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Désolée mais quand je joins en esprit l'objet (l'extrémité d'un balai), l'usage (appliquer un baume) et l'endroit (une vulve) je n'y trouve aucune vraisemblance : ça ne semble ni pratique, ni agréable, excitant bon : chacun ses goûts. Mais faut savoir, le but c'est d'avoir des visions ou de se branler ? Les deux peuvent aller ensemble mais est-ce censé être le cas ailleurs que dans l'esprit des inquisiteurs ? Et pourquoi un balai, est-ce qu'une cuiller ne serait pas bien plus pratique ? Comment tu doses ton onguent avec un balai ? Comment tu le répartis sur cette petite surface molle et pleine de recoins, avec un outil conçu pour déculpler des mouvements loin du tronc ? Mais t'as toutes les chances de t'egratigner, ce qui multiplie les risques d'infection, de mycose : c'étaient des guérisseuses quand même, elles étaient pas débiles ! J'espère, à une époque où choper une saleté c'était potentiellement à vie. Ça ressemble davantage à un fantasme exogène qu'à une pratique endogène. Mais autant on a un chapitre des Mémoires d'une sorcière médiévale qui décrit crédiblement la chose et je ne suis simplement pas au courant ! Je n'ai jamais dépassé le stade de la source secondaire à ce sujet.
Y'a pas mal de meufs qui se frottent contre des doudous ou des tissus spécifiques, mais t'en verras pas en sex-shop parce que c'est pas hygiéniqueDéjà vu des sextoys en bois (y'en a même pas mal) mais jamais à poils.