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Aure: au moins tu as le déclic de te rendre compte de la problématique qui t'habite, tu en as conscience, mais tu n'arrives pas encore totalement à te faire à l'idée (corrige moi si je me trompe). Tu sais Rome ne s'est pas fait en 1 jour, arrêter les opiacés c'est un travail de longue haleine, mais tu as commencé, c'est déjà 1/2 du taf de fait.
De ce que j'ai retenu sur cette période, c'est lorsque trop enjoué par l'envie de s'en défaire, on arrête... Mais cet arrêt ne durera pas très longtemps, car au moindre souci niveau rythme de vie, ou petit malheur de la vie, on se refout dedans...
Y aller dégressivement, réduire les doses seulement toutes les semaines, voir toutes les deux semaines... En s'aidant, de façon ponctuelle, d'opiacés plus légers tels que la codéine pour substituer la methadone.
S'attendre à en chier un peu au début, mais quel soulagement de voir les efforts donner leurs fruits...
Et surtout faire attention à l'état de conscience dans lequel on est, se forcer (facile à dire, mais ça se travaille, vis à vis de soi même) à sourrir intérieurement, se forcer à pas broyer du noir en se projetant dans l'optique: 0 opiacés, ça le fait !
De ce que j'ai retenu sur cette période, c'est lorsque trop enjoué par l'envie de s'en défaire, on arrête... Mais cet arrêt ne durera pas très longtemps, car au moindre souci niveau rythme de vie, ou petit malheur de la vie, on se refout dedans...
Y aller dégressivement, réduire les doses seulement toutes les semaines, voir toutes les deux semaines... En s'aidant, de façon ponctuelle, d'opiacés plus légers tels que la codéine pour substituer la methadone.
S'attendre à en chier un peu au début, mais quel soulagement de voir les efforts donner leurs fruits...
Et surtout faire attention à l'état de conscience dans lequel on est, se forcer (facile à dire, mais ça se travaille, vis à vis de soi même) à sourrir intérieurement, se forcer à pas broyer du noir en se projetant dans l'optique: 0 opiacés, ça le fait !