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[TR] Cours de philosophie métaphysique gratuit avec 5g de HBW

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion n-PVA
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n-PVA

Matrice Périnatale
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13/12/14
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EDIT: C'était en effet des Ipomea Tricolor (Morning Glory), pas des HBW ! Merci d'avoir remarqué, GuyGeorge !

Bonjour a tous amis psychonautes ! Je viens vous raconter mon expérience, qui date de Juin 2014, avec ces fameuses graines. Je crois que j'ai prit très cher comparé a la plupart des gens du forum, enfin de ce que j'ai pu lire ici.
Fichier word avec une mise en forme sympa : Ici !

Bonne lecture ;)

9H00 :

Estomac vide, joint roulé, paré au décollage. On se partage un paquet de graines avec H. Je sépare grossièrement les 10G en deux, je lui en mets un peu plus car je suis plus léger que lui : 53 contre 68kg. On gobe tout sans tarder. Au début ce n’est pas mauvais, mais après 3 minutes de mastication intensive, la nausée arrive très vite et il devient difficile d’avaler les graines entre les hauts le cœur… vraiment affreux. Peu après je sens une forte gêne à l’estomac, ce qui m’oblige à m’asseoir. On fume le joint pour faire passer les nausées, plutôt efficace pour moi. H est vraiment au bord de la galette. Il est bon je pense de préciser que pour mon pote et moi c’est la première fois qu’on tâte un psychédélique. On est bien habitués tous les deux au DXM, moi à la Salvia et à la MDMA, mais là c’est le dépucelage lysergique, on ne sait pas vraiment à quoi s’attendre malgré nos recherches poussées. Bref, on se décide rapidement à se mettre en route, direction la montagne ! On a vraiment de la chance, il fait super chaud et pas un nuage à l’horizon. C’est parti pour 6h de rando, dont 4h de montée… dans les 2 sens du terme ;)

10H00 :
Je suis bien défoncé, clairement ! Mais pas à cause des graines, là c’est Marie-Jeanne qui nous offre une belle contemplation musicale. Les nausées sont vraiment horribles, c’est difficile de marcher alors on fait des pauses tous les quarts d’heures…
Et là, avec ma musique sur les oreilles, je perçois quelque chose de différent : la musique semble plus claire, mieux organisée, découpée… limpide. Woaw, je me félicite d’avoir pensé à mon casque, c’est vraiment magnifique ! Mes pensées commencent à s’agencer bizarrement, j’ai l’impression de pouvoir cerner chaque concept en toute sa profondeur, et ça avec une clarté mentale impressionnante. Mes réflexions me portent, et j’ai l’impression de tourner autour de quelque chose de vraiment grand. Tout ce que je vois, entend, sent et touche est agréable. La musique semble convenir à mon mental, elle semble le guider même. Après moult réflexions, j’en viens à la conclusion que tout est bien car je me sens bien. Je suis heureux de voir toute cette nature complexe et harmonieuse autour de moi, je suis heureux d’être capable de comprendre ce qui m’entoure.
« Je suis heureux d’être en vie »
J’ouvre un paquet de yum-yums et commence à grignoter. C’est vraiment incroyable, je ressens tous les gouts possibles à chaque bouchée. Pomme, fraise, mangue, kiwi, citron, tomate, poivre et tout ce qui est imaginable. Impressionnant.

11H00
Chaque pensée me semble d’une importance capitale, comme si c’était le fruit d’une coïncidence improbable. Et ça me fait rire. J’ai du mal à marcher droit tellement je rigole ! J’échange quelque regards avec mon compagnon de trip, complètement lysergisé, qui peine à cacher son sourire. On s’arrête pour reprendre notre souffle entre nos éclats de rire. Soudain, on aperçoit une forme noire au loin. Au fur et à mesure que l’on s’en approche, ses contours se dessinent. C’est un chien. Seul au milieu du chemin, type berger allemand. Il nous fixe de loin. On s’arrête.

- C’est un chien la bas ?
- Ouais, il est pas attaché…
- Merde, tu penses que c’est possible un chien errant comme ça ? S’il a un maître il devrait pas être loin vu comme on est isolés du monde ici.
- Chais pas. Il a pas l’air gentil.
- On va pas continuer vers lui, t’imagines il nous attaque ? On se ferait bouffer mon gars !

Et voilaaa… pas besoin de plus pour devenir parano, ma peur viscérale des chiens me paralyse et je vois les pires scénarios possibles s’afficher en full HD dans ma tête… On fait demi-tour à la recherche d’un autre chemin qui contournerait cet obstacle insurmontable qu’est un chien. On s’arrête vite, on se souvient qu’on n’a pas vu d’autre chemin depuis 1H de marche. On se retourne et on voit le petit toutou arriver avec sa maîtresse… On discute un peu avec elle, qui nous a d’ailleurs bien cramé mais avec le sourire, puis on continue notre chemin, on s’approche d’une colline qui domine la vallée.

12H00
On emprunte un chemin qui sort de la forêt, vers le sommet de la colline. On a tous les deux enlevé nos casques et on partage notre ressenti des effets actuels. On compare notre point de vue sur chaque aspect du trip. Mais tout à coup mes mots n’ont plus de sens et les siens non plus. Je vois notre conversation s’afficher comme une ligne au milieu de ma vision, une ligne qui sépare et confronte nos points de vue.
« A ce moment-là, Il apparaît évident que nos avis respectifs sont inutiles, ce qui est important c’est le concept que crée la confrontation de nos idées. Mon point de vue ne peut exister sans son opposé. Il n’y a plus de moi, ni d’opinions. Il n’y a que la vérité. »
Mais qu’est-ce que la vérité ? Impossible de cerner le concept de la Vérité ! Je tourne en rond en réfléchissant à voix haute, H est mort de rire. La vérité c’est ce qui est vrai. Si quelque chose est vrai, alors il est possible qu’une autre chose soit fausse. « Vrai ou Faux » implique une question, une condition qui peut être vérifiée. Une condition implique un point de vue. Un point de vue implique une opinion. PUTAAAAAAAAAIN !! Donc, il n’y a pas d’opinion, il n’y a rien que la vérité… mais une vérité ne peut exister sans opinion ??? C’est un vrai casse-tête, mon cerveau ne peut pas penser à autre chose qu’à la vérité et ça fait maintenant 30 minutes que je boucle complètement. Frustration ultime !
On continue à discuter, on fume, on rigole on mange. On scrute la vallée en bas et des motifs étranges commencent à apparaître sur les flancs des montagnes. Toutes nos idées nous semblent révolutionnaires, si bien que je me mets en tête de les noter. Je sors mon téléphone : alors eeuuh comment on prend des notes ? Bloc-notes ? Non c’est pas ça, euuh… ah voilà.

- Mec, comment on écrit business ?
- Donne ton phone regarde c’est tout con : bizness
- T’es sur ? Moi j’aurais dit buizness.
- C’est pas busyness ? Comme Busy-ness ? Genre, busy occupé, busyness, une occupation ?
- Ah, je sais ! Bu-si-ness.
- Je suis pas sûr.
- Moi non plus.
- Ce mot est vraiment pas normal.
- Mais les autres le sont-ils ?

C’est bien galère d’écrire sous LSA haha ! Surtout qu’on a galéré pendant 10 minutes pour écrire UN SEUL mot. Autant dire que j’ai vite lâché l’affaire.

13H30
On allume un autre joint. H me dit qu’il s’attendait quand même à des effets plus forts, je lui réponds que là on est déjà complètement incapable de fonctionner en société, je pense que pour une 1[SUP]ère[/SUP] fois c’est déjà pas mal. Et là, alors que je le regarde, ça part en couillles…
Tout est si net, si carré, si limpide. J’ai l’impression de pouvoir voir chaque moindre détail de mon champ de vision, les couleurs ressortent bien plus que d’habitude, comme une photo sur laquelle on aurait poussé la saturation au max. Les pierres illuminées par le soleil sont blanches et je vois de la « neige » dessus. (Comme de la neige sur une vieille cassette pétée vous savez ? ) Je me sens léger et j’ai l’impression que mon corps vibre au rythme des chants des criquets. J’ai l’impression de bouillir d’énergie. Je me souviens que le joint est entrain de se consumer tout seul entre mes doigts. Je tire une grooosse latte. Je regarde autour de moi et je m’arrête en regardant H. Quelque chose ne va pas avec sa tête. Je me concentre et je regarde de plus près. Je le vois de profil, pas de face, donc je ne le fais pas taper parano en le fixant bizarrement. Et la… OH, MALADE. Il se penche en arrière ET TOUTE SA TETE SE DIVISE EN DEUX, COUPEE PAR UN MIROIR. Il se repenche en avant, tout redevient normal. Je lui explique ce qu’il vient de se passer... Il rigole puis s’étale complètement dans l’herbe, en arrière.
WOW. WOW, WOW, WOW. Son corps disparait dans cette singularité géométrique étrange et je ne le vois plus. Il était assis à côté d’un caillou : le côté gauche de ma vision est normal, je vois la vallée ; le côté droit est un putain de kaléidoscope total ou les plans de réalité se mélangent et se superposent… les deux sont séparés par un angle à 60°, délimité par le caillou.
Du coup je fais vite le calcul : si je tourne ma tête vers la droite, tout mon champ de vision va être dans la singularité géométrique hexagonale ! Ben ça a pas loupé hein, putain.
« Tu veux du trash ? Tiens, voilà du trash connard ! »


Je ne comprends plus rien. Les 6 plans de réalité ont fusionnés sous mes yeux, 3 par 3, pour n’en laisser que 2, opposés, qui se plient sur eux-mêmes dans un jeu de miroirs et de symétrie hallucinant. Au milieu apparaît la tête de mon pote : triangles, hexagones rouges verts et violets, voilà à quoi elle ressemble. Oh bordel de merde, on a vraiment bien fait de pas redrop. Je suis complétement trippé, déphasé sa mère.

« ZIOÏN »
Je sursaute et manque de me casser la gueule. « ZIOÏN ». Meeeerde.
ZIOÏN c’est à peu près le bruit que font les fougères lorsqu’elles sont parcourues de ces ondes énergétiques. Je sais pas comment le décrire. C’est comme si une étincelle rouge/violette partait de la base du végétal, puis remontait la tige en spirale avant d’éclater au bout de chaque feuille en une sphère d’énergie qui alimente toutes les plantes autour d’elle. Je peux sentir la chaleur de cette énergie sur ma peau. Je regarde au-dessus de moi et je vois des insectes, lumineux, qui volent de manière étrangement géométrique. Ils sont tous alignés ou bien ils se suivent. Ma vision est découpée en petits triangles parfaitement organisés, s’agençant en hexagones. Lorsque je déplace mon regard ils se décalent tous dans des directions opposées. Mon champ de vision est entièrement net de son centre jusqu’à sa périphérie et je suis capable d’en discerner les moindres détails ou qu’ils se trouvent. Complètement paralysé par la puissance de l’expérience, je sursaute à nouveau en apercevant une araignée GIGANTESQUE juste à mes pieds. Du style veuve noire, mais en mode 20cm d’envergure. Heureusement, elle se retransforme vite en l’ombre qu’elle était, à la base.
Eh ouais, c’était qu’une ombre, mais maintenant mon cœur bat à 100 à l’heure et je ne me sens plus tout à l’aise. Les insectes lumineux me volent dans le visage, et ça me soule. Je regarde autour de moi et je ne vois plus la vallée… je vois que notre colline est dans une prison de verre hexagonale. Ou plutôt, les montagnes se sont rapprochées autour de la colline. C’est super oppressant. Mentalement je me sens bien, je n’ai pas peur, mais mon corps se prépare à la fuite et me le fait sentir. Mes jambes tremblent, tout comme ma voix. Mes mains sont moites et je crois entendre des gens arriver par la forêt… mais il n’y a personne. Ces sensations modifiées que je trouvais magnifiques ne sont maintenant plus que des illusions qui m’empêchent de voir la réalité telle qu’elle est vraiment.
Etat d’urgence, mesures d’urgence : grosses mélodies blastées au volume maximum dans mes oreilles ! Bordel, c’est si bon ! La musique semble si parfaite, elle emplit ma tête et efface le reste. Tout devient mélodieux, l’herbe ondule au rythme des basses puissantes. Mon pote qui lui aussi a sa musique sur les oreilles affiche également un sourire extatique. On se remet en marche. Mes pas sont synchronisés sur le groove alors qu’on dévale la colline le plus vite possible. Tout mon corps frissonne de plaisir, je m’en mords les lèvres. H marche à côté de moi et il laisse des images rémanentes dans son sillage.
Je saute de rochers en rochers par intervalles étonnamment géométriques. La prairie n’est plus tapissée d’herbe mais bien de fractales dont la teinte varie du vert au violet. J’exprime un soupçon de culpabilité en réalisant que si je suis la définition vivante du mot ≪bonheur≫ à l’heure actuelle, c’est à cause d’une molécule qui se fixe sur mes récepteurs à la sérotonine. Je réprime cette culpabilité, de toute manière l’euphorie c’est appréciable (ba-dum tss). La pensée conceptuelle est sale, je peux sentir mes idées s’agencer héxagonalement dans mon crâne.
Voir la pièce jointe 16816

15H00
≪Avez-vous déjà remarqué que plus vous vous acharnez à décrire un concept, plus vous vous éloignez de son essence ?≫
15H30
≪Est-ce qu’on est perdus ? C’est laquelle cette vallée, elles se ressemblent toutes.≫
16H30
Enfin arrivés. Crevé, je m’étale sur mon lit en m’endors pendant que H. va s’éclater sur photoshop. A mon réveil il m’explique que la descente qu’il s’est mangé était violente. Heureusement que cette molécule nous permet le sommeil !
Excellente expérience dans l’ensemble, même si je ne m’attendais pas à être aussi tripé ! Clairement, pour 5 grammes de graines il envoie du lourd ce petit lierre grimpant. Pour en avoir repris 2 semaines plus tard mais cette fois sans cannabis, il semble qu’il a tendance à potentialiser les effets à mort. Sans joint, le seul truc que j’ai ressenti c’est la descente… pas cool ! Descente qui est en effet pas jolie, je vous passe les détails vous connaissez surement, mais il vaut mieux être capable de garder son sang-froid. :roll:
Sur ce, bonne journée à tous amis psychonautes, trip safe ! :mrgreen:
 
Merci pour le trip-report, j'ai l'impression d'avoir fait un bout du voyage avec toi !
 
Ce récit était super cool, ta boucle très clairement expliquée me rappelle des souvenirs lysergiques...
 
Je comprend pas, qu'est-ce qu'elle a la descente de LSA? Et t'es sur que c'est des Hawaïn Baby Wootruc? Si tu compte en gramme, c'est plutôt des ipomées que tu a pris je pense, les HBW ça se compte en graines (5-10 graine pour un trip).

Sinon j'ai moi aussi beaucoup aimé ton TR! Merci du partage! :)
 
Merci des compliments les gens, ça me fait plaisir ! :D

Et, oui GuyGeorge je me suis planté en effet, c'était des Morning Glory qu'on avait ! (Donc des Ipomea Tricolor oui).
Et la descente de LSA, pour moi en tout cas, quel bordel... c'était horrible. Pas du tout physique, on se sent pas crevé comme avec le LSD, c'est purement mental. J'avais l'impression que rien ne m'amuserai plus jamais et que la vie ne valait pas la peine d'être vécue, j'avais des pensées suicidaires toutes les 30 secondes...
 
n-PVA a dit:
Je me souviens que le joint est entrain de se consumer tout seul entre mes doigts.

C'est ce qui arrive quand on roule avec du tabac de clope :D , plus sérieusement tu as l'air de t'être éclaté. Ca ne pouvait que bien se passer avec un setting pareil, ça donne envie!
 
Pain a dit:
C'est ce qui arrive quand on roule avec du tabac de clope :D , plus sérieusement tu as l'air de t'être éclaté. Ca ne pouvait que bien se passer avec un setting pareil, ça donne envie!

Hahaha, fleur du pays représente ! D'ailleurs le LSA m'a donné un point de vue incroyable sur mon addiction a la cigarette, comme si tout mon esprit était d'accord mon stopper cette mascarade. Mais une fois redescendu, j'étais toujours accro... :\\
On avait bien soigné le setting en effet, et c'est grace aux conseils que j'ai lu ici ! On avait tout prévu, j'avais même prit du désinfectant au cas ou on se blessait dans la foret hahaha
 
C'est bizarre cette descente. J'ai pris beaucoup de fois du LSA et la descente était toujours géniale. Rires, soulagement, détente tout ça... J'ai bien aimé ton TR en tous cas, même si j'aime pas du tout mélanger les produits. Le coup du cannabis (qui est un putain de psychédélique quand même) alors que tu essayais un nouveau produit...

J'ai bien aimé le coup du passage dans l'hyperespace après le joint quand même ^^

Et bordel, trippez pas avec des graines de MG boudiou, les HBW sont bien plus concentrées en lyserchoses donc on bouffe moins de merde avec ça !
 
Ah bon les HBW sont meilleures ? Merci du conseil je prend note ! :D
Par contre pour le coup du joint, je savais que c'était par forcément une bonne idée vu que ca a tendance à rendre parano, mais c'était le seul moyen qu'on avait pour faire partir ces nausées affreuses !!!
 
Pas de nausées affreuses pour ma part avec les HBW :grin: Après bon, c'est sûr que comme les HBW sont plus concentrées il y a moins de nausées mais ça dépend toujours des gens. Il y a aussi la préparation qui joue. Selon erowid la coque des graines contient des trucs douteux. Vous avez bouffé les graines comme ça à l'ancienne donc il ya aussi le gout pas tip top qui joue sur la nausée.

Pour optimiser il faut se démerder pour virer les coques et réduire en poudre le bordel. (D'où l'interêt de passer aux HBW pour pas avoir à décoquer 500 graines une par une. Déjà que c'est pas facile alors si il faut le faire 500 fois :rolleyes:) 'Faut ensuite laisser la poudre macérer dans de l'eau acidifiée (au citron par exemple) pendant quelques heures en mélangeant de temps en temps. Après soit tu bois tout poudre y compris soit tu filtres et tu perds un peu de puissance.

Attention quand même, la méthode du citron avec avalage de poudre augmente considérablement les effets par rapport au mangeage direct.
 
n-PVA a dit:
EDIT: C'était en effet des Ipomea Tricolor (Morning Glory), pas des HBW ! Merci d'avoir remarqué, GuyGeorge !
15H00
≪Avez-vous déjà remarqué que plus vous vous acharnez à décrire un concept, plus vous vous éloignez de son essence ?≫

Normale, ce que l'on vois sous psychotrope ne fait pas partis de notre réalité pour la majorité des humains. Donc l'expliquer, sans mots, sans exemples c'est très compliqué. Le mieux pour expliquer ce genre de conceptes à quelqu'un est de droguer cette personne au préalable pour qu'ell arrive à comprendre de quoi tu veux parler en le voyant directement :p (à prendre au second degré hein^^)
 
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