- Borgia (Jodorowsky/Manara) : Sur le pape Alexandre VI, c'est très cru, sex et violence à l'extrême
- Le Pape Terrible (Jodorowsky/Théo) : Sur Jules II, pareil que Borgia, c'est la suite mais avec des graphismes plus modernes, moins peinturluré, toujours aussi décadent.
- Le Lama Blanc (Jodorowsky/Bess) : Le Tibet pré-Maoïsme, très psychédélique et initiatique, on suit le parcours d'un occidental dans lequel s'est réincarné le dalaïlama, j'en dit pas plus.
- Juan Solo (Jodorowsky/Bess) : Un desperado que la vie l'à accablé de merdes dès la naissance, et qui va se faire un chemin sanguinaire dans les strates de la mafia/politique sud-américaine des années dictatoriale pour finir martyr.
- Annibal 5 (Jodorowsky/Bess) : Une équipe spatiale d'élite de l'UE qui défend l'humanité contre Interterror, une organisation terroriste mondiale, par le biais de leur agent : Annibal 5, un cyborg truffé de gadget. Portée humoristique, cette bédé dévoile encore d'avantage le potentiel de Jodo dans tous les domaines.
- L'incal (Jodorowsky/Moebius) : J'en ai entendu tellement de bien qu'il m'a un peu dessus, déjà niveau graphisme, Moebius je suis pas trop fan, et puis la narration par un peu dans tous les sens, même si il y a des passages magnifique malgré tout, et une ambiance hippie vs. le mal qui est sympathique.
- Les Chevaliers D'Héliopolis (Jodorowsky/Jeremmy) : Sur un groupe d'alchimistes antédiluviens qui forment une jeune recrue à faire partie de leur clan via 4 étape : Nigredo, Albedo, Rubedo, Citrinas. Je vous spoil pas le contexte parce que ça pourrait tout gâcher
Que du Jodorowsky donc, un artiste que j'admire beaucoup mais que je vous conseil, ses livre et ses films sont géniaux aussi.