ToToro
Holofractale de l'hypervérité
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Trip report que j'ai déjà posté sur Hazy-Spirit, mais voyant le post de Balal, je me suis dit qu'il pourrait aussi servir ici (^_^)
TiTre: Trip au DXM: Entre démence et folie
Pseudo: ToToro
Lieu: Chez moi, dans ma chambre
Substances: Dextrométorphane (DXM) contenu dans du Tuxium
Dose: 810 mg, soit 14,726mg/kilo
Poids: 55 kilos
Taille: 1.79m
Sexe: Masculin
Date du rapport: 15/07/2006 à partir de 00H15
Autre information: J’avais mangé des pâtes 2H avant l’ingestion du DXM
Quelques musiques écoutées pendant le trip: Amon Tobin – Easy Muffin, Aphex Twin – Pulsewidth et Window Licker, Hiligt Tribe – Free Tibet…
Ce texte est uniquement à but informatif et je n’incite en aucun cas à la consommation de DXM autre que dans le but de se soigner en cas de toux sèche.
Voyant qu’il n’y a que très peu d’information sur le DXM, j’ai décidé de faire un trip report de ma dernière expérience (avec un titre très accrocheur
).
Je tien à signaler que la dose que j’ai ingéré (en mg/k) est très importante et que j’ai déjà expérimenté le DXM plusieurs fois avant.
Une dose aussi importante ne doit surtout pas être prise par une personne qui veut essayer le DXM pour la première fois.
00H15: Après avoir installé un seau près de mon lit, pris 6 petites bouteilles d’eau et un peu de bouffe, je commence à prendre le DXM tout en discutant avec une personne que j’aime bien sur MSN.
Je prend les gélules de Tuxium assez lentement pour que la menthe poivrée ne me fasse pas trop mal à l’estomac.
00H47: Je viens enfin de prendre la dernière gélule de Tuxium, soit 27 gélules de 30 mg.
1H10: Je sens que le DXM commence à monter doucement.
2H15: Le DXM commence à faire pas mal d’effets, j’éteint mon PC et je vais fumer un petit peu de beuh dans un pipe sèche sur mon balcon.
2H20: J’éteint la lumière puis je me met sur mon lit pour écouter quelques musiques sur mon baladeur.
Je me sent très détendu et je ne ressent plus du tout mon corps physique, les yeux fermés je me laisse porter par la beauté de la musique.
J’ouvre quelque fois les yeux pour bien voir que je suis encore dans ma chambre et que mon corps physique et toujours là.
J’écoute cinq morceau de musique avec cet état de plénitude puis à partir de la sixième, je commence à partir assez loin.
Je ne rescent plus du tout mon corps et surtout, je ne rescent plus l’espace environnant.
La seule chose que je rescent est la musique qui m’enivre totalement.
A partir de ce moment, je n’ai plus aucune notion du temps.
Je sais que j’ai écouté un septième morceau de musique, mais ensuite je ne sais pas si j’ai éteint mon baladeur ou si je l’ai laissé allumé.
Après le septième morceau de musique, je me souvient avoir eu des hallucination les yeux fermés, mais comme un rêve, il ne m’en reste que des images très flou.
J’ai eu aussi des hallucinations auditives; j’entendais des personnes parler à voix basse, ainsi que le bruit des gouttes de pluie sur le toit alors qu’il n’a pas plus de la nuit.
Au bout d’un long moment, je ne sais pas ce qui c’est passé mais je me suis retrouvé par terre le sceau dans les mains en train de gerber.
Je ne savait pas comment c’était arrivé, mais j’était là en train de gerber et je rigolais énormément.
Je ne savais pas ce qui me faisait rigoler mais cela m’amusait très fortement.
De plus je n’avais strictement aucune vision de l’espace qui m’environnait, la seule vision que j’avais était celle de mes mains tenant le seau.
Pas mal de temps c’était écoulé avant que je ne cesse de rire.
Je m’était alors posé des questions comme: «Où suis-je», «Qu’est ce que je fais», «Qu’est ce qui se passe»…
Je ne pouvais répondre à ces questions mais je commençais à reprendre un peu conscience de moi même.
Puis j’ai encore eu un trou et je me suis retrouvé dans un espace de couleur blanche; je ne voyait plus rien, même plus mon corps, même plus le sol, uniquement une couleur blanche qui m’entourait.
Il y avait quelque chose dans cette couleur blanche qui venait vers moi très vite et qui me traversait à plusieurs reprise.
Ce n’était pas quelque chose de physique puisque je voyait uniquement la couleur blanche, mais je le sentait passer au travers de mon corps.
J’ai alors eu un moment de lucidité et je me suis dit : «Merde, Anaël, qu’es tu fout, tu t’est explosé le crâne, faut pas que tu crève maintenant ce serait dommage»
Deux ou trois seconde après se raisonnement, je me suis dit: «Après tout, qu’est ce que la vie? Et qu’est ce que je fout ici ? Autant me laissé aller, je n’ai rien à perdre.»
Après avoir pensé sa je me suis laissé aller, car je n’avait plus aucune notion de ce qu’était réellement la vie ni de ce que j’avait fait avant.
A partir de ce moment, je ne souvient plus du tout de ce qui est arrivé, mais je me suit réveillé dans mon lit avec mon baladeur dans les oreilles.
Je me suit alors demandé si je n’avait pas rêvé ce que je venait de faire; j’ai donc éteint mon baladeur puis allumé la lumière sur ma table de nuit.
Tous mon environnement paraissait irréel, tout était déformé, les murs ondulaient et le toit paraissait à la fois très loin et très près de moi.
Je suis resté pas mal de temps à regarder ma main car je n’arrivais pas à la voir normalement, les doigts étaient souvent allongé, des fois boudinés ou squelettique, mais ma main était surtout floue.
Au bout d’un moment, j’ai arrêté et je me suis dit qu’il fallait que j’aille vérifier si j’avais bien vomit.
J’ai donc voulut me lever, mais une fois debout je ne savait plus marcher.
Je n’arrivait plus à voir la longueur de mes jambes et je n’arrivait pas à calculer l’espace qui séparait mes pieds du sol.
J’ai alors essayé temps bien que mal de faire quelques pas pour aller jusqu’au seau qui contenait bel et bien de la nourriture régurtitée.
Sur le coup j’était assez comptent car je n’avait vomi que très peu.
La salle de bain étant très proche de ma chambre, je me suis mis en tête d’aller laver le seau.
Avec mes problèmes de motricité j’eu tout de même beaucoup de mal à aller jusque là.
Arrivé devant l’évier, je jetais le contenu du seau, mais un peu du vomi avait eu le temps de sécher et je ne pouvait le retirer sans eau.
Ne pouvant mettre de l’eau directement dans le seau, je pris un verre, le remplis d’eau et mit son contenu dans le seau.
Je fit cette action deux/trois fois avant de remarquer une serviette juste derrière moi et, je ne sait pour quelle raison, je me mit à ressuyer le verre.
Après avoir ressuyé le verre, je l’ai encore remplis d’eau pour le mettre dans le seau puis j’ai ressuyé le verre, puis je l’ai remplis d’eau, puis je l’ai mit dans le seau, puis je l’ai ressuyé etc etc…
J’ai bien dû faire ce geste quinze/vingt fois; à ce moment, les seules choses qui comptaient, et surtout que je voyaient, étaient l’évier, le seau, le verre et la serviette. A mes yeux, rien d’autre n’avait de l’importance.
Mais, au bout d’un moment, j’ai pris conscience de se que je faisait et j’ai arrêté.
Je me suit alors mit à frotter avec mes mains les bouts qui collaient.
Sur le coup cela m’amusait pas mal et j’ai dut jouer avec l’eau du seau pendant une petite dizaines de minutes.
J’ai ensuite retiré l’eau du seau et je l’ai rincé une dernière fois à l’aide du verre d’eau.
Après ces long et dur efforts, j’ai été me recoucher et j’ai posé le seau propre à côté de mon lit.
J’ai réussi à m’endormir pour ensuite me réveiller quelques temps après.
Je ne saurait dire combien de temps j’ai dormit mais en regardant l’heure j’ai vu qu’il était 6H06.
A ce moment là j’était presque entièrement lucide, en tout cas je pouvais réfléchir à peu près normalement.
Par contre, ma vision était toujours entièrement brouillée.
Je me suit alors encore amusé à voir les déformations de ma main, puis je me suis dit que j’allait aller ranger le seau.
En me levant je remarquais que je n’arrivait toujours pas à marcher normalement, mais je voulais quand même aller ranger le seau malgré cet handicap.
Un escalier et 30 mètres plus tard, je me retrouvais à nouveau dans mon lit le seau rangé.
J’u alors une petite peur instinctive de rester avec ces déformations visuelles toute ma vie.
Mais je me suit dit qu’après tout il y avait peu de chance que sa arrive, et même si sa arrivait ce ne serait pas trop grave.
Je me r’endormit donc l’esprit tranquille.
Vers 8H00 je me réveille, je n’ai plus aucune déformation visuelle et je me remémore ma nuit.
Le DXM continu d’agir mais je me sent assez bien et je peut faire sans aucun problème des activités qui ne demande ni d’effort physique ni de concentration.
Vers 15H/16H je ne ressent enfin plus aucun effets du DXM à part de la fatigue.
Il n’y a eu aucune descente difficile ni gueule de bois, par contre j’ai eu pas mal de mucosité le reste de la journée et j’ai dû tousser pas mal pour tout éliminer.
Ce qui est assez étrange est le fait que je ne me soit pas cogné une seule fois, alors qu’en me levant pour aller laver le seau j’ai remarqué qu’il était derrière une chaise qui se trouvait au milieu de ma chambre.
Vu qu’au moment où j’ai gerber je n’avais aucune vision de l’environnement extérieure, je ne vois absolument pas comment j’ai réussi à contourner cette chaise.
J’ai remarqué ceci longtemps après que les effets se soit estompé, mais je trouve que cela est vraiment bizarre.
Même si cette expérience ne m’a rien apporté de spéciale, je la réitérerait sûrement dans quelques mois avec 30mg ou 60 mg de moins pour essayer de mieux comprendre ce qui se passe réellement lorsque l’effet du DXM est à son paroxysme.
TiTre: Trip au DXM: Entre démence et folie
Pseudo: ToToro
Lieu: Chez moi, dans ma chambre
Substances: Dextrométorphane (DXM) contenu dans du Tuxium
Dose: 810 mg, soit 14,726mg/kilo
Poids: 55 kilos
Taille: 1.79m
Sexe: Masculin
Date du rapport: 15/07/2006 à partir de 00H15
Autre information: J’avais mangé des pâtes 2H avant l’ingestion du DXM
Quelques musiques écoutées pendant le trip: Amon Tobin – Easy Muffin, Aphex Twin – Pulsewidth et Window Licker, Hiligt Tribe – Free Tibet…
Ce texte est uniquement à but informatif et je n’incite en aucun cas à la consommation de DXM autre que dans le but de se soigner en cas de toux sèche.
Voyant qu’il n’y a que très peu d’information sur le DXM, j’ai décidé de faire un trip report de ma dernière expérience (avec un titre très accrocheur
).Je tien à signaler que la dose que j’ai ingéré (en mg/k) est très importante et que j’ai déjà expérimenté le DXM plusieurs fois avant.
Une dose aussi importante ne doit surtout pas être prise par une personne qui veut essayer le DXM pour la première fois.
00H15: Après avoir installé un seau près de mon lit, pris 6 petites bouteilles d’eau et un peu de bouffe, je commence à prendre le DXM tout en discutant avec une personne que j’aime bien sur MSN.
Je prend les gélules de Tuxium assez lentement pour que la menthe poivrée ne me fasse pas trop mal à l’estomac.
00H47: Je viens enfin de prendre la dernière gélule de Tuxium, soit 27 gélules de 30 mg.
1H10: Je sens que le DXM commence à monter doucement.
2H15: Le DXM commence à faire pas mal d’effets, j’éteint mon PC et je vais fumer un petit peu de beuh dans un pipe sèche sur mon balcon.
2H20: J’éteint la lumière puis je me met sur mon lit pour écouter quelques musiques sur mon baladeur.
Je me sent très détendu et je ne ressent plus du tout mon corps physique, les yeux fermés je me laisse porter par la beauté de la musique.
J’ouvre quelque fois les yeux pour bien voir que je suis encore dans ma chambre et que mon corps physique et toujours là.
J’écoute cinq morceau de musique avec cet état de plénitude puis à partir de la sixième, je commence à partir assez loin.
Je ne rescent plus du tout mon corps et surtout, je ne rescent plus l’espace environnant.
La seule chose que je rescent est la musique qui m’enivre totalement.
A partir de ce moment, je n’ai plus aucune notion du temps.
Je sais que j’ai écouté un septième morceau de musique, mais ensuite je ne sais pas si j’ai éteint mon baladeur ou si je l’ai laissé allumé.
Après le septième morceau de musique, je me souvient avoir eu des hallucination les yeux fermés, mais comme un rêve, il ne m’en reste que des images très flou.
J’ai eu aussi des hallucinations auditives; j’entendais des personnes parler à voix basse, ainsi que le bruit des gouttes de pluie sur le toit alors qu’il n’a pas plus de la nuit.
Au bout d’un long moment, je ne sais pas ce qui c’est passé mais je me suis retrouvé par terre le sceau dans les mains en train de gerber.
Je ne savait pas comment c’était arrivé, mais j’était là en train de gerber et je rigolais énormément.
Je ne savais pas ce qui me faisait rigoler mais cela m’amusait très fortement.
De plus je n’avais strictement aucune vision de l’espace qui m’environnait, la seule vision que j’avais était celle de mes mains tenant le seau.
Pas mal de temps c’était écoulé avant que je ne cesse de rire.
Je m’était alors posé des questions comme: «Où suis-je», «Qu’est ce que je fais», «Qu’est ce qui se passe»…
Je ne pouvais répondre à ces questions mais je commençais à reprendre un peu conscience de moi même.
Puis j’ai encore eu un trou et je me suis retrouvé dans un espace de couleur blanche; je ne voyait plus rien, même plus mon corps, même plus le sol, uniquement une couleur blanche qui m’entourait.
Il y avait quelque chose dans cette couleur blanche qui venait vers moi très vite et qui me traversait à plusieurs reprise.
Ce n’était pas quelque chose de physique puisque je voyait uniquement la couleur blanche, mais je le sentait passer au travers de mon corps.
J’ai alors eu un moment de lucidité et je me suis dit : «Merde, Anaël, qu’es tu fout, tu t’est explosé le crâne, faut pas que tu crève maintenant ce serait dommage»
Deux ou trois seconde après se raisonnement, je me suis dit: «Après tout, qu’est ce que la vie? Et qu’est ce que je fout ici ? Autant me laissé aller, je n’ai rien à perdre.»
Après avoir pensé sa je me suis laissé aller, car je n’avait plus aucune notion de ce qu’était réellement la vie ni de ce que j’avait fait avant.
A partir de ce moment, je ne souvient plus du tout de ce qui est arrivé, mais je me suit réveillé dans mon lit avec mon baladeur dans les oreilles.
Je me suit alors demandé si je n’avait pas rêvé ce que je venait de faire; j’ai donc éteint mon baladeur puis allumé la lumière sur ma table de nuit.
Tous mon environnement paraissait irréel, tout était déformé, les murs ondulaient et le toit paraissait à la fois très loin et très près de moi.
Je suis resté pas mal de temps à regarder ma main car je n’arrivais pas à la voir normalement, les doigts étaient souvent allongé, des fois boudinés ou squelettique, mais ma main était surtout floue.
Au bout d’un moment, j’ai arrêté et je me suis dit qu’il fallait que j’aille vérifier si j’avais bien vomit.
J’ai donc voulut me lever, mais une fois debout je ne savait plus marcher.
Je n’arrivait plus à voir la longueur de mes jambes et je n’arrivait pas à calculer l’espace qui séparait mes pieds du sol.
J’ai alors essayé temps bien que mal de faire quelques pas pour aller jusqu’au seau qui contenait bel et bien de la nourriture régurtitée.
Sur le coup j’était assez comptent car je n’avait vomi que très peu.
La salle de bain étant très proche de ma chambre, je me suis mis en tête d’aller laver le seau.
Avec mes problèmes de motricité j’eu tout de même beaucoup de mal à aller jusque là.
Arrivé devant l’évier, je jetais le contenu du seau, mais un peu du vomi avait eu le temps de sécher et je ne pouvait le retirer sans eau.
Ne pouvant mettre de l’eau directement dans le seau, je pris un verre, le remplis d’eau et mit son contenu dans le seau.
Je fit cette action deux/trois fois avant de remarquer une serviette juste derrière moi et, je ne sait pour quelle raison, je me mit à ressuyer le verre.
Après avoir ressuyé le verre, je l’ai encore remplis d’eau pour le mettre dans le seau puis j’ai ressuyé le verre, puis je l’ai remplis d’eau, puis je l’ai mit dans le seau, puis je l’ai ressuyé etc etc…
J’ai bien dû faire ce geste quinze/vingt fois; à ce moment, les seules choses qui comptaient, et surtout que je voyaient, étaient l’évier, le seau, le verre et la serviette. A mes yeux, rien d’autre n’avait de l’importance.
Mais, au bout d’un moment, j’ai pris conscience de se que je faisait et j’ai arrêté.
Je me suit alors mit à frotter avec mes mains les bouts qui collaient.
Sur le coup cela m’amusait pas mal et j’ai dut jouer avec l’eau du seau pendant une petite dizaines de minutes.
J’ai ensuite retiré l’eau du seau et je l’ai rincé une dernière fois à l’aide du verre d’eau.
Après ces long et dur efforts, j’ai été me recoucher et j’ai posé le seau propre à côté de mon lit.
J’ai réussi à m’endormir pour ensuite me réveiller quelques temps après.
Je ne saurait dire combien de temps j’ai dormit mais en regardant l’heure j’ai vu qu’il était 6H06.
A ce moment là j’était presque entièrement lucide, en tout cas je pouvais réfléchir à peu près normalement.
Par contre, ma vision était toujours entièrement brouillée.
Je me suit alors encore amusé à voir les déformations de ma main, puis je me suis dit que j’allait aller ranger le seau.
En me levant je remarquais que je n’arrivait toujours pas à marcher normalement, mais je voulais quand même aller ranger le seau malgré cet handicap.
Un escalier et 30 mètres plus tard, je me retrouvais à nouveau dans mon lit le seau rangé.
J’u alors une petite peur instinctive de rester avec ces déformations visuelles toute ma vie.
Mais je me suit dit qu’après tout il y avait peu de chance que sa arrive, et même si sa arrivait ce ne serait pas trop grave.
Je me r’endormit donc l’esprit tranquille.
Vers 8H00 je me réveille, je n’ai plus aucune déformation visuelle et je me remémore ma nuit.
Le DXM continu d’agir mais je me sent assez bien et je peut faire sans aucun problème des activités qui ne demande ni d’effort physique ni de concentration.
Vers 15H/16H je ne ressent enfin plus aucun effets du DXM à part de la fatigue.
Il n’y a eu aucune descente difficile ni gueule de bois, par contre j’ai eu pas mal de mucosité le reste de la journée et j’ai dû tousser pas mal pour tout éliminer.
Ce qui est assez étrange est le fait que je ne me soit pas cogné une seule fois, alors qu’en me levant pour aller laver le seau j’ai remarqué qu’il était derrière une chaise qui se trouvait au milieu de ma chambre.
Vu qu’au moment où j’ai gerber je n’avais aucune vision de l’environnement extérieure, je ne vois absolument pas comment j’ai réussi à contourner cette chaise.
J’ai remarqué ceci longtemps après que les effets se soit estompé, mais je trouve que cela est vraiment bizarre.
Même si cette expérience ne m’a rien apporté de spéciale, je la réitérerait sûrement dans quelques mois avec 30mg ou 60 mg de moins pour essayer de mieux comprendre ce qui se passe réellement lorsque l’effet du DXM est à son paroxysme.
) et je vous raconterai ça 
