Gheritarish
Alpiniste Kundalini
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- 2/12/13
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Salut à tous !
Bon, juste une question un peu con, j'ai cherché sur le forum mais sans rien trouver de très pertinent.
Shulgin recommandait 6 semaines entre deux prises de MDMA : comment en était-il arrivé à cette conclusion ? Est-ce qu'une dose plus ou moins forte réduit ou augmente cette durée ?
Si ses calculs sont basés sur la libération de sérotonine engendrée par une prise de MD, et la capacité du corps à recréer ce stock, peut-on réutiliser ses travaux pour en déduire les temps d'espacement minimum pour d'autres molécules ayant le même mode d'action et/ou pour des dosages différents ?
Par précaution, j'essaie toujours de respecter cette durée, mais je suis bien conscient qu'entre 50-100mg de 3-MMC et 160 de MDMA, je tape pas pareil dans mon cerveau. Mais par exemple, même pour la MD, 6 semaines après un 100mg (la dose "recommandée" pour Shulgin je crois), mais après 200mg en une soirée, on devrait pas laisser plus de temps ? (12 semaines ??)
Alors, les molécules "moins fortes" peuvent-elles être moins espacées sans que cela soit dangereux ?
Je pense à tout ce qui est cathinones (3-MMC, Methylone, etc.), APB (5/6-APB, 6-APDB, 5-MAPB), mais aussi aux 4-FA, AMT ou 4,4'-DMAR par exemple (qui pourraient taper autant voire plus que la MDMA dans les stocks de sérotonine, non ?).
Il ne s'agit pas de "se droguer plus souvent", mais juste de savoir comment gérer au mieux ces prises sans se flinguer les neurones (genre en envoyant chier la RDR en mode "j'ai pris tel prod' il y a 2 semaines, mais ce soir c'est la soirée de l'année, je peux pas louper ça, tant pis je prends quand même tel prod', et je me tartine sévère en plus pour compenser... Et après, promis je touche à rien pendant 2 mois..." Sauf qu'on trouve toujours une bonne raison de taper un prod' quand on en a envie ;) )
Merci !
Bon, juste une question un peu con, j'ai cherché sur le forum mais sans rien trouver de très pertinent.
Shulgin recommandait 6 semaines entre deux prises de MDMA : comment en était-il arrivé à cette conclusion ? Est-ce qu'une dose plus ou moins forte réduit ou augmente cette durée ?
Si ses calculs sont basés sur la libération de sérotonine engendrée par une prise de MD, et la capacité du corps à recréer ce stock, peut-on réutiliser ses travaux pour en déduire les temps d'espacement minimum pour d'autres molécules ayant le même mode d'action et/ou pour des dosages différents ?
Par précaution, j'essaie toujours de respecter cette durée, mais je suis bien conscient qu'entre 50-100mg de 3-MMC et 160 de MDMA, je tape pas pareil dans mon cerveau. Mais par exemple, même pour la MD, 6 semaines après un 100mg (la dose "recommandée" pour Shulgin je crois), mais après 200mg en une soirée, on devrait pas laisser plus de temps ? (12 semaines ??)
Alors, les molécules "moins fortes" peuvent-elles être moins espacées sans que cela soit dangereux ?
Je pense à tout ce qui est cathinones (3-MMC, Methylone, etc.), APB (5/6-APB, 6-APDB, 5-MAPB), mais aussi aux 4-FA, AMT ou 4,4'-DMAR par exemple (qui pourraient taper autant voire plus que la MDMA dans les stocks de sérotonine, non ?).
Il ne s'agit pas de "se droguer plus souvent", mais juste de savoir comment gérer au mieux ces prises sans se flinguer les neurones (genre en envoyant chier la RDR en mode "j'ai pris tel prod' il y a 2 semaines, mais ce soir c'est la soirée de l'année, je peux pas louper ça, tant pis je prends quand même tel prod', et je me tartine sévère en plus pour compenser... Et après, promis je touche à rien pendant 2 mois..." Sauf qu'on trouve toujours une bonne raison de taper un prod' quand on en a envie ;) )
Merci !