docteurlapeluche
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J'ouvre ce topic dans une optique RDR pour nos lurkers et les non initiés qui auraient dans l'idée de consommer des stimulants de manière occasionnelle et surtout festive.
Et je voudrais en regroupant vos témoignages avertir les usagers qui se dise qu'en consommant ce type de produit on ne risque pas grand chose si on respecte les doses et les fréquences.
On ne cesse de dénoncer les dangers physiques (cardio,vaso ect) et psychologiques (psychose, parano, craving) et ce a juste titre, pas besoin de revenir la dessus.
Mais on ne parle pas, ou peu des impacts que ces consommation peuvent avoir sur notre vie de tous les jours en termes de répercussions.
Par exemple, combien on eu recours aux stimulants pour faire face a une surcharge de travail?
Et même sans avoir basculé dans une addiction on finit par trouver qu'ils se trouvaient moins performant sans.
Ce fut mon cas avec la CC, et après avoir stopper je pensais ne jamais pouvoir reussir a taffer sans...(mais bon dans mon cas cela rentrait dans le cadre d'une conso journalière et d'une belle addiction).
J'ai perdu un taf a cause de ca, et surement d'autres car je n'arrivais plus a retrouver l'envie, je me sentais incompétent et non performant.
J'ai bien mis un an pour que cela revienne a la normale....
Combien ont aimé le sexe sous stims au point de trouver ca nul sans?
En faisant rentrer les cathiones dans le contexte sexuel j'ai finit par me tirer une balle dans le pied tout seul. A une époque j'aurais préféré une branlette sous cathiones devant youporn plutot que de faire l'amour a ma femme a jeun...
Combien on trouvé que la fiesta était nul sans amphets ou sans MDMA, au point de se dire qu'il valait mieux rester chez soi plutot que d'aller a une soirée sans stims dans les poches...
Bref vous avez compris le but du sujet.
Personnellement mes problèmes de stims sont loin derriere moi, mais combien vont moisir une partie de leur vie si ils se mettent a se sentir plus performant ou a surkiffer une situation sous prods.
C'est une part de danger dont on parle peu et qui pourtant peut finir par être handicapante, voir devenir facteur de consommation plus fréquentes et régulières.
Voila voila, a vos claviers chers psychonauts expérimentés ayant fait les frais de ce dont je viens de parler. (et ceci sans restrictions sur les substances, le sujet est vaste)
Prévenons de part nos expériences que le risque des stims n'est pas que de bader ou de se retrouver aux urgences tout vasoconstri et délirant.
(et si vous trouvez ce sujet pourri n'hésitez pas a le dire aussi, je suis ouvert a toutes critiques)
Et je voudrais en regroupant vos témoignages avertir les usagers qui se dise qu'en consommant ce type de produit on ne risque pas grand chose si on respecte les doses et les fréquences.
On ne cesse de dénoncer les dangers physiques (cardio,vaso ect) et psychologiques (psychose, parano, craving) et ce a juste titre, pas besoin de revenir la dessus.
Mais on ne parle pas, ou peu des impacts que ces consommation peuvent avoir sur notre vie de tous les jours en termes de répercussions.
Par exemple, combien on eu recours aux stimulants pour faire face a une surcharge de travail?
Et même sans avoir basculé dans une addiction on finit par trouver qu'ils se trouvaient moins performant sans.
Ce fut mon cas avec la CC, et après avoir stopper je pensais ne jamais pouvoir reussir a taffer sans...(mais bon dans mon cas cela rentrait dans le cadre d'une conso journalière et d'une belle addiction).
J'ai perdu un taf a cause de ca, et surement d'autres car je n'arrivais plus a retrouver l'envie, je me sentais incompétent et non performant.
J'ai bien mis un an pour que cela revienne a la normale....
Combien ont aimé le sexe sous stims au point de trouver ca nul sans?
En faisant rentrer les cathiones dans le contexte sexuel j'ai finit par me tirer une balle dans le pied tout seul. A une époque j'aurais préféré une branlette sous cathiones devant youporn plutot que de faire l'amour a ma femme a jeun...
Combien on trouvé que la fiesta était nul sans amphets ou sans MDMA, au point de se dire qu'il valait mieux rester chez soi plutot que d'aller a une soirée sans stims dans les poches...
Bref vous avez compris le but du sujet.
Personnellement mes problèmes de stims sont loin derriere moi, mais combien vont moisir une partie de leur vie si ils se mettent a se sentir plus performant ou a surkiffer une situation sous prods.
C'est une part de danger dont on parle peu et qui pourtant peut finir par être handicapante, voir devenir facteur de consommation plus fréquentes et régulières.
Voila voila, a vos claviers chers psychonauts expérimentés ayant fait les frais de ce dont je viens de parler. (et ceci sans restrictions sur les substances, le sujet est vaste)
Prévenons de part nos expériences que le risque des stims n'est pas que de bader ou de se retrouver aux urgences tout vasoconstri et délirant.
(et si vous trouvez ce sujet pourri n'hésitez pas a le dire aussi, je suis ouvert a toutes critiques)
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