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Un quart de buvard pour commencer

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion SPCmonkey
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SPCmonkey

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26/12/12
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Salut.

Le LSD est la substance qui m'a toujours intriguée et attirée, je la considère -bien que n'ayant aucun vécu du produit- un peu comme l'aboutissement de toute ma démarche en terme de psychés.

Du 17 au 21, j'étais au festival de Dour, et je m'étais mis en tête d'essayer enfin l'acide là-ba.
Dès l'arrivée sur les lieux, j'essaie de faire mes petits repérages, de voir qui pourrait ou non m'en filer. On me répond "j'en ai mais seulement pour moi, désolé", le lendemain, on essaie de m'indiquer un vendeur, mais je ne le trouve pas, alors je demande à d'autres, personne n'en a. Au bout du 3éme jour de recherches, je commence un peu à désespérer, puis finalement je relativise en me disant que ça ne fait rien, que j'y toucherai une autre fois.

J'ai perdu mon téléphone dès le 1er jour du festival, c'est la deuxième fois que je perds un téléphone alors que je suis en compagnie de "cette catin d'Amandine", et ça m'a fortement agacée, finalement je pense que c'est arrivé pour le mieux.

L'avant dernier soir, ayant perdu tous mes potes (blindé de taz et md), n'ayant plus rien à fumer/boire et commençant à ressentir cette fatigue caractéristique du mélange alcool+cannabis, je m'asseois sur un petit coin de terre. Et là, surprise, je fous directement la main sur un double pochon de shit (émiettable à la main) et beuh. J'étais assez satisfaite, et je suis rentrée au camping pour cuver ma fatigue.

Le lendemain matin, je commençais vraiment à être blasée des gens de mon campement, tous en descente d'XTC depuis 3 jours sans cesser de redropper, je commençais à trouver l'ambiance très pesante et j'avais l'impression de vivre avec des zombies.
Je commençais à me dire que ce festival n'était pas une réussite, la chaleur qui nous liquéfiait n'aidant pas. On était tous en train de comater, il était environ 15h-16h, et les concerts avaient déjà commencé, donc je commençais en plus à être frustrée de ne pas être dans le son.
Et, pile à ce moment là, 3 têtes totalement inconnues à mes yeux, qui cherchaient deux potes de notre campement, sont arrivés. J'ai direct trouvé qu'ils avaient l'air sympa, et qu'ils apportaient un petit vent de fraîcheur non négligeable, donc j'ai sympathisé avec eux, on a fumé un ou deux bédos et puis on s'est décidés à bouger vers le son.

Je commençais à me sentir mieux et revigorée.
On fait une pause sur le chemin, on roule deux autres joints, on les allume et on se remet en route.
Et là, un mec tout joyeux nous saute dessus "Hééé, salut, excusez-moi, je peux tirer quelques lattes sur votre gros spliff :D?".
On lui tend avec plaisir, et il me dit -notez qu'il me l'a dit à moi et pas à mes deux autres potes-, plein d'entrain "tu veux un bout de trip en échange?".
A ce moment là, je crois que mes yeux se sont écarquillés! Donc je lui dis "ouais ouai, bien sur, si tu veux je te file à fumer" etc.
On s'assoit l'un en face de l'autre pour faire nos petites affaires, et je le vois sortir de sa sacoche un petit bout de cellophane, lequel contenait des petits bouts d'aluminium, enveloppant ses petits bouts de trip, de couleur verte. Je lui tends, paume ouverte, un bout de shit, un peu de beuh, lui demande si ça lui va, et j'obtiens pour seule réponse un mignon minuscule bisou sur le creux du poignet.
Il me tend un quart de trip et me le fous dans la bouche, et je lui explique que je n'en ai jamais pris, il me dit "t'en fais pas, c'est juste un quart".
On discute un peu, on se lève, on avance ensemble, on se fait une accolade, on se salue et puis on se perd de vue.

Je suis donc de nouveau avec mes deux potes, ils ont chacun de l'exta et/ou de la MD pour plus tard. On se ballade entre les scènes, on roule des joints, et puis on va se poser au calme. Mes potes prennent leur exta.

Ca fait bien 45min-1h que j'ai pris le truc, et je me demande réellement si ça me fait effet, si ça va me faire effet.
Puis je remarque que je commence à me sentir étrangement bien, que ma nuque s'est un peu raidie, est un peu chaude (fatigue?), et qu'un sentiment de chaleur commence à me parcourir de manière très subtile. J'ai le bout des doigts qui frissonne.
Je ne sais pas si c'est cette énorme coincidence, le bédo, les restes des jours précédents, le trip ou encore un mélange de tout cela qui me mettent dans cet état, alors je ne cherche pas trop à comprendre. Je discute, j'attends les concerts, je bois de l'eau et de la bière.
On bouge vers les scènes.

A partir de là, je ne me souviens plus très bien des évènements dans l'ordre chronologique -

La fille n'arrête pas de dire que les extas ne lui font rien, alors que Franck et moi voyons bien qu'elle est défoncée, mais peut-être n'a-t-elle que les effets négatifs de la chose. On essaie de ne pas trop faire attention à elle, on trouve qu'elle envoie de mauvaises ondes.

On erre entre les scènes, je commence à angoisser bizarrement, sans trop savoir pourquoi. Franck le remarque et me dit de "me calmer", de respirer avec le ventre, qu'il est là s'il faut. Il m'accompagne aux toilettes, je le trouve vraiment très chouette, je suis heureuse de l'avoir rencontré, on avance en se tenant la main. A un moment, je lui dis "je crois que je suis défoncée en fait", et il me dit "oui moi aussi je crois que tu es défoncée".

Finalement, on va s'asseoir près de la grande scène, qui n'accueille plus d'artistes. Et je recommence à angoisser. A un moment, je regarde mon corps, mes mains lascivement posées sur mes jambes, et j'ai l'impression que mon corps est gros.
L
'autre fille se plaint de ne rien avoir, et j'ai vraiment très envie qu'elle ferme sa gueule, elle me pourrit quelque chose. Franck le voit, et me dit, alors même que je m'apprêtais à le faire, "de m'allonger et de kiffer tout simplement".

C'est ce que je fais. Je mets mon chapeau et mes lunettes, pour ne pas voir le ballet des gens qui défilent.
Je ferme les yeux, j'écoute tous ces fragments de réalité sonore, je me sens super bien, j'ai l'impression que tout est complet, que tout s'imbrique parfaitement à ce moment là.
Ce sentiment restera la teinte principale de mon état. Ma façon de bouger, ce que disent les gens, ce qui se produit, tout, à l'instant t, me semble prendre place comme il se doit. Ca, et une alternance entre des phases de "non mais j'ai rien là" - "oh je suis trop bien"-"ah je veux redescendre" ;dans le sens où je me sentais véritablement haute, genre au sommet de la pointe, mais cette pointe est minuscule et n'est rien comparée à d'autres pointes ou sommets. Cependant, ces petites phrases ne sont pas vraiment marquantes, je les sens lointaines, j'arrive à en faire abstraction.

On bouge vers le concert que j'attendais, et on perd la fille. Finalement, Franck s'en va aussi, il doit aller aux wc, et on n'est pas surs de se recroiser. Il valait de toute façon mieux qu'il parte, car il commence à être chaud bouillant, alors que je n'aspire qu'à me "laisser porter par les flots et les vagues".
Je croise des potes à moi pendant le concert, mais je ne fais pas attention à eux, je me contente de profiter pleinement du son et des conneries des mecs sur scène. Je les ai déjà vus deux fois, mais cette fois-ci je les sens nouveaux, je redécouvre leur musique (ça aurait même été le cas sobre, je pense).

Le concert se termine, et je retrouve mes potes, qui me demandent de les accompagner au prochain concert, Panda Dub. J'accepte avec plaisir. Ils sont en plein plateau MD et je suis contente pour eux, même si j'appréhende leur redescente, en repensant à mes prises d'MD

Le concert de Panda Dub me semble bien, je bouge tout doucement, je m'appuie sur la barrière, je regarde les gens, certains mes paraissent loin et près à la fois. Je suis contente de voir cette euphorie/ce bien être collectif, mais je n'arrive pas trop à me concentrer sur la musique. Je regarde le plafond du chapiteau, j'admire les jeux entre les structures en métal, les lumières, les boursouflures de chapiteaux, et je me dis "tiens, si j'étais un peu plus défoncée, j'aurais pu croire que c'était un monstre"
Puis, le son me gave un peu, et j'ai l'impression que le paysage est figé, que je loupe quelque chose ailleurs, que je dois bouger, alors je préviens mes potes, et je quitte Panda Dub pour Panteros666, et on prévoit de se retrouver dans la salle "à ce même endroit".



J'arrive à Panteros et je me prends une GROSSE CLAQUE. L'ambiance est totalement différente, et j'ai l'impression qu'elle correspond beaucoup plus à mon humeur du moment. Je sens que la musique est le fruit d'une sorte de fragmentation comme je les aime.
Je danse au fond de la salle, en compagnie d'autres urluberlus.
Un mec s'avance vers moi et me dit "HA, reste comme tu es franchement", ça me fait plaisir, j'ai encore ce sentiment de complétude.
J'ai aussi l'impression d'être un caméléon, que je peux m'immiscer dans les ambiances et leur coller, car en effet, je ne danse plus du tout de la même manière que sur Panda Dub. Je pense aux autres et à l'ambiance dans laquelle ils sont. Je les sens bien et je me sens bien, mais je sens aussi qu'il faudrait que je retourne là ba.
J'ai l'impression de laisser une partie de moi à Panteros.
C'était une ambiance beaucoup plus dark et métallique que Panda Dub (enfin, ça va de soi).

J'ai l'impression que des petites parties de moi se situent dans des recoins de mon intimité psychique, j'ai l'impression que je peux brasser, brasser, brasser encore, comme si à l'intérieur de moi, c'était un océan. (je viens de trouver cette comparaison à l'instant mais c'est le sentiment que j'avais, l'immensité contenue dans la tête d'épingle, et vice-versa, l'immense tête d'épingle)
J'ai vraiment le sentiment de "sillonner mon intimité", mais très légérement

Je me remets en chemin vers Panda Dub, et je retrouve les autres. Finalement, j'aurais pu passer plus de temps à Panteros, mais tant pis. Encore une fois, je me sens complètement imbriquée à mon environnement, même si je me dis "tiens, Panteros était vachement bien", je suis simplement contente d'y être allée, car je sais que ça me marquera.


Le concert se termine, on se casse, on se pose, on roule un joint. Un de mes potes a complètement pété les plombs, je pensais qu'il allait mieux. Ca m'inquiète, ça m'angoisse, j'ai peur que ce soit contagieux, hahaha.
On va sur la grande scène, tout le monde danse, saute, crie "DOUUUUREEEEEE". Je filme tout ça avec une pleine satisfaction.
J'ai l'impression d'être moins haut, de revenir petit à petit sur terre, en plus, mes potes aussi sont en redescente.
On va à l'after. Je sens la fin, alors j'essaie d'extraire tout le jus des moments que j'ai encore à passer là ba.

Puis... je retourne au camping, démonter ma tente. Je me sens toute heureuse, le matin se lève, les couleurs sont éclatantes. je retrouve un de mes potes, coké jusqu'à la moelle, et j'ai un moment l'impression de m'extirper de la réalité en fixant ses yeux. Son regard, notre conversation, le ciel rose, les oiseaux qui gazouillent, j'ai l'impression de ne pas avoir été là pendant quelques secondes, d'avoir été dans une dimension toute rose et joyeuse.

Et puis.. j'me rends compte qu'il est bientot l'heure de partir, que je dois vraiment ranger ma tante et réveiller mon pote, alors j'y vais.
Il est grave dans le paté, il veut m'aider à replier la tante mais fume sa clope en même temps, alors je le jarte assez séchement, parce que j'ai l'impression qu'il va faire de la merde. Je me dis que je suis pas très sympa, mais en même temps, je ressens un peu de dégout pour lui. Enfin bref. On prend le bus, et je dors/somnole pendant le temps du trajet. J'ai l'impression qu'on m'a assommée avec une brique. On arrive à Lille, chez un pote. Je me sens rafraichie.

Cette journée à Lille a été assez spéciale, elle était ponctuée de "putain je suis encore défoncée ou quoi?" "non mais si ça se trouve c'est que j'étais pas défoncée?" car je me sens assez déphasée, mais bon, pareil, ça va de soi, surtout en continuant à fumer des bédos.

Je reprends petit à petit conscience du fait qu'il va falloir revenir à la routine, aux obligations, que je ne croiserai pas nécéssairement de gens aussi sympas si facilement. Je l'ai dur. En plus, on fait une soirée qui tourne au fiasco. Y'a une meuf complétement beurrée qui dit que des conneries et se marre comme une baleine. On dirait également qu'elle a une dent contre moi. J'essaie d'en faire abstraction, je me dis qu'elle n'en vaut pas la peine, je ressens encore "l'appel du grand large", alors je suis sereine. Je veille quand même jusqu'à 4-5heures, je pleure un peu, je réalise que si les évènements comme Dour n'existaient pas, beaucoup de gens n'auraient plus de soupape de sécurité, d'échappatoire.
Je m'endors.
Je me réveille énervée le lendemain, mais ça se dissipe. Je reviens dans ma ville natale, et je me rends compte que je suis redevenue.... tout à fait normale.
 
Wow. Chouette.

Par contre je ne pense pas que tu sois "redevenue tout à fait normale".
On ne revient jamais pareil-le d'une expérience comme un festival, que celle-ci soit bonne ou mauvaise d'ailleurs.
Et puis, t'as goûté à l'acide donc tu n'es peut-être plus tout à fait la même ?

C'était cool de te lire !
 
Merci pour le TR.

Chouette premier contact avec le LSD, avec un dosage prudent qui plus est !

Tu t'es rendue compte comme une grande qu'un trip au LSD peut s'aiguiller en changeant de lieu ou d'ambiance, et que "je veux redescendre" est sans doute le souhait le plus inutile lors d'un trip. :)

S'abandonner, et laisser couler.
 
Merci à vous d'avoir lu, et merci à ceux qui liront!

C'est vrai oui, c'était plus une manière de dire que je sentais bien que j'étais revenue à mon "état premier" et que je n'étais plus dans un état second.

-En tout cas, ce festival aura aussi été l'occasion pour mes parents d'apprendre que je touchais à ce genre de truc, ce que je n'avais pas du tout anticipé-
 
SPCmonkey a dit:
-En tout cas, ce festival aura aussi été l'occasion pour mes parents d'apprendre que je touchais à ce genre de truc, ce que je n'avais pas du tout anticipé-
Tu me remerciera un jour :D

Sympa le pti quart, fais partit assez loin pour goûter le potentiel sans tomber dans la folie.

Je sais pas comment je réagirai en festch sous trip, l agoraphobie doit vite se pointer.

Vivement le quatre-quart Yihaaaalelaaaaaaaaa
 
SPCmonkey a dit:
Merci à vous d'avoir lu, et merci à ceux qui liront!

C'est vrai oui, c'était plus une manière de dire que je sentais bien que j'étais revenue à mon "état premier" et que je n'étais plus dans un état second.

-En tout cas, ce festival aura aussi été l'occasion pour mes parents d'apprendre que je touchais à ce genre de truc, ce que je n'avais pas du tout anticipé-

Ahahahah moi c'est récemment que j'ai dit à ma mère que j'avais pris du LSD... Bon j'ai un peu mitonné en disant que j'lavais fait qu'une fois mais bon... Ca a été tendu putain.


Sinon sympa le TR. Le Dour est un festival que j'kifferais sérieusement faire. Quand j'aurais les thunes, j'compte bien m'y rendre.
 
Nice girl ;)

Par expérience il est normal que juste un quart tes propulsé. Déjà car j'ai eu de tes tonc, j'en ai eu deux et ils étaient fort cool. Donc un quart déjà pour une première expérience, c'est sûr de les sentir. Mais avec la fatigue etc. C'est pas vraiment un quart que tu t'es manger :twisted:


Sinon tu décris vraiment bien comment ça se déroule, ça fait grave plaisir de lire un TR comme ça ;)
Et tu étais aussi à l'after du B.

Mais merde ont y était tous ou quoi les mecs. Sa aurait était fort rigolo!
 
Bon TR, empli d'humilité et de beauté. Merci!
 
Ah le LSD, Bon tr j'aime bien ta façon d'écrire et de retranscrire.
 
Cool ton TR! Ca donne envie d'aller à un festoch'! Juste petite question, combien de temps ça a duré?
 
bon je réponds plusieurs mois après, j'sais pas si ça va servir du coup, mais d'après mes souvenirs, j'ai pris le quart vers 19h ou 19h30, et jusqu'au petit matin j'étais encore bien même si je sentais que ça chutait bien (le moment où j'dis que je replie ma tente, c'est entre 7h et 8h je crois).
Et à partir de là, j'ai eu des restes jusqu'au soir et au surlendemain encore, c'est redescendu tout progressivement
 
J'aime bien ton "recul instantané" sur tes ressentis, on voit bien que tu t'es bien adaptée au LSD (et aux psychés en général en fait) :lol:
 
Sympa le report !
En effet, rester avec des gens négatifs pendant un trip, quel que soit la substance est toujours très désagréable, il faut absolument les éviter.
 
Joli TR, merci...

SPCmonkey a dit:
Et puis.. j'me rends compte qu'il est bientot l'heure de partir, que je dois vraiment ranger ma tante et réveiller mon pote, alors j'y vais.
Il est grave dans le paté, il veut m'aider à replier la tante...

Par contre j'ai pas très bien compris, c'était quoi le délire avec ta tata...!? :mrgreen:







Ok, encore une intervention qui sert à rien mais j'ai pas pu m'en empêcher...
 
Rikyname a dit:
Sympa le report !
En effet, rester avec des gens négatifs pendant un trip, quel que soit la substance est toujours très désagréable, il faut absolument les éviter.
Je dirais bien qu'il faut éviter les gens négatifs avec ou sans prod, mais trop de pessimisme m'afficherais à leurs cotés...




Très bon TR
 
Tu m'as l'air d'être parti assez loin avec un quart, perso j'ai déjà pris un quart et n'ai pas eu beaucoup d'effet donc je drop uniquement par moitié depuis. Et là ça marche. :rolleyes:
 
Rikyname a dit:
En effet, rester avec des gens négatifs pendant un trip, quel que soit la substance est toujours très désagréable, il faut absolument les éviter.
Boz a dit:
Je dirais bien qu'il faut éviter les gens négatifs avec ou sans prod, mais trop de pessimisme m'afficherais à leurs cotés...

Le truc c'est que mettre les gens qui sont en bad de côtés et les regarder bizarement les mets encore plus mal. Perso lors d'un des 2 bad que j'ai fait (le premier enfait), j'essayais de trouver des gens qui en avait déjà fait pour leur demander des conseils pour sortir de cette putain de spirale, ducoup jsuis aller voir le staff et au final j'ai galérer pendant 1h parceque les gens avait tendance à éviter les ondes négatives (ce que je comprend très bien); j'ai fini par trouver quelqu'un pour me rassurer mais rien que le fait qu'on m'évite ça a salement empirer mon état.
Ducoup si vous êtes déjà bien perché il vaut ptet mieux y être simplement indifférent (et pas les regarder comme des extra terrestres), et si vous êtes encore bien attaché à la réalité il vaut mieux les aider au contraire et les rassurer parceque si ça vous arrive vous serez bien content de trouver des gens comme ça ;)

Nice TR au passage^^
 
Cage a dit:
Tu m'as l'air d'être parti assez loin avec un quart, perso j'ai déjà pris un quart et n'ai pas eu beaucoup d'effet donc je drop uniquement par moitié depuis. Et là ça marche. :rolleyes:
Le buvard est à peu près autant une unité de mesure que le cookie, le sucre, le para, le taz, ou le doigt dans le pochon.
 
Acromyrex a dit:
Le buvard est à peu près autant une unité de mesure que le cookie, le sucre, le para, le taz, ou le doigt dans le pochon.

T'as oublier l'unité 'bite' (à ne pas confondre avec les kilomètres de bites qui là est bien défini)
 
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