Drug History Y n°4:
C'est l'histoire de Pat.
Pat est né dans une famille banale, de simples campagnards travailleurs modestes. Ses parents étaient très aristocrates, jamais il n'auraient pu dire un mal de la bienfaisance mondaine qu'est le bienfait de la société ordinaire.
Pat était très branché science, haute technologie, tout ce qui était au-délà de l'ordinaire, à 15 ans Pat se fascinait déjà pour la chimie et il s'amusait à fabriquer de la poudre noire pour propulser des fusées dans l'air, un jour il avait fumé un joint et son expérience tourna à court, lors de la fabrication de sa poudre noire, une boulette de son joint alluma malencontreusement un petit tas de poudre noire posée sur son bureau, qui fit des étincelles et alluma à leur tour le bocal principal dans lequel il avait préparé la poudre noire. Ce jour là, Pat manqua de brûler la totalité de sa chambre, dans la maison de ses parents.
Alors Pat décidé de ne plus jamais jouer avec la pyrotechnie.
Pat avait une passion plus profonde, au delà de Marilyn Manson et le Hard Metal, il aimait "niquer la société" en fumant des joints, et en se disant "fuck leur démocratie de lopettes raidies comme des allumettes", et il fuma, et il fuma, et il fuma...
Il fuma encore et encore... jusqu'à ce que...
BOOM
Pat était désormais à l'hôpital psychiatrique, son diagnostic: délirium tremens, Pat était "soupçonné" d'avoir "des délires", "selon quoi" des "entités" vivaient dans sa tête et qu'il était persécuté par ces forces du mal qui voulaient hanter sa vie et le poussait à s'auto-détruire en essayant de fabriquer des explosifs.
Pat sortit de l'hôpital psychiatrique avec un nouveau médicament que lui avait prescrit son médecin juste avant qu'il ne sorte: "Abilify", Pat se dit "chouette je vais pouvoir me défoncer".
Arrivé à la maison, Pat ouvra la boîte d'Abilify, fit sortir douze comprimés de sa boîte, et les avala aussitôt d'un coup de jus d'orange.
Six heures plus tard, après 45 minutes de tentative de réanimation, Pat fut déclaré mort, après dix minutes de convulsions horribles, son corps ne déclara plus le moindre signe de vie.