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Il est une question d'équilibre et de respect des règles universelles qui nous régissent, que de mettre en mot la pratique d'un art que certains qualifieraient à tort de divin.
Ce que j'appelle mise en mot, est une forme de pratique artistique, il s'agit de se lasser couler librement sur le fil se sa propre pensée, sans chercher à interagir positivement ou négativement sur ce dernier. Il rentre donc en compte dans l'application d'une expérience de vie présente et immédiate.
Je ne peux agir, mais je peux constater, ce que m'apporte l'expérience d'une vie présente et soudaine.
Les sensations qui en découlent, vont de la peur, au plaisir intense. Car se laisser couler sur le fil de sa propre pensée, implique de remonter petit à petit en sa source. Et plus la pression augmente, plus les travaux sont douloureux, dans la profondeur des abysses en laquelle siège la source, des maux et des délices.
Il n'en demeure pas moins que cela est un voyage intéressant puisque qu'il nous amène directement à mieux se connaître, à travers l'outil formidable qu'est la parole et l'écriture. Ceci permettant l'échange de ces informations, qui une fois interprété par un corps physique dissocié prendra à nouveau forme en tant qu'énergie au sein de la source qui viendra jaillir sous de nouvelles couleurs, répétant inlassablement le cycle apparemment éternel de la vie.
Il est donc question ici avant tout d'échange, et plus particulièrement d'échange de mots, de pensées, et qui deviendront émotions, puis actions concrètes.
Concrètement que puis-je faire pour mieux vivre aujourd'hui et au quotidien, en prenant en compte la valeur temporelle de ma vie sur une échelle de time-line, qui reste un concept infondé, bien que pratique.
Concrètement j'en viens à analyser la pensées comme un fluide, qui serait dans la continuité des fluides vitaux de mon corps entier. En la laissant couler, mieux, en l'accompagnant dans son rythme, je suis les mouvements de mon corps et ma laisse guider par l'impermanence, et le manque d'assurance, à ne pas savoir si les mots que j'utiliserai seront pertinents dans la suite de ma phrase.
Pour mettre en pratique cette forme de pensée il faut je pense oublier tous les concepts de méditations traditionnelles, et se concentrer plus sur une source sûre d'énergie, à savoir sa propre activité cérébrale. Donc on peut canaliser les mots incessants qui nous viennent en visuel afin d'écrire des suites de mots sans queue ni tête. Puis on peut simplement suivre les phrases, qui enchaînés n'auront aucuns sens. Puis ensuite on prend uniquement les paragraphes, etc... Jusqu'à en arriver à prendre un livre entier, librement sorti de nos entrailles par la seule force de l'observation, qui est une force non-nulle proche de zero.
Le but est de ne pas avoir de but. C'est en cela que réside toute la difficulté du programme. Le paradoxe est au cœur de réflexions enchevêtrées mais ne menant nulle-part. Tout acte renvoie à sa cause instantanément, il n'y a aucune issue mathématique possible. Il n'y a aucune issue. La porte est fermée, la clé n'est nulle-part, chaque couloir nous fais retourner dans la source de ses propres murs. Chaque endroit est différent, et à la fois complètement inchangé. Les mêmes calques, mais pas les même couleurs. Les mêmes modèles, mais jamais le même style.
Ici commence la fractales et ses boucles formant des spirales. Tout est infinité. Tout n'est qu'éternel et inlassable recommencement, dans la macroscopie jusque dans la nanoscopie. Tout se répète sans arrêt, mais chaque fois dans la différence. Les règles demeurent inchangés, les pions évoluent.
La pensée fonctionnant sur le principe fractalaire, en fait un outil très difficile à maîtriser tant nous en sommes dépendants. La pensée à la faculté de s'auto-analyser, ce qui en fait un univers indépendant et auto-géré, avec un potentiel de puissance équivalent à l'infini moins un. Un humain moyen possède le potentiel fonctionnel d'un univers entier, à toutes échelles confondues.
Le challenge principale consiste donc à utiliser son plein potentiel sans se perdre dans les méandres de l'infini et des polarités extrêmes comme c'est le cas pour la plupart des individus qui atteignent cet état d'esprit. La force potentiel pouvant être déployée est à la mesure de la faiblesse face à l'influence des univers environnant qui possèdent exactement tous le même potentiel mais sans en avoir la moindre maîtrise consciente. C'est en cela que je constate que la plupart des échanges énergétiques entres toutes matière vivante physique se passe bien en de-ça de la vision consciente.
Car seule l'intelligence du corps peut gérer avec efficacité ces échanges d'informations. La maîtrise mentale parfaite est impossible mais on peut tendre vers un résultat parfait. Il faut que l'un du corps ou du mental, se trouve à 51% en utilisation de puissance contre les 49% de l'autre. Cela permet une élévation en double spirale, s'entraînant l'une et l'autre, comme les mouvements d'une hélice qui s'envole, ou d'une visse qui s'enfonce. Le mouvement de va et vient dans la terre, et vers le cieux s'exécute en terme de cycles qui varient en vitesse et intensité, et ne doivent en aucun cas être mesurée à une échelle temporelle puisque erronée.
Sur la base de ces informations il est plus aisé de cheminer avec aisance dans les flots de notre activité cérébrale, c'est-à-dire notre activité mentale et physique, puisque l'une et l'autre se complètent en permanence et rentrent en conflit.
Sur ce mes chers amis, je vous laisse le libre devenir de cette page macroscopiquement réduite à la microscopie.
Ce que j'appelle mise en mot, est une forme de pratique artistique, il s'agit de se lasser couler librement sur le fil se sa propre pensée, sans chercher à interagir positivement ou négativement sur ce dernier. Il rentre donc en compte dans l'application d'une expérience de vie présente et immédiate.
Je ne peux agir, mais je peux constater, ce que m'apporte l'expérience d'une vie présente et soudaine.
Les sensations qui en découlent, vont de la peur, au plaisir intense. Car se laisser couler sur le fil de sa propre pensée, implique de remonter petit à petit en sa source. Et plus la pression augmente, plus les travaux sont douloureux, dans la profondeur des abysses en laquelle siège la source, des maux et des délices.
Il n'en demeure pas moins que cela est un voyage intéressant puisque qu'il nous amène directement à mieux se connaître, à travers l'outil formidable qu'est la parole et l'écriture. Ceci permettant l'échange de ces informations, qui une fois interprété par un corps physique dissocié prendra à nouveau forme en tant qu'énergie au sein de la source qui viendra jaillir sous de nouvelles couleurs, répétant inlassablement le cycle apparemment éternel de la vie.
Il est donc question ici avant tout d'échange, et plus particulièrement d'échange de mots, de pensées, et qui deviendront émotions, puis actions concrètes.
Concrètement que puis-je faire pour mieux vivre aujourd'hui et au quotidien, en prenant en compte la valeur temporelle de ma vie sur une échelle de time-line, qui reste un concept infondé, bien que pratique.
Concrètement j'en viens à analyser la pensées comme un fluide, qui serait dans la continuité des fluides vitaux de mon corps entier. En la laissant couler, mieux, en l'accompagnant dans son rythme, je suis les mouvements de mon corps et ma laisse guider par l'impermanence, et le manque d'assurance, à ne pas savoir si les mots que j'utiliserai seront pertinents dans la suite de ma phrase.
Pour mettre en pratique cette forme de pensée il faut je pense oublier tous les concepts de méditations traditionnelles, et se concentrer plus sur une source sûre d'énergie, à savoir sa propre activité cérébrale. Donc on peut canaliser les mots incessants qui nous viennent en visuel afin d'écrire des suites de mots sans queue ni tête. Puis on peut simplement suivre les phrases, qui enchaînés n'auront aucuns sens. Puis ensuite on prend uniquement les paragraphes, etc... Jusqu'à en arriver à prendre un livre entier, librement sorti de nos entrailles par la seule force de l'observation, qui est une force non-nulle proche de zero.
Le but est de ne pas avoir de but. C'est en cela que réside toute la difficulté du programme. Le paradoxe est au cœur de réflexions enchevêtrées mais ne menant nulle-part. Tout acte renvoie à sa cause instantanément, il n'y a aucune issue mathématique possible. Il n'y a aucune issue. La porte est fermée, la clé n'est nulle-part, chaque couloir nous fais retourner dans la source de ses propres murs. Chaque endroit est différent, et à la fois complètement inchangé. Les mêmes calques, mais pas les même couleurs. Les mêmes modèles, mais jamais le même style.
Ici commence la fractales et ses boucles formant des spirales. Tout est infinité. Tout n'est qu'éternel et inlassable recommencement, dans la macroscopie jusque dans la nanoscopie. Tout se répète sans arrêt, mais chaque fois dans la différence. Les règles demeurent inchangés, les pions évoluent.
La pensée fonctionnant sur le principe fractalaire, en fait un outil très difficile à maîtriser tant nous en sommes dépendants. La pensée à la faculté de s'auto-analyser, ce qui en fait un univers indépendant et auto-géré, avec un potentiel de puissance équivalent à l'infini moins un. Un humain moyen possède le potentiel fonctionnel d'un univers entier, à toutes échelles confondues.
Le challenge principale consiste donc à utiliser son plein potentiel sans se perdre dans les méandres de l'infini et des polarités extrêmes comme c'est le cas pour la plupart des individus qui atteignent cet état d'esprit. La force potentiel pouvant être déployée est à la mesure de la faiblesse face à l'influence des univers environnant qui possèdent exactement tous le même potentiel mais sans en avoir la moindre maîtrise consciente. C'est en cela que je constate que la plupart des échanges énergétiques entres toutes matière vivante physique se passe bien en de-ça de la vision consciente.
Car seule l'intelligence du corps peut gérer avec efficacité ces échanges d'informations. La maîtrise mentale parfaite est impossible mais on peut tendre vers un résultat parfait. Il faut que l'un du corps ou du mental, se trouve à 51% en utilisation de puissance contre les 49% de l'autre. Cela permet une élévation en double spirale, s'entraînant l'une et l'autre, comme les mouvements d'une hélice qui s'envole, ou d'une visse qui s'enfonce. Le mouvement de va et vient dans la terre, et vers le cieux s'exécute en terme de cycles qui varient en vitesse et intensité, et ne doivent en aucun cas être mesurée à une échelle temporelle puisque erronée.
Sur la base de ces informations il est plus aisé de cheminer avec aisance dans les flots de notre activité cérébrale, c'est-à-dire notre activité mentale et physique, puisque l'une et l'autre se complètent en permanence et rentrent en conflit.
Sur ce mes chers amis, je vous laisse le libre devenir de cette page macroscopiquement réduite à la microscopie.