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J'ai retrouvé quelques tryptamines de plus de 10 ans d'âge, conservées en poudre à température ambiante à l'abri de la lumière, qui ont viré du beige (4-AcO-DET) au noir (4-AcO-DMT) en passant par le brun-orangé (a-MT). Est-ce qu'il y a une possibilité et un intérêt de les faire analyser ? Si j'ai bien compris il n'y aurait pas de possibilité de faire de quanti, donc l'intérêt serait seulement de voir si la dégradation produirait un autre composé psychoactif répertorié (la réponse probable étant plutôt "non", sauf erreur de ma part ?).
Pareil pour un NBOMe dilué dans du whisky.
Pareil pour un NBOMe dilué dans du whisky.