Quoi de neuf ?

Bienvenue sur Psychonaut.fr !

Le forum des amateurs de drogues et des explorateurs de l'esprit

Prise de DXM regretté (600mg)

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion marcoloco
  • Date de début Date de début
Bien foiré comme expérience!

Les reply sont vraiment interessants !

Je crois que je suis entièrement d'accord avec toi Laura, même si je ne m'étais jamais vraiment amené à me pose à ce point ces questions, mais ce sont des choses qu'on ressent quand même.. edit : que le trip qui change véritablement tout n'existe pas apparait comme une évidence au fur et à mesure de l'exploration psychédélique je trouve (voila, j'ai trouvé ma pensée)
Le trip qui change une vie, qui va te calmer une fois pour toute, je ne sais s'il existe vraiment, sauf de façon tragique, car une drogue ne peut amener seule à la plénitude je pense. Ce serait trop facile nan.
Du coup pour moi y'a le premier trip, qui change la vie parce qu'il met sur la voie. Le reste n'est qu'une immense exploration, gare à ne pas se perdre et savoir apprécier. Et savoir s'en servir tout de même, ce n'est pas anodin.
Un truc comme ça que jvoulais dire

+1 Ubik
 
Sludge a dit:
Tout pareil, pour certains visiblement un trip peut faire du bien, et pour d'autres le trip n'a plus rien à donner et la réponse est ailleurs, dans la vie tout simplement. Je pense que tu es très conscient(e?) de ton état et c'est une bonne chose, tout le monde ne peut pas en dire autant. Bon courage et continue de nous parler !

Merci à vous.

Les trips m'ont énormément apporté, que ce soit dans la libération de tension ou dans les réponses aux nombreuses questions existentielles que je me posais. Au début c'était bénéfique, puis ça a tourné à la grosse destruction, pas bon.

Styloplume a dit:
J'ai bien compris que t'as vécu l'enfer et/ou le paradis plusieurs fois, ça j'en suis sûr. Je suis assez étonné que ça n'ait pas modifié ton comportement plus que ça, tu me sembles toujours rechercher l'annihilation complète dans tes trips, alors qu'à côté de ça tu t'es décidé à vivre, à avoir une relation sérieuse, à te protéger un minimum...

Arf ça dépend du point de vue que l'on a sur le paradis et l'enfer :D mais oui j'ai fais bobo plus d'une fois à ma petite tête. Après bien sur que la drogue a modifié ma personne, mon comportement (mais je suis trop fier de mes apparences pour le montrer, il ne faut JAMAIS se fier aux apparences hehehe (méga rire narquois et malicieux :twisted: )). J'ai fais de la drogue une passion, je me rappelle de cette soirée où d'un coup mon pote me sort "mais Tristan tu te rends compte que tu ne parles QUE de drogue..!?", j'ai acquiescé et continué à ne parler que de drogue...c'était il y a deux ans, l'année dernière j'ai compris qu'il fallait que j'arrête de trop ouvrir ma boite à parole, et cette année j'évite le sujet, en fait je ne ramène plus TOUT à la drogue (et ça même lorsque c'est mon interlocuteur qui a lancé une conversation sur un sujet quelconque).
Après j'ai un "pété" un câble l'année dernière, je ne vais pas développer sur ce topic, et puis je ne suis pas sur que ça soit exclusivement du à la drogue. J'ai tenu des propos à mes proches qui n'auraient pas du être dit (je me suis monté une grosse tête, j'ai envoyé chié tous les gens que j'appréciai le plus, et j'ai développé une bonne grosse parano, encore une bonne grosse boucle, faudrait que je pose tous ça par écrit...flemme).

Après je n'ai pas toujours chercher à buter ma conscience, j'ai eu ma période où je ne voyais plus mon 2c-I comme de la drogue mais comme une poudre qui permettait de mieux réfléchir...là j'étais vraiment loin arf :D

J'ai cru en la drogue, pendant plus d'un an j'ai psychonauter allongé dans mon lit à relier mes pensées, j'ai bien avancé, j'ai compris plein de chose (la grande question est "aurais-je acquis autant de connaissance sans la drogue ?...perso je pense que non, ne serait-ce que pour toutes les personnes et lieux que la drogue m'a amenée à découvrir (bon euh, ça n'est pas forcément les bonnes personnes et les bons lieux hein)).

Styloplume a dit:
Niveau destruction tu as bien donné, et là tu me sembles parti pour construire :
Laura Zerty a dit:
C'est un cercle vicieux, une salle boucle, mais tout ça a déjà été analysé et re analysé, là il me faut un truc qui me transcende, une vraie raison de m'en sortir, et actuellement tout ce dont j'ai besoin c'est d'une personne à aimer avec de l'amour en retour...
Ca m'a l'air tout bon.

Tu me dis si je me goure. Je me goure forcément quelque part.

Construire pour mieux détruire...ba oui, c'est plus intéressant...(tout ce que l'homme a construit peut être détruit par l'homme, déjà avec un marteau je peux en faire pas mal de dégâts, mais alors avec une bombe à hydrogène...).

Te gourer...non, enfin tu poses de très bonnes questions et tes réflexions me font bien réfléchir, j'apprécie ! mais ne sachant moi même pas totalement expliqué le pourquoi du comment de Moi, il est tout à fait normal que tu n'y puisses pas toi non plus (pourquoi avoir marqué que tu t'es surement gouré ?), remarque on a toute la vie pour savoir qui l'on est vraiment...et c'est en mourant qu'il a dit "maintenant je sais !" (un seul "r" à mourir : on ne meurt qu'une fois).

marcoloco a dit:
Pour répondre à Laura,
Je me sens de moins en moins vide, et c'est depuis que j'ai avoué le tout à mes parents et à ma copine, je le raconte à mes proches car ca me fait un bien fou, je n'ai plus la même honte.
Depuis hier, le vide se fait moins sentir, j'ai justement l'impression de me remplir. J'ai repris les cours aujourd'hui, et le fait de retrouver un monde normal, de sociabiliser (et par ce fait arreter de cogiter dans ma tete) et de faire des choses banales et tangibles etait vraiment un pur plaisir. Apres je sais que ca ne va pas durer, je trouve les cours chiants comme tout le monde et comme tout jeune j'ai besoin de faire la fete.
Laura tu dit qu'on dit tjr nn et qu'apres on revient la dessus. Je suis d'accord avec toi, surtout que pour la beuh par ex, cette situation m'est arrivé plusieurs fois.Mais la en l'occurence, le monde des drogues dures, des psychédéliques m'as vraiment repugner (alors qu'avant j'etais assez interessé).
Je prefere prendre du temps à reconstruire ma personne, lentement mais sûrement que de retenté une expérience qui ne pourrait pas etre la meilleure.

Ya bon, rien de mieux que le social pour sortir de ses propres logiques internes qui font bien mal au crâne des fois...t'as bien mangé là quand même, j'espère que tu ne vas pas rester sur la peur du high, ou limite si ça peut t'éviter de gober...ya que dégouté de la drogue que je ne gobe pas, lorsque je vais mal je reste calme, lorsque je vais bien j'ai envie de me mettre mal...nique !

marcoloco a dit:
Je ne sais plus qui m'a dit que ce n'etait pas une ambulance dont j'avais besoin mais un appui affectif. Et ben, en y repensant, je pense que c'est exactement la cause de ma tristesse (je ne me sentai pas forcement aimé par mes parents avant le trip)
Aujourdhui, apres leur avoir avoué, ils m'ont plus supporté que rejeter ( normal c'est des parents ) et ca commence deja à aller mieux.

Ça dépend des parents, des fois ils sont surprenants...choquant, mais oui l'affection parentale en a surement sauvé plus d'un, question de confiance et de respect. (Styloplume, si tu as de nouvelles infos sur les relations parentales je suis preneur, j'ai laissé tomber de mon côté cette voie, pas le courage de creuser à main nu dans du béton armé)

Hum, je me relis et me rend compte que je cache tout à mes parents, mais comment leur avoué qui je suis vraiment...?! ma mère en ferait une crise cardiaque, mon père je ne sais même pas, j'ai déjà pensé à tout leur dire par écrit, mais non, c'est confus dans ma tête sur ce sujet là.

schtroumpfette a dit:
Tout le monde n'est pas fait pour la drogue...

Ça c'est bien vrai ! j'arrive pas trop à comprendre comment certaines personnes peuvent aussi mal réagir lorsqu'elles alternent leurs consciences...je trouve ça dommage parfois que certaines personnes ne se lâchent pas...ou que d'autres se lâchent trop.
 
J'écris que je me goure sûrement parcequ'en ce moment sur le fofo je me remet en question 20 fois pas jour, chaque fois que je pense trouver une conclusion je me rends compte après que je prends mon cas pour une généralité :arrow:

Laura Zerty a dit:
je me rappelle de cette soirée où d'un coup mon pote me sort "mais Tristan tu te rends compte que tu ne parles QUE de drogue..!?", j'ai acquiescé et continué à ne parler que de drogue

Arf, des fois je suis avec des gens qui connaissent pas la drogue et qui sont curieux, des fois je dis juste "NAN j'ai pas envie de parler de drogue" parcequ'au fond nous-même usagers de drogue on finit par parler d'autre chose de plus important... la preuve.

Et en même temps ça fait tellement partie de moi... Mais c'est juste un morceau du chemin, tout le coup des pulsions de mort, de vie, tout ça c'est vachement important!

Laura Zerty a dit:
Après je n'ai pas toujours chercher à buter ma conscience, j'ai eu ma période où je ne voyais plus mon 2c-I comme de la drogue mais comme une poudre qui permettait de mieux réfléchir...là j'étais vraiment loin arf

Tu vois c'est ça notre différence. Pour moi c'est la drogue qui devait me sauver, me buter éventuellement et ensuite me faire rescussiter. Maintenant je découvre que c'est à moi de mettre la machine en route.
Et toi tu en prends d'un côté pour te mettre mal (le DXM), de l'autre pour penser (2C-I), et aussi pour (sur)vivre (le catamaran, arf TR mythique). Mais pas du tout comme mon optique "Je vais faire l'expérience de Dieu".

Laura Zerty a dit:
Ça dépend des parents, des fois ils sont surprenants...choquant, mais oui l'affection parentale en a surement sauvé plus d'un, question de confiance et de respect. (Styloplume, si tu as de nouvelles infos sur les relations parentales je suis preneur, j'ai laissé tomber de mon côté cette voie, pas le courage de creuser à main nu dans du béton armé)

Ah, les parents... Ce que je peux te dire, que j'ai appris entre-temps, c'est que l'amour des parents n'est pas parfait. Pour Marcololo l'action des parents est simple: "Brave petit il a fait des conneries avec la drogue mais maintenant il regrette, allez on va l'aider à s'en sortir".
@Laura: Dans ton cas c'est pas la peine de compter sur eux. Dis-toi qu'à ton âge tu as à faire face à peut-être plus de problèmes qu'eux quand ils avaient le même âge. Ca suffit pour qu'ils ne puissent pas assurer.
Entre l'enfance et l'âge adulte, la relation aux parents change. Quand on est môme, l'amour des parents est théoriquement parfait. A l'adolescence on se rebelle, et à l'âge adulte la relation n'est plus asymétrique: on vaut autant que les parents, on fait face aux mêmes problèmes, on cause d'égal à égal.
Donc, tu ne peux attendre d'amour inconditionnel et parfait de la part de tes parents (lol je t'apprends rien). On en est arrivé au point où eux-mêmes ont des attentes envers toi, et même des attentes violentes et pas forcément justifiées (c'est ton cas je crois). Moi-même j'ai voulu avoir de l'amour brut de mes parents, en pleine dépression, PAF je me suis cassé les dents. C'est pas leur faute!
C'est donc à toi d'être sûr d'être indépendant, de te soucier de tes besoins, de renoncer à des parents parfait.
Là je parle de MON cas que j'estime encore une fois être une généralité. Mais je pense que ça peut s'appliquer à toi.
Je connais une psy qui a passé toute sa vie à se défaire de ses attentes envers sa mère. Ca continue, d'ailleurs.
Mais c'est pas une malédiction. Il faut se dire, dès maintenant, qu'on vaut autant que nos parents, qu'on doit lâcher TOUS nos espoirs que eux fassent un effort pour nous. C'est dur mais c'est à nous de faire le boulot. On a passé 20 ans, ils ont fait leur boulot, c'est à nous de continuer.

Marcoloco ce que je dit ne s'applique pas forcément à ton cas: en l'occurence t'as vécu un truc fort et tes parents sont contents d'assumer, d'ailleurs c'est toi qui as fait l'effort d'aller vers eux et de leurs accorder une confiance qui leurs permet d'assurer.

Laura Zerty a dit:
Hum, je me relis et me rend compte que je cache tout à mes parents, mais comment leur avoué qui je suis vraiment...?! ma mère en ferait une crise cardiaque, mon père je ne sais même pas, j'ai déjà pensé à tout leur dire par écrit, mais non, c'est confus dans ma tête sur ce sujet là.

NE LEUR EN PARLE PAS. Si déjà toi tu n'y vois pas très très clair lâche l'affaire.
Moi j'en ai parlé à mes parents de ma dépression au DXM, ils se sont dit "Bon, il a fait des conneries, mais c'est fini maintenant".
Maman, j'ai pris du LSD, ça m'a fait du bien! "Ah, bon."
Voilà. Je peux leurs dire quoi de plus? Si je me remet à péter un câble et à partir en couille, c'est pas vers eux que j'irai. C'est pas leurs rôle.
Encore une fois, je prends mon cas pour une généralité, mais là je te connais un petit peu, niveau prod t'es un cas, déjà nous on a du mal à te suivre (mais on adore tes TR :D ), alors tes parents....
 
Des fois le barrage de l'incompréhension est tellement grand qu'il ne vaut mieux pas se risquer à dévoiler de telles parties de nos vies. Il n'en résulterait rien de bon. Il peut y avoir des bonnes surprises mais le jeu n'en vaut pas la chandelle.
 
Styloplume a dit:
Oula là par contre tu te goures sur l'utilisation que je fais des prods. Que ce soit DXM ou 2c-I c'est la même chose, un trip. Après il est clairement plus easy de penser sous 2c-I que sous DXM comme il est plus facile de se miner la tête avec le DXM. Aussi derrière tout ça il y a la facilité d'accès du DXM, ma découverte des trips par le DXM, enfin si on m'avait donné une fiole de LSD je n'aurais prit que ça sans même allez voir ailleurs avant de me lasser comme ça m'est arrivé avec le DXM. Et j'ai découvert le "psychonautisme" avec le DXM, en gros mon cerveau n'attendait plus que la lucidité des psychés pour œuvrer (putain de plateau 2 arf).

Styloplume a dit:
J'écris que je me goure sûrement parcequ'en ce moment sur le fofo je me remet en question 20 fois pas jour, chaque fois que je pense trouver une conclusion je me rends compte après que je prends mon cas pour une généralité :arrow:

Hehehe, on en reparlera en mp, c'est la phase ascendante de l'égo, "baby I'm the KING of the world". Mais c'est bien que tu te remettes en cause, par contre attention de ne pas tout le temps te remettre en cause, au final tu es complètement paumé et ça te nuit, chéplu si on en avait parlé l'année dernière, mais c'est ça qui m'a le plus pourrit limite.

Styloplume a dit:
@Laura: Dans ton cas c'est pas la peine de compter sur eux. Dis-toi qu'à ton âge tu as à faire face à peut-être plus de problèmes qu'eux quand ils avaient le même âge. Ca suffit pour qu'ils ne puissent pas assurer.
Entre l'enfance et l'âge adulte, la relation aux parents change. Quand on est môme, l'amour des parents est théoriquement parfait. A l'adolescence on se rebelle, et à l'âge adulte la relation n'est plus asymétrique: on vaut autant que les parents, on fait face aux mêmes problèmes, on cause d'égal à égal.

Sur ma mère j'aurai toujours un contact, distant mais certain, le problème c'est mon père...Après c'est clair qu'ils ne peuvent en aucun cas comprendre ce que je traverse. Je sais qu'ils ont eu des bonnes phases bien merdiques, mais chez moi c'est que du "non dit", donc je ne sais rien en fait, j'ai juste entendu deux/trois anecdotes par ci par là...
Le égal à égal ne vaut que si on l'accepte, mon père ne l'accepte pas c'est sur, de mon côté je ne sais pas, je sais que je suis apte à parler franchement, à passer le cap émotive qui me bloque (quitte à boire pour délier ma langue), mais j'ai trop besoin de cadre pour me laisser voler de mes propres ailes, je les ai déjà pas mal cramées...après j'ai de la chance j'ai le choix, je peux choisir si je veux m'en sortir ou pas.

Sinon je ne leur en parlerai pas non, les seules fois où j'ai parlé de moi ça a vraiment trop fait flippé ma mère arf...la drogue c'est passable, les conneries un peu moins, enfin tout dépend de leur degré d'acquisition, mais tout ce qui est autre que le canna c'est exclu ! (mais ils s'en doutent, c'est sur désormais, mais ils ne m'en parleront pas, tant mieux)
 
"Creuser le béton a main nue. " dixit laura
En parlant de l analyse la relation aux parents.
J aurai pas mieux dit !

Jme delecte de vos echanges, ya pas mal d elements vraiment interessants !
 
Ah dès qu'on touche aux relations familiales ça enclenche un petit chépa quoi au fond de chacun :D la base !
 
je ne sais pas comment je m'appelle, quels sont les buts de la vie, comme si je venait de naître et qu'il fallait tout m'apprendre



, mon corps est très détaché de moi, quand je ferme les yeux je vois un tunnel de nuage avec un grand Boudha au milieu souriant et qui m'appelle, je lutte pour ne pas le rejoindre

T'y as laissé ton âme mon pote... t'es passé derrière le grand miroir

Certes cette vision de lumière,de nuage peut sembler, d'un point de vue externe, fabuleuse, mais mettez vous à ma place, je n'ai aucune envie de perde un tel contrôle de moi même

Sinon t'as retrouvé un peu de ta personne ou c'est toujours vide au fond de toi ?

j'ai assez exploré mon cerveau pour avoir compris comment accéder à cette mort intérieure, juste le néant total, le noir complet, plus rien, le comfortumbly numb, la libération !


Quand on me parle de dissolution de l'ego , de NDE , et de la peur que cela peut engendrer. ca me donne envie de vous parler de Bouddha , mais comme j'ai peur de mal expliquer je vais mettre des URL

[url=http://fr.wikipedia.org/wiki/Anatman]http://fr.wikipedia.org/wiki/Anatman[/url]
http://comprendrebouddhisme.com/connaitre/bouddhisme-mort.html
 
@Ouroboros: haha moi aussi ça me fait partir dans mes considérations métaphysiques à chaque fois! Je t'ai compris, toi, surtout depuis que tu as cité Jesaisplusqui Rinpoché "Vous vous rendez compte que vous êtes rien, et vous êtes tout. C'est tout". Ca ça a le mérite de m'avoir bien travaillé!
 
Retour
Haut