no_id a dit:
C'est tout moi ! bah finalement j'ai eu aucun probleme ^^... Ah c'est parce que je trip seul
Serieux je trouve que c'est presque une heresie de tripper a plusieur (genre en teuf), a part à la limite avec un bon pote... Ca peut etre marrant de tripper en teuf, je l'ai fait
qu'une deux fois heureusement que c'est pas partie en couille dans un sens, mais maintenant que j'ai un peu changé sur tout ces sujet je ne sais pas si je le ferais encore en fait... Depuis un certain moment c'est quand meme plus une question de meditation/introspection ou faire le con (tapper des barre en mode self trip avec des activité random)... C'est toujours un peu dans l'optique "faire le point" au final
J'ajoute quelque chose au thread quand meme : moi j'aurai dis pas de weed du tout. Si tu regarde les thread ou il y a eu des probleme post conso sur bluelight, la plupart disent "le trip se déroulais pas trop mal - je fume de la weed à X% du trip - trip multiplié par 1000 je ne comprend plus rien - depuis mon cerveau marche plus"
Je me suis décris en partie aussi tkt
Pour la weed je trouve que c'est pas mal pour accentuer le délire justement, mais faut y aller mollo c'est sur, pas s'envoyer un joint entier ou une douille. La weed je trouve ça pas mal pour ne pas trop doser le psyché, genre si t'as envie de voir plus loin, tu fumes un peu et ça monte juste un peu plus, et comme ça pas besoin de s’embarquer dans un gros trip, si c'est pour kiffer un quart d'heure de grosse perche et après vouloir redescendre alors que ça n'est pas possible. La weed redescend assez vite si on prend genre deux ou trois taffes.
Tridimensionnel a dit:
Je trouve le message de Laura assez choquant, parce qu'il culpabilise à mort les personnes qui auraient eu des bads, et ramène les instabilités mentales à un comportement de gamin. De ce que j'en ai compris.
Les psychés peuvent être dévastateurs même sur une personne "saine", qui n'avait pas forcément l'intention, consciente et inconsciente, de se mettre dans une sale situation.
C'est sur, mais là on parle spécifiquement des profils qui ne devraient pas prendre de psyché, et non des personnes saines qui risquent de badder. M'enfin comme je l'ai mentionné, y a des profils qui sont dans le déni et qui vrillent sous prod en se comportant comme des gamins dès que leur conscience est alternée, et qui en présence de certaines personnes engendre de part leur comportement provoquant ou troublant, des tensions multipliant le risque de bad (pour eux et pour les autres).
Après tu peux t'offusquer comme tu veux, mais quand t'as en face de toi un borderline défoncé ou un psychotique qui fait nawak parce qu'il est perché et que la réalité lui a échappé, ba c'est un comportement de gamin parce que la drogue le fait régresser dans un délire enfantin. C'est la réalité et je ne la nie pas, en disant que ses profils feraient mieux de ne pas se droguer, ou alors tout seul pour assumer l’entièreté de leur responsabilité. Et je ne généralise pas, y a des borderlines qui se tiennent très bien, comme des psychotiques qui prennent du LSD sans faire de la merde.
Ce que j'ai remarqué c'est que le profil instable qui a déconné en vient souvent sur le moment à dire que les autres sont les relous qui le culpabilisent d'avoir fait de la merde, ces méchants gens qui ont du le gérer parce que défoncé il était insupportable, comme un gamin insolent. C'est du vu et revu en soirée...et ça m'ennuie d'assister à des problèmes comme ça, comme ça m'ennuie d'être le mec qui a vrillé, donc y a un moment où je me dis qu'il faudrait arrêter de déconner, comme je me permet de le dire aux autres qui déconnent. Sinon on en rigole et tout recommence parce que personne ne se responsabilise.
Tridimensionnel a dit:
Personne n'est responsable de ses troubles mentaux, ni les autistes ni les schizos ni les toqués ni les dépressifs. Au lieu de tout ramener à des questions de narcissisme, comme le font des psychanalystes à la con qui font beaucoup de mal aux personnes concernées, il est indispensable de reconnaître la vulnérabilité de ces personnes, de les décharger de la honte improductive que suscitent ces étrangetés par rapport à la norme éreintante de la santé physique et mentale, et de chercher des solutions pratiques.
Je pense être en mesure de reconnaitre les déterminismes psycho-sociaux-culturels faisant que certaines personnes ont des troubles psys et sont vulnérables, et afin de leur éviter tout problème, je leur conseille de ne pas prendre de drogue, notamment de psychédélique. Si ça peut leur éviter certaines hontes...aussi la drogue n'est pas une solution pratique, donc vaut mieux que ces personnes aillent plutôt voir un psy, et c'est ce que j'ai écrit dans mon commentaire.
(maintenant si tu t'es faites culpabiliser en soirée parce que t'as déconné, sache que je ne suis pas de ces gens qui s'en prennent gratuitement à toi, je peux être piquant, mais j'enfonce personne sauf si la personne nie en bloque qu'elle fait de la merde et que ça me dérange, mais dans ces cas là si ça n'est pas moi qui le lui fait remarquer, c'est un autre à un moment ou un autre, sinon t'es la risée le lendemain et les gens parlent dans ton dos, ce qui m'énerve encore plus, je pense au moins avoir le mérite d'être franc en disant à une personne qu'elle a déconné si c'est le cas, quitte à être mal vu par elle ensuite, mais à ces niveaux là c'est encore et toujours de la dénégation, enfin bref)
J'ai déjà fais maintes fois de la merde défoncé, et j'ai déjà vu des gens faire maintes fois de la merde que ça soit en pétant des trucs, en s'en prenant verbalement ou physiquement aux autres, en baisant salement tout ce qui bouge parce que c'est cool sur le moment, en tentant de se suicider...enfin bref ça ne sert à rien de les culpabiliser vu qu'ils le sont déjà bien assez, faut les responsabiliser au travers d’exercices de prise de conscience de ses propres bêtises, et d'un travail sur son estime de soi pour sortir de ses culpabilités.
Après j'assume que mes propos sont durs, j'essaye juste pas d'enjoliver les choses quand la drogue pousse à faire des trucs bien sales et des plus choquant.