Krix
Holofractale de l'hypervérité
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Je tournais en rond ce soir à réfléchir sur ci et sur ça et j'ai fini par vouloir écrire un peu sur l'une de ces réflexions qui m'agitait. Du coup je publie ici l'écrit entre autre parce que si la thématique en intéresse certains, je serais ravi de débattre dessus et d'avoir d'autres angles de vue ! Je précise encore une fois au cas où qu'il ne s'agit pas de fait ou de constat concret venant du CNRS mais bien d'une simple réflexion personnelle (et hypothétique) à partager !
Limite de l'évolution
Prémice
Imaginez un instant que l'intelligence d'une espèce soit (au delà de ses capacités cognitives "supérieures" aux autres), principalement et intrinsèquement lié aux questionnements des choses. Allez finalement au delà de la simple fonction que l'on peut constater dans la perception d'un phénomène, objet ou expérience vécue. Le questionnement n'est alors rien d'autre que le "pourquoi" qui s'en suit naturellement aux réflexions de la dite espèce.
Maintenant si celle-ci évolue et prospère via cette condition structurante et propre à un certain seuil intellectuel biologique (acquis dans le cas présent), la se pose le problème d'une limite qui semble se dessiner nettement. On ne peut balayer l'hypothèse que si ce "pourquoi" qui incombe à ce seuil d'intelligence donne l'essentiel motivation de poursuivre dans le temps pour leur civilisation (la survie n'étant plus ni un danger ni un défi), au delà de chaque membre et de leurs limites physiologiques, alors est ce que l'espèce en question survivra lorsque apparaîtra le moment fatidique ?
Terminus et irrémédiable constat psychique du chemin parcouru
Celui ci peut se distinguer en deux voies probables. La première étant que l'espèce découvre tout ce qui est possible de découvrir dans le monde auquel elle appartient. La seconde est que certains mécanismes et principes de l'existence deviennent dans un inévitable futur, incompréhensible pour les capacités cognitives de l'espèce.
Dans la première, l'espèce atteindra un questionnement ultime et inévitable "accepter d'avoir terminer de découvrir" et souhaiter prospérer dans une passivité et une quiétude relative aux connaissances des choses maîtrisées. Alors l'espèce pourra se considérer comme accompli. Mais alors devrait survenir possiblement lassitude et remise en cause de l'utilité à continuer (comme à "être") sans la motivation primaire qui habitait l'espèce et l'avait accompagner à cet apogée.
Dans la seconde, une issue salutaire pourrait faire prolonger l'espèce. Si celle-ci s'avoue arriver à la limite de ses capacités cognitives et de compréhension, alors il est encore possible (et c'est un choix naturel probable qui s'offrirait aisément à elle), de concevoir une espèce alter-ego qui puisse quand à elle poursuivre la quête du "pourquoi" tant désirer dans ce but archaïque (toujours) de maîtrise.
Alors leurs créations deviendront les interprètes et malgré leurs intelligences supérieures, il est fort probable que le statut de créateur ainsi que le sentiment omniprésent (biologique et conséquence du principe de survie) de domination ait le pas sur une hiérarchisation du binôme alors constitué.
Cependant il y a un revers de médaille dans cette alternative. Car inévitablement, l'espèce interprète arrivera également à cet instant T où elles ne seront plus capable de comprendre et si les créateurs sont, dans cet chronologie, déjà dépasser, se contentant d'assimiler des interprétations données, alors irrémédiablement l'espèce créer en créera une nouvelle par nécessité jusqu'à ce qu'on en arrive à envisager que les créateurs puissent être supplanter du fait de leurs limites flagrantes et de leurs inutilités apparentes.
Finalité
On ne peut donc pas nier que si l'échelle de l'évolution à bien une continuité logique, concrète et observable, il semble concevable qu'un seuil d'intelligence, de capacités émotionnelles et cognitives atteint, provoque l'inverse de l'atout qu'il est censé apporter via alors le déclenchement d'un dysfonctionnement psycho-organique du désir de survie (qui fut transposer en désir de savoir) qui deviendrait inévitablement dénué de sa consistance par sa simple absence.
L'angoisse engendrée serait hors de contrôle ce qui entraînerait alors la chute de l'escalade formidable effectuée par l'espèce au cours des millénaires pour atteindre un apparent sommet pyramidal biologique.
Limite de l'évolution
Prémice
Imaginez un instant que l'intelligence d'une espèce soit (au delà de ses capacités cognitives "supérieures" aux autres), principalement et intrinsèquement lié aux questionnements des choses. Allez finalement au delà de la simple fonction que l'on peut constater dans la perception d'un phénomène, objet ou expérience vécue. Le questionnement n'est alors rien d'autre que le "pourquoi" qui s'en suit naturellement aux réflexions de la dite espèce.
Maintenant si celle-ci évolue et prospère via cette condition structurante et propre à un certain seuil intellectuel biologique (acquis dans le cas présent), la se pose le problème d'une limite qui semble se dessiner nettement. On ne peut balayer l'hypothèse que si ce "pourquoi" qui incombe à ce seuil d'intelligence donne l'essentiel motivation de poursuivre dans le temps pour leur civilisation (la survie n'étant plus ni un danger ni un défi), au delà de chaque membre et de leurs limites physiologiques, alors est ce que l'espèce en question survivra lorsque apparaîtra le moment fatidique ?
Terminus et irrémédiable constat psychique du chemin parcouru
Celui ci peut se distinguer en deux voies probables. La première étant que l'espèce découvre tout ce qui est possible de découvrir dans le monde auquel elle appartient. La seconde est que certains mécanismes et principes de l'existence deviennent dans un inévitable futur, incompréhensible pour les capacités cognitives de l'espèce.
Dans la première, l'espèce atteindra un questionnement ultime et inévitable "accepter d'avoir terminer de découvrir" et souhaiter prospérer dans une passivité et une quiétude relative aux connaissances des choses maîtrisées. Alors l'espèce pourra se considérer comme accompli. Mais alors devrait survenir possiblement lassitude et remise en cause de l'utilité à continuer (comme à "être") sans la motivation primaire qui habitait l'espèce et l'avait accompagner à cet apogée.
Dans la seconde, une issue salutaire pourrait faire prolonger l'espèce. Si celle-ci s'avoue arriver à la limite de ses capacités cognitives et de compréhension, alors il est encore possible (et c'est un choix naturel probable qui s'offrirait aisément à elle), de concevoir une espèce alter-ego qui puisse quand à elle poursuivre la quête du "pourquoi" tant désirer dans ce but archaïque (toujours) de maîtrise.
Alors leurs créations deviendront les interprètes et malgré leurs intelligences supérieures, il est fort probable que le statut de créateur ainsi que le sentiment omniprésent (biologique et conséquence du principe de survie) de domination ait le pas sur une hiérarchisation du binôme alors constitué.
Cependant il y a un revers de médaille dans cette alternative. Car inévitablement, l'espèce interprète arrivera également à cet instant T où elles ne seront plus capable de comprendre et si les créateurs sont, dans cet chronologie, déjà dépasser, se contentant d'assimiler des interprétations données, alors irrémédiablement l'espèce créer en créera une nouvelle par nécessité jusqu'à ce qu'on en arrive à envisager que les créateurs puissent être supplanter du fait de leurs limites flagrantes et de leurs inutilités apparentes.
Finalité
On ne peut donc pas nier que si l'échelle de l'évolution à bien une continuité logique, concrète et observable, il semble concevable qu'un seuil d'intelligence, de capacités émotionnelles et cognitives atteint, provoque l'inverse de l'atout qu'il est censé apporter via alors le déclenchement d'un dysfonctionnement psycho-organique du désir de survie (qui fut transposer en désir de savoir) qui deviendrait inévitablement dénué de sa consistance par sa simple absence.
L'angoisse engendrée serait hors de contrôle ce qui entraînerait alors la chute de l'escalade formidable effectuée par l'espèce au cours des millénaires pour atteindre un apparent sommet pyramidal biologique.