Sunglasses69
Neurotransmetteur
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Voilà, je ne sais pas par où commencer, alors je commence pas le commencement... J'ai déjà pris une fois de la mdma, soirée géniale, techno «qui tabasse bien». Le lendemain, sensation un peu étrange de planer, mais pas désagréable... Un coup de téléphone,un câlin, un bisous, une superbe après-midi de baise... :+1: Seul problème le soir même je me fais voler mon portable et là c'était le gros bad : Respiration de plus en plus forte, crise de panique,gros stress, nuit horrible, panique, panique, pleurs, impression d'être seul à crever , surlendemain difficile, pleurnicherie au boulot planqué dans les chiottes, puis coup de fil à Maman, paroles rassurantes, puis sensation de mieux, grosse nuit de sommeil et me revoilà à nouveau dans la vie telle que je l'aime.
Au fait,je suis un gars de 24 ans homo, célibataire, je bosse dans la pub (et oui un vrai gay quoi...). Je suis un mec assez extraverti, on dit que j'ai pas mal d'humour, un brin de subversion,mais j'ai toujours dans ma vie un léger filet de pression qui me donne l'impression de bien tenir debout. Je régis ma vie d'une main de fer, je veux foncer, laisser personne me causer du tort, mais je sais bien me décoincer, notamment par le biais du sexe,qui m'envoie vraiment dans des orgasmes hyper puissants... Très intéressé par la psychologie, je suis ultra transparent sur mes névroses et réactions. Je pense être un gars heureux, pas mal dans sa tête, dans son corps aussi, j'aime mon job, ma vie en général quoi...
bref...
Deux mois après la première expérience, je décide de réitérer, en me disant que la situation aurait certainement été très différente si je ne m'étais pas fait tirer mon portable... De nombreux amis à moi me disent que la redescente ne leur fait presque rien, si ce n'est une légère déprime le surlendemain. Nouvelle soirée electro, nouveau groupe de copains, nouvelle musique qui tabasse bien, cadre super sympa, hop hop hop, tout le monde avale une gelule de mdma en arrivant à 01h00. Tout le monde à l'habitude de prendre des trucs,je suis entre de bonnes mains, les gens sont sympas, on commence à danser.
02h00: top de la montée, sensation de bien être, communion avec la musique, large sourire, vent d'amour et d'amitié dans l'air frais du mois de novembre, danse non-stop pendant 1h, quelques cigarettes, des sourires partagés avec des gens.
03h00 :début de la redescente, rien de bien gênant, danse un peu moins forte, quelques baîllements. Dans ce groupe de copains que je connais depuis peu il y a un gaillard que j'aime bien, vraiment bien,doux, gentil, beau, on baise régulièrement ensemble... Il part pisser, et là, l'attente est interminable, je regarde partout de peur de perdre le groupe. Le gaillard revient des chiottes, je suis rassuré. Il me dit qu'il s'est fait chauffer par un p'tit mec, grosse sensation d'abandon dans ma tête :\\, sensation d'être une nullité. Baisse progressive d'énergie.
04h00 :Il repart pisser, je sors dehors et je le vois parler avec le mec, je me sens bizarre, je regarde le mec, j'ai peur, ses yeux me font peur,j'ai envie de le frapper, frapper fort en premier pour être sur de sonner l'adversaire et fuir pour ne pas être frappé :twisted:. Ils s'embrassent, je les regarde bizarrement, je pars plus loin, mon gaillard revient. Il me fait un gros câlin et je lui dis en toute transparence que ça m'a fait bizarre de le voir toucher ce mec, que je savais que la drogue exagérait tout, il me fait un énorme câlin, plein de bisous, en me disant que j'ai des tas de qualités, que nous sommes très complices, et je réponds avec des gros trémolos dans la voix que j'ai eu peur, que je me suis senti abandonné et que je l'apprécie beaucoup ai:. On repart danser.
05h00 :mon gaillard est très câlin avec moi, on danse torses nus en se serrant fort dans les bras, on transpire, je me sens bien, mais un peu angoissé, envie de rentrer, d'autres gens dansent autour de nous, je me sens différent d'eux, je les sens hostiles. Je me sens épuisé, je m'assied, je comate un peu, l'endroit me paraît si sale à présent.
06h00 :tous les copains ont été déposés chez eux, il ne reste que moi et le gaillard, il me ramène chez moi, il sent que je suis pas bienalors il monte pour «me border». Nous nous allongeons, il est tendre avec moi, il me câline beaucoup, je pleure, je le serre si fort, je ne peux pas desserrer mes bras :crybaby::crybaby::crybaby:. Il me redit des choses gentilles, qu'il est très touché par moi, qu'il aime ma compagnie, j'en suis tellement ému que ma respiration devient toute saccadée mes yeux ses remplissent de larmes et je chiale, je lui dis que j'ai eu l'impression d'être une merde à plusieurs moments dans ma vie, notamment après ma rupture, et que là j'ai eu peu la même impression, je lui dis que je suis bouleversé par sa gentillesse, je chiale un peu moins, je sèche mes larmes, un sourire, un gros bisous, il s'en va, une bonne douche et dodo.
Jour 1 :8h00 : réveil angoissé, je cherche le groupe de pote dans le lit , dans un demi sommeil, je me rendors à 10h00. Je fais des rêves où les gens m'abandonnent.
Jour1 :13h00 : Je me lève, encore une douche, je pars prendre l'air chez mon oncle ma tante et ma cousine. 170Km/h sur l'autoroute avec « Comment te dire adieu » de Françoise Hardy(musique de gay mélancolique, je sais...) Petit goûter sympa, bon moment familial, je passe voir ma mère, mon père s'est absenté pour faire de la moto, je suis content de la voir, on a une discussion hyper profonde sur la vie, la maturité, mes névroses,mes craintes, mes espoirs, la façon dont je me remets parfois un peu trop en question, ensuite des gros bisous, et je rentre chez moi vers 18h00. J'envoie un sms pour dire à mon meilleur ami que j'ai un amour (amical) très profond pour lui, il me dit qu'il m'admire, je suis touché, profondément touché.
Jour1 :21h00 : Soirée risotto chez d'anciens copains de lycée,ça va pas trop mal, c'est moi qui fait le risotto, il faut que je m'occupe les mains, je parle peu, on me trouve éteint. Au moment de passer à table, je repousse mon assiette et me recule, j'ai envie de chialer, j'échappe quelques larmes, je m'éclipse, mon gaillard me téléphone pour reprendre des nouvelles, il me dit que la mdma était certainement un peu coupée au speed, que ça faisait des descentes bizarres et désagréables. Je me remets à table. Mon gaillard m'a filé 4 gélules de 5-HTP, précurseur de la sérotonine,au cas ou je sois angoissé, pour aider la sérotonine à revenir.J'accroche pas aux discussions de mes potes, puis je gobe une pilule,la sérotonine revient un peu, ça va mieux, je blague un peu. Je dis à ma meilleure amie que je n'ai plus besoin qu'elle dorme à la maison parce que j'ai plus peur, elle peut aller baiser avec son mec,elle est contente. Je la ramène, on discute dans la voiture, de son mec, de mon ex, et tout d'un coup de comprends que depuis ma rupture il y a deux ans j'ai fermé boutique et laissé personne m'approcher,bizarre, j'étais persuadé du contraire. Je rentre, voiture dans garage, hop hop hop je me mets tout nu, dodo à 2h00.
Jour 2 :10h00 : la pilule de 5-HTP ne fait plus effet, réveil anxieux,je regarde American Dad et ça me fait marrer, je m'occupe un peu, je fais la vaisselle, je matte un p'tit porno, une branlette, je jouis fort, ça adoucit un peu.
Jour 2 :12h00 : Le gaillard me fait des sms, il est lui aussi un peu dans une atmosphère bizarre. J'aimerai qu'il soit là, mais bon, il a une vie. Je glande.
Jour 2 :16h00 : Ca fait depuis ce matin que je pleurniche pour rien, un truc un peu émouvant à la télé je chiale 30 secondes, mon gaillard me téléphone pour savoir comment je vais, je chiale 30 secondes, un reportage sur des marins qui partent faire la guerre aux Îles Malouines en 1984, je chiale... Je décide d'écrire le récit que vous lisez maintenant, en décrivant les événements de la nuit, je chiale... :crybaby: Putain de merde vous avez pas idée de ce que c'est de chialer comme une femme en plein baby blues pour rien !!!
Ce soir mon meilleur copain rentre de son weekend, il passe me voir, je suis content, besoin de chaleur humaine.
Voilà pour mon récit.
En gros, c'est comme si en deux jours je voyais toutes mes névroses péter les unes après les autres dans ma tête(abandon, image de soi, rejet). Je viens de passer 48h d'hypersensibilité sur tous les sujets possibles et ça m'a épuisé. Je ressens des choses fortes pour tout le monde, ma mère, mon père, mon meilleur ami, mon gaillard... à contrario j'ai l'impression d'être dépressif, je me demande comment et pourquoi les gens peuvent m'apprécier, je remets tous mes actes et mes paroles en question. Je me dis que j'ai de l'amour à revendre, mais aussi à recevoir, et pourquoi il n'y a personne pour en profiter ? tout n'est qu'émotion,tout dégueule d'affection, d'amour, mais un malêtre m'habite depuis que mon gaillard m'a couché dans mon lit. Je sais que ça va passer et que j'ai fait 85% de ma redescente.
J'ai écrit cela avant tout pour extérioriser (un peu plus), pour confronter, comparer, analyser, tirer une leçon. Je voudrais vous demander votre avis sur ce qui m'est arrivé, besoin que des gens expérimentés me donnent des conseils.
Suis-je trop émotif pour la mdma ?
Suis-je complètement dingue ?
Le fait d'être lucide sur mes angoisses et la nature de celles-ci est-il dangereux ?
Est-ce que la drogue est vraiment un truc sympa pour les hypersensibles tels que moi ?
Avez-vous aussi de mauvaises expériences avec la mdma ?
Je suis jaloux de toutes les bonnes aventures que vous racontez
Merci d'avoir lu ma petite Life, même une parole sur votre vision des choses me fera du bien.
Au fait,je suis un gars de 24 ans homo, célibataire, je bosse dans la pub (et oui un vrai gay quoi...). Je suis un mec assez extraverti, on dit que j'ai pas mal d'humour, un brin de subversion,mais j'ai toujours dans ma vie un léger filet de pression qui me donne l'impression de bien tenir debout. Je régis ma vie d'une main de fer, je veux foncer, laisser personne me causer du tort, mais je sais bien me décoincer, notamment par le biais du sexe,qui m'envoie vraiment dans des orgasmes hyper puissants... Très intéressé par la psychologie, je suis ultra transparent sur mes névroses et réactions. Je pense être un gars heureux, pas mal dans sa tête, dans son corps aussi, j'aime mon job, ma vie en général quoi...
bref...
Deux mois après la première expérience, je décide de réitérer, en me disant que la situation aurait certainement été très différente si je ne m'étais pas fait tirer mon portable... De nombreux amis à moi me disent que la redescente ne leur fait presque rien, si ce n'est une légère déprime le surlendemain. Nouvelle soirée electro, nouveau groupe de copains, nouvelle musique qui tabasse bien, cadre super sympa, hop hop hop, tout le monde avale une gelule de mdma en arrivant à 01h00. Tout le monde à l'habitude de prendre des trucs,je suis entre de bonnes mains, les gens sont sympas, on commence à danser.
02h00: top de la montée, sensation de bien être, communion avec la musique, large sourire, vent d'amour et d'amitié dans l'air frais du mois de novembre, danse non-stop pendant 1h, quelques cigarettes, des sourires partagés avec des gens.
03h00 :début de la redescente, rien de bien gênant, danse un peu moins forte, quelques baîllements. Dans ce groupe de copains que je connais depuis peu il y a un gaillard que j'aime bien, vraiment bien,doux, gentil, beau, on baise régulièrement ensemble... Il part pisser, et là, l'attente est interminable, je regarde partout de peur de perdre le groupe. Le gaillard revient des chiottes, je suis rassuré. Il me dit qu'il s'est fait chauffer par un p'tit mec, grosse sensation d'abandon dans ma tête :\\, sensation d'être une nullité. Baisse progressive d'énergie.
04h00 :Il repart pisser, je sors dehors et je le vois parler avec le mec, je me sens bizarre, je regarde le mec, j'ai peur, ses yeux me font peur,j'ai envie de le frapper, frapper fort en premier pour être sur de sonner l'adversaire et fuir pour ne pas être frappé :twisted:. Ils s'embrassent, je les regarde bizarrement, je pars plus loin, mon gaillard revient. Il me fait un gros câlin et je lui dis en toute transparence que ça m'a fait bizarre de le voir toucher ce mec, que je savais que la drogue exagérait tout, il me fait un énorme câlin, plein de bisous, en me disant que j'ai des tas de qualités, que nous sommes très complices, et je réponds avec des gros trémolos dans la voix que j'ai eu peur, que je me suis senti abandonné et que je l'apprécie beaucoup ai:. On repart danser.
05h00 :mon gaillard est très câlin avec moi, on danse torses nus en se serrant fort dans les bras, on transpire, je me sens bien, mais un peu angoissé, envie de rentrer, d'autres gens dansent autour de nous, je me sens différent d'eux, je les sens hostiles. Je me sens épuisé, je m'assied, je comate un peu, l'endroit me paraît si sale à présent.
06h00 :tous les copains ont été déposés chez eux, il ne reste que moi et le gaillard, il me ramène chez moi, il sent que je suis pas bienalors il monte pour «me border». Nous nous allongeons, il est tendre avec moi, il me câline beaucoup, je pleure, je le serre si fort, je ne peux pas desserrer mes bras :crybaby::crybaby::crybaby:. Il me redit des choses gentilles, qu'il est très touché par moi, qu'il aime ma compagnie, j'en suis tellement ému que ma respiration devient toute saccadée mes yeux ses remplissent de larmes et je chiale, je lui dis que j'ai eu l'impression d'être une merde à plusieurs moments dans ma vie, notamment après ma rupture, et que là j'ai eu peu la même impression, je lui dis que je suis bouleversé par sa gentillesse, je chiale un peu moins, je sèche mes larmes, un sourire, un gros bisous, il s'en va, une bonne douche et dodo.
Jour 1 :8h00 : réveil angoissé, je cherche le groupe de pote dans le lit , dans un demi sommeil, je me rendors à 10h00. Je fais des rêves où les gens m'abandonnent.
Jour1 :13h00 : Je me lève, encore une douche, je pars prendre l'air chez mon oncle ma tante et ma cousine. 170Km/h sur l'autoroute avec « Comment te dire adieu » de Françoise Hardy(musique de gay mélancolique, je sais...) Petit goûter sympa, bon moment familial, je passe voir ma mère, mon père s'est absenté pour faire de la moto, je suis content de la voir, on a une discussion hyper profonde sur la vie, la maturité, mes névroses,mes craintes, mes espoirs, la façon dont je me remets parfois un peu trop en question, ensuite des gros bisous, et je rentre chez moi vers 18h00. J'envoie un sms pour dire à mon meilleur ami que j'ai un amour (amical) très profond pour lui, il me dit qu'il m'admire, je suis touché, profondément touché.
Jour1 :21h00 : Soirée risotto chez d'anciens copains de lycée,ça va pas trop mal, c'est moi qui fait le risotto, il faut que je m'occupe les mains, je parle peu, on me trouve éteint. Au moment de passer à table, je repousse mon assiette et me recule, j'ai envie de chialer, j'échappe quelques larmes, je m'éclipse, mon gaillard me téléphone pour reprendre des nouvelles, il me dit que la mdma était certainement un peu coupée au speed, que ça faisait des descentes bizarres et désagréables. Je me remets à table. Mon gaillard m'a filé 4 gélules de 5-HTP, précurseur de la sérotonine,au cas ou je sois angoissé, pour aider la sérotonine à revenir.J'accroche pas aux discussions de mes potes, puis je gobe une pilule,la sérotonine revient un peu, ça va mieux, je blague un peu. Je dis à ma meilleure amie que je n'ai plus besoin qu'elle dorme à la maison parce que j'ai plus peur, elle peut aller baiser avec son mec,elle est contente. Je la ramène, on discute dans la voiture, de son mec, de mon ex, et tout d'un coup de comprends que depuis ma rupture il y a deux ans j'ai fermé boutique et laissé personne m'approcher,bizarre, j'étais persuadé du contraire. Je rentre, voiture dans garage, hop hop hop je me mets tout nu, dodo à 2h00.
Jour 2 :10h00 : la pilule de 5-HTP ne fait plus effet, réveil anxieux,je regarde American Dad et ça me fait marrer, je m'occupe un peu, je fais la vaisselle, je matte un p'tit porno, une branlette, je jouis fort, ça adoucit un peu.
Jour 2 :12h00 : Le gaillard me fait des sms, il est lui aussi un peu dans une atmosphère bizarre. J'aimerai qu'il soit là, mais bon, il a une vie. Je glande.
Jour 2 :16h00 : Ca fait depuis ce matin que je pleurniche pour rien, un truc un peu émouvant à la télé je chiale 30 secondes, mon gaillard me téléphone pour savoir comment je vais, je chiale 30 secondes, un reportage sur des marins qui partent faire la guerre aux Îles Malouines en 1984, je chiale... Je décide d'écrire le récit que vous lisez maintenant, en décrivant les événements de la nuit, je chiale... :crybaby: Putain de merde vous avez pas idée de ce que c'est de chialer comme une femme en plein baby blues pour rien !!!
Ce soir mon meilleur copain rentre de son weekend, il passe me voir, je suis content, besoin de chaleur humaine.
Voilà pour mon récit.
En gros, c'est comme si en deux jours je voyais toutes mes névroses péter les unes après les autres dans ma tête(abandon, image de soi, rejet). Je viens de passer 48h d'hypersensibilité sur tous les sujets possibles et ça m'a épuisé. Je ressens des choses fortes pour tout le monde, ma mère, mon père, mon meilleur ami, mon gaillard... à contrario j'ai l'impression d'être dépressif, je me demande comment et pourquoi les gens peuvent m'apprécier, je remets tous mes actes et mes paroles en question. Je me dis que j'ai de l'amour à revendre, mais aussi à recevoir, et pourquoi il n'y a personne pour en profiter ? tout n'est qu'émotion,tout dégueule d'affection, d'amour, mais un malêtre m'habite depuis que mon gaillard m'a couché dans mon lit. Je sais que ça va passer et que j'ai fait 85% de ma redescente.
J'ai écrit cela avant tout pour extérioriser (un peu plus), pour confronter, comparer, analyser, tirer une leçon. Je voudrais vous demander votre avis sur ce qui m'est arrivé, besoin que des gens expérimentés me donnent des conseils.
Suis-je trop émotif pour la mdma ?
Suis-je complètement dingue ?
Le fait d'être lucide sur mes angoisses et la nature de celles-ci est-il dangereux ?
Est-ce que la drogue est vraiment un truc sympa pour les hypersensibles tels que moi ?
Avez-vous aussi de mauvaises expériences avec la mdma ?
Je suis jaloux de toutes les bonnes aventures que vous racontez
Merci d'avoir lu ma petite Life, même une parole sur votre vision des choses me fera du bien.