Bonjour un petit mot a propos des antipsychotiques ou autres somniferes...et des psychedeliques.
Une reflexion resumee assez je souhaite sur le pouvoir de l'imaginaire et son impact dans la vie "reele", concretement sur l'effet des medocs (anxiolithiques, antipsychotiques, hypnotiques, gna gna on va les appeler medocs) et des hallucinogenes surtout sur eux.
Les psychotiques, psychopathes, schizophrenes (et autre sales races de oufs lol),comme les medecins les appellent, c'est souvent des gens qui revent ou ont pris l'habitude de beaucoup rever et longtemps, pour diverses raisons...
Hypothetiquement je dirais que c'est pour cette raison avec le temps qu'ils ont plus de mal a faire la part entre reve et realite,souvent deviennent malades a force de penser, (psychose comme qu'ils disent) et qu'on leur deconseille les prods car ils ont plus de difficultes a retomber sur terre, tout en leur filant d'autres produits (hem, legaux) parfois plus dangereux qui modifient les mechaniques durablement , sont regulierement mal adaptes/doses et entrainent souvent une aggravation ou une apparition des symptomes a long terme j'entends.
Dans mon cas je foire regulierement ma vie a taper des delires d'illumines qui n'ont de sens profond que pour moi et qui s'intercadrent en gros avec ma vie relationelle meme si source de gros bugs et parfois de trips ultra hardcore (perte de motricite je peux plus bouger les jambes,merde ca doit le xytroparaethyloxelazepam ou la metaspirozebulonine lol) et durent qqf des mois sans que je ne les controle avec phases d'hallucinations auditives, visuelles, et parfois tactiles (style les bestioles qui te courent parfois dessus en descente de taz mais plus sophistique on va dire), tout ca uniquement psychologique, je suis donc un interesse aux benzo et autres... Mais ca va bcp mieux merci.
J'en viens au vif du sujet...
Pour moi les hallucinogenes contribuent d'une part a plus ou moins casser la frontiere entre le reel et l'imaginaire, a mettre en relation diverses strates de conscience et de perception a des memoires variees voire a mettre en exergue des ressentis ou des aspirations profondes. (la peur ne pourrait etre qu'une aspiration a la connaissance bridee et non un refus profond par ex)
Le medoc tend a brider un peu (beaucoup?) l'activite de certaines aptitudes du cerveau ou du mental afin que la personne retrouve une stabilite grosso modo de son activite cerebrale. Pour retrouver la capacite a dormir, a se concentrer, a se projeter,controler l'humeur etc... En agissant directement sur les mecanismes de base des synapses. (connections entre neurones permettant la circulation des neurotransmetteurs/dopa,adre etc..)
donc qui conduit assez souvent a du travail de bourrin et ce a la demande du malade.
L'effet d'hallucinogenes peut donc etre anihile ou amplifie par la prise passagere ou reguliere de medocs, tout depend du sujet de la frequence, de la dose et des circonstances de vie...
+Je crois qu'au stade ou les medocs jouent leur role premier ce melange attenue sensiblement les effets style salvia champis ou lsd au niveau des hallus et qu'il peut devenir desagreable.
+Apres un temps et en cas de non respect strict du traitement (majorite des cas regardez bien les notices...) les medocs n'agissent plus sous le controle ni de la personne ni du medecin au sens strict... On assiste non a une "guerison" mais a une modification des symptomes, mieux vecue en gal par le client. (euh, le patient). Et menant tres souvent a un comportement de dependance voire de tps a autres a une resurgence voire une aggravation des symptomes premiers ou secondaires. C'est a ce moment vite atteint que la prise d'hallucinogenes se revele, je dirais fortement aleatoire,en tant que melange, en bien coomme en mal faut s'accrocher de toutes facons.
+Je pense qu'on peut utiliser les medocs en cas d'accident de parcours psyche, ce en connaissance du medoc et de la personne... forte dose de rivotril sur un sucre semble etre efficace pour un organisme pas trop tox en cas de "bad trip" severe pour le faire sombrer dans le sommeil, par exemple un premier trip que la personne n'assume pas. (il n'y a pas de risque 0 bien entendu)
Mais eviter absolument ds ces cas la les antipsychotiques style Tercian, Zyprexa, Risperdal,Abilify,etc... qui agissent a long terme. Pourquoi? Ca peut amplifier le trip a mort, ou te rendre vraiment malade un bon moment, ou rien faire ca reste des merdes.
(Je parle tjs ds la plupart des cas et d'experience perso autant que je peux)
+ On conseille generalement en addictologie les champignons plutot qu'autres produits si une experience doit se faire, les accidents sont parait il sensiblement moins nombreux.
Voila si vous avez des reactions a me partager pour la culture vous etes bienvenus,
sinon j'espere avoir donne des reponses a ce que j'ai pu lire,
En amitie.