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Risque de schizophrénie permanente, réel ou exagéré, et pourquoi ça se produit ?

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion dedalys
  • Date de début Date de début
Deja je me considere comme "guerri" dans le sens ou jai une  vie normal avec mon traitement.  Ensuite ca marrive pas que pour triper de manquer mon traitement. Je le manque le matin quand jai envi de bouger toute la journée car le traitement me casse a coup sur ( pratique pour ne pas subir les redescente ^^ ) donx mon systeme est habitué a cest pause dans l3 trait3ment. Jaurai pas pu faire ca ya 4 ans je tassure je perdais déjà pieds avec le traitement alors jimagine pas si je lavais manqué.
Et jai deja eu des crise psychotique en le manquant et rarement en le prenant dailleurs mais jamais sous linfluence de drogues sauf le bedo avec lequel c quasi crise a tt les coups sauf sous stims. Mais meme jevite grandement je fus pourtant un gros fumeur,jusqu'à  2g dans la journée et meme plus en soirée.
Les interraction jen ai vu que sous c ou on me proposé la trace au dernier moment 
Je dirai que cela allège l'effet de peu genre un truc qui casse plus un stim quoi.
 
Hyosciamus a dit:
Je suis pas skizooo...
Yeeeeey!!!

Je me demandais quel age as tu et estce pas la fatigue ou une redescente plus longue que prevu qui te met c ptite halu 
Jentend en disant que tu as pas perdu pied avec la réalité que tu es conscient que cest pas normal non ?
Moi il m'ont pas laisser sortir de psychoatrie tant que je nallait pas dans leur sens en disant effectivement jai bugué mon comportement etait pas normal les hallu elles sont fausse ... je suis rentré pour delire de persécution mystique timagine pas comment cetait le bad et le pire cest que même maintenant jme demande toujours si cetait pas une réelle épreuve que la vie a voulu pour moi et donc dans un certain sens cetait pas quun bug . Bref t loin detre skyzo je pense dors plus et prend le remps de respirer dans tout les sens du terme relativise et dis toi que limagination cest pas un default.
 
Kailapioupiou a dit:
Hyosciamus a dit:
Je suis pas skizooo...
Yeeeeey!!!

Je me demandais quel age as tu et estce pas la fatigue ou une redescente plus longue que prevu qui te met c ptite halu 
Jentend en disant que tu as pas perdu pied avec la réalité que tu es conscient que cest pas normal non ?
Moi il m'ont pas laisser sortir de psychoatrie tant que je nallait pas dans leur sens en disant effectivement jai bugué mon comportement etait pas normal les hallu elles sont fausse ... je suis rentré pour delire de persécution mystique timagine pas comment cetait le bad et le pire cest que même maintenant jme demande toujours si cetait pas une réelle épreuve que la vie a voulu pour moi et donc dans un certain sens cetait pas quun bug . Bref t loin detre skyzo je pense dors plus et prend le remps de respirer dans tout les sens du terme relativise et dis toi que limagination cest pas un default.



Juste un petit grain de sel de mon point de vue sur la chose. C'est difficile de deilimiter presicement des desordres psychiques deja à la base. Ceci dit il y a des facteurs co-morbides comme le melange de produits, la solitude, l'ancrage de la personne dans le monde et en general si la personne est dans la relaité ou pas tout à fais.

Quand à moi j'entends des voix, surtout avec le shit, jamais été diagnostiqué shizophrene mais j'ai traversé un mechant HPPD durant 3-4 ans au moins. Le HPPD etait pas vraiment au produits. Je trippais seul et cet isolement exacerbait des mauvaises effets qu'on puissent y avoir.
 
D’accord, donc en fait ton traitement a beau être lourdingue, il ne suffit pas à bloquer les stims ni à complètement t’empecher de délirer, du coup je comprends mieux que tu arrives à triper après une courte pause.
Alors que y’a des gens chez qui ça annule complètement les effets. C’est bien aléatoire tout ça...
 
Je viens de tomber sur ça, ça ressemble à du quanti sérieux, et établi qu'aux États-Unis il n'y aurait pas de corrélation entre usage de psychédéliques et développement de troubles mentaux :)

https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0063972

Contexte

Les psychédéliques sérotoninergiques classiques, tels que le LSD, la psilocybine et la mescaline, ne sont pas connus pour causer de lésions cérébrales et ne sont pas considérés comme créant de dépendance. Les études cliniques ne suggèrent pas que les psychédéliques causent des problèmes de santé mentale à long terme. Les psychédéliques sont utilisés sur le continent américain depuis des milliers d'années. Plus de 30 millions de personnes vivant actuellement aux États-Unis ont consommé du LSD, de la psilocybine ou de la mescaline.

Objectif

Évaluer l'association entre la consommation de psychédéliques au cours de la vie et la santé mentale actuelle dans la population adulte.

Méthode

Les données tirées des années 2001 à 2004 de l'enquête nationale sur la consommation de drogues et la santé comprenaient 130 152 répondants, choisis au hasard pour être représentatifs de la population adulte des États-Unis. Les mesures standardisées de dépistage de la santé mentale au cours de l'année écoulée comprenaient une détresse psychologique grave (échelle K6), un traitement de santé mentale (hospitalisation, consultation externe, médicaments, nécessaire mais non reçu), les symptômes de huit troubles psychiatriques (trouble panique, épisode dépressif majeur, manie, phobie sociale, trouble anxieux général, agoraphobie, trouble de stress post-traumatique et psychose non affective) et sept symptômes spécifiques de la psychose non affective. Nous avons calculé les taux pondérés par régression logistique multivariée en contrôlant une série de variables sociodémographiques, la consommation de drogues illicites, les comportements à risque et l'exposition à des événements traumatiques.

Résultats

21 967 répondants (13,4% pondérés) ont déclaré avoir consommé des psychédéliques au cours de leur vie. Il n'y avait pas d'associations significatives entre l'utilisation au cours de la vie de n'importe quel psychédélique, l'utilisation au cours de la vie de psychédéliques spécifiques (LSD, psilocybine, mescaline, peyotl), ou l'utilisation de LSD au cours de l'année précédente et le taux accru de l'un des résultats de santé mentale. Au contraire, dans plusieurs cas, la consommation de psychédéliques a été associée à un taux plus faible de problèmes de santé mentale.

Conclusion

Nous n'avons pas trouvé que l'utilisation de psychédéliques était un facteur de risque indépendant pour les problèmes de santé mentale.

De mon côté je me demande s'ils ont prévu le cas suivant : et si les psychédéliques causaient des troubles mentaux chez certaines personnes, mais soignaient les troubles d'autres personnes, et que ça se compensait dans les chiffres ?
 
Tridi : cest vrai qu'on pourrait se poser la question mais pas sûr qu'il y ait bcp d'études empiriques et expérimentales à ce sujet.

Ces études sont surtout centrés sur des troubles psy les plus répandues, le PTSD , les névroses, les depressions.

Il me semble que j'ai vu circuler des articles concernant les psychédéliques en lien avec des pathologies comme l'autisme.

Mais rien sur les troubles schyzo.

Je pense qu'il faut aller chercher chez les médecins en psychiatrie des années 50 qui ont mené les expérimentations à l'époque comme Stanislas Grof
 
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Juste un petit grain de sel de mon point de vue sur la chose. C'est difficile de deilimiter presicement des desordres psychiques deja à la base. Ceci dit il y a des facteurs co-morbides comme le melange de produits, la solitude, l'ancrage de la personne dans le monde et en general si la personne est dans la relaité ou pas tout à fais.

Quand à moi j'entends des voix, surtout avec le shit, jamais été diagnostiqué shizophrene mais j'ai traversé un mechant HPPD durant 3-4 ans au moins. Le HPPD etait pas vraiment au produits. Je trippais seul et cet isolement exacerbait des mauvaises effets qu'on puissent y avoir.
Cest quoi s'il te plaît HPPD?

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Tu pourrais arrêter de double poster stp @kailapioupiou ?
Si ça t'arrives sans faire exprès, tu peux éditer ton message avec le crayon disponible en bas. Je te laisse faire pour cette fois.
 
C'est un syndrome post hallucinatoire persistant.

Bien souvent les quelques témoignages de personnes ayant ce symptômes persistant après une consommation de psyché décrivent des effets résiduels plus visuels que mentaux.

Le mécanisme est mal connu et extrêmement rare, comme le flashback qui replace l'utilisateur dans un semblant de trip
 
AlphaCentauri a dit:
C'est un syndrome post hallucinatoire persistant.

Bien souvent les quelques témoignages de personnes ayant ce symptômes persistant après une consommation de psyché décrivent des effets résiduels plus visuels que mentaux.

Le mécanisme est mal connu et extrêmement rare, comme le flashback qui replace l'utilisateur dans un semblant de trip

Dac merci, pareil pendant bien 4 ans avant d'être diagnostiqué jai vecu monde parallele hallu haut en couleur si bien que jetais persuadé de la véracité de ces hallucination et meme maintenant jme demande encore haha mais je prefere le terre a terre car cest le seul moyen de vivre tous enssemble .
 
C'est ça, sauf que dans ton cas, il s'agit plus de troubles schizophréne que de véritable HPPD.

Car dans le cas du HPPD contrairement au delire schizophréne, l'usager sait que ses troubles ne sont pas réels
 
Je trouve intéressant ce que tu dis Kailapioupiou, merci de partager ton expérience et content que tu sois stable maintenant :)

Pour en revenir à la question, j'avais vu cette étude qui porte sur les psychose induites par des drogues

https://www.psychonaut.fr/Thread-Psychose-induite-par-les-drogues-Traduction-et-résumé
 
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