mohamed chirac
Alpiniste Kundalini
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C'est à ce moment qu'on est entré dans le dur...
Attention ce topic n'est pas niais, ni rigolo.
On ne fumait que peu de beuh et mon intérêt pour les autres drogues allait en s'accroissant. J'avais ainsi acheté des champignons magiques, mais consommés sans succès.
Un jour dans l'ennui j'étais allé acheter un boîte de nautamine, sans me documenter plus que ça. Je commençais une cardio phobie légère à cause d'un trip de beuh. -- la cardiophobie c'est avoir peur que son coeur s'arrête -- Malgré de vives couleurs les sensations furent désagréables et mon cœur failli s'arrêter. Une terreur saisi tout mon corps à cette idée, et je passai la nuit à frémir et prier pour ma vie.
Le Lendemain je me sentais faible, j'avais été touché. Je me sentais triste, bancale. Ma santé mentale se dégrada, et je commençai une guerre contre mes pensées.
Nous décidâmes deux semaines plus tard de tripper à tripper à la marijuana sous tramadol. Ce fut assez drôle. Quand je disais caca, j'avais l'impression d'être récompensé (je cris régulièrement caca, caca moelleux onctueux depuis mon plus jeune âge).
Je faisais aussi du Parkour défoncé dans une sorte de jungle. Cependant le trip me troubla. Je m'imaginai être amoureux d'un ami d'enfance.
Quand j'étais en CE1, j'avais eu des "relations sexuelles" avec un camarade de mon âge. Cela m'avait marqué et par la suite j'éprouvai un rejet pour ce qui touchait à l'homosexualité.
Ainsi ce trip ramena ce souvenir en moi.
J'étais assez troublé à ce moment et souffrais de pensées obsessives que j'essayai de combattre.
Quelque chose avait changé si ce n'était la violence de mon camarade due à la descente de trama.
1semaine plus tard le cauchemar mental pris une toute autre tournure. Comme je l'ai dit je souffrais de troubles obsessionnels compulsifs.
Marvin et moi avions prévu de tripper dans la forêt.
Nous avions un pur de beuh chacun ainsi qu'un bang où faire rentrer ce join.
Avant de tripper une idée saugrenue me traversa l'esprit. Et si je tombais amoureux de mon meilleur pote ? Cette idée s'était faufilé dans un coin de ma tête et refusait de partir. Je me dis qu'il serait mieux de ne pas tripper aujourd'hui, mais borné comme j'étais, je n'écoutai pas cette voix.
Je fus abstraction de cette idée et nous fûmâmes sur un banc, dans la forêt.
Ça partait très fort. Je pris le surnom de Rasta Junk et lui de Toxico Placebo/Plasmas.
La forêt commençea à respirer et nous rîimes sans interruptions. Les branches de l'arbre que je regardais n'étaient en faite qu'un tronc, donnant naissance à d'autre troncs etc...
Un arbre dans un arbre dans un arbre !
L'idée d'être amoureux de Marvin me passa par la tête, mais j'ignorai une première fois.
J'avais des hallucinations avec le bang, je voyais des triangles, des cercles. Je vis même un lutin dans les plantes, un rêve éveillé.
Malheureusement, je déchantai rapidement car l'instant d'après, je tombe amoureux de mon pote.
Je fus saisi d'un effroi, un effroi des plus terribles. Imaginez, ce que je ressentais. Cette effet des plus contradictoires.
Je ressentais l'amour dans toutes mes veines, un amour profond saint, merveilleux.
Et en même temps cette trahison de mon identité. Cet acte innomable qui me déchirai le coeur, cette émotion interdite !
Marvin se manifesta mentalement par une orbe de couleur. Du rose et du jaune. Une énergie colorée se balançant et faisant vibrer mon cœur. Quel sentiment des plus innomables.
Je reniai très rapidement cela, cet éveil de la conscience, en soit, peut être la libération ? Mais je n'étais pas près, trop innocent, trop insouciant pour encaisser une telle révélation.
Alors je marchai frénétiquement, je faisais des grimaces, j'étais preneur de tout acte qui pouvait me distraire.
Marvin s'inquiéta et me demanda si ça allait. Je lui répondis que je faisais le tour du château, parce qu'il y avait le diable qui rôdait, qui essayait de me posséder.
Je parvins à me calmer et ce qui m'aida et la pensée d'une fille du lycée, charmante et pour qui j'éprouvai quelques émotions. Quand je pensai à elle, la forêt s'animait, je ressentai une ivresse qui m'apaisait, la vie reprenait le dessus et les feuilles dansaient. L'émotion se rattacha synesthésiquement à la couleur verte.
Je mis du temps à me calmer et reprendre le dessus. J'avais l'impression qu'un cyclope de 3mètres me traquait, caché sous d'épais buissons. Il était l'allégorie de ma peur, des tréfonds de moi même.
Nous rentrâmes. Je m'étais calmé et nous décidâmes de fumer à nouveau. Cela se passa bien. Enfin.. à moitié. Car dans mon inconscience et peut être pour demander de l'aide, j'ouvrai grand la porte de ma chambre et mes parents découvrirent que cachés nous fumions la ganja.
Les conséquences se firent sentir le lendemain. Quand je regardai mon pote, cette sensation réapparu. Ce que je trouvais pour m'en soulager était de grands accoups, violents de la tête. Des mouvements frénétiques, qui plus tard déclencheraient des accouphènes.
La journée nous fûmâmes et malgré ces tics incontrolables que je justifiai par une tentative de possession, on s'amusa. Bien défoncé comme d'hab, une amie me coloria le visage grossièrement.
J'avais aussi fumé pour la deuxième fois du shit. Le shit c'était puissant, ça passait par tout le corps et le tabac frappait la tête.
Le lendemain mon morale était au plus bas et je songeai à mettre fin à ma vie. Par la suite il y aurait une grande reconstruction qui s'ammorcerait mêlée à des comportements destructifs. Cet événement déclencha aussi une soif de spiritualité intense et une recherche du savoir effrénée.
Il s'agit de la partie 4, un modo peut-t-il modifier le titre svp ?
Attention ce topic n'est pas niais, ni rigolo.
On ne fumait que peu de beuh et mon intérêt pour les autres drogues allait en s'accroissant. J'avais ainsi acheté des champignons magiques, mais consommés sans succès.
Un jour dans l'ennui j'étais allé acheter un boîte de nautamine, sans me documenter plus que ça. Je commençais une cardio phobie légère à cause d'un trip de beuh. -- la cardiophobie c'est avoir peur que son coeur s'arrête -- Malgré de vives couleurs les sensations furent désagréables et mon cœur failli s'arrêter. Une terreur saisi tout mon corps à cette idée, et je passai la nuit à frémir et prier pour ma vie.
Le Lendemain je me sentais faible, j'avais été touché. Je me sentais triste, bancale. Ma santé mentale se dégrada, et je commençai une guerre contre mes pensées.
Nous décidâmes deux semaines plus tard de tripper à tripper à la marijuana sous tramadol. Ce fut assez drôle. Quand je disais caca, j'avais l'impression d'être récompensé (je cris régulièrement caca, caca moelleux onctueux depuis mon plus jeune âge).
Je faisais aussi du Parkour défoncé dans une sorte de jungle. Cependant le trip me troubla. Je m'imaginai être amoureux d'un ami d'enfance.
Quand j'étais en CE1, j'avais eu des "relations sexuelles" avec un camarade de mon âge. Cela m'avait marqué et par la suite j'éprouvai un rejet pour ce qui touchait à l'homosexualité.
Ainsi ce trip ramena ce souvenir en moi.
J'étais assez troublé à ce moment et souffrais de pensées obsessives que j'essayai de combattre.
Quelque chose avait changé si ce n'était la violence de mon camarade due à la descente de trama.
1semaine plus tard le cauchemar mental pris une toute autre tournure. Comme je l'ai dit je souffrais de troubles obsessionnels compulsifs.
Marvin et moi avions prévu de tripper dans la forêt.
Nous avions un pur de beuh chacun ainsi qu'un bang où faire rentrer ce join.
Avant de tripper une idée saugrenue me traversa l'esprit. Et si je tombais amoureux de mon meilleur pote ? Cette idée s'était faufilé dans un coin de ma tête et refusait de partir. Je me dis qu'il serait mieux de ne pas tripper aujourd'hui, mais borné comme j'étais, je n'écoutai pas cette voix.
Je fus abstraction de cette idée et nous fûmâmes sur un banc, dans la forêt.
Ça partait très fort. Je pris le surnom de Rasta Junk et lui de Toxico Placebo/Plasmas.
La forêt commençea à respirer et nous rîimes sans interruptions. Les branches de l'arbre que je regardais n'étaient en faite qu'un tronc, donnant naissance à d'autre troncs etc...
Un arbre dans un arbre dans un arbre !
L'idée d'être amoureux de Marvin me passa par la tête, mais j'ignorai une première fois.
J'avais des hallucinations avec le bang, je voyais des triangles, des cercles. Je vis même un lutin dans les plantes, un rêve éveillé.
Malheureusement, je déchantai rapidement car l'instant d'après, je tombe amoureux de mon pote.
Je fus saisi d'un effroi, un effroi des plus terribles. Imaginez, ce que je ressentais. Cette effet des plus contradictoires.
Je ressentais l'amour dans toutes mes veines, un amour profond saint, merveilleux.
Et en même temps cette trahison de mon identité. Cet acte innomable qui me déchirai le coeur, cette émotion interdite !
Marvin se manifesta mentalement par une orbe de couleur. Du rose et du jaune. Une énergie colorée se balançant et faisant vibrer mon cœur. Quel sentiment des plus innomables.
Je reniai très rapidement cela, cet éveil de la conscience, en soit, peut être la libération ? Mais je n'étais pas près, trop innocent, trop insouciant pour encaisser une telle révélation.
Alors je marchai frénétiquement, je faisais des grimaces, j'étais preneur de tout acte qui pouvait me distraire.
Marvin s'inquiéta et me demanda si ça allait. Je lui répondis que je faisais le tour du château, parce qu'il y avait le diable qui rôdait, qui essayait de me posséder.
Je parvins à me calmer et ce qui m'aida et la pensée d'une fille du lycée, charmante et pour qui j'éprouvai quelques émotions. Quand je pensai à elle, la forêt s'animait, je ressentai une ivresse qui m'apaisait, la vie reprenait le dessus et les feuilles dansaient. L'émotion se rattacha synesthésiquement à la couleur verte.
Je mis du temps à me calmer et reprendre le dessus. J'avais l'impression qu'un cyclope de 3mètres me traquait, caché sous d'épais buissons. Il était l'allégorie de ma peur, des tréfonds de moi même.
Nous rentrâmes. Je m'étais calmé et nous décidâmes de fumer à nouveau. Cela se passa bien. Enfin.. à moitié. Car dans mon inconscience et peut être pour demander de l'aide, j'ouvrai grand la porte de ma chambre et mes parents découvrirent que cachés nous fumions la ganja.
Les conséquences se firent sentir le lendemain. Quand je regardai mon pote, cette sensation réapparu. Ce que je trouvais pour m'en soulager était de grands accoups, violents de la tête. Des mouvements frénétiques, qui plus tard déclencheraient des accouphènes.
La journée nous fûmâmes et malgré ces tics incontrolables que je justifiai par une tentative de possession, on s'amusa. Bien défoncé comme d'hab, une amie me coloria le visage grossièrement.
J'avais aussi fumé pour la deuxième fois du shit. Le shit c'était puissant, ça passait par tout le corps et le tabac frappait la tête.
Le lendemain mon morale était au plus bas et je songeai à mettre fin à ma vie. Par la suite il y aurait une grande reconstruction qui s'ammorcerait mêlée à des comportements destructifs. Cet événement déclencha aussi une soif de spiritualité intense et une recherche du savoir effrénée.
Il s'agit de la partie 4, un modo peut-t-il modifier le titre svp ?