Bonjour,
Je m'appelle Maude G., suis auteure d'un livre "COMA, du coma à l'ayhuasca, un chemin vers l'Eveil". Il s'agit d'un témoignage. J'ai eu toutefois la chance d'expérimenter plusieurs psychédéliques sans vivre de bad car tout cela était toujours très encadré.
Et je trouve que le cadre est primordial pour que ça ne vire pas au bad : le top étant en pleine nature mais sur un terrain non accidenté, sinon bien à l'aise dans son canapé on peut voyager aussi très loin. Ensuite, j'ai toujours travaillé avec un chaperon à mes côtés. Aucune expérience seule (et toujours loin des balcons). Pour finir, on commence petit, rester méfiant.
Pour l'ayahuasca, c'est très différent : là on part dans le cosmos alors il est préférable d'avoir un très bon chaman ou un facilitateur expérimenté (capable, en tout cas, d'aller nous chercher dans des sphères supérieures). Gaffe à l'ayahuasca business, ça pullulle de charlatans, des viols ont été rapportés notamment...
La prise d'ayahuasca est très réglementée : pas d'alcool, ni drogue, ni sel, ni sucre, ni ail, ni piment, ni viande, ni graisses, ni sexe, ni médicament, une semaine avant et une semaine après. Concernant les prises d'anxiolitiques ou les médicaments bien particuliers : là il faut voir directement avec le chaman, cela dépend de sa potion (mais pour les anti-dépresseurs, mieux vaut prévoir un arrêt trois mois à l'avance en général). A oublier aussi si vous souffrez de problèmes cardiaques, de tensions, voire d'asthme.
Si vous ne respectez pas ces règles, voici les risques : schizophrénie, arrêt cardiaque, perturbations psychologiques fortes.
L'exploration de la conscience est délicate et mieux vaut être accompagné.
S'il y a des questions, n'hésitez pas !
Maude G.
Je m'appelle Maude G., suis auteure d'un livre "COMA, du coma à l'ayhuasca, un chemin vers l'Eveil". Il s'agit d'un témoignage. J'ai eu toutefois la chance d'expérimenter plusieurs psychédéliques sans vivre de bad car tout cela était toujours très encadré.
Et je trouve que le cadre est primordial pour que ça ne vire pas au bad : le top étant en pleine nature mais sur un terrain non accidenté, sinon bien à l'aise dans son canapé on peut voyager aussi très loin. Ensuite, j'ai toujours travaillé avec un chaperon à mes côtés. Aucune expérience seule (et toujours loin des balcons). Pour finir, on commence petit, rester méfiant.
Pour l'ayahuasca, c'est très différent : là on part dans le cosmos alors il est préférable d'avoir un très bon chaman ou un facilitateur expérimenté (capable, en tout cas, d'aller nous chercher dans des sphères supérieures). Gaffe à l'ayahuasca business, ça pullulle de charlatans, des viols ont été rapportés notamment...
La prise d'ayahuasca est très réglementée : pas d'alcool, ni drogue, ni sel, ni sucre, ni ail, ni piment, ni viande, ni graisses, ni sexe, ni médicament, une semaine avant et une semaine après. Concernant les prises d'anxiolitiques ou les médicaments bien particuliers : là il faut voir directement avec le chaman, cela dépend de sa potion (mais pour les anti-dépresseurs, mieux vaut prévoir un arrêt trois mois à l'avance en général). A oublier aussi si vous souffrez de problèmes cardiaques, de tensions, voire d'asthme.
Si vous ne respectez pas ces règles, voici les risques : schizophrénie, arrêt cardiaque, perturbations psychologiques fortes.
L'exploration de la conscience est délicate et mieux vaut être accompagné.
S'il y a des questions, n'hésitez pas !
Maude G.