Krix
Holofractale de l'hypervérité
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Coucou les psychow ! :heart:
Introduction
Une notion que j'ai rarement (pas du tout) retrouver lors de recherches ou études sur les psychotropes ( si si ça existe lol ) et que donc je me suis permis de nommer (non sans intention de supériorité mais parce que y avait surtout pas de terme existant qui y correspondait avec justesse).
Alors souvent on parle de tolérance (qu'elle soit psychologique/neuronale ou physique) mais un sujet rarement aborder est à l'inverse la sensibilité qu'on peut développer à l'égard d'un produit en lien avec la maîtrise qu'on acquiert dans la gestion de celui-ci. Ce phénomène que j'ai longtemps constater, d'abord sur moi mais aussi sur des proches ayant la même "activité", c'est ce fait de développer d'une part (qui peut être indépendamment de la dose) un contrôle sur la perturbation mentale à laquelle on est confronter, et d'autre part la capacité à pouvoir moduler l'expérience subie. On pourrait prendre la métaphore des soldats entraîner aux interrogatoires, qui, à force d'y survivre, ont entraîner inconsciemment des stratégies ergonomiques comme la déconnexion de l'esprit purement et simplement lors de présence de stimuli angoissants.
Qu'est-ce que l'habituation psychique
Si je parle donc d'habituation psychique c'est comme son nom l'indique parce qu'avec l'expérience, et indépendamment du dosage, on acquiert une sorte de contrôle sur les effets d'une dite molécule. Mais cette habituation psychique témoigne aussi d'une sensibilité accrue aux effets en particulier ceux aux faibles dosages. Pour ne prendre que mon cas, je sais qu'une simple cuillère de café suffit pour que je ressente les prémices d'une excitation somatique au bout de plusieurs dizaines de minutes.
On peut prendre l'exemple de la kétamine, malgré une tolérance remise au point 0, le cerveau a appris à appréhender chaque phase de perturbations mentales qui sont engendrées par elle et alors survient non seulement une dextérité sensorielle interne vis à vis des prémices de chaque effet primaire mais également un contrôle psychique qui s'établit vis à vis de la situation et ceux malgré que la dose puisse être faible, moyenne ou encore être à la frontière d'un surdosage.
Au delà de la tolérance physique/psychologique classique qui n'a pas grand chose à voir présentement et que nous ignorerons pour l'instant, existe cependant se qu'on nomme comme la tolérance inversée, qui doit être cette fois-ci bien différencier pour ne pas mélanger les deux notions. On peut commencer par les séparés de manière très simple : la tolérance inversée prend son origine brut au travers de l'aspect physique et biologique. L'Habituation psychique, elle, est une somme de vécu et de stimuli de l'environnement perçu et altéré. Il s'agit donc à ce stade, d'un processus fonctionnel mis en œuvre dans le cas d'une nécessité à se préserver vis à vis des régulières intoxications qui peuvent nous agresser.
A l'heure actuelle
J'ai noter des mécanismes de défense pouvant accompagner dans le cas de consommation à haut dosage et pouvant entraîner un déséquilibre dans la maîtrise du conscient à rester non altéré. On parlera dans cette illustration des mécanismes de défense propre aux perturbateurs (hallucinogènes) qui semble efficace lorsqu’ils sont utilisés aux bon moments . On peut constater par exemple des sujets entrant dans un état particulièrement étrange d'apaisement et d'acceptation. On a pu déterminer en partie la cause comme résultant d'une diminution de l'activité consciente (Préservation spontannée du système nerveux pour un état psychique)
Cette reconfiguration pourrait être un choix neurologique inconscient récent ou de l'ordre de l'évolution pour économiser au maximum les sollicitations au cerveau, soudainement en surmenage. Après une expérimentation qui semblerait devenir incontrôlable, la conscience pourrait alors s'éteindre (ou du moins l'amnésie, elle, est présente).
Quoiqu'il en soit pour résumé : l'habituation psychique est un processus résultant de la somme des expériences vécues, des souvenirs et des perceptions altérées garder en mémoire. Ce processus qui peut se présenter indirectement comme un mécanisme de défense, est présent pour chaque catégories de psychotropes. Il se structure et intervient indépendamment du dosage qui aurait été pris ou même de la tolérance qui peut être présente. De ces constats on peut confirmer l'idée selon laquelle cette notion ne serait pas de l'ordre d'une quelconque dimension biologique.
Le phénomène dans son ensemble entraîne une sensibilité accrue aux effets perçus de manière irréversible et sans être impacter significativement, encore une fois, par le dosage considérer (qu'il soit faible ou haut, l'amplification des perceptions est proportionnelle aux dosages). Enfin le processus se trouve être, une fois mis en œuvre, durable sur le long terme, tandis qu'en parallèle peuvent se développer contrôle et une gestion psychique globale.
Pour conclure, moi et certains collègues, penchons actuellement sur ce phénomène mis en lumière depuis peu. Je compléterais en fonction des précisions qui surviendront. Voilà voilà
Introduction
Une notion que j'ai rarement (pas du tout) retrouver lors de recherches ou études sur les psychotropes ( si si ça existe lol ) et que donc je me suis permis de nommer (non sans intention de supériorité mais parce que y avait surtout pas de terme existant qui y correspondait avec justesse).
Alors souvent on parle de tolérance (qu'elle soit psychologique/neuronale ou physique) mais un sujet rarement aborder est à l'inverse la sensibilité qu'on peut développer à l'égard d'un produit en lien avec la maîtrise qu'on acquiert dans la gestion de celui-ci. Ce phénomène que j'ai longtemps constater, d'abord sur moi mais aussi sur des proches ayant la même "activité", c'est ce fait de développer d'une part (qui peut être indépendamment de la dose) un contrôle sur la perturbation mentale à laquelle on est confronter, et d'autre part la capacité à pouvoir moduler l'expérience subie. On pourrait prendre la métaphore des soldats entraîner aux interrogatoires, qui, à force d'y survivre, ont entraîner inconsciemment des stratégies ergonomiques comme la déconnexion de l'esprit purement et simplement lors de présence de stimuli angoissants.
Qu'est-ce que l'habituation psychique
Si je parle donc d'habituation psychique c'est comme son nom l'indique parce qu'avec l'expérience, et indépendamment du dosage, on acquiert une sorte de contrôle sur les effets d'une dite molécule. Mais cette habituation psychique témoigne aussi d'une sensibilité accrue aux effets en particulier ceux aux faibles dosages. Pour ne prendre que mon cas, je sais qu'une simple cuillère de café suffit pour que je ressente les prémices d'une excitation somatique au bout de plusieurs dizaines de minutes.
On peut prendre l'exemple de la kétamine, malgré une tolérance remise au point 0, le cerveau a appris à appréhender chaque phase de perturbations mentales qui sont engendrées par elle et alors survient non seulement une dextérité sensorielle interne vis à vis des prémices de chaque effet primaire mais également un contrôle psychique qui s'établit vis à vis de la situation et ceux malgré que la dose puisse être faible, moyenne ou encore être à la frontière d'un surdosage.
Au delà de la tolérance physique/psychologique classique qui n'a pas grand chose à voir présentement et que nous ignorerons pour l'instant, existe cependant se qu'on nomme comme la tolérance inversée, qui doit être cette fois-ci bien différencier pour ne pas mélanger les deux notions. On peut commencer par les séparés de manière très simple : la tolérance inversée prend son origine brut au travers de l'aspect physique et biologique. L'Habituation psychique, elle, est une somme de vécu et de stimuli de l'environnement perçu et altéré. Il s'agit donc à ce stade, d'un processus fonctionnel mis en œuvre dans le cas d'une nécessité à se préserver vis à vis des régulières intoxications qui peuvent nous agresser.
A l'heure actuelle
J'ai noter des mécanismes de défense pouvant accompagner dans le cas de consommation à haut dosage et pouvant entraîner un déséquilibre dans la maîtrise du conscient à rester non altéré. On parlera dans cette illustration des mécanismes de défense propre aux perturbateurs (hallucinogènes) qui semble efficace lorsqu’ils sont utilisés aux bon moments . On peut constater par exemple des sujets entrant dans un état particulièrement étrange d'apaisement et d'acceptation. On a pu déterminer en partie la cause comme résultant d'une diminution de l'activité consciente (Préservation spontannée du système nerveux pour un état psychique)
Cette reconfiguration pourrait être un choix neurologique inconscient récent ou de l'ordre de l'évolution pour économiser au maximum les sollicitations au cerveau, soudainement en surmenage. Après une expérimentation qui semblerait devenir incontrôlable, la conscience pourrait alors s'éteindre (ou du moins l'amnésie, elle, est présente).
Quoiqu'il en soit pour résumé : l'habituation psychique est un processus résultant de la somme des expériences vécues, des souvenirs et des perceptions altérées garder en mémoire. Ce processus qui peut se présenter indirectement comme un mécanisme de défense, est présent pour chaque catégories de psychotropes. Il se structure et intervient indépendamment du dosage qui aurait été pris ou même de la tolérance qui peut être présente. De ces constats on peut confirmer l'idée selon laquelle cette notion ne serait pas de l'ordre d'une quelconque dimension biologique.
Le phénomène dans son ensemble entraîne une sensibilité accrue aux effets perçus de manière irréversible et sans être impacter significativement, encore une fois, par le dosage considérer (qu'il soit faible ou haut, l'amplification des perceptions est proportionnelle aux dosages). Enfin le processus se trouve être, une fois mis en œuvre, durable sur le long terme, tandis qu'en parallèle peuvent se développer contrôle et une gestion psychique globale.
Pour conclure, moi et certains collègues, penchons actuellement sur ce phénomène mis en lumière depuis peu. Je compléterais en fonction des précisions qui surviendront. Voilà voilà