Canin
le Hutin (EEEEEHeh)
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Substance : 3-HO-PCP (non testé) et un petit peu d'alcool
Quantité : 3mg
Set : excité et curieux
Setting : sortie théâtre pour un projet
Après quelques semaines sans prise de rien (je compte pas 3 bières et 2 joints) l'envie m'a prise de drop un truc sympa. Trop tard j'ai bu un verre de vin ce sera donc pour le lendemain. J'ai dans mon tiroir magique deux disso au choix, que je n'ai pas encore essayés et qui attisent ma curiosité : DMXE et 3-HO-PCP. J'opte donc pour le deuxième et fais une dilution volumétrique à 2mg/ml.
Le lendemain je drop donc 3mg vers 18h40 avec une grosse gorgée de bière pour passer le goût affreux de la dilu volu (ça commence à faire pas mal d'alcool avec un prod pareil je me dis mais balek).
Départ à environ 19h20, avec 40 minutes de métro durant lesquelles je tape ma montée : une stimulation assez légère mais tout de même flagrante se fait ressentir, avec un visuel intéressant, tout est en surbrillance, les flux des gens et des métros ne font qu'un, les panels sur la ligne 7 font vraiment plaisir.
On arrive à la bourre au théâtre, en courant. À ce moment j'ai un maxi sourire collé aux lèvres, euphorie assez prenante, je pense qu'il est safe de dire que ce prod tape sur la serotonine.
Arrivé dans la salle je me rend compte que la scénographie est assez visuelle, j'attend une pièce bien barrée (aucune idée jusque là de ce qu'on allait voir) et frémis d'impatience. Début de la pièce et premiers mots des comédiens : c'est perché sa mère, et en plus c'est des Québécois, je manque de m'étouffer de rire derrière mon masque.
Malgré la distorsion temporelle la pièce me paraît ultra longue, limite chiante (2h20 en même temps c'est beaucoup) mais je suis à fond dedans, tout en trouvant ça chiant. L'écran tamisé en fond de scène commence à faire mal aux yeux au milieu de la pièce mais peut être rien à voir avec le prod. J'arrive pas à m'arrêter de penser, griffonne dans un carnet...
Fin de la pièce, je suis heureux de retrouver l'air frais. J'ai envie de bouger d'écouter de la musique, de me marrer et voir des potes. La stimulation se fait toujours autant sentir et j'arrive chez une amie surexcité. Après le dîner ce n'est plus que l'afterglow qui se fait ressentir, oscillations entre fatigue et grosse énergie. On est à drop + 4h30.
J'ai très envie d'en reprendre mais le setting n'est pas bon ce sera pour une prochaine fois.
Ça m'embête un peu car j'ai l'impression qu'il y a beaucoup de potentiel dans cette molécule à ce moment là, plus un sacré craving il faut l'admettre.
En attendant l'expérience était concluante même si je reste sur ma faim. Je pense tenter 6mg + bedo la prochaine fois. Je pense que faire ça éviterait un redrop qui je crois peut devenir très vite compulsif et maniaque, vu l'envie que j'avais d'en reprendre en fin de trip.
Quantité : 3mg
Set : excité et curieux
Setting : sortie théâtre pour un projet
Après quelques semaines sans prise de rien (je compte pas 3 bières et 2 joints) l'envie m'a prise de drop un truc sympa. Trop tard j'ai bu un verre de vin ce sera donc pour le lendemain. J'ai dans mon tiroir magique deux disso au choix, que je n'ai pas encore essayés et qui attisent ma curiosité : DMXE et 3-HO-PCP. J'opte donc pour le deuxième et fais une dilution volumétrique à 2mg/ml.
Le lendemain je drop donc 3mg vers 18h40 avec une grosse gorgée de bière pour passer le goût affreux de la dilu volu (ça commence à faire pas mal d'alcool avec un prod pareil je me dis mais balek).
Départ à environ 19h20, avec 40 minutes de métro durant lesquelles je tape ma montée : une stimulation assez légère mais tout de même flagrante se fait ressentir, avec un visuel intéressant, tout est en surbrillance, les flux des gens et des métros ne font qu'un, les panels sur la ligne 7 font vraiment plaisir.
On arrive à la bourre au théâtre, en courant. À ce moment j'ai un maxi sourire collé aux lèvres, euphorie assez prenante, je pense qu'il est safe de dire que ce prod tape sur la serotonine.
Arrivé dans la salle je me rend compte que la scénographie est assez visuelle, j'attend une pièce bien barrée (aucune idée jusque là de ce qu'on allait voir) et frémis d'impatience. Début de la pièce et premiers mots des comédiens : c'est perché sa mère, et en plus c'est des Québécois, je manque de m'étouffer de rire derrière mon masque.
Malgré la distorsion temporelle la pièce me paraît ultra longue, limite chiante (2h20 en même temps c'est beaucoup) mais je suis à fond dedans, tout en trouvant ça chiant. L'écran tamisé en fond de scène commence à faire mal aux yeux au milieu de la pièce mais peut être rien à voir avec le prod. J'arrive pas à m'arrêter de penser, griffonne dans un carnet...
Fin de la pièce, je suis heureux de retrouver l'air frais. J'ai envie de bouger d'écouter de la musique, de me marrer et voir des potes. La stimulation se fait toujours autant sentir et j'arrive chez une amie surexcité. Après le dîner ce n'est plus que l'afterglow qui se fait ressentir, oscillations entre fatigue et grosse énergie. On est à drop + 4h30.
J'ai très envie d'en reprendre mais le setting n'est pas bon ce sera pour une prochaine fois.
Ça m'embête un peu car j'ai l'impression qu'il y a beaucoup de potentiel dans cette molécule à ce moment là, plus un sacré craving il faut l'admettre.
En attendant l'expérience était concluante même si je reste sur ma faim. Je pense tenter 6mg + bedo la prochaine fois. Je pense que faire ça éviterait un redrop qui je crois peut devenir très vite compulsif et maniaque, vu l'envie que j'avais d'en reprendre en fin de trip.