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[blend de cannabinoïdes inconnus] Première et dernière tentative

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Procyon
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Procyon

Glandeuse Pinéale
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29/3/14
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Yo,
Il y a quelques temps, mon meilleur pote a fait un très gros bad avec un blend de cannabinoïdes synthétiques, ça lui a permis de passer une journée pas des plus agréables aux urgences.
Évidemment après m'être renseigné sur ce blend, pas moyen de savoir quels cannabinoïdes étaient réellement présents à l'intérieur (le genre de truc déjà pas rassurant à la base...).
Après s'être remis de ce gros bad trip, il a rédigé un TR qu'il m'a demandé de publier sur Psychonaut pour avertir les potentiels consommateurs de ce truc. Mis à part cette petite introduction, c'est lui qui a écrit tout le texte qui va suivre, avec ses mots, ses connaissances, ses ressentis, ses peurs ; je n'ai rien modifié. Pas besoin de préciser que ce TR n'a rien d'apologique, et que mon pote a, depuis cette expérience, rallié mon point de vue sur les cannabinoïdes synthétiques, à savoir : jamais !
Bonne lecture.



Ce trip report portera sur un produit en particulier : le Mary Joy, un blend de cannabinoïdes synthétiques. A mes yeux, l’utilité du trip report réside plus dans la prévention de consommateur à consommateur que dans le partage de récits d’expériences plaisantes sous une drogue quelconque. C’est pourquoi j’ai décidé de poser sur papier et de partager mon infernal bad trip (mon tout premier, soit dit en passant) sous Mary Joy, afin d’avertir que ce produit est une vraie saleté, à ne surtout pas expérimenter. Ni un petit peu, ni entre amis, ni en bang : N’EN FUMEZ JAMAIS !

Le contexte
Il est midi passé, nous sommes avec des potes de ma classe devant notre école. L’ambiance est à la fête et à la légèreté : du soleil et plus que 3 heures cours cet après-midi, et pour une grande partie d’entre nous, nous sommes en vacances à la fin de la journée. Ce jour-là, j’avais suffisamment mangé et bu au cours de la journée et je n’étais pas spécialement malade ou fatigué. Comme à l’accoutumée depuis plusieurs mois maintenant, j’ai déjà fumé 2/3 joints de weed légèrement dosés au cours de la journée.

Une fois nos sandwichs terminés, Julien (prénom modifié) nous dit qu’il a reçu sa petite commande: 3 grammes de Mary Joy. A l’écouter, il s’agit d’un dérivé de cannabis cultivé à l’aide d’engrais chimiques, à doser bien plus légèrement qu’un joint ordinaire, et dont les effets sont immédiats et semblables à ceux de la weed, quoique plus puissants. Le produit se présentait sous la forme de cannabis le plus ordinaire qui soit.


La prise
Etant un usager très régulier de drogues depuis maintenant un peu plus d’un an (cannabis, psychédéliques variés, amphétamines, kétamine), cette « weed synthétique » (car peu importe ce que vous pourrez entendre concernant cette drogue, sachez que ce n’est rien de plus que cela) me paraissait totalement inoffensive au premier abord. Julien en roule donc un joint sur une petite feuille et l’allume. Nous étions 5 ou 6 en cercle, je fais remarquer que pour le nombre que nous étions, ça n’allait peut être pas suffire, mais Julien m’affirme qu’avec cette quantité, on rigolera bien pendant le cours à venir.

Le joint arrive jusqu’à moi, je tire trois taffes assez grosses que je garde un moment dans les poumons afin d’amplifier les effets. Un goût acre se fait sentir immédiatement, Julien me passe sa cannette d’Ice Tea, plusieurs gorgées ne font pas partir ce goût vraiment désagréable. Mes potes ayant fumé avant moi sur le joint sont immédiatement victimes d’un gros coup de barre, et s’assoient par terre en rigolant sous les effets du produit.


Le cosmos que t'as pas envie de visiter
En quinze secondes à peine après avoir fumé, mes jambes me lâchent, et je me retrouve assis par terre sur le trottoir avec les autres. Vous réciter dans l’ordre et clairement ce que je me souviens avoir vu, entendu, ressenti et imaginé à partir de cet instant est impossible, mais je vais faire de mon mieux.

Au début, tout semble embrumé, légèrement euphorique, ralenti mais une oppression certaine se faisait sentir. J’ai conscience d’être bien plus défoncé que mes potes, que c’est quand même moyen d’être assis par terre devant l’école où passent mes profs et d’autres élèves et que l’on risque tous d’être repérables en cours tant nous sommes défoncés, à rire bêtement. Juste histoire de m’auto rassurer, je demande à Juliette (prénom modifié) assise en face de moi combien de temps il nous reste avant de devoir aller en cours, qui me répond qu’il nous reste 20 minutes. A côté de moi, mon pote Jérôme (p. m.) dit « J’aime pas, j’aime pas du tout. »

Et c’est à partir de cette phrase que tout a commencé à vriller dans mon esprit. Le mal être est au début une sorte de paranoïa sociale (désolé, je ne vois pas d’autre terme), je suis mal pour mes potes qui n’apprécient pas leur défonce, je me dis que cette expérience commune va détruire notre amitié, que c’était une mauvaise idée, alors que tout autour de moi semble se détacher de la réalité pour se coincer entre deux niveaux de perception distincts : je regarde mes amis mais je ne les vois pas, je les écoute mais je ne les entends pas, je veux leur répondre mais je n’y arrive pas. Je suis comme éteint, refermé hermétiquement sur moi-même, mais tout ça contre ma volonté.

J’ai l’impression de tomber petit à petit dans un trou sans fond, des images et des sons s’apparentant plus à des flashs s’impriment sur mon cerveau, je crois réussir à les percevoir mais tout cela ne signifie rien pour moi, je ne sais pas ce que c’est car je ne fais plus partie intégrante de cette réalité. Julien et les autres me demandent si je vais bien, Juliette me regarde inquiète avec un air de « Je savais que ça allait finir comme ça. ». Je me souviens m’être dit que ce que je souhaite de plus cher à cet instant donné, plus que la dissolution du Front National, c’est de parler à mes potes qui me semblent être avec moi, de communiquer avec des éléments de cette réalité que j’aime, de leur dire de m’aider et de faire que cette défonce absolument pas agréable s’arrête.

Le plus angoissant, c’était ça : perdre pied avec la réalité tout en ayant l’impression d’être éveillé et de le vivre. Mes potes essaient de me relever, continuent de me demander comment je vais, alors que je suis incapable de communiquer ou de prendre n’importe quelle décision qui soit. Et c’est à partir de là que je crois, aux dires des présentes personnes, avoir commencé à m’évanouir, convulser et vomir, car je ne me souviens que de très rares images.

Le souvenir que j’ai de la suite s’apparente à une déambulation infernale et sans fin, à voguer entre la douleur, l’angoisse et la peur. Je suis maintenant coincé dans une dimension dont le décor s’apparente à ce que l’on pourrait appeler le néant, je souffre, j’ai mal, ça me déchire, je veux que ça s’arrête, je ne sais pas ce que c’est ou d’où ça provient, mais je veux que ça s’arrête. Je chute sans fin, des gargouilles sorties des abysses de l’immondice sont là pour me tourmenter encore et encore. C’est comme si tout ce que j’avais fait de mauvais pour les autres et pour moi-même au cours de ma courte vie m’était infligé, comme une sanction que l’on n’a pas le droit de contredire. Je suis noyé sous un tsunami de noirceur et à présent, plus jamais je ne pourrais remettre la tête en dehors de l’eau. Pourquoi je ne peux pas retrouver ma vie d’avant ?

Un autre déchirement, se rapportant probablement à mes vomissements. Ca y’est, c’est la fin, je vais mourir. Mourir ? La notion de mort ne me vient à l’esprit que maintenant, alors que pourtant, c’est ce dont je suis le plus proche en terme de ressentis (non pas que je prétende avoir effleuré la mort physiquement, mais plutôt psychologiquement). Pour ne pas mourir, il faut sortir de cet univers. Pour sortir de cet univers, il faut se raccrocher à des choses réelles et terrestres.

Et à cet instant, j’entends la voix du directeur, mes potes inquiets et des bruits de machines médicales. La mort squattant encore mon esprit à ce moment donné fait se projeter une vision absolument horrible : le bruit des machines médicales, c’est parce que je suis dans une chambre d’hôpital, rongé et dévoré par cette saloperie que j’ai fumé, inconscient, aveugle, à moitié sourd, l’organisme gangrené. Je vais mourir, c’est certain. Je ne suis plus humain, je suis une masse rosâtre, sanguinolente se recroquevillant sur elle-même. Mes parents, mon frère, ma sœur et mes deux meilleurs amis sont là, ils pleurent. Je pleure aussi, et je leur demande pardon. Pardon, mille fois pardon. Pour vous et pour moi, plus jamais de cette merde, Ô grand Dieu plus jamais.


Le retour à la réalité
La douleur commence à s’estomper, je crois me détendre, mais je préfère garder les yeux fermés pour le moment. Ca y’est, c’est terminé, le cauchemar a pris fin et c’est maintenant la douce réalité qui prévaut. Je suis allongé, aucune idée d’où est ce que je peux bien me trouver, mais peu importe, tout plutôt que ce que je viens de visiter. J’entends quelqu’un me demander si je suis V.R. (mes initiales), et si j’habite bien à M. (nom de ma ville). « Oui ! » je hurle « Oui, chez mes parents ! ». Quel soulagement de pouvoir le dire, de pouvoir parler, entendre, de se rendre compte que le monde réel est toujours là.

Je suis encore bien dans le gaz, mais avec du recul, les effets que j’ai pu ressentir à partir de là s’apparentent à une défonce au cannabis à peu près normale. Toujours les yeux fermés, j’entends des voix d’hommes autour, 3 ou 4. Elles sont rassurantes, pas paniquées (du moins, il me semble). Même si je ne connais pas les propriétaires de ces voix, je peux leur faire confiance.

Il me faut quelque chose. De la musique. Oui, ça pourrait m’aider à me concentrer sur autre chose et à visualiser d’autres univers que je connais et dans lesquels je me plais à me réfugier, seul ou à plusieurs. Je demande aux personnes qui sont autour de moi si elles peuvent chanter quelque chose. L’air qui parvient à mes oreilles sonne faux, mal callé, je ne le connais pas, mais il est apaisant et n’importe quelle sorte de douceur serait bonne à prendre de toute manière. Un peu comme quand l’on veut manger un bout de pain pour faire passer le goût amer du médicament.

J’ouvre les yeux, et je reconnais sans difficulté l’endroit où je suis : dans un camion de pompiers, devant mon école. Je suis en PLS sur le côté droit, les pieds attachés à un brancard. J’essaye de remuer un à un mes membres. Et tout à coup, une douleur aigue se fait sentir dans mon bras gauche, j’ai l’impression qu’il gonfle et va exploser. Je hurle, je supplie les pompiers de faire quelque chose. Un d’eux m’affirme que mon bras va bien, et m’aide à le laisser étendu le long de mon corps. Quelques courtes minutes après, tout revint à la normale.

Un goût immonde se fait sentir dans ma bouche. En voyant de nombreuses traces sur mon pull, il ne me faut pas longtemps pour comprendre que je me suis élégamment gerbé dessus. Et que j’ai encore envie de vomir. Donnez-moi un sac plastique rapidement sinon il va arriver quelque chose de franchement pas rigolo à votre camion. Jamais un vomissement ne m’a fait autant de bien ou ne m’a autant donné l’impression de me purger, de me libérer. Merci messieurs, j’adore ce que vous faites ! L’un d’entre eux me demande ce qu’il m’est arrivé, je leur explique et me traite d’idiot moi-même en leur expliquant que mon meilleur ami (propriétaire de ce compte Psychonaut) m’avait averti sur les dangers de cette drogue.

L’un d’entre eux, le conducteur je crois, demande à quel hôpital il faut aller. Je leur demande si c’est possible d’aller à l’hôpital G… B…, car ce dernier est sur la ligne de métro me permettant de rentrer chez moi. Ça me soulage de parler de toutes ces choses concrètes du quotidien. En parlant de ça, où sont mes affaires ? Mon sac ? Il est au bout du brancard, avec le pull de Victor (p.m.). C’est vrai que j’étais avec mes potes au début. Il faudra que je les appelle, ils doivent être inquiets. J’ai l’impression de revenir de tellement loin, tout est encore un peu abstrait. Mais c’est fini, et bien fini.

Tout s’est à présent arrangé, j’ai eu de la chance de ne pas avoir la moindre séquelle et de ne pas devoir subir la moindre sanction de la part de mon école. Quoi qu’il en soit, je tiens à ré insister sur le danger de cette drogue. Les quantités que nous avons fumées étaient très légères et pourtant, nous nous sommes tous plus ou moins sentis mal. Je n’ose même pas imaginer ce qu’il aurait pu en advenir si nous l’avions fumé avec un bang par exemple.

Et puis de toute manière, entre un OGM et un produit Bio, le choix est vite vu non ?
 
Arffff ! J'ai ce gout immonde chimico-javellisé rien qu'à lire ton expérience ! ^^

Comme toi , une fois pas deux ... Pas eu de séquelles alléluia !
Quand je pense que c'était aussi par curiosité mais mon dieu , comment certains font pour se satisfaire de cette insanité de noïd ?!!

Merci pour ton TR plus qu'utile pour les curieux de noïds , je me suis peu concentré dessus parce que , comme toi , suis aux sources de la merde que c'est !

Aères un peu tes lignes , non ? Perso je m'en fiche mais d'autres non ^^ Le cosmos et la réalité sont un peu dans le pâté , tu trouves pas ? :)
 
Devanagari a dit:
Arffff ! J'ai ce gout immonde chimico-javellisé rien qu'à lire ton expérience ! ^^

Le délicieux relent fluoré du 5f-akb48, j'adore.
 
Yep, j'ai rajouté pas mal de sauts de ligne ! Ca m'avait pas choqué en relisant son texte mais c'est vrai qu'il était assez compact.
Personnellement, ayant été au courant des dangers des noïds bien avant d'avoir l'opportunité d'en obtenir, j'ai jamais tenté l'expérience... et quand je lis ce genre de reports et les commentaires qu'ils entraînent, je suis bien content d'avoir été correctement informé sur le sujet (c'est l'occasion de remercier cette mine d'informations qu'est Psychonaut, qui m'a sauvé d'un bon paquet de bads et d'accidents avant même que j'en aie conscience).
 
Sérieux t'aime bien ou suis trop sensible à ce gout vraiment chelou .
C'est drôle mais ce gout presque similaire est revenu avec pourtant le simple 2C-B alors qu'avec le 2C-E j'ai apprécié , métallique et aigre un peu mais les gouts en bouche passent bien ...

Je suis assez spécial avec les gouts laissés derrière des drogues de synthèse mais les noïds c'est le comble du comble ^^ . Après qu'on vienne me dire que les torches péruviennes c'est dégueux je rigole ^^

Edit : Bien vu pour la mise en forme plus souple du texte Procyon ^^
 
L'intention est louable, et si ce TR peut faire comprendre a quelques personnes que ce n'est pas du cannabis, on aura déjà gagné quelque chose...

Par contre faire de la prévention sur un produit inconnu, et consommé en quantité inconnue, c'est pas très objectif.
Surtout concernant une famille de produit comportant des centaines de molécules différentes, tant par leur effets que leurs dosages.

En fait on ne sait même pas si c'est un ou des cannabinoids, et on ne sait pas ce qu'il pouvait y avoir en sus dans ce blend.

C'est un peu comme dire que t'as été en soirée et que tu as bu une quantité inconnue d'un liquide inconnu (ou bouffé un para de j'saipakoi dosé a j'saipakombien) et dire "plus jamais ça"!!!!
Ma question est : plus jamais quoi ?
1) plus jamais tu ne prendra un truc inconnu sans trop te soucier de ce que c'est?
2) ou plus jamais tu ne boiras un liquide quel qu'il soit?

Ah pis pour ta phrase de fin, 99% des weeds du marché sont des OGM ;)

Mais sinon l'intention est louable....
 
Procyon a dit:
Et puis de toute manière, entre un OGM et un produit Bio, le choix est vite vu non ?

CaptainBarnacle a dit:
Ah pis pour ta phrase de fin, 99% des weeds du marché sont des OGM ;)

Ni l'un ni l'autre les gars...
OGM = organisme génétiquement modifié donc le premier (cannabinoïde de synthèse) est une molécule synthétique et le deuxième (weeds du marché) c'est des variétés hybrides donc obtenues par croisements spécifiques (enfin sauf si l'hybridation/ fusion somatique est utilisée, mais je pense pas que les breeders néerlandais utilisent cette technique)...


CaptainBarnacle a dit:
En fait on ne sait même pas si c'est un ou des cannabinoids, et on ne sait pas ce qu'il pouvait y avoir en sus dans ce blend.

Selon Wedinos (et si on compare avec quelques emballages de shops sous cette appellation), ça donne ça:

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@CaptainBarnacle :
Effectivement, mon pote ne se rappelle plus de quel blend de Mary Joy il s'agissait, n'ayant pas acheté lui-même le produit il n'a pas pu me donner plus d'infos que ça.
Mais à mon sens c'est quand même un peu plus précis qu'un "para de je sais pas quoi dosé à je sais pas combien", pour reprendre tes termes ; vu que Mary Joy c'est vendu comme de la weed synthétique, sans la moindre indication de dosage ni de composition (et encore une fois je te rejoins, c'est tout sauf rassurant et ça devrait décourager n'importe qui d'en acheter et a fortiori d'en consommer...), ça reste un produit connu et (malheureusement) facile à retrouver, un poil au dessus du "je sais pas quoi" ^^

@Jhi-dou :
Merci pour les analyses, ça resserre pas mal le spectre des noïds possibles ! J'ai retrouvé d'autres analyses qui avaient trouvé également de l'UR-144 et de l'AM-2201, mais apparemment ces blends-là ne sont plus commercialisés.
 
Jhi-dou j'ai utilisé le terme ogm en tant que terme fourre tout^^
Je sais bien que nos plantes ne sont pas des ogm même pour les féminisées et les autoflo.
C'est juste le résultats de nombreuses hybridations et d'adjonction d'hormones naturelles ou d'activateurs d'hormones synthétiques sur les pieds mères.
Y'a pas de modification du génome... (quoi que avec ma parano je doute de ce fait des fois, sachant a quel point l'appat du gain fait faire des saloperies.... et encore plus quand on parle de drogues...)

Ensuite Procyon le problème des blends genre MaryJoy, DutchOrange ou autres conneries de ce genre c'est qu'ils changent de compo en fonction des lois et des envies (ou de ce qu'il reste en stock^^)
C'est d'ailleurs pour cela qu'ils ne donne jamais ou rarement le nom de la molécule active ou sa concentration dans le produit finit, freestyle quoi...
Et ce que t'as montré Jhi-dou n'est peut être dèjà plus valable (ou bien a l'inverse le sera encore longtemps, on ne peut le savoir avec certitude)

Donc je vais changer la formulation de la phrase qui t'a chagriné:
Tu sais "peut être" ce que tu as consommé parmis 4 ou 6 produits "probables" de ce que j'ai lu.
Et tu ne sais pas en quelles proportions puisque tu ne connais même pas la concentration. (qui ne nous aiderait pas au final sans être sur du produit)

Par contre si tu peux encore avoir accès a ce produit je serais heureux de le faire analyser pour toi, au moins vous serez sur de ce que vous avez pris et le message de prévention n'en aura que plus d'impact...
 
Mais à mon sens c'est quand même un peu plus précis qu'un "para de je sais pas quoi dosé à je sais pas combien"

Quelle différence ? Dans un cas tu as un produit que tu ne peux pas doser avec précision, dans l'autre cas tu as un produit que tu ne peux pas doser avec précision.
 
Huhu "Damnation" pour du 5F-AKB48, ouais ça colle bien. ^^
 
Ayant eu une très bonne expérience avec le 5F-AKB48, je m'interroge sur ce qui a pu te mettre dans cet état là (si c'est ce que tu as consommé).
Je vapote mon 5F et je contrôle au ml près la dose à consommer. C'est peut-être là la grosse différence. J'ai d'ailleurs trouvé le dosage idéal en ce qui me concerne.
Bref, faut apprendre à être plus intelligent avec ce genre de produit. Il est IMPERATIF de partir de la plus petite dose possible tout en augmentant la dose à chaque fois si, et seulement si, tu en éprouves le besoin.
Après relecture, je trouve que vous avez vraiment fumer ce truc à la va-vite.
Et merci pour ce TR.
 
Bref, faut apprendre à être plus intelligent avec ce genre de produit. Il est IMPERATIF de partir de la plus petite dose possible tout en augmentant la dose à chaque fois si, et seulement si, tu en éprouves le besoin.

Et à côté t'as des usagers du forum en qui j'ai confiance qui avait fait analyser leur batch, qui consommait ce truc depuis un moment, et un jour ça termine à l'hosto... Je te souhaite que ton corps continue à résister correctement à ces machins, mais un jour si ça t'arrive, t'avais été prévenu.

Et puis vaporiser ces trucs de base... En voilà un moyen de consommation qui augmente encore un poil la toxicité avec la possible création de produits toxique dû au fait de chauffer un produit chimique... BREF.
 
Alors déjà, je n'ai pas pas parlé du nombre de fois par an où il m'arrivait d'en consommer (il s'agit peut-être d'une à deux fois tous les 6 mois).
Et puis tu connais très mal le produit ou tu n'as simplement pas compris mon message: je NE consomme PAS le 5F via ces batchs daubés. Grosse différence donc, puisque je sais exactement ce qui se trouve dans le réservoir de mon e-cig.
Comme par hasard, tout le monde fait toujours tout analyser mais on ne voit jamais ces analyses (ceci dit: je suis du même avis que toi: ces batchs sont à proscrire et ne devraient pas être consommés).

Et puis vaporiser ces trucs de base... En voilà un moyen de consommation qui augmente encore un poil la toxicité avec la possible création de produits toxique dû au fait de chauffer un produit chimique...
Par pitié, ne parle pas de ce que tu connais visiblement pas. Vaporiser n'est pas sans danger mais entre un joint et ça, pas photo niveau toxicité mais ce n'est pas le débat ici.
 
@Para,
Pandora ne vaporise pas son 5f-AKB48, il doit (je pense) faire une dissolution dans du PG et charger sa e-clope avec.
Opération relativement simple et surement la manière la plus safe a l'heure actuelle de consommer ce produit.
Donc vaporisation il n'y a pas, a part celle du PG a partir de 60°. Le 5f est juste transporté sur les muqueuse via la vapeur de PG...

Par contre @Pandora ne soit pas si affirmatif sur les effets secondaires potentiels du 5f, moi j'ai pris cher avec celui la, et dès la deuxième conso.
Et pourtant j'avais fait analyser mon produit via l'asso (donc j'ai les archives si tu veux, et si tu ne les voient pas publiées c'est qu'on ne publie pas en cas de "bons" résultats, on communique juste le résultat a l'interessé) et j'avais tout bien fait dans les règles...
Et j'avais une grosse expérience des noids en général.
Ca a finit par un traitement anxio sur plusieurs mois et une impossibilité a fumer pendant presque un an, même du naturel..
C'est loin d'être anodin.

On est pas tous égaux face aux drogues, mais ce qui est sur c'est qu'a être trop confiant (en soi, ses connaissances, ses sources) on finit par se faire botter le cul...

Et qu'est ce que tu appelles un "batch" toi?
Parceque c'est pas très clair pour moi, comment tu peux savoir que le batch d'untel est pourri et pas le tien?
(et me dit pas que c'est parceque t'as un bon shop hein^^)
 
J'ai bien compris ton message. Par contre toi, tu as compris qu'on parlait pas de 5F-AKB-48 mais qu'on en savait trop rien... Puisque le type ne sait pas quel blend c'était exactement. Donc t'es bien gentil de venir prodiguer tes grands conseils de RDR en ce qui concerne le fait de peser au mg et de vaporiser avec une e-cig, MAIS c'est là que je me pose pour rappeller qu'en effet c'est bien ce que tu fais, mais... d'autres ont eu la même démarche et ça a souvent mal terminé, malgré tout le soin qu'ils mettaient à doser et espacer les prises.

Mais bon, si t'as décidé que j'étais un con, j'suis un con et basta. On va pas se battre, pas sur un forum de hippie qui essaye de sauver la terre en prodiguant les bons conseils pour pas se tuer avec les bons produits de synthèse de manufacture chinoise, importés directement par bateaux, pas très éco responsable tout ça.

@barnacle : BA OUI JAVAY BIEN COMPRI !!! ME PREND PAS POUR UN CON AUSSI !!! :smoke: Nan mais j'ai toujours un argument pour chipoter. Admettons que la synthèse ne soit pas parfaite, admetton que la GC/MS ne détecte pas cette impureté -ON SAY PAS POURKOA-, admettons que tu te dise "HM HM j'ai un bon produit pur sous la main à mettre dans ma e-cig, que je fais chauffer a 60° pil poil pour vaporiser que mon produit, MAIS l'impureté non détecté, dès qu'elle est chauffée à plus de 47,876° se transforme en produit mortel et ce à partir de 0,0003ug par litre de sang. BA LA TEY MORT, DEAD LE MEC. Et voilà comment on dégoute les jeunes des RC chinois.

Alors après on va créer un label qualité RC. Mais on laisse ça à Not For Human pour dans 10 ans. HEIN HEIN.

Juste pour faire chier :

surement la manière la plus safe a l'heure actuelle de consommer ce produit.

Ah bon s'pas l'orale ?
 
Le débat n'a même pas lieu d'être, les noids c'est de la merde point barre. Pour gratter quelques euros vous mettez votre santé mentale et physique en danger inutilement. Je préfère encore fumer du com.
 
PaRaLLeL, je ne t'ai jamais pris pour con ni quiconque sur ce forum.
Bon, je vois que tu finis par être insultant, restons-en là.

Captain a tout compris.

Pour bien éclairer ma position sur le sujet : Ne pas consommer ces batchs de merde; et si on veut vraiment consommer un cannabinoide (même s'il vaut mieux ne pas en prendre) prendre la molécule à l'état le plus pur possible et utiliser un atomiseur.
C'est tout, je ne vais pas plus loin. Je ne dis pas qu'il faut continuer à en consommer (au contraire). J'ajoute simplement à ce topic, mon expérience sur le moyen de consommer un cannabinoide le plus safe possible.
Et pour la troisième fois : Mieux vaut ne jamais consommer ces RC.
Sainte merde, j'me suis jamais autant répété mais c'est pour la bonne cause.
 
Ah ouai, ça rigole pas. Et on est bien d'accord, au fond. Dans la généralité. Pas sur ça :

sur le moyen de consommer un cannabinoide le plus safe possible.

C'est pas l'orale ? Avec un truc bien gras par exemple... J'dis ça j'dis rien hein...
 
L'oral plus safe ? L'erreur de dosage pardonnerait encore moins... Comme pour le cannabis. Sauf qu'il ne s'agit pas de cannabis. Après, si on connait ses réponses au produit, et qu'on peut doser avec précisions le produit, oui.
 
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