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Le mauvais profil existe t il?

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion R2d2
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R2d2

Elfe Mécanique
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18/3/18
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Bonsoir,
Toujours dans le cadre de mon projet LSD , une question me trotte dans la tête 
Le mauvais profil, celui qui devrait pas y toucher est il une invention, un dérivé des angoisses et appréhension face aux psychédéliques ou certains profils psy devraient ils s abstenir ? Lesquels? Et on sait comment si on correspond au bon casting ?
Merci!
 
Salut.

De manière générale, on conseille aux personnes sujettes à des troubles psychiques (dépression, trouble bipolaire, schizophrénie entre autres) de s'abstenir ou de faire très attention. Les psychédéliques peuvent entrainer des complications.
En pratique c'est moins binaire, avec un bon set et setting, un bon état d'esprit vis à vis de la molécule, l'usager peut triper normalement voire même se sentir mieux mais c'est quand même risqué disons les choses. Pour moi c'est du cas par cas.

Perso mon père était schizophrène donc prédisposition pour moi aussi, et j'ai des tendances à la dépression et à la paranoïa depuis mes années de gros excès de cannabis (il y a 4 ans environ). ça ne m'a pas découragé et j'ai du faire une centaine de trips avec diverses molécules depuis... Toujours avec beaucoup de prudence et de respect. ça a eu des impacts positifs et négatifs sur ma psyché, mais quand je fais le bilan globalement il est positif... Je remercie mille fois ma bonne étoile de m'avoir préservé de la rupture mentale ;)

Edit : sinon pour moi le vrai mauvais profil, c'est le mec mal dans sa peau, dans un mauvais état d'esprit, qui veut triper pour se défoncer et fuir les soucis. Là ça a de grandes chances de mal se passer...

Pour toi en paticulier, si tu n'a pas de trouble psychique et que tu soigne bien ton set & setting ça se passera bien. Commence doucement.

Fais gaffe à toi.
 
Y a pas de mauvais profil, que des mauvaises situations.

Le problème étant qu'il y a des gens qui sont tout simplement des "casses couilles", en ayant besoin de problèmes pour exister, et donc ils passent leur temps à se fourrer dans des embrouilles qui n'ont pas lieu d'être, quitte à entrainer des gens qui n'ont rien demandé. Ces relous sont toxiques, pour eux comme pour les autres, et lorsqu'ils prennent n'importe quel type de drogue, tu peux être sur à 99% qu'ils vont être au centre de problème stupide, puéril et indésirable.

La faute à leur caractère, du fait qu'ils sont très susceptibles, ou qu'ils dénient la réalité, veulent savoir la vérité quitte à devenir un peu trop curieux, et projettent constamment leur tort sur les autres, ou au contraire s'accusent de tout et n'importe quoi, bref ils vivent dans un délire d'omnipotence ou de persécution faisant qu'ils alternent entre des rôles de bourreau ou de victime.

A partir de là, tu comprends que dans un grand nombre de situation, ces pénibles vont te pourrir ton trip, et le leur bien sur, donc ils ne tireront que peu d'intérêt du produit en société. Maintenant si ils trippent seuls, peu être que la drogue peut leur être bénéfique, mais comme le plus souvent ils ont besoin d'être au contact de gens pour exister, pour se créer des problèmes dans leur dépendance à autrui, à leur environnement, ba ils ne se droguent pas seuls, ou pas aux psychés, sinon ils pètent des câbles.

Généralement ces gens là ne tiennent pas l'alcool, ou vrillent facilement quand ils ont bu. Et ça se retrouve dans leur consommation de drogue (pétage de câble sous MD, prise de confiance maximale sous stim, mais le plus souvent ils évitent les psychés, en préférant les drogues qui te font te croire plus grand que tu ne l'es (stim et empatho). En gros ils évitent les drogues qui te font te révéler à toi-même, ou alors ils baddent de ouf en se rendant compte de leur personnalité, et tu dois les réconforter en leur disant qu'ils ne sont pas si mauvais que ça, que c'est juste la drogue qui ne leur convient pas, enfin vaut mieux qu'ils se tiennent à l'écart du LSD, et qu'ils aillent consulter un psy.

C'est préférable pour eux, et pour leur entourage.

Si tu veux savoir si t'es de ces gens là, suffit de voir ton comportement en société, et si t'es intéressé par les psychés. De base ces gens là savent d'eux-même que les psychés ne sont pas pour eux, et ils ne s'y intéressent pas, ou qu'une fois ou deux avant de lâcher l'affaire. Y a des gens qui aiment faire tomber les masques de leur ego au point de le rechercher (consommateur de disso et de psychés souvent), d'autres détestent ça (consommateurs de stim et empatho, d'opiacé ou d'alcool). Entre les deux y a la majorité des usagers.

Bien sur rien n'est catégorique, et un buveur de vodka peut se connaitre mieux qu'un sérial trippeur, enfin on ne peut pas classer les usagers que selon leur consommation. Disons qu'au delà du fait que certaines drogues sont plus portées à l'introspection et d'autres à faire la teuf ou à comater, ce qui compte surtout c'est l'état d'esprit de l'usager, et l'usage qu'il fait du produit. Le LSD n'étant pas des plus recommandés quand tu fais une grosse teuf (enfin dans une consommation de longue durée, tu vas kiffer quelques trips et te rabattre sur d'autres produits plus festifs à la longue).

Un autre paramètre serait ta structure psychique de base, genre si t'es un psychotique avec des tendances paranoïaques ou que t'as des prédispositions à la schizophrénie, dans l'idéal vaut mieux t'abstenir de prendre du LSD. Surtout si des troubles psychiques et identitaires apparaissent à l'adolescence comme c'est souvent le cas, au moment où l'on se met à proder.

Mais au final rien n'est sur à 100%, et tout est une question d'environnement, de dosage, et de régularité dans les trips surtout.
 
Tout a été dit, le mauvais profil c'est pas forcément une personne, mais l'état d'une personne et les conditions dans lesquelles elle prend, le set and setting.
Après il y a des profils plus ou moins en osmose avec la prise de psyché.

L'idéal dans la prise d'un psyché, pour les quelques fois où j'ai pris, c'est d'avoir du self-control, de se laisser porter par le courant, d'être détendu, d'être renseigné sur les effets et d'apprécier l'instant (faut savoir relativiser). Il faut être bien entouré, dans un environnement agréable et où tu te sens pas oppressé. Ah oui et faut y aller mollo sur la weed, et plus particulièrement les douilles parce que ça potentialise le truc de manière bien bordélique en plus.
 
Basiquement perso je pense qu'il y a des personne qui vont mieux supporter la drogue, surtout ceux par ex qui ont besoin de faire resilience sur n'importe quoi par tout les moyens. Pour eux, n'importe quel changement est bienvenue. AD, LSD, ECT, lobotomie... Au moins disont que leurs trouble seront ego dystonique (il ne s'en rendront pas compte).

Les personnalité qui sont plus concentré sur la conservation de leur égo vont plus en chier (les introvertie statique - Ti & Fi si tu connais la socionic).

Plus t'es avancé en age normallement moins t'aura de probleme (il ne faut pas etre vieux quand meme). Moi j'aurais dis pas avant 25 ans tout ces truc. Perso a 18 je ne sais pas si j'aurai supporté mais il y en a pas mal qui on pris du LSD a 18 ans sans probleme, ça ne veux rien dire.

Théorie fumeuse et personnelle tout ça lol.

Sinon, plus serieusement, regarde un peu sur internet si il y a des gens qui parle des prédisposition pour le HPPD ou la dépersonnalisation, sachant que c'est loin d'etre valable pour tout les cas, dans mon cas j'avais experimenté la depersonnalisation apres de la salvia et je ne l'ai pas eu a nouveau avec du LSD. Pour le HPPD je ne sais pas si il y a des predisposition. Meme chose ce serait plus facile si tu avais pris d'autre drogues dans le genre avant et que des symptomes seraient resté pendant un temps par ex. Mais bon, franchement, c'est rare comme truc, c'est juste si tu t'en fais quoi...
 
Laura Zerty a dit:
Y a pas de mauvais profil, que des mauvaises situations.

Le problème étant qu'il y a des gens qui sont tout simplement des "casses couilles", en ayant besoin de problèmes pour exister, et donc ils passent leur temps à se fourrer dans des embrouilles qui n'ont pas lieu d'être, quitte à entrainer des gens qui n'ont rien demandé. Ces relous sont toxiques, pour eux comme pour les autres, et lorsqu'ils prennent n'importe quel type de drogue, tu peux être sur à 99% qu'ils vont être au centre de problème stupide, puéril et indésirable.

La faute à leur caractère, du fait qu'ils sont très susceptibles, ou qu'ils dénient la réalité, veulent savoir la vérité quitte à devenir un peu trop curieux, et projettent constamment leur tort sur les autres, ou au contraire s'accusent de tout et n'importe quoi, bref ils vivent dans un délire d'omnipotence ou de persécution faisant qu'ils alternent entre des rôles de bourreau ou de victime.

A partir de là, tu comprends que dans un grand nombre de situation, ces pénibles vont te pourrir ton trip, et le leur bien sur, donc ils ne tireront que peu d'intérêt du produit en société. Maintenant si ils trippent seuls, peu être que la drogue peut leur être bénéfique, mais comme le plus souvent ils ont besoin d'être au contact de gens pour exister, pour se créer des problèmes dans leur dépendance à autrui, à leur environnement, ba ils ne se droguent pas seuls, ou pas aux psychés, sinon ils pètent des câbles.

Généralement ces gens là ne tiennent pas l'alcool, ou vrillent facilement quand ils ont bu. Et ça se retrouve dans leur consommation de drogue (pétage de câble sous MD, prise de confiance maximale sous stim, mais le plus souvent ils évitent les psychés, en préférant les drogues qui te font te croire plus grand que tu ne l'es (stim et empatho). En gros ils évitent les drogues qui te font te révéler à toi-même, ou alors ils baddent de ouf en se rendant compte de leur personnalité, et tu dois les réconforter en leur disant qu'ils ne sont pas si mauvais que ça, que c'est juste la drogue qui ne leur convient pas, enfin vaut mieux qu'ils se tiennent à l'écart du LSD, et qu'ils aillent consulter un psy.

C'est préférable pour eux, et pour leur entourage.

Si tu veux savoir si t'es de ces gens là, suffit de voir ton comportement en société, et si t'es intéressé par les psychés. De base ces gens là savent d'eux-même que les psychés ne sont pas pour eux, et ils ne s'y intéressent pas, ou qu'une fois ou deux avant de lâcher l'affaire. Y a des gens qui aiment faire tomber les masques de leur ego au point de le rechercher (consommateur de disso et de psychés souvent), d'autres détestent ça (consommateurs de stim et empatho, d'opiacé ou d'alcool). Entre les deux y a la majorité des usagers.

Bien sur rien n'est catégorique, et un buveur de vodka peut se connaitre mieux qu'un sérial trippeur, enfin on ne peut pas classer les usagers que selon leur consommation. Disons qu'au delà du fait que certaines drogues sont plus portées à l'introspection et d'autres à faire la teuf ou à comater, ce qui compte surtout c'est l'état d'esprit de l'usager, et l'usage qu'il fait du produit. Le LSD n'étant pas des plus recommandés quand tu fais une grosse teuf (enfin dans une consommation de longue durée, tu vas kiffer quelques trips et te rabattre sur d'autres produits plus festifs à la longue).

Un autre paramètre serait ta structure psychique de base, genre si t'es un psychotique avec des tendances paranoïaques ou que t'as des prédispositions à la schizophrénie, dans l'idéal vaut mieux t'abstenir de prendre du LSD. Surtout si des troubles psychiques et identitaires apparaissent à l'adolescence comme c'est souvent le cas, au moment où l'on se met à proder.

C'est tout moi ! bah finalement j'ai eu aucun probleme ^^... Ah c'est parce que je trip seul :p

Serieux je trouve que c'est presque une heresie de tripper a plusieur (genre en teuf), a part à la limite avec un bon pote... Ca peut etre marrant de tripper en teuf, je l'ai fait qu'une deux fois heureusement que c'est pas partie en couille dans un sens, mais maintenant que j'ai un peu changé sur tout ces sujet je ne sais pas si je le ferais encore en fait... Depuis un certain moment c'est quand meme plus une question de meditation/introspection ou faire le con (tapper des barre en mode self trip avec des activité random)... C'est toujours un peu dans l'optique "faire le point" au final


J'ajoute quelque chose au thread quand meme : moi j'aurai dis pas de weed du tout. Si tu regarde les thread ou il y a eu des probleme post conso sur bluelight, la plupart disent "le trip se déroulais pas trop mal - je fume de la weed à X% du trip - trip multiplié par 1000 je ne comprend plus rien - depuis mon cerveau marche plus"
 
Merci pour ces indications ! Bon les profils énoncés pourirraient n importe quel truc même une simple ballade en foret.
Les boucles ce sont des espèces d anneaux de Moebius ? Des pensées répétées?
Après en évoquant les mauvais profils, je pensais aux profils phobiques.
 
Je trouve le message de Laura assez choquant, parce qu'il culpabilise à mort les personnes qui auraient eu des bads, et ramène les instabilités mentales à un comportement de gamin. De ce que j'en ai compris.
Les psychés peuvent être dévastateurs même sur une personne "saine", qui n'avait pas forcément l'intention, consciente et inconsciente, de se mettre dans une sale situation.
Certaines personnes sont plus "fragiles" que d'autres mais ne le savent pas forcément avant de prendre de la drogue, ou ne pensaient pas avoir cette vulnérabilité-là, et ça se passe mal pour elles.
Tu parles de comportements auto-destructeurs répétés, alors que le message initial s'interrogeait dans l'absolu sur la rencontre entre une structure mentale particulière et la prise d'un psyché, ce qui n'est pas la même chose.
Personne n'est responsable de ses troubles mentaux, ni les autistes ni les schizos ni les toqués ni les dépressifs. Au lieu de tout ramener à des questions de narcissisme, comme le font des psychanalystes à la con qui font beaucoup de mal aux personnes concernées, il est indispensable de reconnaître la vulnérabilité de ces personnes, de les décharger de la honte improductive que suscitent ces étrangetés par rapport à la norme éreintante de la santé physique et mentale, et de chercher des solutions pratiques.
La chaîne de PsykoCouac sur YT fait bien ce taff, il vulgarise certains troubles puis propose des pistes pour se décharger de leur poids, avec des indications d'ouvrages plus pointus pour les intéressés.
En conclusion je dirais la même chose que ceux du dessus : tout est possible en ce monde. Ensuite, certains cas sont si complexes que le possible est d'une infimité revenant à l'impossible. C'est aussi une chose qu'on doit accepter. Il n'y a pas de mal à ne réellement pas se sentir capable de quelque-chose, y compris de se proder.
 
triper seul c'est bien sur le coup... mais à plus longue échéance cela a l'effet de nous éloigner socialement un peu comme un moine dans la montagne ou un gardien habitant dans un phare. On devient comme klkun avec un statut social d'isolé qui fait des sorties au ravitaillement et avec les contacts minimums obligatoires. Pour soi-même c'est très bien niveau intropsection et méditation mais c'est aux yeux des autres que cela coince et cela peut même aller jusqu'à incider sur ton indépendance.

triper en commité restreint et en intra-muros est la solution que je préfèrais. Bien que à un certain moment l'idée d'aller voir dehors peut se pointer... Expédition ! Mais de toutes façons en petit groupe, socialement l'"autre" se rappelle à toi de façon ponctuelle au long du trip et cela entretient la conscience de l'être humain avec les êtres humains. On ne rompt pas les ponts.

triper dans la foule... mouaih, on ne dispose pas de son propre trip... trop de choses, d'incidences qui surviennent dans tous les sens. Cela ne signifie pas forcément que ce sera un mauvais trip mais il faut déjà être un peu plus robuste psychologiquement. Par exemple un je m'enfoutiste sera mieux disposé à vivre un trip en public. Autrement on est trop en expectative et le trip n'aura servi qu'à être dépaysé bêtement sans crédit pour l'introspection ni même la contemplation des visus, ce qui serait dommage en ce cas. Pour triper en public et profiter des visus on peut se prémunir des mauvaise vibrations en prenant un cachet effervescent de vitamine C avant le trip... On ne le dit pas souvent mais pourtant c'est bon, et pour le faible investissement cela procure beaucoup d'avantages. J'ai même envie d'alléguer ici la vitamine C à une mesure anti-bad.

(pour la polémique entre les membres qui s'annonce ci-dessus, c'est vrai que un je m'en foutiste dans la vie a un meilleur profil pour des trips sereins. Pour être comme cela, à vos vitamines C !!)
 
Tridimensionnel a dit:
Je trouve le message de Laura assez choquant, parce qu'il culpabilise à mort les personnes qui auraient eu des bads, et ramène les instabilités mentales à un comportement de gamin. De ce que j'en ai compris.
Les psychés peuvent être dévastateurs même sur une personne "saine", qui n'avait pas forcément l'intention, consciente et inconsciente, de se mettre dans une sale situation.
Certaines personnes sont plus "fragiles" que d'autres mais ne le savent pas forcément avant de prendre de la drogue, ou ne pensaient pas avoir cette vulnérabilité-là, et ça se passe mal pour elles.
Tu parles de comportements auto-destructeurs répétés, alors que le message initial s'interrogeait dans l'absolu sur la rencontre entre une structure mentale particulière et la prise d'un psyché, ce qui n'est pas la même chose.
Personne n'est responsable de ses troubles mentaux, ni les autistes ni les schizos ni les toqués ni les dépressifs. Au lieu de tout ramener à des questions de narcissisme, comme le font des psychanalystes à la con qui font beaucoup de mal aux personnes concernées, il est indispensable de reconnaître la vulnérabilité de ces personnes, de les décharger de la honte improductive que suscitent ces étrangetés par rapport à la norme éreintante de la santé physique et mentale, et de chercher des solutions pratiques.
La chaîne de PsykoCouac sur YT fait bien ce taff, il vulgarise certains troubles puis propose des pistes pour se décharger de leur poids, avec des indications d'ouvrages plus pointus pour les intéressés.
En conclusion je dirais la même chose que ceux du dessus : tout est possible en ce monde. Ensuite, certains cas sont si complexes que le possible est d'une infimité revenant à l'impossible. C'est aussi une chose qu'on doit accepter. Il n'y a pas de mal à ne réellement pas se sentir capable de quelque-chose, y compris de se proder.

j'avoue que ça me rassure, pendant un moment j'ai cru que seules les personnes totalement saines d'esprit pouvaient être en mesure d'essayer....ça ferait peu de monde...
après je comprends bien qu'un internaute qui vient chercher que des infos mais n'a rien à apporter, ça fait boulet.
Mais hors de question que je me jette à l'eau sans en avoir appréhendé la profondeur, les conséquences possibles etc.
 y a des infos comme la longueur (10hrs !!!!), les doses, les trucs comme la vitamine C etc qui sont hyper utiles et qui sortent d'avantage de l'expérience de tous que des bouquins.
et au final un mauvais profil c'est un tas de circonstances internes et contingentes difficiles à évaluer. explorer la conscience, beau projet mais pas à n'importe quel prix.
ce qui m'amène aux phénomènes des boucles : c'est quoi en fait, des anneaux de Moebius mentaux? des idées obsédantes et parasites?
merci! :cool:
 
Ça c'est indéniable, n'importe qui peut bad-tripper, le plus important c'est de savoir préparer le truc et de savoir si on a envie de prendre. Même si il y a des gens plus enclins à badtripper que d'autres et qu'il y a des personnes qui doivent faire vraiment attention, tripper c'est pas réservé à une élite de gens "saints d'esprit".
Et comme je viens de lire plus haut, il est vrai qu'un jemenfoutiste peut avoir des facilités à tripper dans le sens où il ne se prend pas la tête, après je dis quand même prudence parce que je pense que ça peut être à double tranchant dans certaines situations.

Une boucle en gros c'est quand tu penses à quelque chose et que tu n'arrêtes pas de tourner autour de cette idée, tu es coincé dans une boucle de pensée qui se répète. Tu penses tellement vite sous L que par moment tu peux être amené à penser à un truc et à boucler autour parce que par exemple toutes les 5 secondes tu oublies à quoi tu pensais juste avant, donc tu recommences ta réflexion à chaque fois et tu mets parfois du temps à penser à autre chose. Il y a boucle quand tu n'arrêtes pas de faire une réflexion en boucle dans tête, et ce en mettant du temps à aller à son terme ou à la laisser tomber. Après voilà, toutes les boucles ne se ressemblent pas, ça varie mais en gros c'est ça.

Par exemple à ma deuxième prise, j'ai pris très cher et à la fin de la soirée j'ai passé toute la fin de ma redescente (vers 6h du matin) à boucler sur une chose : la prononciation des mots. Je les décomposais dans ma tête pour me dire que c'était juste des sons sans sens, et j'ai pas arrêté de répéter ces mots dans ma tête et plus je le faisais plus ils perdaient de leur sens, j'en suis arrivé au point où je ne savais limite plus parler tant les mots avaient perdu du sens dans ma tête et n'étaient plus que des syllabes auxquelles on avait détaché tout sens donné par une langue. Y'a qu'à 11-12h du matin que je suis sorti de état (où je ne voyais même plus le temps passer et où je ne sais même pas vraiment à quoi je pensais) et que j'ai recommencé à penser normalement. Bon, ce soir là j'avais abusé sur la fume, d'où le fait que je dise d'y aller mollo, la fume créé parfois un gros désordre dans ta tête sous L et c'est ce que ça a fait dans la mienne. Certains te diront même de ne pas fumer du tout, c'est effectivement le plus raisonnable à faire, mais si jamais tu tiens à fumer pendant ton trip limite-toi à quelques barres de joint ou bien à la clope.
 
En fait ça au moins ce sera vite régler, j aime pas fumer cad ni cloppe ni joints ou autre, j aime pas les effets ni les ressentis.

Les boucles en fait c est la tendance à s enfermer dans une idée mais en accélérer et en difficilement contrôlable ?

Si je synthétise un peu les informations : pour apprécier la prise de LSD il faut être prêt à perdre le contrôle ?
 
Oui voilà, c'est ça une boucle. Selon-moi tu peux réussir à sortir d'une boucle si tu te rends compte que t'es justement dans une boucle et que tu t'égares un peu. Après c'est un des éléments qui composent habituellement un trip de L, t'as pas à t'inquiéter pour une boucle, c'est le genre de phase que t'as à plein de moments d'un trip, il suffit juste de pas trop t'entêter sur la réflexion et d'être chill.

Pour apprécier la prise de LSD, je dirais qu'il faut être prêt à cohabiter intérieurement avec la substance et ses effets. Tu dois être prêt à perdre le contrôle mais pas forcément totalement, tu dois apprendre à t'entendre avec le L et à faire plus qu'un avec les effets. C'est comme une pente : tu dois pas forcément la suivre sans rien faire, tu peux te diriger dans la descente, mais essaie pas de freiner sinon tu vas te casser la gueule, essaie pas de lutter contre cette force qui te pousse, apprends plutôt à en profiter.
 
Comme au ski ?

Sinon y a quand même un domaine où je nage (coule) en eaux profondes, je suis pas chimiste, ce sont les subtilités entre le vrai LSD, les pseudo-faux LSD qui ont un effet proche ect.....

Après la personne que je cible comme setter me disait qu il y a rien de meilleur que la mescaline, ben oui mais en France.  ...les cactus sont rares.
Ça c était après avoir dit non ... Puis oui mais...à suivre
 
La boucle en soit ce n'est pas bien grave, ce qui est grave c'est quand elle est mauvaise.

J'ai vécu une fois une sale boucle sous L ben j'en ai encore des frissons quand j'y pense, alors qu'en soi ce n'était pas si violent. j'ai commencé à voir des insectes partout (pas les voir réellement mais j'avais des flashs, ou alors quand ma vision se brouillait j'y discernais plein de petites tiques), ce qui était bien flippant en soi, mais ensuite j'ai fait ZE erreur, consistant à partir en introspection pour savoir d'où ça venait et affronter ma peur ; et comme j'ai une estime de moi bien niquée, je suis directement partie sur "j'ai ces hallus parce que j'ai un problème parce que je suis fondamentalement ratée etc." ; quand j'ai rouvert les yeux je voyais les branches des arbres me pointer du doigt d'un air menaçant, et des visages souffrants dans les feuillages au loin... Bref c'était la merde et j'avais plus qu'à accepter en silence le pessimisme de la vie. Pfiou ! Après ça j'ai eu des flashs de guêpes et d'araignées pendant quelques jours, et j'ai peur de reprendre du L. Trop cool.

Et pourtant, rétrospectivement ça aurait pu être évité. En fait, je faisais le dépucelage d'un pote, donc dans mon esprit je ne devais surtout pas l'inquiéter en lui communiquant mon mal-être, ce qui m'a conduite à me renfermer sur moi-même et bader avec le sourire. J'aurais dû lui expliquer que je commençais à partir en vrille, et lui demander de détourner mon attention. Par exemple en me montrant quelque-chose pour qu'on tripe tous les deux dessus, ou en me mettant de la musique. En gros les trips c'est comme la vie, quand ça vrille faut pas hésiter à demander de l'aide, et si possible à des gens efficaces.

Et pour cela, le mieux c'est de bien préparer le trip à l'avance. Normalement, je mets dans ma poche gauche le nom de la molécule, le dosage, ce genre d'infos pratiques, et dans ma poche droite un calmant et un somnifère. La personne qui tripe avec moi le sait, et si je pars vraiment en cacahuètes, elle peut m'aider en me donnant le calmant, voire le somnifère dans un cas extrême. Et toutes les informations utiles sont sur moi au cas hautement improbable où je ferais physiquement une réaction de merde, ou me ferait mal (tout peut arriver), et où l'on devrait m'emmener aux urgences. Ce genre de précaution rassure et en plus ça peut réellement être utile.
Mais, rapport à ce que j'ai décrit plus haut, j'aurais aussi dû expliquer à mon pote la marche à suivre pour m'aider psychologiquement. D'un autre côté, je ne savais pas que ça pouvait m'arriver, ou plutôt je le savais, mais sans l'avoir vécu je ne pouvais imaginer ce que c'était. Donc en gros, si t'as tendance dans ta vie réelle à bader sur de la merde, mauvaise estime de toi, parano, que sais-je, tu peux prévoir que ça va un jour ou l'autre parasiter ton trip, et élaborer des stratégies d'évitement communicables à autrui.

Fin de l'exposé *clap clap clap*
 
no_id a dit:
C'est tout moi ! bah finalement j'ai eu aucun probleme ^^... Ah c'est parce que je trip seul :p

Serieux je trouve que c'est presque une heresie de tripper a plusieur (genre en teuf), a part à la limite avec un bon pote... Ca peut etre marrant de tripper en teuf, je l'ai fait qu'une deux fois heureusement que c'est pas partie en couille dans un sens, mais maintenant que j'ai un peu changé sur tout ces sujet je ne sais pas si je le ferais encore en fait... Depuis un certain moment c'est quand meme plus une question de meditation/introspection ou faire le con (tapper des barre en mode self trip avec des activité random)... C'est toujours un peu dans l'optique "faire le point" au final


J'ajoute quelque chose au thread quand meme : moi j'aurai dis pas de weed du tout. Si tu regarde les thread ou il y a eu des probleme post conso sur bluelight, la plupart disent "le trip se déroulais pas trop mal - je fume de la weed à X% du trip - trip multiplié par 1000 je ne comprend plus rien - depuis mon cerveau marche plus"

Je me suis décris en partie aussi tkt :)

Pour la weed je trouve que c'est pas mal pour accentuer le délire justement, mais faut y aller mollo c'est sur, pas s'envoyer un joint entier ou une douille. La weed je trouve ça pas mal pour ne pas trop doser le psyché, genre si t'as envie de voir plus loin, tu fumes un peu et ça monte juste un peu plus, et comme ça pas besoin de s’embarquer dans un gros trip, si c'est pour kiffer un quart d'heure de grosse perche et après vouloir redescendre alors que ça n'est pas possible. La weed redescend assez vite si on prend genre deux ou trois taffes.


Tridimensionnel a dit:
Je trouve le message de Laura assez choquant, parce qu'il culpabilise à mort les personnes qui auraient eu des bads, et ramène les instabilités mentales à un comportement de gamin. De ce que j'en ai compris.
Les psychés peuvent être dévastateurs même sur une personne "saine", qui n'avait pas forcément l'intention, consciente et inconsciente, de se mettre dans une sale situation.

C'est sur, mais là on parle spécifiquement des profils qui ne devraient pas prendre de psyché, et non des personnes saines qui risquent de badder. M'enfin comme je l'ai mentionné, y a des profils qui sont dans le déni et qui vrillent sous prod en se comportant comme des gamins dès que leur conscience est alternée, et qui en présence de certaines personnes engendre de part leur comportement provoquant ou troublant, des tensions multipliant le risque de bad (pour eux et pour les autres).

Après tu peux t'offusquer comme tu veux, mais quand t'as en face de toi un borderline défoncé ou un psychotique qui fait nawak parce qu'il est perché et que la réalité lui a échappé, ba c'est un comportement de gamin parce que la drogue le fait régresser dans un délire enfantin. C'est la réalité et je ne la nie pas, en disant que ses profils feraient mieux de ne pas se droguer, ou alors tout seul pour assumer l’entièreté de leur responsabilité. Et je ne généralise pas, y a des borderlines qui se tiennent très bien, comme des psychotiques qui prennent du LSD sans faire de la merde.

Ce que j'ai remarqué c'est que le profil instable qui a déconné en vient souvent sur le moment à dire que les autres sont les relous qui le culpabilisent d'avoir fait de la merde, ces méchants gens qui ont du le gérer parce que défoncé il était insupportable, comme un gamin insolent. C'est du vu et revu en soirée...et ça m'ennuie d'assister à des problèmes comme ça, comme ça m'ennuie d'être le mec qui a vrillé, donc y a un moment où je me dis qu'il faudrait arrêter de déconner, comme je me permet de le dire aux autres qui déconnent. Sinon on en rigole et tout recommence parce que personne ne se responsabilise.


Tridimensionnel a dit:
Personne n'est responsable de ses troubles mentaux, ni les autistes ni les schizos ni les toqués ni les dépressifs. Au lieu de tout ramener à des questions de narcissisme, comme le font des psychanalystes à la con qui font beaucoup de mal aux personnes concernées, il est indispensable de reconnaître la vulnérabilité de ces personnes, de les décharger de la honte improductive que suscitent ces étrangetés par rapport à la norme éreintante de la santé physique et mentale, et de chercher des solutions pratiques.

Je pense être en mesure de reconnaitre les déterminismes psycho-sociaux-culturels faisant que certaines personnes ont des troubles psys et sont vulnérables, et afin de leur éviter tout problème, je leur conseille de ne pas prendre de drogue, notamment de psychédélique. Si ça peut leur éviter certaines hontes...aussi la drogue n'est pas une solution pratique, donc vaut mieux que ces personnes aillent plutôt voir un psy, et c'est ce que j'ai écrit dans mon commentaire.

(maintenant si tu t'es faites culpabiliser en soirée parce que t'as déconné, sache que je ne suis pas de ces gens qui s'en prennent gratuitement à toi, je peux être piquant, mais j'enfonce personne sauf si la personne nie en bloque qu'elle fait de la merde et que ça me dérange, mais dans ces cas là si ça n'est pas moi qui le lui fait remarquer, c'est un autre à un moment ou un autre, sinon t'es la risée le lendemain et les gens parlent dans ton dos, ce qui m'énerve encore plus, je pense au moins avoir le mérite d'être franc en disant à une personne qu'elle a déconné si c'est le cas, quitte à être mal vu par elle ensuite, mais à ces niveaux là c'est encore et toujours de la dénégation, enfin bref)

J'ai déjà fais maintes fois de la merde défoncé, et j'ai déjà vu des gens faire maintes fois de la merde que ça soit en pétant des trucs, en s'en prenant verbalement ou physiquement aux autres, en baisant salement tout ce qui bouge parce que c'est cool sur le moment, en tentant de se suicider...enfin bref ça ne sert à rien de les culpabiliser vu qu'ils le sont déjà bien assez, faut les responsabiliser au travers d’exercices de prise de conscience de ses propres bêtises, et d'un travail sur son estime de soi pour sortir de ses culpabilités.

Après j'assume que mes propos sont durs, j'essaye juste pas d'enjoliver les choses quand la drogue pousse à faire des trucs bien sales et des plus choquant.
 
De mon expérience empirique, la plupart des gens qui se drogue sont précisément ceux la qui devrait être les derniers à le faire. C'est la fuite en avant, c'est dans cette optique que la plupart des drogués envisagent consciemment ou non une prise de substance. Ce site est dédié au expériences constructives et positives, mais je sais que dans le fond, on à cette pulsion qui veut nous faire partir ailleurs.

Ce qui m'amène souvent à la conclusion que c'est peut être l'utilité ultime de la drogue, apprendre au consommateur qu'au fond il n'en a pas besoin. Lui apprendre à déclencher des introspections et des sensibilités pour qu'il fasse lui même sa tambouille mentale. La prise de drogue sur le long terme serait donc contre productif. Ça expliquerait pourquoi beaucoup de jeunes adultes passe par la, puis arrête ensuite, sans forcement regretter leurs expériences, mais simplement ils n'en ont plus besoin pour avancer.
 
Jean n'aime pas le thé. Jacques n'aime pas le lait et Jean-Jacques n'aime pas le thé au lait pck c'est gringue ou c'est trop british de colonel potatoe... Paul a excommunié Nestlé pour en faire une superstition dans sa religion. Et moi sans complexes j'aime le thé avec du lait en poudre Nestlé.

Après avoir expérimenté une drogue j'ai eu envie de désintégrer l'humanité. Suite à la vague de plaisir il y a ressac d'amertume et rien ne va assez bien... On devient en manque après 4 jours (ce n'était qu'une petite expérience). Disons que ce que j'ai pris est un équivalent légal du hash. (je ne dirai pas quoi sauf par MP). On devient donc intraitable, criminel et irascible après le retrait de la drogue qui laisse un vide... (c'est sans doute en cette phase que se faisaient les attaques de pharmacies quand il y avait beaucoup de drogués sans dossier médico-psycho-social).

La nature nous rend inquiet, colérique pck ce sont des courants tendant à combler un vide laissé par l'absence de drogue et ma recherche est de trouver la meilleure façon de combler ce manque physiologique pour revenir à un état sain sans passer par la phase critique (ah ah chemisterie philosophale pour de l'or). Ce sont de petites expériences à faire. Je ne suis pas un vrai tox. Pendant des mois je ne consomme rien de rien et je bois un verre d'eau chaque matin.

Et bien, pour notre expérience, ce qui comble le mieux juskà présent est le thé au lait. Oui mais avec du lait en poudre Nestlé en dosage assez important... Cela ne marche pas avec le lait en poudre comme celui des supermarchés (boites en carton rectangulaires) qui n'est peut-être pas assez gras, mais bien avec les boites métalliques rondes de Nestlé ou de ses labels dérivés... Je crois que ce breuvage ré-hydrate en profondeur et cela fait un bien radical. La drogue avait muté klkchose (on peut appeller ça "cuver" comme avec l'alcool) et quand elle se retire il ne reste rien à part le spleen.

Oui, il faut mettre klkchose, régénérer ce qu'il y avait avant, quand les petites cellules dont nous sommes faits avaient l'inter-communicabilité des lemmings. Voila. Le thé au lait en poudre c'est mon liquide physiologique comme after schnouff mais c'est polyvalent après l'amour, le sport ou le LSD.
 
amicale_du_pc a dit:
Jean n'aime pas le thé. Jacques n'aime pas le lait et Jean-Jacques n'aime pas le thé au lait pck c'est gringue ou c'est trop british de colonel potatoe... Paul a excommunié Nestlé pour en faire une superstition dans sa religion. Et moi sans complexes j'aime le thé avec du lait en poudre Nestlé.

Après avoir expérimenté une drogue j'ai eu envie de désintégrer l'humanité. Suite à la vague de plaisir il y a ressac d'amertume et rien ne va assez bien... On devient en manque après 4 jours (ce n'était qu'une petite expérience). Disons que ce que j'ai pris est un équivalent légal du hash. (je ne dirai pas quoi sauf par MP). On devient donc intraitable, criminel et irascible après le retrait de la drogue qui laisse un vide... (c'est sans doute en cette phase que se faisaient les attaques de pharmacies  quand il y avait beaucoup de drogués sans dossier médico-psycho-social).

La nature nous rend inquiet, colérique pck ce sont des courants tendant à combler un vide laissé par l'absence de drogue et ma recherche est de trouver la meilleure façon de combler ce manque physiologique pour revenir à un état sain sans passer par la phase critique (ah ah chemisterie philosophale pour de l'or). Ce sont de petites expériences à faire. Je ne suis pas un vrai tox. Pendant des mois je ne consomme rien de rien et je bois un verre d'eau chaque matin.

Et bien, pour notre expérience, ce qui comble le mieux juskà présent est le thé au lait. Oui mais avec du lait en poudre Nestlé en dosage assez important... Cela ne marche pas avec le lait en poudre comme celui des supermarchés (boites en carton rectangulaires) qui n'est peut-être pas assez gras, mais bien avec les boites métalliques rondes de Nestlé ou de ses labels dérivés... Je crois que ce breuvage ré-hydrate en profondeur et cela fait un bien radical. La drogue avait muté klkchose (on peut appeller ça "cuver" comme avec l'alcool) et quand elle se retire il ne reste rien à part le spleen.

Oui, il faut mettre klkchose, régénérer ce qu'il y avait avant, quand les petites cellules dont nous sommes faits avaient l'inter-communicabilité des lemmings. Voila. Le thé au lait en poudre c'est mon liquide physiologique comme after schnouff mais c'est polyvalent après l'amour, le sport ou le LSD.


on peut le dire quand on a rien compris...
 
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