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Psychonautisme appliqué

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Chamhan
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Chamhan

Holofractale de l'hypervérité
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bon, perso j'aimerais bien parler un peu de psychonautisme sur psychonaut, enfin... un peu plus quoi, donc je vais tenter un peu d'alimenter cette partie, mais je sens que ça fera un peu comme le jazz...

ca va les jeunes je vous en veux pas hein, 90% de mes posts sont inutiles selon moi, dans les 10% qui reste ils doit y avoir 10% qui sont utiles selon vous, sauf que c'est pas les m^mes sujets dans vos % respectif...

Nan mais je pars en live là, revenons en au sujet: psychonautisme appliqué.

Qu'est ce que le psychonautisme selon moi ? c'est plus ou moins cette activité personnelle ou collective qui te permet d'élargir ta carte mentale et physique dans des dimensions inexplorée jusqu'à présent et atteignable seulement par un mécanisme psychique volontaire. certains de ces mécanismes peuvent être débloqués en utilisant des psychotropes ou psychédéliques mais il ne faut pas oublier que la grande majorité ne nécesssite que votre propre volonté de prise de conscience. je suis moi même persuadé que des psychonautes level 10+++ avec artefacts psychiques suprêmes plein la besace sont capable d'atteindre des états de conscience modifiée similaires à ceux obtenus par prise de psychédélique au travers de la "simple" méditation. Aussi je m'efforce à chaque fois que j'ai un rapport avec une des ces molécules magique, j'essaye d'observer les portes qu'elle ouvre pour réussir à les ouvrir tout seul, merde c'est quand même mes portes qu'elle ouvre.

Bien évidemment c'est comme le ping pong ou tekken, et tout le reste, il faut pratiquer pour progresser. c'est une discipline extrêmement diverse où tout se rejoind au final donc c'est un peu comme dans la vie... heu j'arrête là, je reviens au sujet : ma bite.

Donc, je voulais juste partager ici un échange de témoignages, de retour d'expérience, de mise en pratique psychonautique. j'aimerai que l'on ne rentre pas trop dans la philosophie plus communément catégoriser comme branlage de mouche, les sujets ne manquent pas. non, je vourais savoir comment vous utilisez les psychédéliques, dans quelles conditions, que travaillez vous sur vous même, avec quelle drogue. transformez vous vos trips en combinant avec de la méditation classique? Je dis classique car je considère que je suis en perpétuelle méditation à chaque fois que je me tais, active ou passive, physique ou mentale. Bref, comment vous servez vous des drooooooggguuueeeesss autrement que vous défeoncer la gueule en écoutant du gros son la tête dans les baffles?

Bon je vais entamer la discussion en vous parlant de quelques uns de mes projets en cours et sujet d'étude:

- je travaille mon coté gauche, je suis droitier vous l'aurez deviné. Oui, j'ai la prétention de vouloir devenir ambidextre. alors le ros du travail s'effectue sans drogues mais quand j'en prends, la graine du projet ressort dans le trip à'men'donné et je me fais des délires d'handicapé physique et mentale en m'enfforçant de raper une carotte de l'autre main... sous psyché je vais chercher dans mon cerveau, j'observe les liens matriciels corps/esprit c'est passionnant, surtout que le sujet d'étude c'est ma bite.

- je travail le chant, et sous psyché je trouve des sons ou des mélodies venus d'ailleurs que j'arrive à reproduire (plus ou moins) avec mon instrument vocal personnel. faut vraiment que je pousse la dessus, il y a énormément d'univers qui englobent la voix, rien que la respiration...

- je m'efforce d'être actif sous THC et ça je le maitrise pas mal. Bon, je suis actif dans le sens ou je fait des trucs, pas trop physique, quoi que... Des fois je me mets une grosse canne de goret qui me catapulte avec les piafs et je me donne des coups de pieds au cul pour descendre de chez moi, réparer le vélo, descendre à la route, prendre le bus, faire une journée de course en pleine chaleur à saznta marta, revenir chargé comme un con et remonter la pente pendant 40 min avec mes courses, mon vélo, et ce que je ramasse sur le chemin, ça peut être des noix de cajou, du caca de cheval, des feuilles d'eucalyptus, un matelas en mousse mis sur le bord de la route ar il est un peu tout pourri, mais emballé dans de la bache ou sous une tente, je peux vous dire que ça envoie du confort ^^

bref, et vous, Des artistes? Des sportifs? des écrivains? Des psy? des fous? des ... hippies?

Par ce message j'espère attirer l'attention de spsychonaute que je regrettent de ne lire que trop rarement (surement plongés dans leur projets). Donc ça serait cool si quelques uns d'entre vous venaient témoigner de son expérience personnelle psychonautique d'un point de vue développement personnel. ca nous changera de la destruction et de la perte de soi, on est sur psychonaut.com ou sur geekootroll.vdm?

Au plaisir de vous lire.
 
c'est comme le ping pong ou tekken, et tout le reste, il faut pratiquer pour progresser

J'ai toujours été mauvais à tekken ...

je reviens au sujet : ma bite.

Copyrighté, tu recevras une visite de mon imprésario dans la semaine (ou dans le mois vu que tu es loin).

ca nous changera de la destruction et de la perte de soi, on est sur psychonaut.com ou sur geekootroll.vdm?

Si tu l'interprète comme ça, c'est fort dommage ahah!

Alors pour revenir au sujet (non ta bite, ni la mienne, mais LA bite) sans se branler le cervelet (c'que c'est dur ... de pas se branler hein!! )

Bref, comment vous servez vous des drooooooggguuueeeesss autrement que vous défeoncer la gueule en écoutant du gros son la tête dans les baffles?

Je me sers des drogues pour prendre du recul sur ma manière de percevoir le quotidien qui m'entoure. Pour appréhender la réponse à la question "pourquoi comme ça et pas autrement".
Le bad est à mon sens une réponse au "et pas autrement".

Toute ma vie est une réponse au pourquoi comme ça.

c'est plus ou moins cette activité personnelle ou collective qui te permet d'élargir ta carte mentale et physique dans des dimensions inexplorée jusqu'à présent et atteignable seulement par un mécanisme psychique volontaire.

Pour être plus pragmatique, je prends de la dope pour comprendre ce qu'est la volition, soit le fait de vouloir, désirer. Le désir prends sa source au plus profond de mon être, et se manifeste au quotidien. Je pense qu'il est l'origine du mouvement, car sans désir tu n'as aucun besoin, pas même celui de te mouvoir.

Comprendre ce fait qu'est la volition peut se faire autrement que par la drogue. La méditation est une porte (parmi tant d'autres), mais aussi le sport, l'expression artistique, ... tout est une porte qu'il nous reste à franchir.
Tout ce qui te fou une sensation à la bite est une porte vers une plus grande compréhension. Tout ce qui te fais oublier la soif, qui l'étanche est une porte.

J'associe quotidiennement méditation et analyse. Méditation pour me taire, analyse pour parler. Je médite pour percevoir ce silence qu'il est difficile de saisir consciemment, qui effraie quotidiennement. J'analyse pour pouvoir un jour le partager.

C'est le grand risque du penseur, du psychonaute. Il part dans son plane, il découvre, évolue, grandit. Mais comme l'aurait dit McCandless; "Le bonheur n'est réel que s'il est partagé". Le psychonaut, si trop inspiré, se trouve incapable de décrire ce qu'il ressent, et de le partager.

Tu saisi aisément le rapport aux drogues.

Plus pragmatiquement parlant, trippé, je travaille la communication, j'essaie de percevoir le dialogue plus objectif qui se fait lorsque je parle à quelqu'un, de percevoir tous ces paramètres qui entrent en jeu et qui font que le message qui part de moi arrive sous une certaine forme chez l'autre.

Je travaille également mon oreille, mes sens, et mon rapport à mes sens. En tel instant, j'écoute. Qu'est-ce que l'écoute? Tous mes sens sont présent, mais à cet instant, j'écoute. Conscience auditive. Mais qu'est-ce que conscience?

Je constate également l'importance de ce que je vois, toute l'importance que j'accorde à la vision, tandis que je doute aisément de ce que je sens, entends, touche.

Je travaille ma présence, car chaque pensée m'éloigne d'un équilibre qui fait que les choses sont simples. Je constate que penser rend les choses complexes.

Je découvre ainsi le lacher-prise, car cet état de présence n'est miens que lorsque je m'abandonne à ce qui est, lorsque j'ai confiance en ce qu'est la vie.

Je re-découvre toutes ces valeurs qui m'ont forgé jusqu'alors. Je constate l'importance du mot prière lorsque trippé j'observe que TOUTES mes pensées se concrétisent, mais que j'en prends plus ou moins conscience.
Je constate l'importance du mot foi lorsque trippé j'observe que le doute ternit mon voyage.

Le psychonautisme appliqué est à mes yeux une "discipline" qui s'éloigne énormément de ce que nos contemporains (et moi même) font naturellement d'un trip. C'est peut être ce que tu juge comme branlage de nouille, j'apprendrais à déjuger et nommerais ça relativiser.
Même par tes actions les plus pragmatiques, tu te branle la nouille.

Alors j'applique le psychonautisme à la recherche d'un modèle qui décrit ce monde avec brio, parce que ce que nous croyons savoir est incomplet, et que c'est incomplétude est l'origine des maux de ce monde (si ce n'est ceux de ce monde, ce sont les miens, mais ma pensée est schizophrène, et la limite floue). Et j'analyse de manière permanente ce que je pense, dis, écris, lis, ressens, objectivement, en mourant au Moi pour laisser place au Soi, en oubliant mon égo qui s'exprime bien trop souvent, dans l'espoir de pouvoir le partager avec mes pairs, et de leur apporter un message humble et aimant qui saura les aider au mieux.
 
Plus énormément de psychonautisme en ce qui me concerne, tout simplement parce que j'en suis encore dans la phase d'application de ce qu'a appris ma phase "intensive" de deux ans (2011-2013).

Je suppose que le travail avec les plantes enthéogènes reprendra un peu cet été (Dame Sauge, Liane d'Argent, peut-être Chapeaux d'Or), mais ça va dépendre de mon stage. D'ici-là, les principales plantes avec lesquelles je bosse restent mon cerisier, les boissons fermentées (et encore, très peu, au final), quelques aromates comme le basilic sacré, la menthe, la sauge blanche, le thym (parfois le tabac, aussi, genre 1 à 2 fois par mois à la pipe)... J'ai quelque peu baissé en régime niveau méditation et yoga pour diverses raisons, mais j'espère revenir au rythme de croisière de 4h/semaine, en ce moment je taffe surtout l'état méditatif pendant la muscu et la course. J'ai accru ma maîtrise du jeûne parce que les conditions se sont présentées pour que je le pratique régulièrement (la base d'un jeûne de 18h à 24h environ 3 fois par mois), du coup je l'inclus plus souvent dans mes pratiques à présent (et surtout, je l'inclus mieux, c'est-à-dire que j'évalue mieux son apport possible en fonction de la situation, quelle durée de jeûne préparatoire est optimale, etc).

Le chant et la danse sacrées restent un des domaines que je maintiens presque à leur niveau habituel, tout simplement via les activités de mon clan et mes responsabilités par rapport à ça (ça nous met du 4h ou 5h par mois, à la louche). D'ailleurs, je ne suis pas trop d'accord avec la dimension auto-centrée du psychonautisme, qui me semble un peu restrictive. Pour moi, le but est surtout d'accompagner et d'interagir avec mes frères et soeurs de clan. En particulier concernant un cas relativement similaire au mien, sur lequel j'ai donc pas mal de recul concernant ce qui peut marcher ou non. Bref, tout ça pour dire que ça fait un bon moment que j'ai davantage de satisfaction à accompagner et aider qu'à voyager, et que quand je voyage c'est surtout pour accroître mes capacités de thérapie et de conseil.
 
C'est le grand risque du penseur, du psychonaute. Il part dans son plane, il découvre, évolue, grandit. Mais comme l'aurait dit McCandless; "Le bonheur n'est réel que s'il est partagé". Le psychonaut, si trop inspiré, se trouve incapable de décrire ce qu'il ressent, et de le partager.
Putain tu résumes bien mes dernières années quoi. Trop de choses explorées, vécues, et du coup un renfermement sur moi-même, incapacité de communication.
Mais j'ai jamais été doué pour ça, et pour moi, c'est ce travail d'adaptation perpétuel du soi face au monde, comprendre le fonctionnement intrinsèque des relations humaines en société et s'y adapter, en surfant dessus... Le surfer dessus reste le plus dur, j'en suis plus à l'analyse et compréhension, mais c'est un objectif. Savoir se sentir à sa place, avoir une parole qui découle fluidement de ma pensée...

La méditation, j'essaie, j'ai compris, mais quelque chose bloque. C'est marrant hein, mais sous psyché je n'ai aucune crainte, mais seul, ça bloque.

Sinon c'est pour l'écriture. J'ai tout un univers qui s'étoffe depuis que je suis petit, et avec les psychés, il s'articule autour de concepts que j'expérimente et s'organise naturellement, jusqu'à ce que je me tape de grosses phases d'inspirations, où tous les éléments prennent place logiquement -et la création continue..
Après, c'est plus les stims pour l'écriture pure, mais tout se schématise dans ma tête le plus souvent en descente de psychés, ou au cour de ballades nocturnes à la fraiche...

Ca m'a donné envie d'en apprendre plus sur les plantes, leurs propriétés, la nature, bref comprendre comment tout ce qui nous entoure nous influence, et apprendre à essayer d'en tirer profit.

Ca m'aide à comprendre mon corps, je jeune naturellement, j'essaie de comprendre comment l'endurcir, le rendre "utile" et adaptable.

L'art de comprendre et vivre l'adaptation, perpétuel..
 
J'ai pas mal utilisé le cannabis pour exprimer des émotions enfouies. Les champignons pour avoir l'esprit plus ouvert (et surtout me fendre la poire). Mais au final je me suis rendu compte par le vécu que les psychédéliques comme tous les autres produits restent des dopent qui permèttent de contourner des failles. Et utilisées pour forcer le lâcher prise c'est peut-être aussi le moyen le plus éfficace de rentrer dans une boucle interminable. Parce-que tu te rends compte qu'il y a un autre monde qui vibre en parallèlle de celui que l'on connait, dans lequel tout est fluide naturel et plus réel. Mais qu'il y a aussi les effets propres à la drogue qui t'y emmène et qu'en fait, quand tu n'es pas "malade", prendre un psyché revient juste à se doper comme avec n'importe qu'elle came.

Du coup la drogue m'a aidé à comprendre que j'avais un trouble social et que c'est pas elle qui allait m'aider avec ça. Et aussi à vivre et comprendre ce que j'ai lu par la suite dans des livres de psychothérapie ou de spiritualité.

Putain tu résumes bien mes dernières années quoi. Trop de choses explorées, vécues, et du coup un renfermement sur moi-même, incapacité de communication.

Ouais moi c'est pareil. Ce que je pense c'est qu'avec certaines mollécules on vit en quelques instant ce que la vie nous résèrve pour notre existence entière, du coup c'est un peu le revers de la médaille en mode "t'as voulu voir, maintenant t'as vu et t'es blasé".
Quand t'as retourné les capacités de ton cerveau dans tous les sens, ça donne une bonne excuse pour trouver tout inintéressant, mais au fond je pense que prendre des psychés ça fait (ça peut) surtout ressurgir des douleurs profondes en t'obligeant au passage à travailler dessus et guérir avant de pouvoir rentrer en relation avec l'autre avec confiance et envie. Bien que le travail puisse être enclenché par l'expérience psychédélique, ça reste hasardeux de le faire sans expérience.

Le plus gros que j'ai retenu de mes trips c'est l'aspect social, ce qui crée la perche c'est l'unité des conscience, c'est quand la pensée se partage avec tous les individus d'un groupe réunit. Et ce même phénomène se reprodruit en interne dans chaque cerveau, des tas de sous personnalités qui communiquent entre elles, de façon plus ou moins visible.

Pour moi le psychonautisme c'est apprendre à tous les éléments de s'harmoniser. Aller à la rencontre de son enfant intérieur, apprendre à parler avec soi-même. Se rendre compte que la vie est un cadeau et une surprise à chaque instant, puis avoir le sentiment de savoir ce que l'on fait sur notre planète, créer du lien, faire du sens.
 
ca nous changera de la destruction et de la perte de soi, on est sur psychonaut.com ou sur geekootroll.vdm?
Si tu l'interprète comme ça, c'est fort dommage ahah!

Je l'observe et le vit comme ça, pas besoin de beaucoup interpréter. La grande majorité des posts c'est du flood, le reste est concentré en trip report, tutoriaux pratiques, rdr et tout au fond il y a les discussions de psychonautique qui résiste encore et toujours à l'envahisseur.

en fait dans ce topic j'aimerai voir apparaitre des témoignage concret sur des exercices de psychonautique, quels sont concrêtement vos méthodes de travail.

Perso je travaille beaucoup sur mes capacités physique, ce qui va de la coordination psychomotrice en situation extradimensionnelle à la prononciation en plusieurs langues, en passant par des activités physiques.

Les psyché comme le THC et le LSD me permettent aussi de développer mes sens autres que la vue. En effet je ne compte plus les recettes de cuisines merveilleuses découvertes grace à la marie jeanne ou encore des voyages surprenant déclenchés par un clou de girofle ou une goutte d'extrait de fraise. ces activités m'ouvre d'autres points de vue sur mon envirronnement et mes capacités propre, en clair je m'étudie. J'ai arrêté récemment le branlage de mouche vu que j'ai mes réponses au comment et que le pourquoi me semble un leurre qui n'a pas vraiment d'intérêt au final. J'ai ma théorie du pourquoi, ça me va pour le moment et j'en profite pour passer plus de temps à établir ou rétablir des connexions corps esprit qui me sont bien plus utiles dans mon développement personnel que de boucler sur des grandes théories sur l'existence de la vie. Le seul branlage de mouche que je m'autorise actuellment, c'est d'essayer de comprendre les femmes, mais bon, ça parait chaud également, et il semblerait que moins on les comprend plus elles kiffent, donc c'est pas dans mon intérêts de lever le mystère qui les entourent, elles ne se sentent pas en sécurité lorsqu'on sonde leur esprit pour savoir ce qu'elles veulent vraiment.

Fin bref, pour tout ce qui est actif, j'utilise le THC et le LSD, j'arrive pas à me faire un trip juste posé pendant des heure à écouter du son, je dois bouger.

La DMT me colle plus dans l'instant présent, je suis toujours actif mais plus suave, souvent j'ai une claque qui me scotche dans d'autres dimensions, et en début de descente je me met à bouger dans un trip de redécouverte du corps et sondage des microsensations. Cette molécule m'a donné droit à des session "streching" vraiment profonde.

Sinon en tourisme psychonautique j'ai réussi à communniquer avec des groupes d'expèces animales, du moins les écouter plus qu'autre chose.

Je maîtrise pas mal la MJ, j'ai découvert depuis peu le LSD mais j'ai bien dompter la molécule jusqu'à présent, je la trouve assez facile à orienter. Faut que je retrouve l'occasion de me faire une grosse session champi, encore faut il en avoir, j'aimerai bien voir ce que peu m'apporter le LSA et j'attends comme le graal ma première expérience salviesque, et surtout les suivante vu qu'il y a une tolérance inversée apparemment ^^

Pour la DMT je me sens encore novice, surtout du coté ayahuasca, la poupoudre à fumer je la trouve très sympa. Alors même si lors du breakthrough tu t'accroches aux branches pour percuter ce qui se passe tout en laissant couler, la descente est vraiment propice aux travaux sensoriels.

voilà, je sais pas si ça vous intéresse cette approche, mais au moins j'aurais essayé.

Projet futurs, me plonger sérieusement sur les rêves lucides dès que j'arrive à entamer une période sans weed ^^ On va attendre de trentrer au pays, ici c'est trop tentant pour se forcer à resister. :lol:
 
J'vais pas développer des masses parce que j'ai la flemme, mais comme activité psychonautique "sérieuse" à laquelle je me suis mis y a 4 ans, en découvrant le cannabis, y a la synesthésie.

J'ai une synesthésie légère de base, mais pas vraiment précise ou limitée à un type d'association. Je pense qu'on partage tous cette capacité synesthésique, mais qu'on n'y prête pas forcément attention et qu'on ne cherche pas à la développer.
Chez moi ça se manifeste par l'attribution de personnalité aux lettres et chiffres (peut-être pour ça que ça s'appelle des caractères ? huhu), mais aussi par une certaine vision des sons et une spatialisation de la réflexion (des schémas abstraits etc).

Mes premières expériences cannabiques ont été très fortes et m'ont offert mes premières hallus. J'ai directement cherché à reproduire ces expériences et à les contrôler, à apprendre à employer la plante comme un outil, tant cette plante "favorise" les capacités d'analyse (enfin pas toujours huhuhu). Bonjour l'addiction qui s'en est suivie, et le côté "je comprends mieux que tout le monde" :')

Mais bref, c'est pas le sujet. Après avoir arrêté le cannabis quotidiennement, j'ai quand même cherché à reproduire certaines des expériences sensorielles que ça m'apportait. Et surprise, ça a marché ! Pas au même degré, pas de la même façon, mais en bon psyché la plante n'a fait que révéler et exacerber ce qui était déjà là.
Du coup j'ai réitéré pendant pas mal de temps le plaisir simple de s'allonger et de planer sur la musique, sans drogue. De légères, les hallus se sont développées jusqu'à ce que certaines de mes sessions ressemblent à de vrais trips.
J'ai écrit un TR sur mon expérience la plus forte avec le canna, et un autre sur un de mes envols sobre, c'est dans ma signature. #autopublol

Et maintenant ? Bah après la période où j'ai découvert les psychés un peu comme un bourrin, ma synesthésie est devenue carrément envahissante et s'est transformée en une banale HPPD. Je dis banale mais au début j'en menais pas large :mrgreen:
Du coup j'ai cherché à m'ancrer et je n'ai plus trop exercé cette "synesthésie". Elle est toujours là, mais si je n'y prête pas attention je ne la vois plus. Dans les périodes où je me plonge dans un domaine artistique elle refait surface et devient plus tangible, du coup je pense que je vais la retravailler.

Pourquoi chercher à la développer ? La synesthésie n'est pas mon but mais plutôt le moyen. Le but que je cherche, c'est plutôt des capacités "d'heuresthésie", soit l'utilisation de la synesthésie dans un processus de création ou de réflexion (en mathématiques, en art, en psychonautique, en tout et n'importe quoi...)
Plus je développe cette synesthésie latente, qui me semble inhérente à chaque êtres humains, plus je la trouve utile dans tous les domaines où je dois utiliser ma tête. Après, comme je suis un flemmard, je fais tout pour ne pas avoir à utiliser ma tête... alors que c'est bête, puisque la synesthésie favorise justement l'intuition et donc, le moindre effort !

Du coup voilà. Ca m'intéresserait d'avoir l'avis de psychows ayant développés leur synesthésie ou bien qui en présentent une forte de base.


Sinon j'éditerai peut-être ce post pour parler d'autres champs du psychonautisme que j'ai tâtonné à l'aveuglette, mais là tout de suite la flemme !
 
Bon, après avoir lu et relu la page wikipedia sur la synésthésie, je ne pense pas être synesthéte sinon le 4e type qui est la personnification. Je vois le monde qui m'entoure animé par des personalités pour chaque être vivant, minéral ou objet. Ca se rapproche de l'animisme comme ils disent mais je ne voue aucun culte particulier et il en découle encore moins quelconque dogme. Les langues latines sexualisent tout (une table, une chaise, un évier une fleur, le tabac, le cacao, le cannabis mais la marijuana ^^). J'aime beaucoup étudier l'influence que peut avoir la langue maternelle d'origine sur la représentation subjective personnelle d'autrui. Ainsi on observe des logiques bien différentes chez les personnes élevées dans une langue incorporant la notion de neutre comme l'allemand et ls anglphone qui ne donne aucun genre hormis à l'être humain. La logique qui en découle est vraiment intéressante à observer surtout quand on sait l'influence que le lngage possède sur notre mode de pensée, et ensuite l'ifluence de notre pensée sur notre entourage.

Bref, je sais pas si je suis synesthète mais ça à l'air vachement intéressant cette caractéristique que tu as. C'est indubitablement une autre forme de classification et de représentation du monde, faisant des liens direct entre des concepts concrets et abstraits, je suis fan ^^
 
Bah les psychés permettent de vivre la synesthésie, et je crois que c'est toi qui disait plus haut chercher à reproduire les effets des drogues sans les consommer : dans ce cas là je pense que c'est pas trop compliqué. Après l'âge du cerveau doit influencer aussi, sale vieux :p

Le coup de la personnification c'est bien classe, d'ailleurs les champis permettent pas mal de développer ça je trouve. Et la DMT aussi apparemment aha. Je trouve ça super classe, parce que laisser notre imaginaire déborder sur le réel, avec cette notion de "jeu" (je) qui prime, c'est dire à ce qui habite notre caboche "salut, j'ai envie de jouer avec toi pour te connaître, on a plein de trucs à s'apprendre".
Et pis pour analyser ses projections c'est kewl. Ou juste pour se sentir moins seul xD
 
Ou juste pour se sentir moins seul xD
Le cannabis j'aime bien l'utiliser pour écouter mes voix parler. Une fois aussi ça m'a permit de sentir mon mobilier vivant (un peu comme sous champi comme tu le décris). Ca m'a fait comprendre la force de la symbolisation et de la projection mentale pour laquelle je me passionne depuis déjà un bon moment.

Et puis ouais retrouver l'effet psyché sans produit c'est pas si compliqué, mais ça demande quand même du travail. Je me suis mit à la méditation, entre cinq et vingt minutes tous les matins, c'est pour moi un point de départ essentiel de la psychonautique et c'est grâce à la régularité de la pratique qu'à terme on obtient du résultat.

Sinon concrètement en pratique pure, bah avec du cannabis vaporisé faire des étirements, un yoga instinctif, et développer mon équilibre. Mais après je sais pas si c'est vraiment bien de se développer sous influence d'un produit parceque personnellement comme dit précédemment je trouve que ça revient à se doper, et après sans la dope on se rend compte que c'est plus dur et la motivation chute.
Mais c'est intéressant pour voir à quoi ressemble ce vers quoi l'on veut tendre. Donc maintenant que je sais vers ou je vais, j'apprends à y aller sans produit.

Découvrir par le vécu que la souffrance est une question de choix c'est cool.
 
Bon et bien je vais vous parler un peu plus en détai d'un exemple dans lequel le THc m'ai fort utile pour l'imagination et la créativité. Je me suis lancé dans l'ingénierie hamaquesque, juste pour faire chier simba et en plus j'adore ça bricoler des hamacs pour les installer en fixe, je vais en faire des énormes avec des cables et des filets, acant ça je vais en faire des xxxxl pour gagner deux étages dans ma cabane, je vais faire un étage tout suspendu en tirant des grande pièce de bon tissu bien tendu et attaché, ça va envoyé. oui je suis fan du marsupilami pourquoi?


Bref hier j'ai décidé, je me suis forcé à couper la musique du pc qui tourne casi H24 d'habitude. Là je me suis dit que je devais me faire une recherche méditative de sommeil cannabique dans l'atmosphère brut du lieu et laisser divaguer mon esprit.


Sans faire de trip report, j'ai d'abord passé du temps à ranger, balayer organiser, siesté viteuf dans un hamac dehors. En rangeant, j'ai trouvé une grosse tête de beuh que les souris avaient déplacé derrière l'imprimante. Signe du destin j'en reroule un que je fume a moitié en finissant mes ptites affaires et je garde la fin pour me la claquer dans mon nouveau hamac remodifié et fixé récemment. Dans le hamac j'organise le lit et je me mets en même temps à imaginer des amélioration pour fixer la moustiquaire, le drap, le camelback de thé...^^ Ensuite je fait une recherche de position optimale pour allier étirements et relaxation, je trip sur des détails de placement, voir à ne pas appuyer sur des artères ou des grosses veines histoire de ne pas se retrouver avec un bras hors service au réveil :lol: Bref je trip sur l'écoute de mon corps, je trouve de nouvelles positions adaptées au hamac, puis une fois en place (1 heure plus tard environ) je laisse les pensées passer comme des nuages et je chope deux-trois idées trop bien, comme un système simple facile et sûr pour mon système de sécurité pour mes hamacs, je capte aussi que je peux remplir ma grande bache plastique avec des feuilles séchées de palmes, en fair eun kebab géant que je recoud pour disposer par la suite d'un matelas d'extérieur tout confort, amovible et de grande capacité (4-6 personnes). J'ai capté également le moyen optimal de récupéré le jus issu de la chair entourant les fèves de cacao; C'ets super doux, sucré et parfumé, rien à voir avec le gout de la fève. D'ailleurs en ouvrant une cosse je pique toujours deux ou trois bonbons à sucer :lol:. Bref avec ce jus je peux en extraire un alcool une fois l'alambic construit, je peux tenter de le laisser fermenter pour obtenir possiblement une sorte de cidre ou sinon juste le boire frais comme ça, c'est juste une tuerie (surtout avec de l'alcool de canne à sucre macéré avec des branches poudreuses ;) et un citron du jardin).
Ca fait deux mois que je laisse tourner la musique, j'en ai reçu 90h récemment mais là j'avais envie e couper le son. Et ca m'as fait vachement de bien, désormais j'essaierai de m'endormir sans le 5.1 qui tourne plus régulièrement.


Donc une soirée et une nuit pleine de bonne trouvailles. Je savais pas qu'on pouvaixs trop écouter de musique :lol:


Ici des tofs de deux de mes hamacs fous.

edit: je suis sûr que c'est mon hamac-lit qui m'a inspiré, de toutes façon je lui avait retiré sa fonction patipata :lol:
 
Bon avant de remplir moi même ce topic pour me parler à moi même depuis le même personnage, je met de la musique pour patienter, si jamais ça peut inspirer ou réveiller un double différent de passage.

J'ai choisi un mix qui devrait faire fureur chez les jeunes : PANDA DUB + CHILL OUT Indé + PSY TRANCE en ré mineur + HARDCORE DE LA MORT

je retourne à mes activité trollesques habituelles, c'est votre faute les gens si je troll, vous ne me donnez pas de répondant sur le reste, à moins que vous ne vous en foutiez de la psychonautique et que vous ne soyez passionné que par le coté échappatoire des drogues et les récitals de conneries qui en découlent. Plus ça ressemble à une cour de récré ici, plus je troll, je m'adapte à vous.
 
Le principe d'un troll, c'est aussi de ne pas le crier sur tous les toits non?

Dans le même genre, j'ai un peu tendances à fuir les personnes qui vont parler d'eux-mêmes en te disant: "Moi je suis un peu fou parce que je fait ça et ça".

A bon entendeur.
 
Le principe d'un troll c'est de foutre la merde, et pour ça il n'y a pas de règles tant que le résultat est là, après chacun choisis son style, j'aime foutre la merde mais pas méchamment :snakeman:

Pour la folie, si tu avais suivis un peu moins en débridé mes interventions, je l'avoue fort nombreuses et souvent brumeuses, tu saurais que je considère que tout le monde est fou donc ya pas de raison que je cherche à me différencier égotiquement par rzpport aux autre sur le simple adjectif "fou", c'est toi qui pense à ma place en te disant que possiblement je me sens mieux en me disant fou. Non, on est tous fous différemment, je partage ma folie à ma façon comme chacun ici bas.

C'est peut être ce que tu juge comme branlage de nouille

Si tu cites quelqu'un reprnds exactement ses termes, ça commence comme ça les incompréhensions et prises de têtes généralisées. En plus entre une mouche et une nouille il y a un voir deux univers de différences, autant de détails qui peuvent induire en erreur.
 
Pour la folie, si tu avais suivis un peu moins en débridé mes interventions,

En fait je parlais pas spécialement de toi, c'est un exemple qui me vient en tête. Les actes prévelent sur ce qu'on peut dire à mon sens, alors aimer troller c'est une chose, le dire pour que tout le monde le comprenne bien en est une autre.
D'ailleurs non, je ne suis pas le forum de manière décousue. Je n'y participe pas autant que certaines personnes ça c'est sûr. Le silence est un excellent poste d'observation!
 
Ok, pardon de m'être pris pour le centre du monde, un point pour toi.

Je pense que notre notion du troll diverge et dix verges c'est beaucoup. Un troll qui s'annnonce est justement un troll du coté de l'humour plus que de la nuisance, il se veut troll et s'assume troll. Maintenant les trolls qui s'ignorent sont juste des gens perdus qui n'ont rien de mieux à foutre que d'essayer de remplir leur vide intérieur en se délectant du résultats de leurs basses actions sournoises plus ou moins subtiles...

Mais tu sais, même en criant être un troll t(en trouve toujours qui me prenne au premier degré malgré les panneaux clignotants : ;) ;) ;) ;) ;) :D :lol: :lol: et autres emplois d'expressions tordus. je suis un troll, tu ne vas pas m'expliquer ce que c'est. je suis juste un troll d'amuuuuuurrrrr :lol: et non un vilain troll sournois du coté obscur de la force. Foutre un joyeux bordel m'amuse, mais quand ça arrive à un point où les gens commence à s'énerver tout seul ou prendre trop à coeur ce qui est dit, je me dit que j'ai raté mon coup. (je me dis aussi qu'ils sont trop cons mais chuuutt...) Test : différencier le vilain troll du gentil troll sous LSD, exercice de psychonautique appliquée Voir la pièce jointe 16934
 
Du calme les trolls, ou je vous sort un bon vieux wingardium leviosa de derrière les fagots !
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Edit : Ouh pinaise ! On peut poster des gifs ! Je vais m'amuser comme un petit fou !
 
Ok les gras, voici un probleme psychonautique en temps semi reel:
je dispose de tout ceci sur la foto, 1 tz, des cristaux qui ressemble a de la md, de la grosse weed, de l argent, il est 5 h du matin a bogota, je suis rentre car perdu le pote mais j avais les clefs donc.... j assure l essentiel (les cles la drogues la tune, tout ceci dependant de ma propre intelligence situationnelle) Je suis en decente de 2 acidos colombianos, j ai aussi une seconde pilule de rivotril qui ne m a pas seduit la premiere fois donc quizas, j ai regarder un peu sur le net viteuf sans avoir d avis, ca paraissait safe et compatible avec THC LSD qui ont deja eux-meme une nature tres hospitaliere.

La question est : que faites vous?

entre temps j ai decide de gober le rivotril suivit d un crystal seduisant en guise d apero, mais bon tout reste a faire et le soleil va pointer le bout de son nez

Voir la pièce jointe 17005

Juste pour dire que le post ci dessus sera surement edite dans l avenir.

La par exemple, j ai mis du son, debut de reponse. j euis les conseils de quelaues psychow et j entame avec ca:

[video]

la question la meme : que faites vous?


edititititi: entre temps j mis du son recuoperer dans les conseil jaazzy de psycho j ai fait chaauffer un grand kaw, je vais rouler une canne, faire une gym energisante et on vrra
 
En faite, le psychonautisme, c'est un peu le truc qui m'a fait passer de "bwaaa des junk" à "non mais en faite ça a l'air cool... et potentiellement constructif". Bon après peut-être que je suis passée un peu trop vite du balais dans le cul à la seringue dans les veines (hyperbole bien sûr, mais pas la question, en faite).


Étant encore à mes débuts, je suis dans ma phase d'observation, où en temps que personne très intéressée par psycho neuropsycho et tout le bordel, le pourquoi du comment de l'immense explosion de tout et n'importe quoi qui se produit dans ma tête. Je part donc toujours objectif avec certaines résolutions avant de prendre une dose.


1. Pendant le trip, rester le plus conscient possible, se rappeler de tout les détails possible tout en essayant de laisser le contenu de ma petite boite crânienne partir bien loin, histoire d'avoir de la matière pour après. En gros, dédoublement : un qui trip, un qui se rappelle. Parfois, réfléchir à "pourquoi je trip sur ça" peut entraîner dans de drôles tourbillons qui selon la puissance et le type de prod dans des réflexions encore plus intéressantes, tirant parfois sur le traditionnel sens de la vie. Au final tout tourne autour du fait de "rentabiliser" le trip, aussi dans l'idée de pas rester sur ma faim et d'avoir envie d'en reprendre parce que je suis restée sur ma soif de voyage, parce c'est arrivé. Quand je trouve que j'ai pas rentabilisé un prod je suis frustré, toujours, toujours, et longtemps.


2. Une fois clean, comme une voyageur rentré de voyage, synthétiser, réfléchir à tout ce que j'ai vu, ressenti, vécu. Rester sur un mélange de la fascination que me fait éprouver les souvenir que j'ai de ce trip, et la masse de sentiments et de truc que je découvre sur moi. Je me nourris en quelque sorte de ces souvenir, j'y repense, j'y réfléchis, j'écris souvent dessus (parce que oui l'écriture est aussi un objectif, dans le même esprit que faire ressortir quelque chose du fond de cette petite tête. Des fois j'essaye de trouver pourquoi il y avait une pieuvre dessinée avec les grains du plafond. Enfin pas à ce point, mais certaine visions ou hallu ont vraiment un symbolique marquée qui valent la peine d'y réfléchir...
 
Hakma a dit:
Au final tout tourne autour du fait de "rentabiliser" le trip

Ce qui a de bien quand tu t'orientes dans ce délire là, c'est que lorsque tu arrêteras tes trips seront d'autant plus rentable que tu pourras critiquer le fait d'avoir voulu les rentabiliser (besoin de contrôle vs lâcher prise).
 
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