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RC, j'ai pas tout compris

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Sherab
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A la bonne heure!
 
pour la labo clandestin ... on s' arrangera a mon retour du vietnam coupain ^^
t'a s la motive .. j' ai le systeme D ... c' est pas bien compliqué ....vraiment , limite pas assez ><

bref un copié collé , qui definie un peu designer drugs, donc Rc d'un point de vue objectif

Designer drugs : médicaments ou toxiques construits par des chimistes sur une planche à dessin
Chargés de synthétiser de nouveaux médicaments, les chimistes s’attellent souvent à cette tâche en dessinant la formule d’un médicament utilisé, vendu ou éprouvé et en y apportant des modifications plus ou moins importantes, d’abord sur la planche à dessin ou à l’aide de l’ordinateur, ensuite in vitro. Ils espèrent alors que le nouveau médicament «dessiné» sera plus efficace, plus puissant ou moins toxique que la substance-mère, ou qu’il lui sera équivalent, mais suffisamment différent pour pouvoir être breveté lors de l’expiration du brevet de la substance-mère. Lorsqu’un chimiste-designer modifie la formule d’un médicament, le produit obtenu :
1. Peut être aussi efficace et aussi toxique que le matériel de départ («me-too drug»).
2. Peut être plus efficace par rapport à certains effets désirables et/ou moins efficace pour certains effets «secondaires» ou indésirables.
3. Peut être totalement inefficace ou plus toxique.
4. Peut avoir de nouveaux effets que n’a pas la substance-mère.
C’est en fonction des effets pharmacologiques et de considérations commerciales qu’une entreprise pharmaceutique décide si elle veut commercialiser la nouvelle substance comme médicament parallèlement ou en remplacement de la substance-mère ou dans une autre indication. L’entreprise peut aussi décider d’«enterrer» le nouveau produit s’il ne répond pas à ses attentes ou aux exigences des autorités sanitaires.
La majorité de tous les médicaments produits par l’industrie pharmaceutique et prescrits dans un but thérapeutique (ou consommés dans un but hédoniste) sont de tels designer drugs des classes 1, 2 ou 4 énumérées plus haut. Ainsi tous les corticoïdes, quelle que soit leur voie d’administration, ont été dessinés à partir de l’hydrocortisone, toutes les pénicillines à partir de la pénicilline, beaucoup de diurétiques à partir du chlorothiazide, certains antiviraux à partir de l’aciclovir, etc.
Les méfaits de quelques designer drugs
Un médicament dessiné à partir de la molécule d’un «vieux» médicament peut se distinguer par une exacerbation de certains effets utiles, désagréables voire même dangereux du médicament originel. En voici quelques exemples :
1. La phénazone était un médicament antipyrétique, analgésique et faiblement anti-inflammatoire. Parmi les dérivés dessinés, l’aminophénazone et le métimazol ont un effet analgésique plus marqué, mais sont aussi plus toxiques pour la moelle hématopoïétique (agranulocytose, anémie aplastique, thrombocytopénie). Les dérivés phénylbutazone et oxyphenbutazone, surtout anti-inflammatoires et anti-rhumatismaux efficaces, partagent – malheureusement – cet effet secondaire. Ayant été largement employés, ils ont entraîné de nombreux cas de maladies iatrogènes et de décès.1
2. L’amphétamine, stimulant, anorexique et euphorisant, soumise à la législation sur les stupéfiants, a été modifiée maintes fois dans différents buts. Un dérivé de designer, l’aminorex, commercialisé sous le nom de Ménocil® a été propagé comme un médicament destiné à supprimer l’appétit, mais peu stimulant et peu excitant. Employé largement en Suisse, en Allemagne et en Autriche dans le cadre de cures d’amaigrissement surtout chez la femme, il a cependant produit un effet délétère sur la circulation pulmonaire : l’hypertension pulmonaire, maladie grave et presque toujours mortelle par épuisement cardiaque. Il a naturellement été retiré du commerce.2 On croyait alors que les autres amphétamines n’avaient pas d’effet sur la circulation pulmonaire. Des études plus récentes semblent indiquer que cet optimisme était infondé.
3. Les statines (inhibiteurs de la HMG CoA-réductase), designer drugs obtenues par modifications de la mévastatine, sont le groupe le plus important de médicaments utilisés pour abaisser le taux de cholestérol LDL (low density lipoproteins – lipoprotéines de faible densité), appelé aussi «mauvais cholestérol».3 Les statines sont efficaces et très bien tolérées. Leurs effets secondaires principaux – relativement rares et généralement sans gravité – sont une élévation des transaminases et parfois une élévation de la CPK musculaire associée ou non à des douleurs musculaires, ce qui peut correspondre, bien que très rarement, à l’expression d’une pathologie de type myopathie. Si cette myopathie est sévère, elle peut s’accompagner d’une rhabdomyolyse. On sait déjà depuis plusieurs années que ces effets indésirables graves peuvent survenir si une statine est combinée avec une autre classe d’hypolipémiants, les fibrates,4 comme par exemple le gemfibrozil.5 L’association d’une statine avec d’autres médicaments comme la ciclosporine, certains macrolides et certains inhibiteurs du CYP 3A4, peut également être responsable de ce type de problème.a
Une «me-too»-statine, la cérivastatine, a été mise sur le marché sous les noms de marque Lipobay® et Baycor® par la firme allemande Bayer lors d’une campagne publicitaire très large.6 Le producteur lui attribuait quelques avantages peu convaincants et même un effet commercialement très prometteur contre la dysfonction érectile des diabétiques.7 Rapidement le produit a été consommé par plusieurs millions de consommateurs. Contrairement à toute attente, il aurait cependant causé cinquante-deux décès aux Etats-Unis, parmi lesquels quelques-uns sont peut-être dus à la prise simultanée de gemfibrozil. Bayer a par conséquent retiré du marché son médicament, prévenant ainsi un retrait forcé par les autorités américaines – mais entraînant aussi la firme dans des difficultés financières considérables.8 La majorité de ces décès n’ayant pas encore été décrits dans des publications sérieuses, il n’est actuellement pas possible d’affirmer que le décès des victimes soit effectivement attribuable à la cérivastatine. Il a été insinué par des articles de la presse quotidienne8 que l’effet toxique, voire létal de la cérivastatine avait été considérablement exagéré par l’intervention de firmes pharmaceutiques concurrentes.
Drogues proposées aux «raveurs»
Les pilules vendues sous différents noms contiennent bon nombre de différentes substances, dont quelques-unes sont des designer drugs produites à l’origine pour leurs effets psychotropes, abandonnées ensuite pour des raisons médicales ou simplement économiques par leurs producteurs originaux et «reprises» par des fabricants plus ou moins clandestins. En parlant avec horreur de designer drugs, on ne pense en général qu’aux produits psychotropes abandonnés.
Actuellement on parle de :

1. Pilules thaïes
Apparemment commercialisées (et produites ?) par des réseaux thaïlandais, elles contiennent comme seule substance active la méthamphétamine, dessinée en Allemagne dans les années 30, en même temps que l’amphétamine en Amérique : les deux substances étaient alors des designer drugs destinées à remplacer l’éphédrine, seul parent de l’adrénaline servant d’anti-asthmatique par voie orale. On savait que l’éphédrine à forte dose possédait un léger effet euphorisant, mais en voulant la remplacer par des amphétamines, en simplifiant la molécule, on a tout de même été surpris : les nouveaux produits n’avaient pratiquement pas d’effet anti-asthmatique, mais supprimaient le sommeil, accéléraient et augmentaient les performances physiques et intellectuelles, supprimaient l’appétit et entraînaient une euphorie marquée.
La méthamphétamine allemande, commercialisée d’abord sous le nom protégé de Pervitine® par l’entreprise Temmler-Werke, acquit rapidement une grande renommée comme stimulant. Des abus lors d’orgies ainsi que le développement d’une dépendance l’ont finalement bannie dans la liste (commercialement aride) des stupéfiants. La méthamphétamine a été distribuée à large échelle aux armées allemande et japonaise durant la Seconde Guerre mondiale ; l’effondrement de ces armées en 1945/46 a livré aux marchés noirs de leurs pays respectifs et des pays occupés, de larges quantités de méthamphétamine, substance qui peut d’ailleurs être facilement synthétisée par des chimistes compétents à partir de l’éphédrine.
Comme beaucoup d’autres dérivés de l’amphétamine, la méthamphétamine peut induire une dépendance. Surdosées, toutes les amphétamines provoquent de l’angoisse, une agitation, des palpitations, une augmentation de la pression artérielle, des arythmies, éventuellement des hémorragies cérébrales et des convulsions. La méthamphétamine est plus puissante que l’amphétamine. Par conséquent, en cas d’erreurs de dosage, le danger de tels effets secondaires est augmenté. Or la quantité de méthamphétamine par pilule thaïe est malheureusement très variable, et les erreurs de dosage sont donc presque inévitables.
Si des Thaïlandais fabriquent vraiment de la méthamphétamine en quantités exportables, ils doivent se procurer de l’équipement de chimie industrielle et différents produits chimiques, mais surtout des quantités appréciables d’éphédrine sur le marché international. Leurs chimistes ne peuvent ni s’appuyer sur des traditions ancestrales, ni produire dans des cabanes de sorcier. Les pilules thaïes n’ont donc d’asiatique que le nom – et peut-être le fabricant et les dealers.

2. Ecstasy ou extasy
Sous ce nom sont vendus des mélanges de différents médicaments et/ou toxiques. Le vrai ecstasy est la méthylène-dioxy-méthamphétamine (MDMA), et éventuellement deux autres dérivés moins bien connus, la méthylène-dioxy-éthyl-amphétamine (MDEA) et la méthylène-dioxy-amphétamine (MDA).9,10,11
Ce sont des amphétamines relativement peu puissantes contenues dans des pilules à doses variables. L’effet euphorisant du MDMA se manifeste généralement environ quinze minutes après la prise. Si le consommateur ne ressent rien à ce moment, peut-être parce que la pilule était sous-dosée, il en prend une deuxième, ce qui augmente le danger de surdosage.12
Les effets recherchés aussi bien que les effets toxiques du MDMA sont bien connus et décrits.11-14 Ces effets sont ceux de n’importe quelle amphétamine, peut-être avec une composante hallucinogène additionnelle (mal documentée). Les effets du surdosage sont l’angoisse, une agitation, des nausées et des palpitations, mais aussi quelques effets plus graves et parfois (rarement) mortels : l’hyperthermie, la coagulation intravasculaire disséminée, des arythmies, des convulsions, une hyponatriémie entraînant un œdème cérébral et finalement la mort par défaillance fonctionnelle de plusieurs organes.
A titre préventif, on recommande aux consommateurs de MDMA, d’interrompre de temps en temps leur danse pour se rafraîchir, et surtout d’absorber beaucoup de boissons non alcoolisées ou d’eau. Cette recommandation est malheureusement incomplète : la transpiration abondante n’entraîne pas seulement des pertes hydriques qui déclenchent la soif, mais aussi des pertes de sodium. En buvant de l’eau en grande quantité, le sujet déshydraté se retrouve quasi systématiquement en hyponatriémie (intoxication à l’eau). Les «raveurs» – comme les cueilleurs de coton en climat chaud – devraient donc être invités à ingérer environ 4,5 g de sel pour chaque litre d’eau bu (soit l’équivalent de la concentration de sel dans la transpiration), de préférence sous forme de comprimés de NaCl, parce qu’il est difficile de manger du sel ou des mets très salés lorsqu’on est assoiffé.

3. Para-méthoxyamphétamine (PMA, «Death»)
Cette substance a aussi été vendue au marché noir sous le nom d’ecstasy : dans certaines pilules il y avait aussi bien du MDMA que du PMA. Le PMA ne peut cependant pas être un contaminant accidentel, parce que MDMA et PMA sont synthétisés à partir de différents précurseurs par des procédés chimiques différents.
Les effets du PMA ressemblent à ceux du MDMA, mais commencent un peu plus tard après l’ingestion des pilules et comportent apparemment des effets hallucinogènes trois à quatre fois plus puissants.
Peu de temps après son apparition sur le marché noir, le PMA a entraîné des intoxications mortelles au Canada16 et en Australie méridionale.17,18 C’est d’abord au Canada que le PMA a été baptisé «Death». En effet les consommateurs de PMA souffraient des mêmes symptômes de surdosage que ceux du MDMA. Ces effets secondaires étaient cependant plus fréquents et beaucoup plus graves que ceux du MDMA, voire mortels.
Une étude australienne récente15 confirme cette toxicité, voire létalité accrue du PMA. Ce dernier entraînerait fréquemment des arythmies avec allongement de l’intervalle QT, mais dans quelques cas aussi une hypoglycémie marquée et une hyperkaliémie qui pourraient être l’expression d’un autre mécanisme d’action.
4. Conclusion
Il faudrait donc aussi recommander aux «raveurs» en quête de renforcement médicamenteux de s’assurer que l’«ecstasy» acheté ne contient pas du PMA. Leur vie devient de plus en plus difficile.

vla dsl du pavé . jai trouvé qu'il y avait matiere a apprendre ...
enfin si ca tas apporté qqch mon piti sherab
 
ouai faut se mefier des vendeurs online.. tu sais jamais si tu tombes sur un scam ou pas. mais y'a quand meme de sites de "review" (style des sites prives, ou les membres donnent leurs avis sur tel ou tel shop) que tu peu trouver sur le net si tu cherches assez.
apart les RC, j trouve que 1 site qui vendait des substances illegales connues (LSD/MDMA) mais jcrois qu'ils en vendent plus la.

mais personnelement ..pours les RCs.. jsais pas, jai jamais essaye et jcompte pas pour l'instant.. je sens que ca peut etre dangereux puisqu les produits la pluplart du temps ne sont pas vraiment bien testes et on ne connait pas exactement tous les effets.
 
ochho a dit:
. je sens que ca peut etre dangereux puisqu les produits la pluplart du temps ne sont pas vraiment bien testes et on ne connait pas exactement tous les effets.

CQFD .... bien que pas pire que chopper une fraiche coupée a la Xylocaine , ou une marron coupée cafeine/steroides ....

enfin . tu as raison , dans le domaine prudence est de mise
 
??????? a dit:
CQFD .... bien que pas pire que chopper une fraiche coupée a la Xylocaine , ou une marron coupée cafeine/steroides ....

enfin . tu as raison , dans le domaine prudence est de mise

ou lala.. jsuis tellement nul en "slang" francais.. c quoi "CQFD" ? "fraiche" jcrois tu veux dire MD? et "marron" c koi ? desole :P

et moi ..ca fait un ptit bout de temps que je touche plus a ce qui est ecsta/speed/coke/etc.. pour l'instant c'est beuh ... et le trip LSD occasionel .. je trouve que c'est bien plus "safe" physiquement au moins.. bien sur, je veux toujours essayer shrooms/DMT/..etc
 
Moi je dit tout de même : Vive les RC ! (sinon mise à part de la C,speed,hero,XTC que je ne prend plus,je serais bien malheureux :cry: )
 
??????? a dit:
pour la labo clandestin ... on s' arrangera a mon retour du vietnam coupain ^^
t'a s la motive .. j' ai le systeme D ... c' est pas bien compliqué ....vraiment , limite pas assez ><

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vla dsl du pavé . jai trouvé qu'il y avait matiere a apprendre ...
enfin si ca tas apporté qqch mon piti sherab

Ouaouah ! Cool, merci, ça c'est de l'info ! Je relis encore 2 ou 3 fois pour être sûr et c'est bon.
 
T'as bien raison d'aller au Vietnam Doc, je crois bien que tu vas pouvoir te ressourcer comme il se doit. J'aimerai bien être à ta place...
En tout cas, écris nous depuis là bas...

Fais gaffe aux vietnamiennes...
 
Bon.
Je me reprends, la grosse majorité des partypills est de la merde.
De la bonne, de la vraie, de la gluante.
Trop d'effets secondaires par rapport aux trips obtenus.
(le pire c'est la perte de poids fulgurante et les insomnies à répétitions....)

Le seul qui soit valable, d'après moi, c'est le Neodove.
Mais mon soucis est que j'ai passé une tellement bonne soirée avec, sans aucun inconvénient, que j'en reprendrai trop facilement.
Ca n'a rien à voir avec toutes les autres pills.
A la première prise j'ai pris une claque tellement bonne (et tellement rapidement que j'ai limite flippé)...et la seconde quelques heures après, sensiblement la même chose.

ps : fuyez les chemistry. Saloperie qui te shake l'estomac et t'assomme totalement....totalement useless.

Je me demande, si, avant de les mettre en vente sur leurs sites, quelques cobayes testent ces produits....ils doivent crever tellement vite, qu'ils les remplacent régulièrement u___u
 
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