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Surdosage?

  • Auteur de la discussion Auteur de la discussion Hilightribe
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Hilightribe

Matrice Périnatale
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20/9/12
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Salut à tous!

Voilà j'ai quelques questions concernant ce qui m'est arrivé lors de ma dernière prise de codéine. Cela fait maintenant plus d'un an que j'en consomme à raison de 300mg et plus, avec des écarts de 2 jours (parfois pas d'écart, mais rarement). Je fais cet écart de 2 jours, afin d'"éviter" la dépendance, même si au bout d'un an c'est inévitable. J'ai en faite 2 questions. Samedi dernier j'ai pris 600 mg de codéine (accoutumance oblige) et là arrivent les démangeaisons, les rougeurs.. Je trouve le trip très, voire beaucoup trop violent. Moi qui pensait que la codéine ne me surprendrais plus, eh bien j'me suis trompé. Surtout le lendemain. Je me suis réveillé avec ce qui semblait être un oedeme de Quinck, qui a fini par disparaitre le surlendemain, je suppose lorsque la codéine fut complètement évacuée. Je suis très faiblement asthmatique, pourtant je n'ai jamais été gêné à ce point la avec les opiacés/opioïdes. Savez-vous si cela correspond juste à un surdosage, ou si mon corps ne supporte plus du tout la molécule? J'aimerais éviter un deuxième oedeme si possible.. J'ai donc décidé d'arrêter pendant une bonne semaine et de n'en reprendre "que" 300 mg afin de voir ce qu'il se passe. Ma deuxième question est la suivante : L'arrêt est très difficile, pourtant je compense fortement par du cannabis. J'ai très froid mais je transpire, je suis à cran et impossible de dormir la nuit. Est-ce possible que j'ai développé une dépendance physique? Ou faut-il que les prises soient vraiment quotidiennes? Est-ce alors uniquement psychologique?

Merci de répondre à mes questions, j'avoue que je suis un peu perplexe.

Bonne journée à vous.
 
Je ne sais pas pour ta première question mais pour la deuxième il me semblerait que ouai, tu est développé une tolérance physique, les symptômes ressemblent fort à ceux d'une crise de manque/sevrage...

Je ne peux que te conseiller de te battre et d'arrêter, maintenant que tu a commencé. Cela ne peut qu'aller en empirant si tu continue à consommer des opi.

Courage.
 
Oui, c'est effectivement les conclusions auxquelles je suis arrivé, c'est d'ailleurs pour ca que j'ai commencé une "pause", mais malheureusement j'ai du mal à envisager l'arrêt complet. J'arrête le plus longtemps possible, ca me fera déjà le plus grand bien. Je pense que combler les moments d'ennui est la solution pour éviter de penser aux produit et d'en prendre. Mais les nuits sont longues, longues..

En tout cas merci d'avoir pris la peine de répondre et bonne journée.

Quelqu'un sait néanmoins pourquoi mon corps a réagi si violemment? Surdose ou saturation de l'organisme?
 
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