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Les instance psychiques - LE ÇA

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Là au moins c'est clair et y a de quoi échanger ! maintenant je ne pense pas qu'il y est de débat parce que je suis en majorité d'accord avec tes propos.

Milgram a dit:
Pourtant, la forme, le ton et les arguments du discours pro-psychanalyse ne semble laisser aucun doute quand à leurs validités. Il y a quelque chose de péremptoire, il y a une accumulation de concepts mais... ça sort d'où?

De déduction à partir de cas cliniques, d'études approfondies d'analyse philosophique remontant à des décennies, siècles, millénaires.

Par exemple regarde comment la théorie de l'inconscient s'est construite de philosophe en philosophe, toujours de manière de plus en plus étayée, jusqu'à ce que Freud tente de le faire rentrer dans le domaine du scientifique, alors qu'on ne va pas se mentir, il était un philosophe dans sa façon de faire. Son déni a été de ne pas admettre qu'il faisait de la philosophie de l'esprit et non une pratique dite scientifique.

A partir de là, est-ce qu'il faut remettre en cause l’apport philosophique de grands penseurs ayant découvert l’inconscient, parce qu'un individu a voulu faire passer ça dans le domaine des sciences ? je ne le pense pas.

Par contre qu'un cocaïnomane comme Freud se perche en inventant des concepts métaphysiques à partir de mythes, là j'en reviens à dire que c'est à chacun d'en faire ce qu'il veut, mais je ne rentrerais pas dans le débat afin de savoir si l’œdipe est vrai. Pour moi ça n'est qu'une grille de lecture, et si elle peut être utile à certains, alors pourquoi pas l'utiliser.

Pour ma part j'ai trouvé que les topiques freudiennes sont utiles pour comprendre certains mécanismes de la psyché, notamment ceux qui relèvent de la philosophie psychologique. Par exemple le refoulement ou le déni, c'est le B.A.B.A du fonctionnement de l'esprit humain. Et les instances freudiennes l'expliquent très bien dans leur relation.


Milgram a dit:
En d'autre terme: qu'est ce qui, en l'absence de protocole scientifique clair, permet de donner du crédit à la pensée psychanalytique?

Le sentiment de croyance que chacun en a. Personne n'impose la psychanalyse aux autres, et je trouve ça légitime que cette approche essaye de faire sa place dans le monde des sciences, si ça se trouve un jour on sera en mesure de valider ou invalider les thèses psychanalytiques.


Milgram a dit:

Bah là pour le coup je trouve que c'est un énorme sophisme, que je traduirai par "Si t'acceptes pas ces choses, c'est que t'en a peur, pas parce qu'elle n'existe pas". C'est un raisonnement circulaire que je retrouve dans les discours conspirationniste, du genre "si vous ne croyez pas aux vibrations quantiques et au complot général c'est qu'on vous a bien lavé le cerveau, bande de moutons". Ce que je veux dire, c'est que trouver une justification à ses arguments sans sortir de sa propre idéologie, en faisant un raisonnement circulaire, c'est le contraire de la méthode scientifique. Pour moi la psychanalyse tombe là dedans, tout concept qui invaliderait les arguments trouvent leurs justifications dans la psychanalyse elle-même (typiquement, le refoulement).

En prenant l'exemple de l'égocentrisme, n'importe qui te dira spontanément qu'il ne l'est pas, alors que si, à différents degrés, à différentes étapes de la vie. Vis à vis de l'angoisse c'est pareil, à moins d'avoir une crise terrible, les gens te diront qu'ils vont bien et sont sains, alors qu'au fond d'eux c'est le bal de l'angoisse en permanence, mais le refoulement et bien d'autres mécanismes permettent de s'adapter à la réalité, en laissant penser qu'on est "normal". Alors qu'il est normal d'être angoissé, tout le problème est que les scientifiques te laissent penser le contraire.

Ce qui est sain et normal, c'est d'avoir une quantité stable d'angoisse et de joie en soi, quand un trop plein de l'un ou de l'autre fait tendre l'individu vers une tendance plus pathologique. Sauf qu'aujourd'hui, culturellement il est préférable de dire en société qu'on en joie plutôt que angoissé, et qu'il y a là une forme de déni à l'encontre de ses propres affects. Mais un déni communautaire qui s'explique par les comportements vaniteux, où chacun s'entretient ensemble dans ses illusions.

A partir de là, ça n'est pas parce que t'accepte pas une chose qu'elle existe forcément parce que soit disant tu la refoules (le cercle vicieux), comme le déni et le refoulement existe lorsque des gens se cachent des vérités sur eux-mêmes. Sur ce dernier point je donne raison à la psychanalyse, sur le premier point je comprends que l'on puisse être sceptique.

A partir de là, comme je le disais précédemment, je ne suis pas en mesure de résoudre les problèmes que posent la psychanalyse, je me sers juste dans ses théories qui me semblent quasi-scientifiques ce qui pourraient m’apporter des réponses quand à certains de mes questionnements existentiels. Ce que la science reconnue n'est pas toujours en mesure de faire, lorsqu'il s'agit de réflexion métaphysique.

Maintenant si je choisis de m'avouer avoir quelques angoisses pouvant expliquer certains caractères chez moi, je comprends et respecte qu'un autre décide de ne pas savoir, ou même de nier ça chez lui, parce que si ça se trouve il n'a que très peu d'angoisse comparé à ma personne, ou bien il en a aussi, mais qu'il est préférable pour lui de ne pas le voir.

Je veux juste comprendre pourquoi je me drogue, et je sais que ça n'est pas parce que je suis rempli de joie...


Dreamea a dit:
Excuse ma méprise, c'est de passer par les concepts Freudiens qui m'a fait me questionner sur le degré d'académisme dans ta démarche, mais en même temps comment expliquer des concepts sans passer un minimum par des définitions acquises ? On a rien sans héritage.

Il n'y a aucun académisme dans mon travail, mais je met des définitions au début de chacun de mes articles. Dont des citations de psychanalystes reconnus.

Après je pas faire mieux, si les gens préfèrent être sceptique et ne pas plus s'intéresser au contenu de la psychanalyse, libre à eux. Moi je me plais à remettre en question les présupposés que j'avais.


Dreamea a dit:
Je me place pas en tant que détracteur acharné de la psychanalyse mais je pense que de questions doivent encore se poser pour faire avancer le schmilblick, et ce en élargissant le spectre de la recherche sur les concepts précédemment abordés par les pionniers de la discipline, et ce en spécialisant la recherche à des domaines plus précis, ce qui inévitablement amène des dissensions au sein de la discipline sur l'importance ou la légitimité de telle ou telle spécialisation,

C'est déjà en cours, des branches mêlant psychanalyses et approches cognitivistes se créent, et on verra quels travaux en ressortira pour valider certaines thèses psychanalytiques. Pour ce qui est de la première topique, c'est déjà tamponné et validé par les vrais scientifiques hein :D
 
La première topique étant le Moi ? Fallait le faire, des millions d'années de spéculations pour arriver à quelque chose de concluant là dedans (sources ?). On en reparlera quand il y aura une emprise scientifique indéniable sur l'inconscient collectif haha :p Je souhaite bon courage aux mathématiques pour planter leurs griffes là-dedans et commencer à dessiner l'ébauche d'une logique sur un schéma abstrait et mouvant !
 
Alala pas du tout...je te conseille de commencer par l'article introducteur des topiques freudiennes huhu : http://www.psychonaut.com/psychonau...ues-freudiennes-les-instances-psychiques.html

La première topique c'est celle qui décrit le rôle du conscient, du pré-conscient, et de l'inconscient, dans les systèmes de perceptions-sensations-interprétations.

La seconde topique qui est arrivée une vingtaine d'année après, introduit les instances que sont le Ça, le Moi et le Surmoi, en se basant sur la première topique.

Et qui aujourd'hui remettrait en cause que l'on est un inconscient, une conscience, un pré-conscient ? c'est la base de travail des neurologues, cognitivistes, psychiatres, etc...on a admit ça à l'unanimité dans tous les cercles intellectuels, qu'ils soient scientifiques ou métaphysiques avec la philosophie, enfin bref en socio et en littérature aussi c'est reconnu depuis des décennies voire des siècles, jusque dans l'esprit des gens lambdas.

Pour ce qui est du Moi, je crois qu'on l'a largement reconnu depuis Descartes qui a mis le sujet au centre de ses réflexions métaphysiques et de ses révolutions mathématiques, avec le système cartésien et sa méthodologie scientifique du doute, qui est arrivé jusqu'à nous. Maintenant il est avéré que Descartes s'est trompé quand à la place du sujet, du Moi dans l'esprit (on devrait ne pas dire "Je pense donc je suis", mais plutôt "Plus je pense, moins je suis"), sauf que cela n'empêche pas l'existence du Moi, et le fait qu'il soit reconnu par n'importe quel occidental, passant son temps à dire "Moi je"....
 
Dreamea a dit:
Putain faut vraiment te détendre je te jure...
Au passage c'est pas plus ésotérique que du Jung hein, je te conseil également "Métamorphose de l'âme" de ce dernier, un grand moment de science appliquées et non-ésotériques, quitte à se sentir emplit du pragmatisme de devoir parler d'un sujet autant savoir de quoi il en retourne.

A qui tu causes mec ?

Si certains doivent se détendre, ce sont les gros psychorigides sans aucun humour et à l’ego sur-dimensionné qui pullulent ici.

Alors plutôt que de vous branler sur des textes théoriques très complexes que vous ne maitriserez pas en lisant quelques blogs, pdf, et autres wikipedia, attaquez vous aux auteurs DANS le texte.

Et chronologiquement de préférence.

Je n’ai rien à prouver à qui que ce soit ici. Les preuves, je les fait tous les jours, en acte. Après 10 années d’enseignement.

Alors calmez vous et soyez ouverts.

Au passage, j’adore aussi l’oeuvre de Jung que je connais ainsi que celles d’autres écrivains dont vous n’avez peut être jamais entendu parler.

Si besoin, j’ai une bibliographie de 23 pages à votre disposition...

Pour finir, vu que vous semblez passablement dur de la feuille, je vais me répéter.

Il m’est impossible de présenter succinctement les travaux de Freud ou de Lacan en quelques lignes.
Ces deux auteurs ne supportant pas la médiocrité ou l’à peu près, la mission est impossible.

Jeune découvreur et curieux ne peut décemment pas comparer ses acquisitions avec vieux briscard de la pratique. Je travaille ces textes depuis 1987 et j’essaie de les mettre, continuellement, à l’épreuve de la clinique.

C’est un peu comme je voulais polémiquer et étaler mes connaissances en physique quantique avec un physicien expérimenté de 50 balais faisant de la recherche au CNRS.

Comment lui dire « Hé mec, t’as pas bien compris de quoi il s’agit. Laisse moi t’éclairer un ptit coup. »

Ridicule, non ?

Alors, soit vous respectez ces longues années de travail et vous faites preuve de lucidité et d’humilité, soit vous vous laissez emporter par votre égo et votre manque d’objectivité.

Je m’en tape.

Les publications ont déjà eut lieu. Je ne suis plus en quête d’une quelconque reconnaissance, mes pairs m’ayant déjà tout offert.

J’intervenais ici en gentil touriste-grand frère, mais vu l’accueil et le pathos ambiant, je vais vous laisser vous débrouiller.
 
Je parlais a Laura, quand a Jung je ne connait que le livre que j'ai evoquer plus haut et que si tu l'as lu, tu ne pourra nier qu'il soulève enormement de question qui demeurent encore a ce jour sans reponses. Je viens pas apprendre a qui que ce soit la psychanalyse parce que j'y connais pratiquement rien comme tu le souligne, seulement apporter mon point de vue qui n'est pas non plus sans reference bien que neophyte, a toi de juger de la pertinence d'un propos d'apres l'experience qu'on a d'un sujet vu que dans le cas present ca a l'air de t'arranger.
 
Burned a dit:
Il m’est impossible de présenter succinctement les travaux de Freud ou de Lacan en quelques lignes.
Ces deux auteurs ne supportant pas la médiocrité ou l’à peu près, la mission est impossible.

He bien si c'est trop dur pour toi d'en parler en partageant ce que tu sais, et que tu préfères nous, enfin te faire rêver avec tes années de pratique et de théorie, tu peux continuer à lire ta biographie de 23 pages et nous laisser dans notre médiocrité, c'est cool y a pas de soucis. On est jeune et pour certains dans une démarche d'apprentissage, sauf que personne ici n'a envie de se taper tous les séminaires de Lacan, parce que personne n'a envie de devenir psychanalyste ou un prof fana de Lacan, enfin je ne comprends pas pourquoi tu nous ressors la rengaine de l'académisme alors qu'on s'est mit au clair précédemment, à savoir qu'il n'en était pas question ici... on est pas à la BU mec.

A ce niveau là c'est toi qui est dur de la feuille, et revenir avec tes gros sabots relance juste une inutile polémique/joute puérile. Nous ne sommes pas tes élèves et encore moins tes petits frères, et tu ne peux pas nous imposer tes volontés de prof/chercheurs, bref tu t'es trompé d'endroit pour ça.

Mais je vois que tu as besoin de reconnaissance lol, et pour ma part je te respecterai lorsque tu m'auras montré que t'es honnête dans ta démarche, à savoir que tu n’interviens pas juste pour juger mon travail en disant le plus simplement du monde c'est bien ou pas bien, sauf que je ne te dirais pas pourquoi parce que c'est trop long à développer tu comprends, enfin non tu comprends pas.........ce qui revient pour moi à dire depuis ton piédestal "moi je sais mais pas vous, et vous allez rester ignorants".

Enfin si c'est ça la mentalité d'un super prof universitaire, et bien je trouve qu'un tel sentiment de supériorité ne donne pas envie...on est ici sur une plate forme d'échange et de partage d'idée, il serait peut être temps que tu nous fasses part des tiennes, sinon pourquoi t'énerver en devenant un super égotique comme nous ? t'as besoin de nous prouver que t'as un petit côté mégalo ou quoi ? (humour hein)

Plus sérieusement, si t'as vraiment un savoir à nous partager et même à nous enseigner, tu es le bienvenu, mais si c'est juste pour nous dire que t'es un expert et qu'on ne vaut pas la peine que tu fasses un effort de rédaction, c'est sur que ça va faire des étincelles et qu'il serait préférable que les noobs restent entre eux, et que toi tu œuvres dans ton coin avec tes potes spécialistes. Même si apparemment t'as déjà tout publié et que tu as eu une reconnaissance suffisante de tes pairs lol..
 
D'après ce que j'ai vécu si on me parle de psychanalyse je pense:
Fumisterie (son histoire est motivée par des mouvements d'argent), pas fiable (on peut tromper complètement un psychanalyste), et sans réelles connotations établies (ça change d'un pays à l'autre selon les moeurs). Mais bon si ça fait du bien à certains tant mieux :)
Freud pour moi a mis de côté une chose fondamentale et il me semble avoir lu des choses comme quoi de nos jours les perceptions des choses avaient changées.
Bref sont travail est-il essentiel? Je n'ai pas la réponse. Les autres personnes citées je ne connais pas donc I shut up
Mais autour de tout ça une chose ressortira: Le besoin de créer des pathologies ça dure depuis plus de 200ans.
 
Laura Zerty a dit:
He bien si c'est trop dur pour toi d'en parler en partageant ce que tu sais, et que tu préfères nous, enfin te faire rêver avec tes années de pratique et de théorie, tu peux continuer à lire ta biographie de 23 pages et nous laisser dans notre médiocrité, c'est cool y a pas de soucis. On est jeune et pour certains dans une démarche d'apprentissage, sauf que personne ici n'a envie de se taper tous les séminaires de Lacan, parce que personne n'a envie de devenir psychanalyste ou un prof fana de Lacan, enfin je ne comprends pas pourquoi tu nous ressors la rengaine de l'académisme alors qu'on s'est mit au clair précédemment, à savoir qu'il n'en était pas question ici... on est pas à la BU mec.

A ce niveau là c'est toi qui est dur de la feuille, et revenir avec tes gros sabots relance juste une inutile polémique/joute puérile. Nous ne sommes pas tes élèves et encore moins tes petits frères, et tu ne peux pas nous imposer tes volontés de prof/chercheurs, bref tu t'es trompé d'endroit pour ça.

Mais je vois que tu as besoin de reconnaissance lol, et pour ma part je te respecterai lorsque tu m'auras montré que t'es honnête dans ta démarche, à savoir que tu n’interviens pas juste pour juger mon travail en disant le plus simplement du monde c'est bien ou pas bien, sauf que je ne te dirais pas pourquoi parce que c'est trop long à développer tu comprends, enfin non tu comprends pas.........ce qui revient pour moi à dire depuis ton piédestal "moi je sais mais pas vous, et vous allez rester ignorants".

Enfin si c'est ça la mentalité d'un super prof universitaire, et bien je trouve qu'un tel sentiment de supériorité ne donne pas envie...on est ici sur une plate forme d'échange et de partage d'idée, il serait peut être temps que tu nous fasses part des tiennes, sinon pourquoi t'énerver en devenant un super égotique comme nous ? t'as besoin de nous prouver que t'as un petit côté mégalo ou quoi ? (humour hein)

Plus sérieusement, si t'as vraiment un savoir à nous partager et même à nous enseigner, tu es le bienvenu, mais si c'est juste pour nous dire que t'es un expert et qu'on ne vaut pas la peine que tu fasses un effort de rédaction, c'est sur que ça va faire des étincelles et qu'il serait préférable que les noobs restent entre eux, et que toi tu œuvres dans ton coin avec tes potes spécialistes. Même si apparemment t'as déjà tout publié et que tu as eu une reconnaissance suffisante de tes pairs lol..


Laura puisque tu insistes, ce qui n'est pas rassurant, je vais te dire ce que j'en pense.

C'est toi qui me nomme mégalo ?

C'est l'hôpital qui se fout de la charité.

Alors en petite aparté, retour du berger à la bergère.

La psychorigidité, l’hypertrophie du moi, une agressivité verbale certaine, l’absence totale d’humour, une incapacité à gérer ta frustration, des propos parfois un peu délirants, en bon sémiologue , ça me fait un peu penser à une structure clinique quelque peu inquiétante, isolante socialement, ponctuée de crises de doute, de convictions, d’angoisse ponctuelle, d'éléments persécutifs très récurrents, de propos projectfs permanents, trouble thymiques notables, d'absence d'humilité, d’addictions apaisantes...

EXEMPLE : je ne n'ai jamais parlé de médiocrité vous concernant.

JAMAIS. Je vous trouve même plutôt brillants pour être honnête. ET tu le sais très bien vu tous tes posts que j'ai liké. Alors arrête de raconter des conneries.

J'ai écrit que ni Freud ni Lacan ne supportaient la médiocrité d'un article ou livre écrit par une personne que ne ferait pas le travail correctement.

MOI, en l'occurence qui ai, triplement dit, que je ne m'en sentais pas capable dans ce cadre, ici.

C'est moi qui ne veut pas me montrer médiocre dans ce travail.

Alors qui est se situe aussi dans un délire d'interprétation versant persécutif quasi permanent ?

Difficile à vivre au quotidien. Je suis certain que nous nous comprenons.

Alors à votre place, je consulterai sans tarder. Cela vous permettrait vraiment de faire le point. Et pourquoi pas de faire un vrai travail sur vous même.

Les livres ne soignent pas.

Et je dis cela sans méchanceté. C’est juste un constat clinique auquel, il faut le dire, tu es très doué à me pousser. Alors ne viens pas pleurer.

Et dans la mesure ou, moi, je ne souhaite ni ton malheur ni une aggravation de ton état, je t'offre une petite K virtuelle.

La K, c'est bon, ça apaise et entraine une dissolution de l'ego non négligeable.

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bhS4BLZes[/video]
 
c'est vrai ça Laura... tu te places tjs comme une sorte de magistrat en toge rouge sur ce forum et tu fais une application de ta spécialisation plus au judiciaire que dans le domaine psy.
ptn tu n'arrêtes pas de juger autrui.
Tu devrais te dire que tout le monde peut aller consulter et se remettre en question. A moins que tu préfères te distinguer du genre humain en une zone privilégiée en assénant des trucs valables pour une certaine faune sauf pour toi?

D'ailleurs c'est valable aussi pour les magistrats.

Lucette a dit:
D'après ce que j'ai vécu si on me parle de psychanalyse je pense:
Fumisterie (son histoire est motivée par des mouvements d'argent), pas fiable (on peut tromper complètement un psychanalyste), et sans réelles connotations établies (ça change d'un pays à l'autre selon les moeurs). Mais bon si ça fait du bien à certains tant mieux
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Freud pour moi a mis de côté une chose fondamentale et il me semble avoir lu des choses comme quoi de nos jours les perceptions des choses avaient changées.
Bref sont travail est-il essentiel? Je n'ai pas la réponse. Les autres personnes citées je ne connais pas donc I shut up
Mais autour de tout ça une chose ressortira: Le besoin de créer des pathologies ça dure depuis plus de 200ans.

ouaih c'est vrai, mais ça fait du bien à certains qui se croient immuables dans la perfection d'aller consulter. C'est un point d'éducation qui manque quand l'égo empiète trop dans cette société...
 
Remerciements profonds Amicale.
Ça fait du bien de me dire que je ne suis le seul à halluciner sur les propos en question.
Sincèrement.
 
Burned a dit:
La psychorigidité, l’hypertrophie du moi, une agressivité verbale certaine, l’absence totale d’humour, une incapacité à gérer ta frustration, des propos parfois un peu délirants, en bon sémiologue , ça me fait un peu penser à une structure clinique quelque peu inquiétante, isolante socialement, ponctuée de crises de doute, de convictions, d’angoisse ponctuelle, d'éléments persécutifs très récurrents, de propos projectfs permanents, trouble thymiques notables, d'absence d'humilité, d’addictions apaisantes...

EXEMPLE : je ne n'ai jamais parlé de médiocrité vous concernant.

JAMAIS. Je vous trouve même plutôt brillants pour être honnête. ET tu le sais très bien vu tous tes posts que j'ai liké. Alors arrête de raconter des conneries.

J'ai écrit que ni Freud ni Lacan ne supportaient la médiocrité d'un article ou livre écrit par une personne que ne ferait pas le travail correctement.

MOI, en l'occurence qui ai, triplement dit, que je ne m'en sentais pas capable dans ce cadre, ici.

C'est moi qui ne veut pas me montrer médiocre dans ce travail.

Alors qui est se situe aussi dans un délire d'interprétation versant persécutif quasi permanent ?

Oki, j'ai parfois du mal à comprendre ce que (me) veulent mes contemporains, c'est le problème du virtuel, quand je ne vois pas mon interlocuteur je m'imagine tout et n'importe quoi à son propos quand il ne développe pas sa pensée. Et cette semaine je me suis mis dans une posture de chevalier blanc qui me pousse à flipper au final, c'est bancal.

Le problème c'est qu'on interagit comme si on était pote (avec humour/ironie) à propos de sujet dont on ne connait ni le point de vue de l'autre, ni la personne qu'on a en face de soi, et ça peut poser des problèmes. Par exemple Burned, je croyais que t'étais un gars de 20-25 ans au départ, qui répondait à mes posts en disant quelque chose sans trop rien dire ou en se faisant passer pour quelqu'un voulant dire qu'il sait, et étant habitué à être trollé de toute part sur internet, j'ai cette tendance à réagir avec méfiance et défiance, quand je ne comprends pas la position de mon interlocuteur.

Par exemple ce genre de malentendu ne serait pas arrivé en face à face, enfin on se saurait expliqué directement et ça n'aurait pas entrainé de quiproquo ou de suspicion.

Pour les likes, j'y prête pas plus attention que ça je t'avoue, enfin je ne fais pas un historique des personnes likant mes posts, je retiens surtout les interventions et les propos des gens, et je construis mes relations virtuelles sur cette base de dires. Bon après pour ce qui est de mes tendances et déviances mentales, je vous présente mes excuses je suis tendu en ce moment. Enfin comme tout le temps, mais là je laisse parler la boite à ego lol.

Vis à vis de ton savoir clinique, libre à toi d'en faire ce que tu veux Burned, en tout cas si un de ces quatre tu veux participer à la diffusion de connaissance sur la psyché humaine, et permettre à tout un chacun de comprendre ce qu'il vit et ce que l'autre vit quand à ses structures mentales, y a de quoi faire pour présenter quelques schémas types (et ça doit être d'autant plus simple pour toi qui a déjà toutes les infos et connaissances, après faut juste se mettre à la place d'un non initié, et voir à ne pas le perdre en présentant les informations de manières simples et intéressantes, enfin je trouve que c'est un bon exercice, après je comprends que ça ne te chauffe pas plus que ça).

Là je propose de la vulgarisation à propos des instances psychiques, puis j'en viendrais à passer par la dissociation de l'ego et les frontières du Moi, avant de proposer un tableau des formes que peuvent prendre la paranoïa et l'addiction, mais c'est un travail laborieux qui effectivement me pousse à douter, et peut être angoissant parce que je ne sais jamais comment vont réagir les lecteurs, et si je me dirige vers une direction qui sert à quelque chose. Néanmoins je reste convaincu que le partage de connaissance est d'utilité publique, parce je me dis que si j'avais eu accès à quelques connaissances vulgarisées à propos des mécanismes psychiques entourant la consommation de stupéfiant ici, j'aurais peut être un peu plus écouté mes ainés qui m'ont mis à maintes reprises en garde, et j'aurais évité de me brûler quelques ailes qui auraient pu me porter ailleurs que dans une dépendance qui me pèse aujourd'hui.

Après je sais bien que les livres ne soignent pas, mais je reste persuadé que la compréhension d'un mécanisme (en l’occurrence de l'addiction et de la paranoïa) permet de mieux en défaire les rouages, que ça soit avant d'être prit dedans, pendant lorsque l'on se fait écraser entre les engrenages de la dépendance ou de la peur, et après pour faire acte de résilience.



amicale_du_pc a dit:
c'est vrai ça Laura... tu te places tjs comme une sorte de magistrat en toge rouge sur ce forum et tu fais une application de ta spécialisation plus au judiciaire que dans le domaine psy.
ptn tu n'arrêtes pas de juger autrui.
Tu devrais te dire que tout le monde peut aller consulter et se remettre en question. A moins que tu préfères te distinguer du genre humain en une zone privilégiée en assénant des trucs valables pour une certaine faune sauf pour toi?

Je sais bien que me présenter en miroir juge de mes contemporains est agaçant, mais je suis comme ça depuis toujours et tu as remarqué que j'ai parfois/souvent du mal à faire avec. Je suis la faune dont tu parles, elle est en moi, et quand je la vois chez autrui, je la lui présente pour lui dire que je comprends ce qu'il ressent. Après ma manière d’interagir entraine culpabilité et désagrément, et ça fiche le boxon dans la savane c'est vrai. Parfois je m'isole pour laisser les gens en paix, parfois je me confronte dans l'arène en espérant ne pas tomber dans un coq, même si cela ne me dérange pas au final tant qu'il en ressort un peu de raison et une volonté de faire mieux la prochaine fois.

Mais ça c'est pas toujours acquis lol, j'en ai marre de moi parfois.
 
bon alors faut te prendre tel que tu es en quelque sorte? Ok, la prochaine x que tu me tombes sur le dos comme un enragé je n'y prêterai pas attention et après on pourra automatiquement remettre le compteur à zéro.

voila, un baiser et c'est passé. Ou comme il y a cours sur ce forum "sans rancune" <émoticône sourire gibbs et RayBan solaires reflétantes...>
 
Y&#8217;a pas de problème Laura. Dans dix ans chui à la retraite et j&#8217;accepte tes excuses. J&#8217;aurai du temps, je postulerai comme modo sur psychonaut :mrgreen: Point barre. On passe à autre chose.
 
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