Les lactones sesquiterpéniques présentes dans le Lactuca virosa / les plants de laitue sauvage apparentés libèrent des endorphines ou potentialisent d'une manière ou d'une autre nos endorphines naturelles ou tout opiacés non endogènes.
Après quelques expériences, j'ai découvert que lorsque des feuilles fraîches étaient mâchées et écrasées, il y avait un effet opiacé assez euphorique initial suivi d'une léthargie quelques heures plus tard. La chose la plus intéressante cependant était la potentialisation majeure de mon suboxone que je prenais quotidiennement.
Le lendemain, lorsque je suis allé prendre mon suboxone, je suis devenu progressivement de plus en plus élevé tout au long de la journée au point de nausées et de vertiges importants. Je n'ai pas mis les deux ensemble et j'ai ressenti la même chose le lendemain.
Cela m'a intrigué. J'ai fait des recherches et j'ai découvert que d'anciens peuples mélangeaient souvent le lactucarium et l'opium, et c'était parfois préféré. J'ai instantanément repensé à mes expériences.
Je crois qu'il est très probable que les sécrétions de lactuca potentialisent au moins majoritairement les opiacés, mais pourraient également libérer ou potentialiser nos opiacés endogènes.
Je pense que la meilleure façon de l'utiliser actuellement est de mâcher et de couper des feuilles fraîches. Les ingrédients actifs ne sont pas solubles dans l'eau (le thé est donc un déchet), probablement pas assez puissants pour fumer et se dessèchent probablement si vous essayez de sécher l'herbe.
Vous pouvez également faire une teinture avec des feuilles fraîches ou distiller à la vapeur avec des feuilles fraîches pour créer un extrait puissant.
