Quetzal
Holofractale de l'hypervérité
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Trip au DXM : TR compliqué; j'ai hésité a partager; je suis plutot mécontent du résultat, j'espère ne pas vous faire perdre votre temps 
180 mg sous forme de 12 petit cachet de rom*** 15mg. Poids : 56kg.
C'est parti. 17H30 je suis peinard chez moi; je prend les cachet avec une infusion. Un peu degueux mais avalé 2 par 2 ca passe plus facilement que les boules rouges héhé.
Le premier trip c'était il y a 3 mois, et ca s'était bien passé. Je savais que le gros de ce qu'il avait a me raconter a ces dosage (210mg) avait déjà été abordé. En tout cas, les thèmes et le principe de fonctionnement pour aborder la réflexion. Je pense que j'en suis a écouter du jazz...
Le temps avance, et je sais que ça grésille pas mal, j'ai fumé un petch juste avant de gober ou juste après. J'hésite, la musique commence a pénétrer mais pas je n'suis pas encore prés, mure pour m'allonger et partir. Je pourrais tenter le piano; maintenant, mais peut être pas au max du potentiel, ou plus tard au risque de ne plus pouvoir. Je choisis le piano, pour voir. J'ai commencé a improviser du jazz sur base de quelques accords, en faisant quelques erreurs dans ce que je veux faire, mais en récupérant rapidement a l'oreille et me rendant au final plus créatif. Niveau rythme, je sentais que je montais vite en transe et je me calais sur qqchose de facile a gérer pour après pouvoir faire ressortir le rythme intuitif. Puis le doigté a changé et ça devenait plus coulant, je parvenais a un autre équilibre, peut être plus abouti, entre la technique et l'intuition de mon oreille. Je ne pensais pas trop au trip, si ce n'est en m'étonnant de la puissance des sentiments ressenti. D'autre part il est clair que ca me permettait de beaucoup mieux me focaliser. J'ai joué 20 minutes qui en paraissaient bien plus.
Les jours d'après, j'ai pu récupérer quelques mesures de cette soirée.
Je retourne dans le fauteuil. Il est temps de se coucher avec le casque. Un concerto de Rachmaninoff pour commencer puis « Carbon based life form » et « solar fields » je crois. Je sais pas trop par quoi ça a commencé, mais je me suis vite retrouvé a la frontière de mon corps. J'ai senti que le moi-conscience-corps s'est retrouvé a la frontière avec mon corps, comme a ma limite physique ou le dialogue de la conscience avec le corps se forme. A partir de la je me suis envolé dans la conscience comme libéré, avec un moi modulé, petit a petit éthéré dans cet espace. La première esperience était en relation avec le trip précédent; une fractale est apparue et j'ai zoomé sur un détail; je me suis rapproché avec une série de petit zoom, alterné de 3 seconde de ralenti tournoyant ou se formaient les détails a plus petit échelle de la fractale. Mais parallèlement, mon moi n'était pas focalisé uniquement sur la fractale. Une autre partie de moi même analysait le coté métaphorique et symbolique de l'événement, avec un raisonnement qui s'étalait dans le temps mais qui formait une idée, un concept qui transcendait le temps; j'eu l'impression que ma conscience s'élargissait , occupait une fenêtre temporelle, n'était pas instantanée mais avait une dimension temporelle. Et l'idée créée mettait en valeur la succession des images, qui misent ensemble formait une réalité. La fractale n'est pas la réalité mais la succession des images ajoutait une dimension, la touche finale a la création du réel.
Quelques dérivations plus tard, mon moi commence a se perdre et la métaphore correspondant a cette a sensation fut un océan qui venait recouvrir petit a petit le chaos de mes idées, me laissant "moi" petit a petit debout sur un rocher au milieu de cet océan, l'eau montant petit a petit au son d'un Rachmaninoff léger,aigu et sautillant. L'eau s'est arrêté de monter a mes pieds et Rachmaninoff fit un ère humble et profond. Il n'y plus que moi sur le rocher, vidé de tout superflu, noyé dans l'océan. L'eau se met a descendre et je me sens envahi par un sentiment d'élargissement, d'explosion, de reprise; Apparait un paysage de montagne et de nature avec un personnage sans visage sur le rocher. L'expérience métaphorique était terminée.
L'expérience a valu bien plus que le simple contenu de la métaphore, parce pour la vivre il faut être capable de vivre la modification de la conscience qui en est la base.
Il s'en suit la vision du travail de réflexion; Des gens sont entrain de monter tout les décors de ces expériences... ca se transforme en une espèce de mise en place d'une scène ou travaillent des clown. Je trouve ca fort léger; les enseignements pourraient-ils être fait dans le rire et le détachement? Que nenni! Le bazar s'emballe, je sais pas comment, et je "comprend" : non, pas question de rigoler, tout ceci est profond, pénétrant et racine du monde. La démonstration s'est faite dans une relative violence; si j'ouvrai les yeux, j'étais tranquille. Mais si je les fermait, ça m'effaçait, c'était le DXM-ou plutôt une partie de mon inconscient?- qui prenait le contrôle pour m'embarquer dans des impressions des plus étranges, que je ne saurais expliquer.
J'ai accepté l'enseignement et j'ai pu passer a autre chose. Poussé par cet état inhabituelle de conscience, je me met a envoyer toutes mes idées vers le néant. Le résultat visuel fut comme un flux d'idée rentrant dans le trou hors de ma conscience. J'en parle dans l'enregistrement mais ca me parait moyennement potable
Un peu après tout ca, j'ai effectué les enregistrement, peut être vers 20h. J'ai tenté de regardé quelques trucs (des vieux films avec de funes mais ca passait pas), j'étais peinard et encore fort confus, notamment avec les pétards que j'ai fumé jsais pas ce que j'ai foutu a mon moment j'en avait deux a moitié entamé... et les gestes un peu chaotique, où d'une position normale a allumer mon pétard je passais l'instant d'après à un bras en haut l'autre en bas, le pétard dans les cheveux.
Lendemain pas vraiment de coussiné sympathique, pas vraiment d'effet notable; peut être un léger regard plus éveillé sur les bâtiments ensoleillé. J'ai bien envie de me refaire un trip dés que possible (2 semaines min); je sais pas si c'est par grande curiosité, parce que je suis resté sur ma faim, ou parce que on y prend grand plaisir.
Au final, je trouve le trip assez tordu et s'embarquant dans des constructions mentales bien étranges et correspondant assez bien a ce que je peux m'amuser a faire, même sobre. Je relativise donc très bien tout ce qu'il s'est passé, en restant critique face a ces visions. Je précise également que mes voyages ne sont pas purement visuel; cela prend plus la forme d'une histoire que qqun vous raconte, et vous imaginez le déroulements. Sauf que personne ne raconte rien et que je me retrouve directement au stage de l'imagination, avec des sentiments qui eux sont bien vivants.
Je trouve quand même un changement subtile mais bien agrippé, que je vais continuer a observer avant d'en dire quoi que ce soit.
Ps: je n'ai jamais fait autant de « lapsus » qu'en écrivant ce TR... a méditer! (j'ai corrigé, sinon pas lisible...). Deja a la première ligne : « le premier trip c'était il y trop moi. » J'avais fumé mais quand même !
http://users.skynet.be/fa062225/MIC013.wav
http://users.skynet.be/fa062225/MIC015.wav
180 mg sous forme de 12 petit cachet de rom*** 15mg. Poids : 56kg.
C'est parti. 17H30 je suis peinard chez moi; je prend les cachet avec une infusion. Un peu degueux mais avalé 2 par 2 ca passe plus facilement que les boules rouges héhé.
Le premier trip c'était il y a 3 mois, et ca s'était bien passé. Je savais que le gros de ce qu'il avait a me raconter a ces dosage (210mg) avait déjà été abordé. En tout cas, les thèmes et le principe de fonctionnement pour aborder la réflexion. Je pense que j'en suis a écouter du jazz...
Le temps avance, et je sais que ça grésille pas mal, j'ai fumé un petch juste avant de gober ou juste après. J'hésite, la musique commence a pénétrer mais pas je n'suis pas encore prés, mure pour m'allonger et partir. Je pourrais tenter le piano; maintenant, mais peut être pas au max du potentiel, ou plus tard au risque de ne plus pouvoir. Je choisis le piano, pour voir. J'ai commencé a improviser du jazz sur base de quelques accords, en faisant quelques erreurs dans ce que je veux faire, mais en récupérant rapidement a l'oreille et me rendant au final plus créatif. Niveau rythme, je sentais que je montais vite en transe et je me calais sur qqchose de facile a gérer pour après pouvoir faire ressortir le rythme intuitif. Puis le doigté a changé et ça devenait plus coulant, je parvenais a un autre équilibre, peut être plus abouti, entre la technique et l'intuition de mon oreille. Je ne pensais pas trop au trip, si ce n'est en m'étonnant de la puissance des sentiments ressenti. D'autre part il est clair que ca me permettait de beaucoup mieux me focaliser. J'ai joué 20 minutes qui en paraissaient bien plus.
Les jours d'après, j'ai pu récupérer quelques mesures de cette soirée.
Je retourne dans le fauteuil. Il est temps de se coucher avec le casque. Un concerto de Rachmaninoff pour commencer puis « Carbon based life form » et « solar fields » je crois. Je sais pas trop par quoi ça a commencé, mais je me suis vite retrouvé a la frontière de mon corps. J'ai senti que le moi-conscience-corps s'est retrouvé a la frontière avec mon corps, comme a ma limite physique ou le dialogue de la conscience avec le corps se forme. A partir de la je me suis envolé dans la conscience comme libéré, avec un moi modulé, petit a petit éthéré dans cet espace. La première esperience était en relation avec le trip précédent; une fractale est apparue et j'ai zoomé sur un détail; je me suis rapproché avec une série de petit zoom, alterné de 3 seconde de ralenti tournoyant ou se formaient les détails a plus petit échelle de la fractale. Mais parallèlement, mon moi n'était pas focalisé uniquement sur la fractale. Une autre partie de moi même analysait le coté métaphorique et symbolique de l'événement, avec un raisonnement qui s'étalait dans le temps mais qui formait une idée, un concept qui transcendait le temps; j'eu l'impression que ma conscience s'élargissait , occupait une fenêtre temporelle, n'était pas instantanée mais avait une dimension temporelle. Et l'idée créée mettait en valeur la succession des images, qui misent ensemble formait une réalité. La fractale n'est pas la réalité mais la succession des images ajoutait une dimension, la touche finale a la création du réel.
Quelques dérivations plus tard, mon moi commence a se perdre et la métaphore correspondant a cette a sensation fut un océan qui venait recouvrir petit a petit le chaos de mes idées, me laissant "moi" petit a petit debout sur un rocher au milieu de cet océan, l'eau montant petit a petit au son d'un Rachmaninoff léger,aigu et sautillant. L'eau s'est arrêté de monter a mes pieds et Rachmaninoff fit un ère humble et profond. Il n'y plus que moi sur le rocher, vidé de tout superflu, noyé dans l'océan. L'eau se met a descendre et je me sens envahi par un sentiment d'élargissement, d'explosion, de reprise; Apparait un paysage de montagne et de nature avec un personnage sans visage sur le rocher. L'expérience métaphorique était terminée.
L'expérience a valu bien plus que le simple contenu de la métaphore, parce pour la vivre il faut être capable de vivre la modification de la conscience qui en est la base.
Il s'en suit la vision du travail de réflexion; Des gens sont entrain de monter tout les décors de ces expériences... ca se transforme en une espèce de mise en place d'une scène ou travaillent des clown. Je trouve ca fort léger; les enseignements pourraient-ils être fait dans le rire et le détachement? Que nenni! Le bazar s'emballe, je sais pas comment, et je "comprend" : non, pas question de rigoler, tout ceci est profond, pénétrant et racine du monde. La démonstration s'est faite dans une relative violence; si j'ouvrai les yeux, j'étais tranquille. Mais si je les fermait, ça m'effaçait, c'était le DXM-ou plutôt une partie de mon inconscient?- qui prenait le contrôle pour m'embarquer dans des impressions des plus étranges, que je ne saurais expliquer.
J'ai accepté l'enseignement et j'ai pu passer a autre chose. Poussé par cet état inhabituelle de conscience, je me met a envoyer toutes mes idées vers le néant. Le résultat visuel fut comme un flux d'idée rentrant dans le trou hors de ma conscience. J'en parle dans l'enregistrement mais ca me parait moyennement potable
Un peu après tout ca, j'ai effectué les enregistrement, peut être vers 20h. J'ai tenté de regardé quelques trucs (des vieux films avec de funes mais ca passait pas), j'étais peinard et encore fort confus, notamment avec les pétards que j'ai fumé jsais pas ce que j'ai foutu a mon moment j'en avait deux a moitié entamé... et les gestes un peu chaotique, où d'une position normale a allumer mon pétard je passais l'instant d'après à un bras en haut l'autre en bas, le pétard dans les cheveux.
Lendemain pas vraiment de coussiné sympathique, pas vraiment d'effet notable; peut être un léger regard plus éveillé sur les bâtiments ensoleillé. J'ai bien envie de me refaire un trip dés que possible (2 semaines min); je sais pas si c'est par grande curiosité, parce que je suis resté sur ma faim, ou parce que on y prend grand plaisir.
Au final, je trouve le trip assez tordu et s'embarquant dans des constructions mentales bien étranges et correspondant assez bien a ce que je peux m'amuser a faire, même sobre. Je relativise donc très bien tout ce qu'il s'est passé, en restant critique face a ces visions. Je précise également que mes voyages ne sont pas purement visuel; cela prend plus la forme d'une histoire que qqun vous raconte, et vous imaginez le déroulements. Sauf que personne ne raconte rien et que je me retrouve directement au stage de l'imagination, avec des sentiments qui eux sont bien vivants.
Je trouve quand même un changement subtile mais bien agrippé, que je vais continuer a observer avant d'en dire quoi que ce soit.
Ps: je n'ai jamais fait autant de « lapsus » qu'en écrivant ce TR... a méditer! (j'ai corrigé, sinon pas lisible...). Deja a la première ligne : « le premier trip c'était il y trop moi. » J'avais fumé mais quand même !
http://users.skynet.be/fa062225/MIC013.wav
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