Jampearl
Elfe Mécanique
- Inscrit
- 8/6/12
- Messages
- 424
Je suis trop jeune pour me droguer, en phase de comprendre, . Je partage mes pensées ici parce que vous m'avez l'air de gens biens, surement du tout assimilé mais grande (re)découverte pour moi :
Dans la vie faut se faire confiance. Le meilleur moyen est sans doute d'avoir un objectif, une ligne de conduite à suivre. Un objectif moral ou matériel.
La drogue enlève les frontières entre les gens, semble mélanger les consciences. Et pourtant, il y a forcément une barrière à poser à un certain moment.
Cette harmonie entre les individus peut s'obtenir d'une autre manière : par le respect.
Une cellule cancérigène fait au départ partie d'un tout, mais elle va grossir, se multiplier, prendre toute la place, essayer de se greffer sur les autres. Mais c'est juste pas viable. Ca ne fonctionne pas.
Ok, limites = frustrantes.
Bon dieu, la limite des autres doit devenir un enrichissement.
Se sentir un avec la différence.
La drogue enlève les limites et crée un monde artificiel dans lequel on se sent bien et en accord avec nous même et ce qui nous entoure. Perverse manipulatrice. Ce monde n'est que temporaire, et au moment de retourner dans le réel, tout n'est plus qu'ingérable parce que complètement différent, beaucoup moins accessible au premier abord. La manière dont la drogue enlève la frustration ne peut s'intégrer dans la vie de tout les jours, donc cette vie devient source d'angoisse.
Au lieu d'enlever la frustration la drogue en rajoute une autre dont on ne se débarrasse qu'avec la drogue.
Les limites des autres devraient combler cette frustration au lieu de l'enrichir.
Connaitre les limites pour pouvoir passer outre.
Ne pas se laisser envahir par le bruit, le remettre à sa juste place.
Affaire de choix.
C'est normal que la drogue empêche d'accepter la frustration car elle la dissout pour un temps.
Ne plus souffrir de la frustration pour s'en débarrasser, c'est l'accepter.
Dans la vie faut se faire confiance. Le meilleur moyen est sans doute d'avoir un objectif, une ligne de conduite à suivre. Un objectif moral ou matériel.
La drogue enlève les frontières entre les gens, semble mélanger les consciences. Et pourtant, il y a forcément une barrière à poser à un certain moment.
Cette harmonie entre les individus peut s'obtenir d'une autre manière : par le respect.
Une cellule cancérigène fait au départ partie d'un tout, mais elle va grossir, se multiplier, prendre toute la place, essayer de se greffer sur les autres. Mais c'est juste pas viable. Ca ne fonctionne pas.
Ok, limites = frustrantes.
Bon dieu, la limite des autres doit devenir un enrichissement.
Se sentir un avec la différence.
La drogue enlève les limites et crée un monde artificiel dans lequel on se sent bien et en accord avec nous même et ce qui nous entoure. Perverse manipulatrice. Ce monde n'est que temporaire, et au moment de retourner dans le réel, tout n'est plus qu'ingérable parce que complètement différent, beaucoup moins accessible au premier abord. La manière dont la drogue enlève la frustration ne peut s'intégrer dans la vie de tout les jours, donc cette vie devient source d'angoisse.
Au lieu d'enlever la frustration la drogue en rajoute une autre dont on ne se débarrasse qu'avec la drogue.
Les limites des autres devraient combler cette frustration au lieu de l'enrichir.
Connaitre les limites pour pouvoir passer outre.
Ne pas se laisser envahir par le bruit, le remettre à sa juste place.
Affaire de choix.
C'est normal que la drogue empêche d'accepter la frustration car elle la dissout pour un temps.
Ne plus souffrir de la frustration pour s'en débarrasser, c'est l'accepter.