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Banni
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Salut les amis, petit texte que je viens décrire sous l'influence de ma douche cheese. Si les modos trouvent que c'est apologique, pas de soucis détruisez ce post, mais j'avais vraiment envie de le partager pour en discuter.
Je fume du cannabis.
Je m'impose des limites qui n'ont pas lieux d'être, car j'ai peur des conséquences que cette substance pourrait avoir sur ma santé physique et mentale. Mais ce qui me fait réellement peur, ce sont justement ces idées la, et non pas le cannabis en lui même. Il faut supprimer les cause des peurs, et non pas leurs objets, car sinon ils reviendront toujours à la charge quoi qu'il arrive. D'autre part, la culpabilité que je m'impose me fait d'autant plus de mal que ma consommation elle-même.
Ai-je eu des problèmes part la cause directe de ma consommation ? Non. Les effets du cannabis ne m'ont jamais empêché de réaliser une tâche importante, ils ne m'ont pas détruit les poumons de façon irréversible, il ne m'ont pas enlevé la mémoire au point de louper des choses importantes. En revanche, le statut social que l'herbe me donne, m'enferme dans un rôle que je n'ai pas choisi, celui d'un drogué, et de tous aspects péjoratifs qui y sont associé dans notre société, et donc souvent dans mon entourage. C'est donc un poids difficile à supporter, mais en prenant conscience de son mécanisme, je peux m'en défaire jusqu'à totalement ! Il n'y à au final que moi qui puisse me juger, si je choisi d'être dur avec moi même, cela me permet-il réellement d'avancer ?
Je suis dépendant, oui, au même titre que d'autres sont dépendant a leurs voitures, à leurs maisons, à leurs travail, à leurs cafés, à leurs tartines, à leurs vêtements, etc...
Si ces dépendances sont la c'est qu'elles comblent un manque important.. Alors comblons ce manque tel qu'il le faut, ainsi nous aurons la force de nous consacrer aux véritables problèmes, et non ceux que nous impose une logique erronée, pour ainsi ne plus avoir de manque. Cette logique est le plus souvent inculqué par une suite d'éducations qui plus elle se transmet, et plus elle perd de sens.
Le cannabis m'aide à m'occuper de moi, de ma santé. Car il m'aide à écrire, à faire des étirements, de la méditation, il me motive à faire de bons repas, et à me coucher plus tôt. Il calme mes pensées incessantes qui sont les causes de ma fatigue, et de la paranoïa.
Avec la force mentale que j'acquiers en fumant, je m'aide à supporter ma vie d'homme sobre lorsque je ne suis plus sous influence, car j'ai pris soin de me reposer, d'écrire, et de prendre soin de mon corps lorsque j'étais défoncé. L'homme défoncé donne des pièces à l'homme sobre. L'homme sobre donne des pièces à l'homme défoncé, car je suis bien plus motivé a soigner mon setting, ou autrement dit, prendre soin de mon environnement, si je sais que ma défonce en sera d'autant plsu agréable. L'environnement qui inclus tant bien mon espace de vie, comme ma maison, que les gens qui m'entourent. Pour qu'ensemble ils construisent la l'architecture d'un être sain, et enfin quand l'unité revient, l'envie de drogue s'en va d'elle même.
En écrivant cela défoncé, j'arrive à retrouver les mêmes sensations plaisantes de mes débuts avec l'herbe, alors que j'ai pourtant une forte accoutumance. Je me sens davantage en accord avec moi-même, entre mes désirs et mes besoins, je trouve naturellement l'équilibre dont j'ai besoin pour me sentir bien sans me faire du mal, car je suis l'unique personne capable de ressentir et savoir à tout moment ce que je dois précisément faire pour être en forme. Il suffit de tendre l'oreille et de s'écouter. Le cannabis après tout n'est-il pas la drogue qui rend la musique plus divine ?
Donc n'oubliez pas les amis: la drogue c'est vraiment pas bien ! take care
Amour&Paix
Je fume du cannabis.
Je m'impose des limites qui n'ont pas lieux d'être, car j'ai peur des conséquences que cette substance pourrait avoir sur ma santé physique et mentale. Mais ce qui me fait réellement peur, ce sont justement ces idées la, et non pas le cannabis en lui même. Il faut supprimer les cause des peurs, et non pas leurs objets, car sinon ils reviendront toujours à la charge quoi qu'il arrive. D'autre part, la culpabilité que je m'impose me fait d'autant plus de mal que ma consommation elle-même.
Ai-je eu des problèmes part la cause directe de ma consommation ? Non. Les effets du cannabis ne m'ont jamais empêché de réaliser une tâche importante, ils ne m'ont pas détruit les poumons de façon irréversible, il ne m'ont pas enlevé la mémoire au point de louper des choses importantes. En revanche, le statut social que l'herbe me donne, m'enferme dans un rôle que je n'ai pas choisi, celui d'un drogué, et de tous aspects péjoratifs qui y sont associé dans notre société, et donc souvent dans mon entourage. C'est donc un poids difficile à supporter, mais en prenant conscience de son mécanisme, je peux m'en défaire jusqu'à totalement ! Il n'y à au final que moi qui puisse me juger, si je choisi d'être dur avec moi même, cela me permet-il réellement d'avancer ?
Je suis dépendant, oui, au même titre que d'autres sont dépendant a leurs voitures, à leurs maisons, à leurs travail, à leurs cafés, à leurs tartines, à leurs vêtements, etc...
Si ces dépendances sont la c'est qu'elles comblent un manque important.. Alors comblons ce manque tel qu'il le faut, ainsi nous aurons la force de nous consacrer aux véritables problèmes, et non ceux que nous impose une logique erronée, pour ainsi ne plus avoir de manque. Cette logique est le plus souvent inculqué par une suite d'éducations qui plus elle se transmet, et plus elle perd de sens.
Le cannabis m'aide à m'occuper de moi, de ma santé. Car il m'aide à écrire, à faire des étirements, de la méditation, il me motive à faire de bons repas, et à me coucher plus tôt. Il calme mes pensées incessantes qui sont les causes de ma fatigue, et de la paranoïa.
Avec la force mentale que j'acquiers en fumant, je m'aide à supporter ma vie d'homme sobre lorsque je ne suis plus sous influence, car j'ai pris soin de me reposer, d'écrire, et de prendre soin de mon corps lorsque j'étais défoncé. L'homme défoncé donne des pièces à l'homme sobre. L'homme sobre donne des pièces à l'homme défoncé, car je suis bien plus motivé a soigner mon setting, ou autrement dit, prendre soin de mon environnement, si je sais que ma défonce en sera d'autant plsu agréable. L'environnement qui inclus tant bien mon espace de vie, comme ma maison, que les gens qui m'entourent. Pour qu'ensemble ils construisent la l'architecture d'un être sain, et enfin quand l'unité revient, l'envie de drogue s'en va d'elle même.
En écrivant cela défoncé, j'arrive à retrouver les mêmes sensations plaisantes de mes débuts avec l'herbe, alors que j'ai pourtant une forte accoutumance. Je me sens davantage en accord avec moi-même, entre mes désirs et mes besoins, je trouve naturellement l'équilibre dont j'ai besoin pour me sentir bien sans me faire du mal, car je suis l'unique personne capable de ressentir et savoir à tout moment ce que je dois précisément faire pour être en forme. Il suffit de tendre l'oreille et de s'écouter. Le cannabis après tout n'est-il pas la drogue qui rend la musique plus divine ?
Donc n'oubliez pas les amis: la drogue c'est vraiment pas bien ! take care
Amour&Paix