, mais en n'en branlant pas une en me disant que le bac, c'est facile, je peux l'avoir les mains dans la poche, malgré mon décrochage dans les matières scientifiques (je suis en S) de plus en plus conséquent. A côté je tapais de la Md plus ou moins régulièrement.
Je pense souffrir d'un trouble de l'attention avec hyperactivité, je me reconnaît parfaitement dans toutes les fichesde symptomes que je trouve, c'est vraiment troublant, avec ou sans cannabis, mais paradoxalement le cannabis calmait ces symptômes, m'aidait à me concentrer, mais le problème était le manque et la surdose, je pense que c'est pas la peine de vous faire un dessin.
J'ai pris rendez vous il y a un deux mois chez une addictologue, mais elle me disait de maintenir ma consommation pour l'instant, malgré la souffrance qu'elle engendrais chez moi, j'ai pas supporté, j'ai fait un sevrage à la dure une semaine avant mon anniversaire (18 ans), début mars. La première semaine était très dure physiquement, nausées, sueurs froides, insomnies, , etc..., la deuxième super, j'avait la pêche, je sautillait partout, et là... j'ai tout le temps une boule dans la gorge, envie de pleurer, de me défoncer, je bois tout les soirs plus d'un litre de bière pour dormir, je fais des cauchemars horribles, j'ai rien pour me calmer alors je suis sur les nerfs, je ne pense qu'à fumer, je crève d'envie de craquer, heureusement seulement quand je suis seul, sinon ma fierté l'emporte. Toutes mes douleurs enfouies me reviennent d'un coup dans la gueule. Et mon année scolaire est foirée, j'ai pleins de mois de branlette devant moi (pour changer), et j'ai peur de remplacer l'addiction au cannabis par une à l'alcool, ou aux prods, car je n'ai pas arrêté... Je me sens vraiment mal, et l'addicto me dit que me prescrire des médocs serait contre productif.
je sais qu'il n'y a pas de solutions miracle, mais si vous pouviez me donner des conseils, ou quoi que ce soit, ce serait accepté avec gratitude.
J'ai commencé les cigarettes à 11 ans, les joints à 12. Très vite ma conso monta à plusieurs fois par semaine, je séchais les cours pour fumer, mais d'un naturel intelligent, j'ai toujours réussis à suivre en cours. Avec les années, ma consommation augmenta de plus en plus jusqu'au moment où, à 17 ans, mes parents se séparèrent, ma copine m'a quitté au même moment, et quelques mois plus tard mon chien est mort. J'encaissais plutôt bien ces coups durs, enfin je le pensais, mais en parallèle, ma consommation monta en flèche, jusqu'à arriver à une dizaine de joints par jour. L'été dernier je m'initia aux prods, avec tout ma bande de potes (qui ne sont pas dans mon lycée, je précise). Et après cet été, c'est le drame. Mon unique raison de sortir était d'acheter à fumer, ou de chercher de l'argent me permettant de le faire, heureusement que dans mon groupe d'amis j'en avais à disposition, sinon je pense bien que j'aurai aussi perdu de vue ces amis, enfin j'en sais rien...,Mon humeur n'était régulée que par ma consommation, les jours où je n'avait rien c'était la panique, et le grattage de pet intensif (vraiment en mode geush...) En parallèle je continuais à aller en cours, mais en n'en branlant pas une en me disant que le bac, c'est facile, je peux l'avoir les mains dans la poche, malgré mon décrochage dans les matières scientifiques (je suis en S) de plus en plus conséquent. A côté je tapais de la Md plus ou moins régulièrement.
Je pense souffrir d'un trouble de l'attention avec hyperactivité, je me reconnaît parfaitement dans toutes les fichesde symptomes que je trouve, c'est vraiment troublant, avec ou sans cannabis, mais paradoxalement le cannabis calmait ces symptômes, m'aidait à me concentrer, mais le problème était le manque et la surdose, je pense que c'est pas la peine de vous faire un dessin.
J'ai pris rendez vous il y a un deux mois chez une addictologue, mais elle me disait de maintenir ma consommation pour l'instant, malgré la souffrance qu'elle engendrais chez moi, j'ai pas supporté, j'ai fait un sevrage à la dure une semaine avant mon anniversaire (18 ans), début mars. La première semaine était très dure physiquement, nausées, sueurs froides, insomnies, , etc..., la deuxième super, j'avait la pêche, je sautillait partout, et là... j'ai tout le temps une boule dans la gorge, envie de pleurer, de me défoncer, je bois tout les soirs plus d'un litre de bière pour dormir, je fais des cauchemars horribles, j'ai rien pour me calmer alors je suis sur les nerfs, je ne pense qu'à fumer, je crève d'envie de craquer, heureusement seulement quand je suis seul, sinon ma fierté l'emporte. Toutes mes douleurs enfouies me reviennent d'un coup dans la gueule. Et mon année scolaire est foirée, j'ai pleins de mois de branlette devant moi (pour changer), et j'ai peur de remplacer l'addiction au cannabis par une à l'alcool, ou aux prods, car je n'ai pas arrêté... Je me sens vraiment mal, et l'addicto me dit que me prescrire des médocs serait contre productif.
je sais qu'il n'y a pas de solutions miracle, mais si vous pouviez me donner des conseils, ou quoi que ce soit, ce serait accepté avec gratitude.