or@nge
Banni
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Drogué, n'est pas une définition pour moi, je ne m'en qualifie même pas, à la rigueur, je suis drogué quand j'ai pris de la drogue et c'est de plus en plus rare, le reste du temps je suis comme tout le monde.
Si je devais, pour chacun de mes mœurs tenter de convaincre ou d'expliquer à mon entourage le pourquoi du comment, j'ai pas fini et je sais déjà que c'est cause perdue.
Libertin, je ne le suis pas non plus, sauf dans de très rares occasions, le reste du temps je suis comme tout le monde, donc , comme pour le terme "drogué", je ne m’applique pas ce qualificatif, ça me restreindrait, je trouve cela réducteur et débile.
D'ailleurs, le monde libertin fait peur au monde "teuf-produits" et inversement, alors que pour moi,c'est simplement deux façons de prendre du plaisir qui sortent de la morale judéo-chrétienne.
Comme je dis souvent, je suis un peu comme un gamin devant un étalage de pâtisserie, si je peux prendre du plaisir, je me sers,c'est tout. Après je sais que l’excès me mènera à la lassitude, donc j'évite d'en arriver là, les plaisirs je les déguste et les espace pour qu'ils restent des plaisirs, je varie.
J'ai passé l'age de vouloir convaincre, et puis de toute façon, j'ai pas a me justifier, je vais pas dépenser mon énergie à convaincre quelqu'un pour qu'il ait meilleur opinion de moi et si je ferme ma gueule, je lui évite des questions qui le dérangeront.
Donc c'est très simple, quelque soit mon activité non conforme à la "morale", je n'en parle que si l'interlocuteur est ouvert au sujet et si il se questionne de façon objective. A ce moment là, je lui expose mon point de vue, sans omettre les mauvais cotés et les risques. En gros, j'essaie d'être objectif moi même.
Si la personne est fermée sur le sujet en question, je ne l'évoque pas, on a surement mieux à se dire. Je suis quelqu'un qui ne juge pas et je suis très ouvert à la différence, cela me permet de m'enrichir via l'autre, si l'autre en est incapable, bin, tant pis pour lui.
Si je devais, pour chacun de mes mœurs tenter de convaincre ou d'expliquer à mon entourage le pourquoi du comment, j'ai pas fini et je sais déjà que c'est cause perdue.
Libertin, je ne le suis pas non plus, sauf dans de très rares occasions, le reste du temps je suis comme tout le monde, donc , comme pour le terme "drogué", je ne m’applique pas ce qualificatif, ça me restreindrait, je trouve cela réducteur et débile.
D'ailleurs, le monde libertin fait peur au monde "teuf-produits" et inversement, alors que pour moi,c'est simplement deux façons de prendre du plaisir qui sortent de la morale judéo-chrétienne.
Comme je dis souvent, je suis un peu comme un gamin devant un étalage de pâtisserie, si je peux prendre du plaisir, je me sers,c'est tout. Après je sais que l’excès me mènera à la lassitude, donc j'évite d'en arriver là, les plaisirs je les déguste et les espace pour qu'ils restent des plaisirs, je varie.
J'ai passé l'age de vouloir convaincre, et puis de toute façon, j'ai pas a me justifier, je vais pas dépenser mon énergie à convaincre quelqu'un pour qu'il ait meilleur opinion de moi et si je ferme ma gueule, je lui évite des questions qui le dérangeront.
Donc c'est très simple, quelque soit mon activité non conforme à la "morale", je n'en parle que si l'interlocuteur est ouvert au sujet et si il se questionne de façon objective. A ce moment là, je lui expose mon point de vue, sans omettre les mauvais cotés et les risques. En gros, j'essaie d'être objectif moi même.
Si la personne est fermée sur le sujet en question, je ne l'évoque pas, on a surement mieux à se dire. Je suis quelqu'un qui ne juge pas et je suis très ouvert à la différence, cela me permet de m'enrichir via l'autre, si l'autre en est incapable, bin, tant pis pour lui.