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25i-Nbome ---> La colline a des épines, la mer est pleine d'oursins

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Voiture garée on commence notre randonnée/ascension, je marche en tête  suivit de Y, F et P, chacun notre buvard de 25i sous la  langue. Il fait chaud, très chaud sous le soleil d'Espagne, pourtant la  mer Méditerranée n'est qu'à un kilomètre, c'est l'avantage des Pyrénées,  la montagne se termine dans la mer, j'apprécie ce double paysage.
Au  bout de 15 minutes de marche nous sommes arrivés à la fin du chemin,  nous cherchons à aller plus loin mais en vain, impossible de poursuivre  dans cette végétation faite d'épineux. Il en faut plus pour me  décourager, je veux grimper cette montagne alors je cherche un accès, un  endroit où la végétation serait moins dense pour pouvoir s'y frayer un  passage. C'est en revenant sur nos pas que je repère un éboulis de  rocher situé à une centaine de mètre au dessus d'où nous sommes, par contre va falloir traverser pas mal d'arbustes avant d'y arriver.


Let's go.


Je  passe en premier, c'est tout de suite pénible, de plus que je suis en  caleçon de bain, j'évite au maximum les épines mais ça pique bien quand  même, autant au niveau des jambes que du torse. J'essaye au mieux de  guider P et F, je ne m'en fais pas pour Y. D'ailleurs il passe  devant moi au bout de 50 mètres, à son tour d'ouvrir la route. En  dessous on en chie comme pas permis, il faut passer des murets de pierre  d'environ 50 centimètres alors que le terrain est bien pentu. On essaye  de s'agripper aux branches des conifères tout en évitant bien les  ronces. Sous nos pieds les cailloux se dérobent en petits éboulis, je  préviens les autres qu'il faut laisser une distance de sécurité entre  nous pour ne pas se prendre un caillou sur la tête au cas où.
Y est  maintenant une vingtaine de mètre devant nous, il est presque arrivé à  la coulée de pierre d'une cinquantaine de mètre qui nous permettra  d'accéder au sommet de la colline, mais pour l'instant on galère en  dessous avec P, quand à lui, F est essouflé 20 mètres plus bas, faut dire qu'il a pas un physique facile pour faire ce  genre de connerie, et encore moins sous cette chaleur estivale (il n'y a  pas un pet' d'air, on sue à grosses gouttes).


On est pas  inconscient non plus, on a chacun une bouteille d'eau fraiche, on boit à  bonne gorgée. Et c'est justement lorsque l'on s'arrête qu'on se rend  compte que le trip monte, et pas qu'un peu. En me laissant phaser la  montagne se met à respirer au fil de mes inspirations et expirations. A  ce moment là je commence à me dire qu'on est en train de faire une  connerie, j'ai du mal à envisager une bonne issue dans notre marche, même si on arrive au sommet, on sera complètement cramé et  après faudra redescendre, ça va plomber le moral de tout le monde et  vu le trip qui se charge, ça va se transformer en bad général.
Pour  l'instant je me contente de me reconcentrer dans mon escalade pour  rejoindre Y. On se concerte et d'un seul regard je comprend que lui  aussi en chie, et si Y en chie c'est que P et F souffrent  atrocement. P nous rejoint quand on lui fait part de notre imminente  descente vers le sentier une centaine de mètre plus bas.
Y fait  son furieux, il trace à travers les ronces en mode bas les steacks, il  atteindra le sentier en l'espace d'une minute. Pour ma part j'ai  entrainé P et F dans ce merdier, à moi de les en sortir. P  pour qui c'est son premier vrai trip me dit que là ça va moyen pour lui,  je le rassure en lui expliquant qu'il n'a qu'à se concentrer sur la  descente et que dans dix minutes on est de en sécurité. La peur n'a pas à  l'envahir, après tout on voit le sentier d'où on est, faut juste  retraverser les multiples murets entourés d'épineux arf.


Heureusement  la descente est plus rapide que la montée, en une dizaine de minute on  est à 5 ou six mètres du sentier, plus qu'à désescalader un passage  raide de deux mètres et on est enfin sur le sentier. Y nous y attend,  putain je suis content d'être sur le plancher des vaches et non sur ce  putain de flanc de montagne à la con, quelle idée stupide d'avoir voulu  affronter la nature en slip de bain sous un soleil de plomb, je suis griffé de partout, j'ai les cuisses et les mollets lacérés, idem pour mes bras, c'est n'importe quoi. On se verse  de l'eau sur la tête pour se rafraichir, et on rebrousse chemin. Au  final je ne regrette juste de ne pas avoir atteint mon objectif, mais  faudrait être sacrément orgueilleux pour pousser un délire comme ça  jusqu'au bout, ça aurait été faisable, mais sacrément épuisant...on est  pas au GIGN...on est en vacances huhu
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Enfin  je dis ça, mais on est quand même à une petite heure de marche de  l'appart' et je ne me sens pas chaud de prendre la voiture, je commence à  être bien défoncé, même si le trip n'est pas présent, je sais qu'il se  cache derrière l'adrénaline du moment présent et n'attend qu'un soupçon  de relâchement pour me péter à la gueule.
F est chaud pour  conduire, il nous assure qu'il est clean, oki je le crois, de toute  façon j'ai juste envie d'aller à l'appart pour récupérer ma serviette de  plage et aller me baquer. Sur le chemin du retour on flippe tous parce  que F conduit "sportivement", il s'amuse de notre peur, avec ce qu'on  lui a fait subir il se venge en roulant vite alors qu'on lui dit de  calmer le rythme. Il nous assure qu'il respecte les limitations de  vitesse...mon cul il est à 50 km/h dans des virages de montagne, effectivement c'est limité à 70 km/h...mais je lui dis que personne ne prend ces virages à cette  vitesse là, on est secoué comme pas permis dans la voiture, ya de quoi  avoir un ulcère.


Ouf enfin arriver, on attend tous que P ouvre  la porte de l'appart, le trip pousse de plus en plus, une fois dans le salon  la pièce commence à bouger pour moi, je me demande où cette intensité  va nous mener, je m'en fais pour les autres, pour F aussi c'est la  première fois qu'il bouffe un trip aussi fort, enfin bon il vient de  conduire ça à l'air d'aller pour lui. Chacun vaque à chercher ce dont il  a besoin, pour ma part je réfléchis peu, je fais plusieurs aller retour  entre la porte d'entrée et le salon parce qu'à chaque fois j’oublie une  affaire, et puis on part à la plage. En fait non on ne peut pas aller à la  plage dans notre état, on décide de se trouver une petite crique où on  sera tout seul.


Chose faite on se pose, je suis dans un trip  bizarre, je n'ai pas spécialement de visus mais ça pousse fort quand  même, un peu moins que dans l'appart et tant mieux d'ailleurs, plus ça aurait été trop...même si en réalité c'est déjà trop, il me  manque l'aspect empathique, je suis trop renfermé sur moi  même, c'est ma manière de me protéger lorsque je ne suis pas à mon aise.  Je met donc mes lunettes de plonger et commence à nager, je longe les  rochers, je n'ai aucun but en tête et mon trip est vide de sens, je  recherche je ne sais quoi et donc je ne le trouve pas, c'est frustrant.  J'essaye de phaser en regardant le fond marin, mais il faut que je  prenne ma respiration constamment, c'est pénible, impossible de me  relâcher complètement.
Je repère un endroit d'où l'on peut sauter  dans l'eau depuis un rocher, ça doit faire environ deux mètres. Je  préviens Y, on saute chacun notre tour, on recommence, mais sans  émotion tout semble plat, je déteste ces moments où je dois me forcer à  communiquer avec les gens, tout me parait faux, et malgré que je sache  qu'il suffit d'une étincelle, enfin d'un déblocage émotionnelle pour que  l'alchimie nous relie et fasse que l'on se tape des barres, je n'arrive pas à rentrer dans le jeu social.


De  retour sur la plage j'ai envie d'être de nouveau seul, je n'adhère  toujours pas aux dialogues de mes amis, mais une fois seul je n'adhère  pas non plus à ma solitude...Raaah bordel c'est relou d'être défoncé et  de n'avoir rien à faire, de ne pas réussir à construire, d'être trop  apeuré au point que je n'ai pas envie de m'exprimer, de peur que l'on me  juge...putain de défonce à la con !
Je nage le long d’un récif où je  me cale au plus près des petites vagues qui déferlent sur les rochers,  j'essaye de trouver un angle de vue optimale qui me ferait rentrer dans  une phase, en vain. Je me dirige vers la côte, je flotte dans un mètre  d'eau, j'observe les oursins agrippés à la caillasse, j'en défait un  pour l'étudier à l’œil nu, putain c'est vraiment de la saloperie ces  bestioles là, en fait leurs piquants ne sont pas si rigides, mais ça  donne pas envie de mettre le pied dessus !


Une fois sur la plage je phase et en me relâchant j'arrivais à voir la falaise à ma droite en  mode cartoon, et les yeux fermés je voyais le caléidoscopes typiques des  psychés, mais mes potes que dalle. J'ai essayé de leur expliqué qu'il  fallait se relâcher, laisser le trip les envahir, laisser l'émotion  prendre le dessus sur l'analyse et la raison. Bref arrêter d'être sur la  défensive en se taquinant, et d'enfin accepter de se perdre dans sa tête, la  lucidité viendra ensuite, il faut juste passer l'étape du décrochage, selon moi ça sert à ça un trip fort, à passer au delà de soi même (même si en l'occurrence sur le moment, le fait de passer au delà de moi même aurait été de m'investir socialement...).
Donc  on se cale tous sur nos serviettes, on se tait, on ferme les yeux, et  au bout de 30 secondes P émet un petit rire...c'est pas méchant mais  ça montre bien que le contexte n'est pas là, il n'y aura pas de trip  aujourd'hui, juste une perche sans émotion particulière avec la défonce  qui pousse derrière...tout ce que je déteste puisque ça me coupe  socialement et qu'en étant avec des gens je n'arrive pas à me relâcher personnellement. Ça aurait été avec n'importe quelle autre drogue oki, mais  avec les psychés ou le canna je ne peux pas, trop anxiogène, lorsque ça  pousse fort je ne suis pas du genre à oublier ma peur en m'en prenant  aux autres, je suis du genre à me renfermer sur moi même...et vaut mieux  ça puisque dans ces états de "stress" je suis tellement premier degré que si je répondais aux surenchères de mes amis je leur mettrai juste super cher...pas envie d'être le dominant en blessant, vaut mieux la fermer.


Le reste de l'aprem'  va se passer en phasant à attendre de redescendre pour ma part, je vais  écouter mes potes se taquiner et à chaque fois que l'on me sollicitera  où que j'essaierai de participer à une conversation, j'écouterai ce que  la personne a à me dire sans vraiment répondre quoique ce soit, enfin  dans ma tête je serais à 2000 à l'heure à me demander si ce à quoi je pense risque de blesser ou non mon pote, mais dans la réalité nada, un  vrai autiste qui se tape sa phase de parano.
Sinon j'ai du lancé 2 ou 3 cents cailloux dans l'eau pour  faire des ricochets, bref je trouvais tout et n'importe quoi pour  m'occuper sans avoir trop l'air d'être renfermé dans mon coin.


Vers 20h je vais à  l'appart chercher de l'alcool, je récupère peu à peu ma personnalité et  ma provoc' en tisant, je suis quand même bien redescendu aussi. Les moustiques  font leur apparition, il commence à faire nuit, on rentre tous  continuer la soirée à l'appart vers 22h. Petite douche avant de me préparer à  manger, je tise très tranquilement, mon corps est pas en grande forme,  j'accuse bien la descente quand même. Je vais m'embrouiller avec Y  en cherchant à lui expliquer que sans émotion il n'y a pas de visu dans  un trip, à part en prenant une grosse dose où là c'est normal d'halluciner. Je veux qu'il comprenne qu'en se laissant aller tout  est possible avec les psychés, mais pour ça faut il encore comprendre  ce que veut dire se laisser aller...non il ne veut pas comprendre, il  veut juste me donner tord en me disant que je ne répond pas à sa  question...mouai il la lui même oublié sa question quand je la lui demande histoire de repartir sur un sujet commun. En fait on a assez dérivé du  sujet pour qu'il me mette en défaut en me disant que je répond vraiment à côté de la plaque, mais au petit jeu de la guerre des  égos je plus con que lui, et je lui dis que sa question initiale portait  sur une estimation physiologique entre le fait de prendre une certaine  dose pour avoir des visus, et que je lui ai tout simplement répondu en  apportant une donnée qu'il refuse d'accepter : l'importance de l'émotion  dans le trip ---> l'émotion est inconsciente et donc reliée à la  créativité qui siège dans l'inconscient, les visus sont créés via notre créativité, donc  implicitement ils dépendent de notre état émotionnel. En soi, s'il n'y a  pas d'émotion, le trip est plat et sans visu...purement mental quoi.


Je lui explique ma démarche en m'appuyant sur l'expérience vécu : cet aprem' on s'est stressé  dans la montagne, l'adrénaline a bloqué nos émotions pour ne pas prendre peur, on est resté dans un état de stress ce qui a donné une ambiance  tendue où on se taquinait au lieu d'être dans une osmose, sans  relâchement du stress pas d'émotion, donc pas d'accès à notre  inconscient, donc pas de visu mais un trip qui pousse et qui est vide de  ressenti...tant pis, on fera mieux la prochaine fois en choisissant un meilleur sitting.


Y m'a  quand même bien énervé, c'est pas la première fois qu'il me fait ce coup  là, mais je ne lui en veut pas même si je sais que dans sa tête il est  resté sur sa position, je m'efforce de ne pas le plomber à grand coup de  remarques blessantes, ça se voit qu'il est défoncé en mode sur de lui, et j'ai pas envie de pourrir l'ambiance en rentrant dans son petit jeu d'ego de foncedé.


Il  doit maintenant être 23h, on se tise tranquilou pour amortir la  descente, on a rdv à 1h30 dans un bar pour choper de la Weed, putain  j'ai pas envie d'y aller, j'ai pas envie de voir du monde. Les autres  veulent regober du 25i, ils font de la merde en prenant des gouttes et  en les avalant cash (ce qui ne sert à rien), j'apprécie pas cette ambiance de "on se défonce  parce que c'est la descente, mais comme on flippe on gâche la dope". Oh  et puis après tout laisse les faire et pré-occupe toi de toi. Je bois  quelques gorgées rapidement pour que l'alcool prenne le dessus sur la  descente, mais je n'ai pas non plus envie d'être ivre mort au bar tout à  l'heure. Je prend une trace de 3-MMC qui va me booster 10 minutes avant  d'être absorbée par la descente du 25i...putain qu'est-ce qui est plus  fort qu'une descente de psyché ?


Allez une petite trace de MxE  d'environ 15/20mg et on est parti, sur le chemin je m'efforce d'être  cool alors qu'en fait je me sens bizarre, j'ai l'impression d'avancé au  ralenti, étrange sensation d'ailleurs. Après ça mes pas deviennent de plus en plus dur...et c'est dur.
Dans le  bar on dit vite fait bonjour à la cousine de P, et comme des connards  on va s'assoir à l'écart de tout le monde sur le trottoir, en mode les  gros exclus arf. P nous rejoint et nous dit qu'on est pas sérieux,  moi j'ai la tête posé sur mes genoux, Y est allongé par terre et  F ne dit rien à côté de nous...et histoire de bien faire sale on a les teilles de tise sorti...
Quand P nous explique qu'il faut au moins être présent avec les gens le temps que notre contact arrive histoire de sauver les apparences, je ne répond rien, mais comme F y va je me force et j'y vais aussi. La copine de P est mignonne, elle me parle et je lui répond en essayant d'être le plus normal possible. Y nous rejoint mais reste moins d'une minute, j'en profite pour m’éclipser avec lui.


On s'isole à l'autre bout du parking du bar où on va avoir une discussion  personnelle pendant une grosse heure, je reprend une trace de MxE, puis P et F nous  rejoignent avec deux gros pochons de Weed vers 3h du matin, putain c'est  la fête, on rentre à l'appart avant d'aller à la plage faire un feu.  Y se baigne pendant une bonne demi heure, nous autres fumons et buvons, puis  quand le jour se lève on décide de rentrer se coucher, je croit qu'on a  mérité une bonne grosse nuit de sommeil, la journée/soirée/nuit a été  assez intense voir éprouvante...le lendemain soir on sera tous Ko.
 
Merci pour ce TR, t'aurais pas une idée de la dose présente sur les buvards ?

Et t'as trouvé ça plutôt léger ou fort en général?
 
Environ 2mg je dirais, après j'en sais rien, en fait j'ai fais une dillution de façon à ce qu'il y ai 1mg par goutte et j'ai mis 4 gouttes par buvard (et je pense qu'il y avait maxi 3mg de i sur le buvard). Mais avant ça mes potes arrêtaient pas de me sortir qu'en buvard c'est moins efficace que les gouttes direct dans la bouche, et comme avec une goutte il n'avait "rien senti" deux jours avant, ce coup-ci on a décidé de charger.

Donc au final c'était "fort" bien sur, ils me l'ont dit eux même (et ça se voyait dans leurs yeux que ça poussait), mais vu l'ambiance le trip était sur la retenu. C'est pas la première fois que j'ai des potes qui bloquent un trip, après ba tant pis, mais c'est comme toujours, c'est en mode on veut triper on veut voir des étoiles, mais au moment où c'est là on en a plus envie parce que voir les étoiles nécessite un trip fort...et oui il faut le tenir derrière, faut assumer de "délirer" dans un sens.

Enfin bon le coup de la montagne ça a choqué tout le monde, on était pas bon pour l'asile mais ça laisse une boule dans le ventre, donc normal que le trip n'est pas été des plus rigolo.

Après moi j'ai pour habitude de marcher quand ça pousse, ça fait défiler le paysage et ça libère l'esprit, mais là posé dans une mini crique de 5 mètres de large avec des gamins qui passaient derrière nous ou même une mamie qui se cale en bikini sur un rocher juste à côté de nous, c'était pas le top encore une fois pour être en mode sécurité dans notre bulle...
 
Bizarre, ça me donne de plus en plus l'impression que l'information qui circule sur les dosages des NBOMe est pas tout à fait exacte....Les trips forts sont toujours dits comme commençant en bas de 1mg, et bien des gens ne ressentent quasiment rien avec.

Un buvard contenant 1mg de 2C-B-NBOMe à trois n'a eu aucun effet, pourtant sur internet une dose forte comme aux alentours de 400ug. Trouvez l'erreur.

Sinon c'est vrai que lorsqu'on se tape un trip psyché entre amis, on a tendance à se "retenir" lorsque ça commence à envoyer pas mal, mais j'arrive pas à mettre le doigt sur la raison.
 
La faute à la peur du jugement d'autrui. On a envie de sauver les apparences pour ne pas montrer que la drogue nous a complètement vrillé, et au final on se retient de dire des conneries qui nuiraient à notre image de tous les jours.

C'est aussi pas évident de se comprendre quand on est défoncé au psyché, quand on a déjà du mal à aligner trois idées cohérentes dans sa tête, va essayer de t'exprimer avec un individu dans le même état...ça part vite dans les quiproquos ou dans l'incompréhension totale (sinon tu taquines ton prochain et ça règle tous ces problèmes nécessitant un effort de compréhension commune arf).

Par rapport aux dosages sur internet, ils sont prévus pour des personnes qui n'ont aucune expérience de trip et qui ne sont pas habitués à encaisser une défonce. Mais si t'as quelques trips au compteur et que tu aimes bien être déstabilisé, c'est clair qu'il faut augmenter les doses pour atteindre l'état de fuckinghigh.
 
Mais je pense que ce que tu dis par rapport au dosage est directement lié à la qualité de ton batch Laura, car honnêtement l'autre jour j'ai eu l'occasion d'essayer officiellement le 25i avec un buvard acheté en free et putain, je sais pas à combien il était dosé (je compte demander au revendeur que j'ai réussi à retrouver d'ici peu, mais étant donné qu'ils étaient vendus à peu près à n'importe qui, j'imagine que le dosage devait pas être beaucoup + élevé que 1mg) et pourtant j'ai jamais eu des visus aussi abusés de toute ma vie, le DOC à côté de ça que je pensais quasi indétrônable c'est de la limonade sérieux, même dans le vide il y avait des hallus d'une rare complexité, quand je brassais l'air avec ma main, je créais un tourbillon de fractales multicolores,...

Donc où mon buvard était surdosé, ou ton batch est vraiment pas très potent, mais je pense que par RdR, il est assez dangereux de déclarer sur un forum que 3mg ça passe encore comme dosage car c'est réputé partout sur le net comme hardcore :P ça risque d'en pousser pas mal à la surdose.
 
Je n'ai jamais dit que 3mg de 25i "ça passe", j'ai même écrit que :

Laura Zerty a dit:
Donc au final c'était "fort" bien sur

Ne me fait pas dire ce que tu as mal comprit.

Par rapport à la qualité de mon batch, je pense sérieusement qu'il est merdique, par rapport au dosage de ton buvard, je pense qu'il était bien chargé vu les visus que tu as eu ! faut quand même charger la mule pour créer un tourbillon de fractale !!
 
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