D
Dreamea
Guest
J'ai l'impression que c'est typiquement dans l'ordre des choses et de l'évolution, et que c'est pas quelque chose de général mais dispersé. On m'a souvent parlé de 2 camps et ça me fait un peu penser à ça, il y a le respect traditionnel des acquis et l'excitation d'un progrès qui pourrait rattraper les erreurs répétées, passées présentes et sûrement futures. Dans un cas (ou dans un camps s'il est question de ça...) comme dans l'autre, c'est non-pas l'individualisme mais l'individu qui peut faire la différence, et s'il ne le fait pas il y a aura toujours la nature pour nous rappeler à l'ordre. Apparemment ça marche pas des masses pour l'instant...La religion moderne, une religion à la carte, individualiste, le rejet de la difficulté, de la patience et de la persévérance, le refus des rites et des traditions, un changement constant dissimulé par "l'évolution", la religion moderne c'est un globbish informe fait de termes franglais, de représentations hindouistes, de développement personnel new age et de culture 2.0 Silicon Valley.
Après je t'avoue que j'ai un peu peur de voir où mène ce "progrès" et surtout si on aura l'occasion de le voir avec la nature qui monte le ton.
C'est depuis toujours un peu ça aussi. S'il n'y avait pas eu d'autres courants philosophique pour s'approprier à leur Moi Moi Moi une nouvelle définition de concepts mathusalemiens on en serait pas à ce foutraque d'idée et de concepts que peut déceler un seul mot.De quel bonheur parlons-nous ? De celui des philosophes de la grèce antique, de celui des philosophes des Lumières, de celui du new-age américain, de celui des asiatiques ? Même si nous nous mettions d'accord sur une définition simple du bonheur, il y a aurait toujours quelqu'un pour la refuser et qui désirerait SA définition du bonheur, à lui, pour lui, par lui.