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Bon courage Alpha, je suis fumeuse aussi et la clope a souvent été source de frustration.
Bon, je ne sais pas si ce sera vrai pour toi, mais j'ai remarqué qu'en ce qui me concerne certains détails me permettent de trouver ça un peu moins difficile de ne pas fumer. Déjà, toutes les fois où j'ai voulu arrêter en m'imposant une interdiction stricte ou les fois où je n'avais simplement pas de clopes, je vivais ça comme une frustration énorme. J'étais obsédée par la clope et ne pensais qu'à une chose: "Il faut que je fume". Du coup je tenais une journée, et je recommençais, persuadée que je n'étais pas capable d'arrêter.
Et puis y a pas si longtemps, j'ai réalisé que je pouvais m'y prendre autrement. Je voulais essayer de faire un jeun de quelques jours, et pour ça il ne fallait pas que je fume de clopes. Je ne comptais pas arrêter, juste faire une pause pendant le jeun. Eh bah étant donné que je savais que ce n’était pas définitif qu’après mon jeun j'aurai droit à ma clope, j'ai trouvé ça plus facile. Et même une fois que j'ai recommencé à manger, je n'ai pas recommencé à fumer. Je me suis dit que je fumerai une cigarette au moment où j'en aurai vraiment envie, et finalement à chaque fois que je me demandais "est-ce que fumer cette cigarette a plus de points positifs que négatifs ?", la réponse était toujours non. Par contre le soir je m'autorisais un joint, par ce que là je trouvais que les effets en valaient le coup.
Bon, finalement j'ai recommencé la clope, mais ce que j'en ai retenu c'est que si je ne fume pas par choix, et pas par interdiction stricte, c'est beaucoup plus facile. En fonction de comment tu ressens le fait d'arrêter de fumer, le manque ne sera pas le même je crois.
Pour ce qui est du joint le soir, c'est sûr que pour moi ça m'empêchait d'arrêter de ressentir le manque vu qu'il y avait du tabac dedans. Par contre c'était un peu ma petite récompense, et en journée parfois je me disais "bah, tu ne vas pas fumer une pauvre cigarette sans aucun avantage alors que ce soir tu pourras te fumer un pet", et pouf, l'envie passait. Mais bon, si j'avais voulu arrêter, je pense que j'en aurais fumé pendant une semaine maxi, juste histoire de faire transition.
Ah et puis cette période sans clope m'a permis de réaliser que j'étais capable de ne pas fumer pendant plus d'une journée, et ça c'est plutôt cool
Sinon ouais, pour éviter de penser à la clope, faut s'occuper. Faire du sport, faire son ménage, promener son chien, faire du tricot, ... Et éviter les situations associées à la cigarette (pour moi, boire un café avec des potes fumeuses c'était un peu difficile !).
Voilà voilà, pas sûr que ce message t'aidera beaucoup, mais j'aurai essayé !
Bon, je ne sais pas si ce sera vrai pour toi, mais j'ai remarqué qu'en ce qui me concerne certains détails me permettent de trouver ça un peu moins difficile de ne pas fumer. Déjà, toutes les fois où j'ai voulu arrêter en m'imposant une interdiction stricte ou les fois où je n'avais simplement pas de clopes, je vivais ça comme une frustration énorme. J'étais obsédée par la clope et ne pensais qu'à une chose: "Il faut que je fume". Du coup je tenais une journée, et je recommençais, persuadée que je n'étais pas capable d'arrêter.
Et puis y a pas si longtemps, j'ai réalisé que je pouvais m'y prendre autrement. Je voulais essayer de faire un jeun de quelques jours, et pour ça il ne fallait pas que je fume de clopes. Je ne comptais pas arrêter, juste faire une pause pendant le jeun. Eh bah étant donné que je savais que ce n’était pas définitif qu’après mon jeun j'aurai droit à ma clope, j'ai trouvé ça plus facile. Et même une fois que j'ai recommencé à manger, je n'ai pas recommencé à fumer. Je me suis dit que je fumerai une cigarette au moment où j'en aurai vraiment envie, et finalement à chaque fois que je me demandais "est-ce que fumer cette cigarette a plus de points positifs que négatifs ?", la réponse était toujours non. Par contre le soir je m'autorisais un joint, par ce que là je trouvais que les effets en valaient le coup.
Bon, finalement j'ai recommencé la clope, mais ce que j'en ai retenu c'est que si je ne fume pas par choix, et pas par interdiction stricte, c'est beaucoup plus facile. En fonction de comment tu ressens le fait d'arrêter de fumer, le manque ne sera pas le même je crois.
Pour ce qui est du joint le soir, c'est sûr que pour moi ça m'empêchait d'arrêter de ressentir le manque vu qu'il y avait du tabac dedans. Par contre c'était un peu ma petite récompense, et en journée parfois je me disais "bah, tu ne vas pas fumer une pauvre cigarette sans aucun avantage alors que ce soir tu pourras te fumer un pet", et pouf, l'envie passait. Mais bon, si j'avais voulu arrêter, je pense que j'en aurais fumé pendant une semaine maxi, juste histoire de faire transition.
Ah et puis cette période sans clope m'a permis de réaliser que j'étais capable de ne pas fumer pendant plus d'une journée, et ça c'est plutôt cool
Sinon ouais, pour éviter de penser à la clope, faut s'occuper. Faire du sport, faire son ménage, promener son chien, faire du tricot, ... Et éviter les situations associées à la cigarette (pour moi, boire un café avec des potes fumeuses c'était un peu difficile !).
Voilà voilà, pas sûr que ce message t'aidera beaucoup, mais j'aurai essayé !