Le 2c-e.. Premier grand pas dans le monde des Rcs, avec jusque là, des expériences qui n'étaient que moyennement concluantes, enfin intéressantes mais jamais extraordinaires, toujours assez ''calmes''.
Ce Tr ne devait au départ pas sortir de ma boite mail, mais au final, pourquoi pas..
On peut le voir comme de la prévention, se rappeler qu'il faut toujours rester très prudent avec ces produits qui sont actifs à des doses assez faibles..
Place au délire...
Contexte : 23mg, chez moi, de retour d'un squat vers minuit/une heure. Un tout petit peu bu avant (ce qui a peut être changé pas mal de choses quand même)
J'reviens du squat en vélo alors que j'y étais allé à pieds, et c'est tout à fait ce que j'avais prédis qu'il me faudrait. Le trajet est bien fun, je ne me perds pas, et quand j'arrive, les 2 squatteurs sont déjà en train de dormir, parfait. Je me pose devant un épisode de Robot Chicken, puis deux, et je finis par me demander : « mais qu'est-ce que je vais bien pouvoir foutre de ma soirée ?? ». Alors, je réfléchis, me dis qu'au départ je voulais prendre du 2c-e hier, mais que ça n'a pu se faire à cause d'obligations sociales, et que là, je suis enfin et seul et au calme, sans personne pour me déranger autour. Je suis bien, et je n'ai jamais vécu MA grosse claque au 2c-e, ce qui m'a toujours fait considérer cette substance (enfin, ''toujours'', depuis deux semaines quoi..) comme ancrée dans le psychédélisme, mais n'étant qu'un brouillard flou et sans vie. Néanmoins très propice à la réflexion sur le psychédélisme, et c'est d'ailleurs ce qui m'avait jusque là pas mal fasciné avec cette substance...
Je fais rapidement une règle de 3, et m'envoie 23mg, des doses jusqu'à 17/18 m'ayant toujours déçu. Pour la première fois, les effets sont presque instantanés, et je sens tout de suite que je suis passé au plateau au dessus, l'étape supérieur, le domaine que je n'ai jamais ressenti sous 2c-e. J'agite mes mains devant moi, c'est confirmé, ma persistance rétinienne est au plus haut, très très rapidement après la prise.
En attendant que ça monte vraiment, j'en ai vraiment marre des Robot Chicken, alors je décide de me masturber, m'étant déjà demandé si c'était possible sous 2c-e (vu qu'à chaque fois que j'allais pissé, lors des prises précédentes, je trouvais mon engin incroyablement ridicule et figé). Effectivement, c'est possible. Et là, je ne me rends compte de rien mais tout monte extrêmement vite. Je me retrouve vite dans un ''brouillard psychédélique'', expression qui qualifie pour moi le mieux le 2c-e. Je n'ai jamais trouvé la montée vraiment violente (bon j'ai vomi la première fois, c'est tout), au contraire elle m'apparait comme assez insidieuse, tout va très vite...
J'oscille entre masturbation et phases de déconnexion totale, qui ne sont pas sans me rappeler mon trip de retour de l'Hadra...
Bientôt, les images qui défilent devant mes yeux m'apparaissent complétement différemment, la beauté de la chair, de l'amour charnelle, je m'embarque dans un délire immense, fasciné, baveux, sans trop réaliser ce qui m'arrive. J'ai l'impression d'être complétement fou, à l'ouest, les yeux exorbités. Parfois, je m'écroule sur mon lit, me ''réveille'' brusquement, en sachant que je n'ai pas dormi, mais sans avoir conscience d'où j'étais vraiment (mon historique me montrera le lendemain qu'il y a eu des phases qui ont duré comme ça pendant 1h..). A un de ces réveils, je tombe sur un porno défilant encore, et là je me rends compte que je ne saurais dire depuis combien de temps je fais ça, et la situation vire au dégout soudain, alors je m'arrête immédiatement.
Une petite douille ? Pourquoi pas, de toute façon je n'ai pas assez de tabac pour me faire une clope, et même, je ne trouve pas de plaisir dans le fait de fumer des clopes sous 2c-e, ça gratte la gorge, c'est pas bon. Je mets du temps à la préparer, c'est une épreuve, mais ça passe.
Je fais un tour sur psychonaut, et je tombe sur des discussions sur les rcs, et mon esprit se met à imaginer un donjon gardé par des geôliers verts (couleur tirée de la tete de jp..) qui se fendent la poire et gardent « le secret des shops ». Ca m'amuse.
J'me rends alors compte que pour chaque chose que je vois, mon esprit fait immédiatement milles rapprochements, images, mais tout va tellement vite et me paraît à la fois si naturel que je n'y fais même pas attention. Je repars m'écrouler sur mon lit, je ne sais où dans mon cerveau. Je n'arrive même pas à suivre ce que je vis, ne me rappelle de rien tellement tout s'enchaine à une vitesse incroyable.
Je reprends assez souvent conscience, fais un tour sur le pc à chaque fois, seul contact avec le monde extérieur que j'ai. J'me souviens avoir pensé, à propos de J-P : « Il n'a toujours pas succombé. », et moi, j'ai l'impression de lutter sans y arriver, de vivre une immense bataille interne.
J'essaie de comprendre une discussion entre Donkey et J-P, mais les mots n'ont aucun sens pour moi, je vois les oiseaux de l'avatar de Donkey s'envoler hors du cadre, je m'imagine les deux se chamailler, je ne comprends pas, rien ne fait vraiment sens dans mon esprit. Des images qui s'envolent aussi subitement qu'elles arrivent. Je pense à mettre de la musique, mais rien de ce que je pense de par moi même n'est chose facile à réaliser, il doit donc bien s'écouler une bonne demi heure entre l'instant où j'y pense et le fais vraiment.
La musique est lancée, une playlist que j'avais faite en vue d'une prise de dxm, je ferme les yeux et m'envole, et sens que les effets ont diminué, mais très faiblement. J'ai des images les yeux fermés qui sont absolument splendides, je suis fasciné, mais je dois vraiment me concentrer pour les visualiser, sinon, tout va beaucoup trop vite pour que je m'y attache. Le son est incroyable, je prends conscience de l'évolution personnelle du son, l'harmonie, la logique, et me dis que c'est justement ce qu'il manque dans mes sons, que tout s'enchaine dans une fluidité évidente. Je vois un espèce d'équaliser, où chaque son est un symbole différent (un tourbillon, une sphère, une étoile...), qui évolue et appuie sur un espace en 3d quadrillé, créant ondulations et vibrations.
Je trip à mort sur Professor Kliq, Gesaffelstein, Popof, Shpongle...
Un Chat daigne à un instant m'accorder sa présence spectrale, il apparaît brusquement à la fenêtre, rentre dans l'appart et me sonde, de toute son âme, tandis que je contracte mes muscles, par pure gêne physique. Il me sonde, et part, et j'ai d'autant plus peur, me sens complétement abandonné, et continue à laisser happer, par la musique, par ma pure folie, brumeuse et majestueuse tout à la fois.
Je reste là, prostré, porté par les mélodies, à me tordre dans tous les sens, comme à chaque prise : ce n'est pas que le 2c-e me fasse vraiment mal, mais j'ai sans cesse l'envie de contracter mes muscles, il y a une espèce de gène étrange. Le jour se lève, et la luminosité me brûle de plus en plus les yeux, alors je me réfugie sous ma couette, à me tordre et me tordre...
Au bout d'un moment, même si je sais que le trip n'est pas encore véritablement fini (même si je dois déjà être bien en descente), je me dis que je vais quand même prendre la dernière trace d'H qu'il me reste (PAS BIEN je sais...), parce que je suis quand même ultra remué de ce trip plus que chaotique, et que j'en ai marre de me contorsionner, plus ou moins volontairement. Encore une petite demi heure d'attente entre ma pensée et sa réalisation... Je sniffe, mon corps va beaucoup mieux très vite, et je parviens à ma calmer, je ne suis plus tout bizarre à l'intérieur. En temps normal, elle m'aurait perchée, mais là ça me calme juste.
MaladeMental rentre du squat vers 9h du matin, peu après ma trace, je pensais qu'il rentrerait plus tard. J'n'ai pas eu le temps de digérer ce qu'il m'est vraiment arrivé, d'autant plus que tout cela est extrêmement confus pour moi, alors je ne lui dis rien, pas l'envie.
J'arrive à ''m'endormir'', ou plutôt somnoler (avec enfin, tout de même, de vraies phases de sommeil, même si assez courtes), mais cette fois c'est vraiment reposant, et toujours la musique qui m'emporte..
Dans la journée, je n'ai pas envie/ne suis pas capable de grand chose, je décide d'aller acheter du tabac à la gare et je me sens bien, calé sur un rythme complétement différent de celui des gens qui m'entourent, et je trouve ça très relaxant, j'aime ''vivre'' au rythme des psychédéliques, je ne sais pas trop comment dire, mais je me sens terriblement bien et serein. C'est dimanche, les rues sont calmes et je me laisse porter.
J'ai la foutu impression que mes trips psychédéliques, s'ils ne sont pas canalisés (par la musique en concert ou par des gens autour de moi), donnent souvent libre cours à la folie, le chaos, et ça m'énerve un peu... Mais bon, après je ne nie pas, j'ai un peu abusé sur cette substance ces derniers temps, mais c'était à prévoir, tant de doses à portée si facilement, et ma faible volonté/fort désir d'expériences...
Pas mécontent de mon trip malgré tout, au moins le 2c-e m'a prouvé sa pleine puissance et le pouvoir qu'il peut avoir.. A moi de trouver maintenant mon dosage et la manière de gérer mes futurs trips !
Ce Tr ne devait au départ pas sortir de ma boite mail, mais au final, pourquoi pas..
On peut le voir comme de la prévention, se rappeler qu'il faut toujours rester très prudent avec ces produits qui sont actifs à des doses assez faibles..
Place au délire...
Contexte : 23mg, chez moi, de retour d'un squat vers minuit/une heure. Un tout petit peu bu avant (ce qui a peut être changé pas mal de choses quand même)
J'reviens du squat en vélo alors que j'y étais allé à pieds, et c'est tout à fait ce que j'avais prédis qu'il me faudrait. Le trajet est bien fun, je ne me perds pas, et quand j'arrive, les 2 squatteurs sont déjà en train de dormir, parfait. Je me pose devant un épisode de Robot Chicken, puis deux, et je finis par me demander : « mais qu'est-ce que je vais bien pouvoir foutre de ma soirée ?? ». Alors, je réfléchis, me dis qu'au départ je voulais prendre du 2c-e hier, mais que ça n'a pu se faire à cause d'obligations sociales, et que là, je suis enfin et seul et au calme, sans personne pour me déranger autour. Je suis bien, et je n'ai jamais vécu MA grosse claque au 2c-e, ce qui m'a toujours fait considérer cette substance (enfin, ''toujours'', depuis deux semaines quoi..) comme ancrée dans le psychédélisme, mais n'étant qu'un brouillard flou et sans vie. Néanmoins très propice à la réflexion sur le psychédélisme, et c'est d'ailleurs ce qui m'avait jusque là pas mal fasciné avec cette substance...
Je fais rapidement une règle de 3, et m'envoie 23mg, des doses jusqu'à 17/18 m'ayant toujours déçu. Pour la première fois, les effets sont presque instantanés, et je sens tout de suite que je suis passé au plateau au dessus, l'étape supérieur, le domaine que je n'ai jamais ressenti sous 2c-e. J'agite mes mains devant moi, c'est confirmé, ma persistance rétinienne est au plus haut, très très rapidement après la prise.
En attendant que ça monte vraiment, j'en ai vraiment marre des Robot Chicken, alors je décide de me masturber, m'étant déjà demandé si c'était possible sous 2c-e (vu qu'à chaque fois que j'allais pissé, lors des prises précédentes, je trouvais mon engin incroyablement ridicule et figé). Effectivement, c'est possible. Et là, je ne me rends compte de rien mais tout monte extrêmement vite. Je me retrouve vite dans un ''brouillard psychédélique'', expression qui qualifie pour moi le mieux le 2c-e. Je n'ai jamais trouvé la montée vraiment violente (bon j'ai vomi la première fois, c'est tout), au contraire elle m'apparait comme assez insidieuse, tout va très vite...
J'oscille entre masturbation et phases de déconnexion totale, qui ne sont pas sans me rappeler mon trip de retour de l'Hadra...
Bientôt, les images qui défilent devant mes yeux m'apparaissent complétement différemment, la beauté de la chair, de l'amour charnelle, je m'embarque dans un délire immense, fasciné, baveux, sans trop réaliser ce qui m'arrive. J'ai l'impression d'être complétement fou, à l'ouest, les yeux exorbités. Parfois, je m'écroule sur mon lit, me ''réveille'' brusquement, en sachant que je n'ai pas dormi, mais sans avoir conscience d'où j'étais vraiment (mon historique me montrera le lendemain qu'il y a eu des phases qui ont duré comme ça pendant 1h..). A un de ces réveils, je tombe sur un porno défilant encore, et là je me rends compte que je ne saurais dire depuis combien de temps je fais ça, et la situation vire au dégout soudain, alors je m'arrête immédiatement.
Une petite douille ? Pourquoi pas, de toute façon je n'ai pas assez de tabac pour me faire une clope, et même, je ne trouve pas de plaisir dans le fait de fumer des clopes sous 2c-e, ça gratte la gorge, c'est pas bon. Je mets du temps à la préparer, c'est une épreuve, mais ça passe.
Je fais un tour sur psychonaut, et je tombe sur des discussions sur les rcs, et mon esprit se met à imaginer un donjon gardé par des geôliers verts (couleur tirée de la tete de jp..) qui se fendent la poire et gardent « le secret des shops ». Ca m'amuse.
J'me rends alors compte que pour chaque chose que je vois, mon esprit fait immédiatement milles rapprochements, images, mais tout va tellement vite et me paraît à la fois si naturel que je n'y fais même pas attention. Je repars m'écrouler sur mon lit, je ne sais où dans mon cerveau. Je n'arrive même pas à suivre ce que je vis, ne me rappelle de rien tellement tout s'enchaine à une vitesse incroyable.
Je reprends assez souvent conscience, fais un tour sur le pc à chaque fois, seul contact avec le monde extérieur que j'ai. J'me souviens avoir pensé, à propos de J-P : « Il n'a toujours pas succombé. », et moi, j'ai l'impression de lutter sans y arriver, de vivre une immense bataille interne.
J'essaie de comprendre une discussion entre Donkey et J-P, mais les mots n'ont aucun sens pour moi, je vois les oiseaux de l'avatar de Donkey s'envoler hors du cadre, je m'imagine les deux se chamailler, je ne comprends pas, rien ne fait vraiment sens dans mon esprit. Des images qui s'envolent aussi subitement qu'elles arrivent. Je pense à mettre de la musique, mais rien de ce que je pense de par moi même n'est chose facile à réaliser, il doit donc bien s'écouler une bonne demi heure entre l'instant où j'y pense et le fais vraiment.
La musique est lancée, une playlist que j'avais faite en vue d'une prise de dxm, je ferme les yeux et m'envole, et sens que les effets ont diminué, mais très faiblement. J'ai des images les yeux fermés qui sont absolument splendides, je suis fasciné, mais je dois vraiment me concentrer pour les visualiser, sinon, tout va beaucoup trop vite pour que je m'y attache. Le son est incroyable, je prends conscience de l'évolution personnelle du son, l'harmonie, la logique, et me dis que c'est justement ce qu'il manque dans mes sons, que tout s'enchaine dans une fluidité évidente. Je vois un espèce d'équaliser, où chaque son est un symbole différent (un tourbillon, une sphère, une étoile...), qui évolue et appuie sur un espace en 3d quadrillé, créant ondulations et vibrations.
Je trip à mort sur Professor Kliq, Gesaffelstein, Popof, Shpongle...
Un Chat daigne à un instant m'accorder sa présence spectrale, il apparaît brusquement à la fenêtre, rentre dans l'appart et me sonde, de toute son âme, tandis que je contracte mes muscles, par pure gêne physique. Il me sonde, et part, et j'ai d'autant plus peur, me sens complétement abandonné, et continue à laisser happer, par la musique, par ma pure folie, brumeuse et majestueuse tout à la fois.
Je reste là, prostré, porté par les mélodies, à me tordre dans tous les sens, comme à chaque prise : ce n'est pas que le 2c-e me fasse vraiment mal, mais j'ai sans cesse l'envie de contracter mes muscles, il y a une espèce de gène étrange. Le jour se lève, et la luminosité me brûle de plus en plus les yeux, alors je me réfugie sous ma couette, à me tordre et me tordre...
Au bout d'un moment, même si je sais que le trip n'est pas encore véritablement fini (même si je dois déjà être bien en descente), je me dis que je vais quand même prendre la dernière trace d'H qu'il me reste (PAS BIEN je sais...), parce que je suis quand même ultra remué de ce trip plus que chaotique, et que j'en ai marre de me contorsionner, plus ou moins volontairement. Encore une petite demi heure d'attente entre ma pensée et sa réalisation... Je sniffe, mon corps va beaucoup mieux très vite, et je parviens à ma calmer, je ne suis plus tout bizarre à l'intérieur. En temps normal, elle m'aurait perchée, mais là ça me calme juste.
MaladeMental rentre du squat vers 9h du matin, peu après ma trace, je pensais qu'il rentrerait plus tard. J'n'ai pas eu le temps de digérer ce qu'il m'est vraiment arrivé, d'autant plus que tout cela est extrêmement confus pour moi, alors je ne lui dis rien, pas l'envie.
J'arrive à ''m'endormir'', ou plutôt somnoler (avec enfin, tout de même, de vraies phases de sommeil, même si assez courtes), mais cette fois c'est vraiment reposant, et toujours la musique qui m'emporte..
Dans la journée, je n'ai pas envie/ne suis pas capable de grand chose, je décide d'aller acheter du tabac à la gare et je me sens bien, calé sur un rythme complétement différent de celui des gens qui m'entourent, et je trouve ça très relaxant, j'aime ''vivre'' au rythme des psychédéliques, je ne sais pas trop comment dire, mais je me sens terriblement bien et serein. C'est dimanche, les rues sont calmes et je me laisse porter.
J'ai la foutu impression que mes trips psychédéliques, s'ils ne sont pas canalisés (par la musique en concert ou par des gens autour de moi), donnent souvent libre cours à la folie, le chaos, et ça m'énerve un peu... Mais bon, après je ne nie pas, j'ai un peu abusé sur cette substance ces derniers temps, mais c'était à prévoir, tant de doses à portée si facilement, et ma faible volonté/fort désir d'expériences...
Pas mécontent de mon trip malgré tout, au moins le 2c-e m'a prouvé sa pleine puissance et le pouvoir qu'il peut avoir.. A moi de trouver maintenant mon dosage et la manière de gérer mes futurs trips !