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Psycho disparu·e
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Question simple : vous êtes vous déja posé la question de comment alliez vous aborder la chose avec vos enfants ? Comment gèreriez vous un enfant qui commence les prods, ou bien se drogue carrément ?
Je viens d'en parler avec quelqu'un sur facebook. C'est partie d'une histoire d'un gars que j'ai rencontré, qui m'a dit que son père lui avait dit qu'il fumerais un join avec lui si il arreterai les truc plus dur dans lesquel il était.
La symbolique du geste en lui même me paraissait forte, malgré l'ouverture aux possibilités que le gosse se dise "bon si mon père le fait..." et tout les pseudo moraliste qui vont dire "c'est de la merde", le père dans ce cas est suffisament empathique pour créer un lien avec le monde de l'enfant et par la peut être le récupérer (il va sans dire que c'était un acte un peu désespérer).
En gros perso j'en suis arrivé au fait que le dialogue était une meilleur idée que de fumer un join avec lui (évidemment), car fumer un join avec lui brouille trop les limites que le gosse se donne. Par ex raconter son expérience, dire ou ça à mener, montrer comment on a gérer tout en montrant que ce n'est pas par rapport a la drogue qu'on a géré sa vie. Le tout est que le gamin continue à s'identifier au père pour éviter un phénomène de "mouton noirisation" (le cas ou le pere est kéblo sur ses principe et l'enfant va dans une vie qui n'a plus rien a voir -ce qui donne aussi à l'enfant l'impression que ses parent on des principe sans rien avoir vécu-, ou encore pire si les parents ont pris de la drogue par le passé et qu'il ne sache pas admettre leurs fautes et fasse leurs tout blanc même quand il sont tout noir, auquel cas le parent n'est plus du tout un exemple pour l'enfant mais devient plus un étranger irritant qu'autre chose) qui serait à mon avis largement plus préjudiciable à l'enfant.
Voila c'est juste un exemple de ce que peut contenir le post, le sujet est plus vaste c'était pour donner mon point de vue par rapport a une situation déja précise (l'enfant se drogue, comment faire, cet histoire de pere qui fume un join avec son fils qui me revien en tete).
Pour moi le top serait bien sur que mon gosse ne se drogue pas, mais le monde et l'être humain étan ce qu'il est (et moi même étant passé par la), il est possible que ca arrive. Le mieux serai qu'il commence après 21/22 ans, sans lui donner bien sur l'autorisation, il faudrai trouver un moyen habile de l'interdire avant (si on fait les choses de maniere trop explicite, il va se croire libre a 22 ans et si il est attiré par la drogue il va faire nimp). Ensuite, ca ce peux que ce soit juste passager, si ce n'est pas passager c'est selon la personnalité de l'enfant, il se peux qu'il ai besoin d'aide très vite, mais plus vraisemblablement au début ce sera une passion et il n'y aura rien a faire, car soi il va se braquer, soit il va defendre ses interêt. Je pense qu'il faut commencer le dialogue si on voit que ca peut commencer a déraper un peu, montrer des nouvelles facettes de nous même à l'enfant, faire aveux de faiblesse (avoué qu'on l'a fait) au final pour un bien (renforcer le lien parent-enfant). Le but c'est simplement soit qu'il arrete, soit que ca soit pas fréquent.
La question à peut être déja été posé, dsl dans ce cas. Et il y a peut etre des réponses plus intelligente sur le net j'ai pas cherché, d'ailleur les fouineur de net pourrai etre interressant sur ce sujet pour rapporter de l'info la dessus.
Je viens d'en parler avec quelqu'un sur facebook. C'est partie d'une histoire d'un gars que j'ai rencontré, qui m'a dit que son père lui avait dit qu'il fumerais un join avec lui si il arreterai les truc plus dur dans lesquel il était.
La symbolique du geste en lui même me paraissait forte, malgré l'ouverture aux possibilités que le gosse se dise "bon si mon père le fait..." et tout les pseudo moraliste qui vont dire "c'est de la merde", le père dans ce cas est suffisament empathique pour créer un lien avec le monde de l'enfant et par la peut être le récupérer (il va sans dire que c'était un acte un peu désespérer).
En gros perso j'en suis arrivé au fait que le dialogue était une meilleur idée que de fumer un join avec lui (évidemment), car fumer un join avec lui brouille trop les limites que le gosse se donne. Par ex raconter son expérience, dire ou ça à mener, montrer comment on a gérer tout en montrant que ce n'est pas par rapport a la drogue qu'on a géré sa vie. Le tout est que le gamin continue à s'identifier au père pour éviter un phénomène de "mouton noirisation" (le cas ou le pere est kéblo sur ses principe et l'enfant va dans une vie qui n'a plus rien a voir -ce qui donne aussi à l'enfant l'impression que ses parent on des principe sans rien avoir vécu-, ou encore pire si les parents ont pris de la drogue par le passé et qu'il ne sache pas admettre leurs fautes et fasse leurs tout blanc même quand il sont tout noir, auquel cas le parent n'est plus du tout un exemple pour l'enfant mais devient plus un étranger irritant qu'autre chose) qui serait à mon avis largement plus préjudiciable à l'enfant.
Voila c'est juste un exemple de ce que peut contenir le post, le sujet est plus vaste c'était pour donner mon point de vue par rapport a une situation déja précise (l'enfant se drogue, comment faire, cet histoire de pere qui fume un join avec son fils qui me revien en tete).
Pour moi le top serait bien sur que mon gosse ne se drogue pas, mais le monde et l'être humain étan ce qu'il est (et moi même étant passé par la), il est possible que ca arrive. Le mieux serai qu'il commence après 21/22 ans, sans lui donner bien sur l'autorisation, il faudrai trouver un moyen habile de l'interdire avant (si on fait les choses de maniere trop explicite, il va se croire libre a 22 ans et si il est attiré par la drogue il va faire nimp). Ensuite, ca ce peux que ce soit juste passager, si ce n'est pas passager c'est selon la personnalité de l'enfant, il se peux qu'il ai besoin d'aide très vite, mais plus vraisemblablement au début ce sera une passion et il n'y aura rien a faire, car soi il va se braquer, soit il va defendre ses interêt. Je pense qu'il faut commencer le dialogue si on voit que ca peut commencer a déraper un peu, montrer des nouvelles facettes de nous même à l'enfant, faire aveux de faiblesse (avoué qu'on l'a fait) au final pour un bien (renforcer le lien parent-enfant). Le but c'est simplement soit qu'il arrete, soit que ca soit pas fréquent.
La question à peut être déja été posé, dsl dans ce cas. Et il y a peut etre des réponses plus intelligente sur le net j'ai pas cherché, d'ailleur les fouineur de net pourrai etre interressant sur ce sujet pour rapporter de l'info la dessus.