McAdam
Neurotransmetteur
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Il est possible aujourd'hui, en aquierrant les connaissances nécéssaires, de disposer de produit qui je qualifierais de sûr plus que de sain.
Le choix est alors aux consommateurs de ne pas transformer une utilisation récréationnelle en abus, et la toxicité (éventuelle, mais on parle "d'intoxication" dans le cas de prise de drogues, et de toxicomane en parlant d'un drogué)du produits peut/pourrait permettre d'isoler, réelement, les effets néfastes.
Nous avons beaucoup à apprendre sur le monde et sur nous mêmes, et ce aussi bien au niveau individuel, familial, collectif, que des arrétés commes ceux passés en France récement. L'exemple type de ce genre d'arrétés est celui passé le "20/04/2005 modifiant l'arrêté du 22/02/1990 fixant la liste des substances classées comme stupéfiants" (J.O. du 03/05/2005).
Cet arrété (ministériel je suppose) inclus les plantes et substances suivantes dans la listes des produits stupéfiants interdits en France (à mentionner qu'elle n'est peut-être pas à jour mais elle l'est plus que celle ne la mildt) :
"Banisteriopsis caapi, Peganum harmala, Psychotria viridis, Diplopterys cabrerana, Mimosa hostilis, Banisteriopsis rusbyana, harmine, harmaline, tétrahydroharmine (THH), harmol, harmalo"
Soit les substances ou plantes entrant dans la preparation de Ayahuasca et dont certaines sont ou contiennent du DMT par exemple.
Ce genre de produits est apparement, car je n'est pas tésté, des produits dont la consomation, et à plus forte raison de l'ayahuasca, est majoritairement rituelles et tient lieu d'initiation ou de révélation de soi au/et du monde. Les personnes pratiquant une extractions sont des gens qui eux, par leurs connaissances, tendent à vouloir débarasser sa consomation du superflus, pouvoir mieux doser les prises et prendre le moindre risque (la consommation du tout venant semble donner des résultats très variables, et certaines personnes se retrouvent "surpris", des fois à vie). C'est ce que j'appellerais la voie du "sage", une voie que peu de personne peuvent suivrent car elle semble être tout les jours plus lésée par les comportements du "profanes" ou de "l'hérétiques".
Ceci pour vous faire par de ma rage actuelle à voir combien peu de personnes sont intéréssés par le produit en lui-même que sa "défonce"?
Combien de produits sont réélement très dangereux ? Certains le sont pour la dépendance qu'ils entraînent (ex : crack) d'autres pour les risques (cardiaques ou autres) qu'ils entraînent (ex : PMA). Mais le "sage" ne sais t'il pas tout celà pour pouvoir se dire "sage"?
N'est il pas dans l'attribut du "sage" de savoir éviter les 'mauvais' chemins lorsqu'il poursuit sa voie?
Le combat à mener n'est pas celui de l'utilisation (et de la production/revente décente et censée) mais celui de l'abus et, éventuellement, de contrôler de manière intelligente les substances qui ménent aisement à l'abus et à l'impossibilité d'en "décroché".
McAdam
Le choix est alors aux consommateurs de ne pas transformer une utilisation récréationnelle en abus, et la toxicité (éventuelle, mais on parle "d'intoxication" dans le cas de prise de drogues, et de toxicomane en parlant d'un drogué)du produits peut/pourrait permettre d'isoler, réelement, les effets néfastes.
Nous avons beaucoup à apprendre sur le monde et sur nous mêmes, et ce aussi bien au niveau individuel, familial, collectif, que des arrétés commes ceux passés en France récement. L'exemple type de ce genre d'arrétés est celui passé le "20/04/2005 modifiant l'arrêté du 22/02/1990 fixant la liste des substances classées comme stupéfiants" (J.O. du 03/05/2005).
Cet arrété (ministériel je suppose) inclus les plantes et substances suivantes dans la listes des produits stupéfiants interdits en France (à mentionner qu'elle n'est peut-être pas à jour mais elle l'est plus que celle ne la mildt) :
"Banisteriopsis caapi, Peganum harmala, Psychotria viridis, Diplopterys cabrerana, Mimosa hostilis, Banisteriopsis rusbyana, harmine, harmaline, tétrahydroharmine (THH), harmol, harmalo"
Soit les substances ou plantes entrant dans la preparation de Ayahuasca et dont certaines sont ou contiennent du DMT par exemple.
Ce genre de produits est apparement, car je n'est pas tésté, des produits dont la consomation, et à plus forte raison de l'ayahuasca, est majoritairement rituelles et tient lieu d'initiation ou de révélation de soi au/et du monde. Les personnes pratiquant une extractions sont des gens qui eux, par leurs connaissances, tendent à vouloir débarasser sa consomation du superflus, pouvoir mieux doser les prises et prendre le moindre risque (la consommation du tout venant semble donner des résultats très variables, et certaines personnes se retrouvent "surpris", des fois à vie). C'est ce que j'appellerais la voie du "sage", une voie que peu de personne peuvent suivrent car elle semble être tout les jours plus lésée par les comportements du "profanes" ou de "l'hérétiques".
Ceci pour vous faire par de ma rage actuelle à voir combien peu de personnes sont intéréssés par le produit en lui-même que sa "défonce"?
Combien de produits sont réélement très dangereux ? Certains le sont pour la dépendance qu'ils entraînent (ex : crack) d'autres pour les risques (cardiaques ou autres) qu'ils entraînent (ex : PMA). Mais le "sage" ne sais t'il pas tout celà pour pouvoir se dire "sage"?
N'est il pas dans l'attribut du "sage" de savoir éviter les 'mauvais' chemins lorsqu'il poursuit sa voie?
Le combat à mener n'est pas celui de l'utilisation (et de la production/revente décente et censée) mais celui de l'abus et, éventuellement, de contrôler de manière intelligente les substances qui ménent aisement à l'abus et à l'impossibilité d'en "décroché".
McAdam