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Finit le GHB facile.

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Donkey Bird
  • Date de début Date de début
:prayer:
 
Pépée doit sans doutes être très fière, de là haut... :cry:

*/me verse une petite larme nostalgique*
 
Pour recentrer le sujet, je me permet de linker un topic de lucid :
http://lucid-state.org/forum/showthread ... post284669

Il est dit dans ce sujet que 50% des des victimes de viol sont alcoolisées, et que la plupart pensent avoir été droguées alors qu'elles ont en vérité subit un black-out.
Et oui, c'est plus rassurant de se dire qu'un vil individu a versé de la dope dans son verre plutôt que de se dire que le viol aurait peut-être été évité si on n'avait pas été bourré au point de ne plus savoir marcher.
Attention, je ne dis aucunement que c'est la faute des victimes hein (et je ne le pense pas non plus), je dis simplement que les gens préfèrent surement penser qu'aucune des composantes du viol n'était de leur ressort. C'est d'autant plus plausible de par le fait que les médias ont fait leur choux-gras avec ce type d'affaires, ce qui doit encore conforter les victimes dans leurs croyance erronée.
 
Merde j'avais oublié. Bon je C/C le texte :

moshka a dit:
La vraie drogue du viol

Contrairement à la croyance populaire qui associe le GHB à la drogue du viol par excellence, l'alcool est en cause dans près de 50 % des agressions sexuelles où les victimes ont été intoxiquées.
«C'est l'alcool, la drogue du viol, souligne Marie-Ève Morin, médecin spécialisée en dépendances. Les victimes de viol ne se rappellent pas de l'agression, et sont donc convaincues d'avoir été droguées. Mais, elles ont fait un black-out d'alcool.»

L'alcool un cas sur deux

Cette statistique éloquente a été dévoilée par le Laboratoire de sciences judiciaires et de médecine légale de Montréal, en 2003. Durant quatre ans, 736 cas de femmes qui se sont présentées à l'urgence en affirmant avoir été droguées, puis violées ont été analysés.
Le résultat démontre que dans près de 50 % des cas où une substance a été testée positivement, la victime n'avait consommé que de l'alcool. À l'opposé, le GHB n'a été détecté que dans 0,5 % des cas.

Pour obtenir des faveurs

«Comme le GHB est lié à la culture rave, on est tenté de croire que le phénomène est nouveau et l'on en fait la drogue du viol, peut-on lire dans le rapport. Or, (...) l'alcool est la substance la plus utilisée pour extorquer à l'autre des faveurs, qu'elles soient sexuelles ou autres.»
«Les filles sont beaucoup moins tolérantes à l'alcool que les gars, et l'abus peut entraîner de sérieuses conséquences. C'est aussi dangereux que la drogue», explique le docteur Morin.
Après l'alcool, les autres substances ingérées volontairement sont les médicaments prescrits, le cannabis et la cocaïne.

* * *

PRINCIPALES DROGUES DÉTECTÉES DANS LES CAS D'AGRESSIONS SEXUELLES

Alcool 47 %*
Cannabis 33 %
Benzodiazépine 21 %
Cocaïne 19 %
Acétaminophène 15 %
GHB 0,5 %
SOURCE: LABORATOIRE DE SCIENCES JUDICIAIRES ET DE MÉDECINE LÉGALE.

*LES % SONT APPROXIMATIFS.

Source : http://fr.canoe.ca/infos/quebeccanad...29-083300.html
 
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