wasted
Matrice Périnatale
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Hello les psychonaut,
J'ai 25 ans, passionné de musique (indie, jazz, electronique, hip-hop, trap...), de photographie, de web, de graphisme...
Je ne suis pas très branché teuf, bien que j'en ai participé à plusieurs en pleine nature et dans des milieux plus underground à Paris :sleepy:
J'aime consommer différentes molécules pour mieux apprécier la musique notamment, me désinhiber en soirée et explorer des facettes cachées à notre réalité consciente.
J'ai commencé à consommer de la résine et de l'herbe assez jeune avant de me confronter vers mes 16 ans à ma première expérience psychédélique, paré d' un sac rempli de philosopher stones. Cette soirée avec mon ex et mon meilleur ami qui débuta en pleine forêt au bord d'une rivière pour finir dans ma chambre fut d'une beauté et d'une subtilité que je n'oublierais jamais. Je n'atteindrais par ailleurs plus jamais cette apogée, tant le trip était équilibré en terme d'hallucinations, de béhâtitude et de bien-être.
C'est donc l'esprit ouvert que j'ai découvert le LSD 2 ans plus tard. J'ai consommé des shivas et des bouddha à plusieurs reprises. Les trips se sont toujours déroulés avec fluidité sans le moindre problème jusqu'à un soir sous un mauvais setup accentué de paranoia après un gros buzz. Une descente en enfer comme on m'en avait décrit à propos de la datura dont ma copine et moi avons mis longtemps à nous remettre. J'accepte ce bad car l'intensité, à peu près multipliée par 100 m'aura permis d'atteindre des vision fascinantes, y compris les plus glauques, le genre de visions que je souhaitais atteindre sans y arriver en fait. Malheureusement le rythme de mon coeur (pas très loin de l'arrêt cardiaque) ne me permettait pas de contrôler cette expérience. Cela étant dit, un froid avec les psyché était posé. Je me sentais à vif, impossible de savourer un buzz sans me sentir chelou, retrouver des altérations non souhaitées et ce pendant plus d'un an avant de m'y faire (j'apprécie toujours le buzz tous les jours, mais je l'évite clairement en soirée, socialement, sauf avec des gens avec lesquels je suis déjà très à l'aise). Je reprenais une moitié de trip 1 mois plus tard pour visiter un musée d'art contemporain
, décidant de vaincre le mal par le mal, et passait une expérience agréable. Je savais malgré tout que j'en avais fini. Un dernier acide criant de couleurs, me donnant à voir une infinité de corps baiser, s'entrelasser en un mouvement perpetuel sur le carrelage, puis les pourpres intenses, puis comme plastifiés, puis mon visage, dont les traits s'étiraient à la manière d'un satyre magnifique à la peau lisse me réconciliait avec la substance avant de lui dire au revoir pour un très long moment.
Ma consommation de psychédélique s'arrête à trois sessions mush dont 2 qui ont laissé un arrière goût amer, impossible de se laisser aller sans doutes à cause du trauma.
J'ai pas mal consommé de MD, dont des produits assez chelous qui duraient facile 10h pour finir sur des hallus improbables (il m'est arrivé de voir les yeux fermés des images hyper clichées en accéléré, type nuages, tours qui s'effondrent, vie urbaine, une sorte de synthèse du monde moderne faites d'images très parlantes) et dans des soirées plutôt posées, coton en appart, avec des filles
. Sacrée période d'abus, qui a fini par me dégouter complètement de par les effets secondaires, des redescentes à l'opposées de ce qu'elles étaient au début à savoir un bien être qui durait des jours. Il m'arrive encore occasionnellement d'en consommer en club ainsi que des escta. J'ai testé le speed à quelques occasions, fun mais avec modération ce qui parait impossible.
Ma substance de prédilection depuis 1 an est la cocaïne. J'en ai largement abusé et me suis fait une cure de quelques mois sentant que je partais en live. J'en suis désormais au stade où je me prends 1g de temps en temps, un petit plaisir perso. Et cette bonne vieille marie jamais très loin.
Voilà pour le cv de psychonaut.
J'en viens à la raison de mon inscription sur ce forum:
Depuis longtemps déjà je m'intéresse au DMT, que j'ai découvert par l'ayahuasca et Enter the Void de Gaspar Noé.
J'avais complètement mis de côté cet intérêt avec tous les autres psyché, étant plutôt porté sur les stimulants récréatifs.
La lecture récente de récits a redéclenché en mois une passion et une curiosité illimitée quant-à cette substance, qui me semble être une bonne manière d'achever ma quête entreprise il y a plusieurs années.
Je viens donc ici pour trouver des informations et échanger; sur la préparation, les différents trips. J'aimerais notamment juger de ma capacité à pouvoir consommer ce puissant psyché après l'expérience vécue il y a 7 ans avec le LSD.
Du DMT j'attends une expérience enrichissante sur bien des points de vue, à commencer par l'espoir d'ouvrir de nouvelles perspectives de réflexion sur la vie en général et ma personnalité. J'espère y trouver de l'inspiration d'un point de vue esthétique.
J'espère, y rencontrer les esprits matérialisés qui sont souvent reportés. Comme bien d'autres, l'idée d'accéder à une réalité sous-jacente m'inspire au plus haut point.
Je n'ai en effet pas tant eu cette impression avec le LSD qui relève de mécanismes assez malsains de mon point de vue bien qu'enrichissant.
J'ai également l'impression d'arriver à un stade de ma vie où l'introspection via les psyché pourrait être pertinente, comme elle l'a sans doute été à un stade antérieur.
Je vous remercie de m'avoir lu et vous dit à bientôt sur les forums!
J'ai 25 ans, passionné de musique (indie, jazz, electronique, hip-hop, trap...), de photographie, de web, de graphisme...
Je ne suis pas très branché teuf, bien que j'en ai participé à plusieurs en pleine nature et dans des milieux plus underground à Paris :sleepy:
J'aime consommer différentes molécules pour mieux apprécier la musique notamment, me désinhiber en soirée et explorer des facettes cachées à notre réalité consciente.
J'ai commencé à consommer de la résine et de l'herbe assez jeune avant de me confronter vers mes 16 ans à ma première expérience psychédélique, paré d' un sac rempli de philosopher stones. Cette soirée avec mon ex et mon meilleur ami qui débuta en pleine forêt au bord d'une rivière pour finir dans ma chambre fut d'une beauté et d'une subtilité que je n'oublierais jamais. Je n'atteindrais par ailleurs plus jamais cette apogée, tant le trip était équilibré en terme d'hallucinations, de béhâtitude et de bien-être.
C'est donc l'esprit ouvert que j'ai découvert le LSD 2 ans plus tard. J'ai consommé des shivas et des bouddha à plusieurs reprises. Les trips se sont toujours déroulés avec fluidité sans le moindre problème jusqu'à un soir sous un mauvais setup accentué de paranoia après un gros buzz. Une descente en enfer comme on m'en avait décrit à propos de la datura dont ma copine et moi avons mis longtemps à nous remettre. J'accepte ce bad car l'intensité, à peu près multipliée par 100 m'aura permis d'atteindre des vision fascinantes, y compris les plus glauques, le genre de visions que je souhaitais atteindre sans y arriver en fait. Malheureusement le rythme de mon coeur (pas très loin de l'arrêt cardiaque) ne me permettait pas de contrôler cette expérience. Cela étant dit, un froid avec les psyché était posé. Je me sentais à vif, impossible de savourer un buzz sans me sentir chelou, retrouver des altérations non souhaitées et ce pendant plus d'un an avant de m'y faire (j'apprécie toujours le buzz tous les jours, mais je l'évite clairement en soirée, socialement, sauf avec des gens avec lesquels je suis déjà très à l'aise). Je reprenais une moitié de trip 1 mois plus tard pour visiter un musée d'art contemporain
, décidant de vaincre le mal par le mal, et passait une expérience agréable. Je savais malgré tout que j'en avais fini. Un dernier acide criant de couleurs, me donnant à voir une infinité de corps baiser, s'entrelasser en un mouvement perpetuel sur le carrelage, puis les pourpres intenses, puis comme plastifiés, puis mon visage, dont les traits s'étiraient à la manière d'un satyre magnifique à la peau lisse me réconciliait avec la substance avant de lui dire au revoir pour un très long moment.Ma consommation de psychédélique s'arrête à trois sessions mush dont 2 qui ont laissé un arrière goût amer, impossible de se laisser aller sans doutes à cause du trauma.
J'ai pas mal consommé de MD, dont des produits assez chelous qui duraient facile 10h pour finir sur des hallus improbables (il m'est arrivé de voir les yeux fermés des images hyper clichées en accéléré, type nuages, tours qui s'effondrent, vie urbaine, une sorte de synthèse du monde moderne faites d'images très parlantes) et dans des soirées plutôt posées, coton en appart, avec des filles
. Sacrée période d'abus, qui a fini par me dégouter complètement de par les effets secondaires, des redescentes à l'opposées de ce qu'elles étaient au début à savoir un bien être qui durait des jours. Il m'arrive encore occasionnellement d'en consommer en club ainsi que des escta. J'ai testé le speed à quelques occasions, fun mais avec modération ce qui parait impossible.Ma substance de prédilection depuis 1 an est la cocaïne. J'en ai largement abusé et me suis fait une cure de quelques mois sentant que je partais en live. J'en suis désormais au stade où je me prends 1g de temps en temps, un petit plaisir perso. Et cette bonne vieille marie jamais très loin.
Voilà pour le cv de psychonaut.
J'en viens à la raison de mon inscription sur ce forum:
Depuis longtemps déjà je m'intéresse au DMT, que j'ai découvert par l'ayahuasca et Enter the Void de Gaspar Noé.
J'avais complètement mis de côté cet intérêt avec tous les autres psyché, étant plutôt porté sur les stimulants récréatifs.
La lecture récente de récits a redéclenché en mois une passion et une curiosité illimitée quant-à cette substance, qui me semble être une bonne manière d'achever ma quête entreprise il y a plusieurs années.
Je viens donc ici pour trouver des informations et échanger; sur la préparation, les différents trips. J'aimerais notamment juger de ma capacité à pouvoir consommer ce puissant psyché après l'expérience vécue il y a 7 ans avec le LSD.
Du DMT j'attends une expérience enrichissante sur bien des points de vue, à commencer par l'espoir d'ouvrir de nouvelles perspectives de réflexion sur la vie en général et ma personnalité. J'espère y trouver de l'inspiration d'un point de vue esthétique.
J'espère, y rencontrer les esprits matérialisés qui sont souvent reportés. Comme bien d'autres, l'idée d'accéder à une réalité sous-jacente m'inspire au plus haut point.
Je n'ai en effet pas tant eu cette impression avec le LSD qui relève de mécanismes assez malsains de mon point de vue bien qu'enrichissant.
J'ai également l'impression d'arriver à un stade de ma vie où l'introspection via les psyché pourrait être pertinente, comme elle l'a sans doute été à un stade antérieur.
Je vous remercie de m'avoir lu et vous dit à bientôt sur les forums!
question de noob, tu entends quoi par "philosopher stones" ?
