Mr.G
Holofractale de l'hypervérité
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Ah, les truffes. Mes grandes amies. Plus j'en prend et plus je les contrôles. Loin semble être mes débuts où j'avais l'appréhension du produit et/ou des effets. Comprenant les mécanismes qui amènes à bader. Je n'ai plus peur de triper les yeux fermer.
Nous sommes un Dimanche et la veille, j'étais à Breda. Après un passage dans un smart, je passe la soirée dans mon coffee préféré de la ville, d'ailleurs. Le 11 Février semble être le carnaval dans cette ville. Des personnes déguisés jouant d'instrument et chantant passe devant nous juste avant le coffee. Bref.
Je me réveil tôt, le Dimanche, les magasins ne sont pas ouvert très tard. Je me rend donc chez mon épicier et me charge de boisson sucrée, du chocolat et un sandwich. Mon meilleur amis est là mais il doit partir en fin d'après midi.
La journée ce passe tranquillement, joint, jeux vidéo et musique. Je prépare aussi ma chambre.
J'aère tout, je passe le balai et on fait les poubelles. Il est bientôt 16h et j'avais prévu de commencer à triper autour de cette heure là. Je prépare mes inutiles cachet de vitamines C mais c'est psychologique. Je ne trip qu'avec de la weed et de la vitamine C à disposition. Bien, j'ai tout.
Je vais prendre une douche et la pression monte. Mélange d’excitation, d'appréhension car même si j'ai dit plus haut que je comprenais les mécanismes du bad et que je sais comment le contrer. Il existe toujours la possibilité de rentrer dans une boucle, de ne pas en sortir et de ne pas m'en rendre compte mais comme vous le lirez plus loin. Je vais gêrer.
Je retourne voir mon ami, il m'encourage à triper, je regarde l'heure. Oui, encore 10min. J'ai déjà prérouler 4joint avant d'allez me doucher, nb.
J'ouvre mon frigo et prend les truffes. Ce sont des Dragon's Dynamites. Une espèces assez forte selon la classification du smartshop. Je vais en prendre 15g, car je gère. Mais pour un débutant, je les déconseilles ou à moindre dose, 7g semble être bien indiquer.
Je le prend en trois boucher. La deuxième qui fut la plus grosse failli me faire vomir ( Chez moi, c'est un excellent signe, ayant toujours eu d’excellente expérience quand j'ai eu des nausées en mangeant. )
Je fais passer le tout avec un carrée de chocolat ou deux.
Commence l'attente de la monté et je viens dans la partit flood du forum, dire que je vais triper.
Je m'allonge dans mon lit, repoussant comme un roi mon ami qui me traite de grosse loque.
Il doit partir pour 17h45. Donc, je commencerai la monté avec lui et ça me rassure beaucoup. C'était d'ailleurs ce qui était prévu. Non, ce qui était prévu c'est que mon ami devait prendre ses truffes aussi chez moi. Mais ayant peur d'être trop dans le cake pour son rendez vous d'entreprise Mardi, il ne veux pas. J'essai de lui faire comprendre qu'il sera opérationnel mais non, pas confiance en lui, pas en mon expérience. Il est pas beaucoup expérimentez.
La monté commence à montrer le bout de son nez. Tout comme le bodyload désagréable aux ventre. J'allume le premier joint.
L'effet est presque immédiat et le ventre s'apaise.
Eclat de rire. Ah, je suis euphorique.
Je lui dit à peux près ceci : Ah, mais pourquoi j'avais peur, je suis bien là. Je suis une flipette. J'avais oublier. Ah comment c'est bon.
Les déformations de la pièce commencent, ma télé bouge. Mes rideaux ondulent, bref.
Je reste allonger et ne dit plus rien.
La monté est douce, j'ai vraiment la sensation de m'ouvrir de plus en plus. Je ressens l'ennui de mon ami, il attend son train et moi je ne dit rien. Je réfléchis à mille façon de l'occuper, de le faire rire. Mais triper ne donne pas de super-pouvoir.
Je lui dit donc ce que je ressens et là ça va être assez compliquer à expliquer.
Le bonheur est accessible en ouvrant des zones de son esprit. Et en acceptant certaines choses. J'ai l'image d'une porte à verrou magnétique. Le nombre de verrou n'est pas vraiment définis, c'est sur l'instant. Mais pensez à être heureux, sourire, accepter de partir en vrille et surtout fermer les yeux sont parmi les plus important. Une série d'image se forment. Tout devient or, magnifique et transcendant. Tellement, tellement que je doit refermer un verrou. Je réouvre les yeux et je lui explique ce que je viens d'écrire. La dernière image est une gravure d'or d'un paysage étrange. Des dirigeables avec des yeux dans le ciel, des maisons sans toit et des arbres partout.
Et j'ai vraiment cette image de porte, avec des verrous. Rouge fermer. Vert ouvert. Tout le long de la porte. Et quand tout est aux vert mais bon dieu. Je m'envole tellement loin. Et je ne peux pas y rester. Je dois toujours faire pêter un verrou. C'est trop fort. C'est tellement. Je ne peux en dire plus. Je ne peux que faire des gravures d'or.
On discute un peux là dessus et il doit bientôt partir. On ce dit à tout bientôt. J'essaie de me renseigné sur sa prise de truffe. J'ai envie qu'il passe un excellent moment.
Il est mitigé. Première prise de truffe : Belle monté et appréciation du potentielle, bad paranoïaque moyen après la monté et sûrement les premiers bodyload plus fort. Tentative de sortir du trip;
J'ai étais le rassurer ce soir là plus tard, voir mon tr sur les royal beluga dans cette même section, et tout alla bien mais ce fût fort pour lui. Plus tard nous découvrons le LSD ensemble, et ce ne fût pas très intense pour lui. Nous avions pris un demi le vendredi et un demi le samedi du Nouvelle an.
J'ai donc tout naturellement envie d'être son sitter. On ce connais depuis que je suis un enfant. Nous sommes plus proche du frère que de l'amitié et ça c'est un fait inéluctable de ma vie. Et c'est beau.
Il s'en va et me souhaite bon voyage. Je m'installe comme un roi et allume le deuxième joint. Un peux las de son départ, je regarde ma pièce. Les arabesques dansent. Tout est chatoyant. Mais, bon, ma chambre n'est pas très belle. Je n'ai de toute ma vie quasiment jamais afficher un poster, une photo, un truc. Il faut que je change un peux ce côté là. Alors que j'adore les chambres ultra personnalisés. Ironique vie.
Je vais sur psychonaut quelques instant. Et vais dans la section Artiste et visionnaire pour y voir de belle image. Je regarde un peux et me rappel m'avoir déjà fait une playlist d'image. Je vais la voir et m'amuse beaucoup, chaque image colore la pièce de sa dominance. Les visuels sont de conséquence, violette, bleus, orange. Les lettres et les figurent s'envolent de l'écran se poursuivent sur les murs et disparaissent en un ploc.
Je referme les yeux.
Analyse. ( vous pouvez zappez )
Image malveillante d'homme qui souffre et ça c'est normal. J'ai conscience que mon corps souffre. J'ai le bras gauche qui a étais opérait plusieurs fois. Et qui souffre encore. J'ai une très mauvaise dentitions. Je fais de l'asthme et suit donc affaiblis constamment par le volume pulmonaire en moins. Et aussi car j'ai souffert dans ma vie. De plein de chose.
Je suis conscient de toute ces choses. Ce sont mes choses. Toute plus ou moins importante mais toute donnant ce que je suis maintenant. Un petit homme étrange, mais très gentil et peux être trop. Mais inspirant la confiance et ça me fait peur un peux parfois. Les gens avec qui je traine vois en moi quelqu'un en qui ils peuvent compter. Ce confier. Je ne suis pas moi même franchement responsable de ma vie. Même si j'assure comme des personnes de toute âge me l'on dit. C'est pas pour faire la victime ou quoi que ce soit. Mais j'ai prit dans la gueule et franchement trop. J'en ai marre quoi.
Je sais que j'ai toute les clés en moi pour m'en sortir, je le sait. Pourquoi je n'y arrive pas.
Je sais que quelque part en moi. Il y a quelque chose en moi qui s'y refuse. Je me sens responsable de trop de chose.
Je me dit donc ta gueule.
Et je rouvris les yeux.
C'était intense. Je referme les yeux pour rediscuter avec moi même. L'image du père intransigeant revient me dire tout ce qui va pas et en homme je lui dit que je suis un putain de junkie, que j'aime ça. Et qu'en sachant ce qui ne va pas car je le sait. Je reste maitre de mon destin. Et c'est quand même vachement grisant. Car ce que je me refuse. C'est que j'ai eu beaucoup de chance dans mon malheur. Et je trouve que c'est déjà suffisant.
Je peux VIVRE comme ça. J'ai qu'a me soigner la bouche et par contre mon bras je sais pas. Une nouvelle opération?
Une prothèse? Amputer ça serait abuser
Sûrement une prothèse, j'ai la conviction d'être un homme du futur. La médecine moderne me permettras d'avoir un bras gauche moderne. Une prothèse aux centièmes de millimètres au poignet et au coude sans trop niquer à nouveau la chair. Et je serais de nouveau complétement complet.
Fin du zapp. Retour à vos programme.
Comment être bien je me disait tout le temps. Allonger dans mon lit avec comme seul tension musculaire, mon index et le majeur. Tenant ces joints.
Comment de toute chose, y voir ce qui est positif et c'est possible. Je m'y attèle et c'est pour ça qu'en festival je suis un tout autre homme. D'une convivialité, d'un franc parler et d'une découverte toute nouvelle. La drogue y est pour beaucoup. Ok.
Buvant plus qu'a l'accoutumer en festival, il est normal que je sois déchainer mais même. Je ne bois jamais avant d'arriver et je suis toujours très énerver en arrivant et discutant directement avec toute personnes que je considère comme festivalier et amical. Pas de problème en festival. Je suis /woodstockon.
Et donc j'arrive a la conclusion de comment être bien là maintenant comme un âne, car je suis triper comme un âne. J'ai du mal à contenir le flot d'information, d'image, de visuel et de son. La psytrance m'envoie loin. Et c'est bon.
Le temps n'est qu'une illusion et je m'amuse de sa lenteur, de ma rapidité. Je continue les yeux fermer mais je suis motivé. J'ai pas envie d'avoir les yeux fermer. Mes jambes qui sont actives m'empêchent de me concentrer.
Et pourtant. Quand elles me laissent tranquille. J'ai la sensation d'être debout. La tête immense, de petites jambes si lointaines. Un torse plat. Petit bras. En étant allonger.
Et donc je m'ennuie un peux. Et c'est le début de la descente en dent de scie. C'est assez marrant dans l'ensemble.
Je vais sur facebook, regarde quelques image. Et me refuse à réponde ou parler à quiconque. J'alterne entre vous et facebook. La journée est plus ou moins active ce jours là et me tient éveiller dans le bon sens.
Le post de neuronal31 à propos de : J'nique ta race, me fit partir.
Extrêmement loin.
Je vous conseille de lire ce lien ( je vais éditer ), même si il ne semble pas d'une quelconque utilité social.
Moi j'y est interpréter l'avancer social.
Je m'explique.
Ne pas dire à quelqu'un qu'il est raciste pour ses propos me tient particulièrement à coeur. Étant métisse, j'ai reçus des insultes des deux bords. Directement ou indirectement. Et le sentiment d'ouverture aux monde me tient particulièrement à cœur.
Nous sommes une seul race. Nous sommes les Hommes.
Et ce post me poussez aussi à réfléchir sur les propos que l'on tien avec les gens, avec la subjectivité qui entre quasiment toujours en compte. L'expérience et la connaissance de mes propos. J'étais humble.
J'aime aussi même si il est un peux énervant, le tic de me rappeler que je suis triper.
Je m'imaginais des situations il me semble. Je discuter en rêve, yeux fermer ou ouvert. Je ne sais plus, Je fixer.
Et toujours comme une boucle.
Ah mais qu'es qui ce passe là ? Flashback arrière, ah t'as pris des truffes :twisted:
Je voguer très certainement sur une étrange galère.
La descente s'amorça et je ne voyais plus rien. J'étais poser dans le pieux, le corps se réveillant.
Je commencer à remanger. Je précise que j'ai bu de temps en temps de l'eau sans trop me rappeler quand mais j'ai bu de l'eau à intervalle régulière.
Il doit être minuit, une heure. Je retourne sur facebook. Je discute avec une fille, arrivant enfin à me souvenir ce que je voulais dire 5 ligne plus haut.
Pas de problème particulier à signaler en fin de descente et j'ai très bien dormis aux alentour de trois heure.
Merci si vous m'avez lu
Nous sommes un Dimanche et la veille, j'étais à Breda. Après un passage dans un smart, je passe la soirée dans mon coffee préféré de la ville, d'ailleurs. Le 11 Février semble être le carnaval dans cette ville. Des personnes déguisés jouant d'instrument et chantant passe devant nous juste avant le coffee. Bref.
Je me réveil tôt, le Dimanche, les magasins ne sont pas ouvert très tard. Je me rend donc chez mon épicier et me charge de boisson sucrée, du chocolat et un sandwich. Mon meilleur amis est là mais il doit partir en fin d'après midi.
La journée ce passe tranquillement, joint, jeux vidéo et musique. Je prépare aussi ma chambre.
J'aère tout, je passe le balai et on fait les poubelles. Il est bientôt 16h et j'avais prévu de commencer à triper autour de cette heure là. Je prépare mes inutiles cachet de vitamines C mais c'est psychologique. Je ne trip qu'avec de la weed et de la vitamine C à disposition. Bien, j'ai tout.
Je vais prendre une douche et la pression monte. Mélange d’excitation, d'appréhension car même si j'ai dit plus haut que je comprenais les mécanismes du bad et que je sais comment le contrer. Il existe toujours la possibilité de rentrer dans une boucle, de ne pas en sortir et de ne pas m'en rendre compte mais comme vous le lirez plus loin. Je vais gêrer.
Je retourne voir mon ami, il m'encourage à triper, je regarde l'heure. Oui, encore 10min. J'ai déjà prérouler 4joint avant d'allez me doucher, nb.
J'ouvre mon frigo et prend les truffes. Ce sont des Dragon's Dynamites. Une espèces assez forte selon la classification du smartshop. Je vais en prendre 15g, car je gère. Mais pour un débutant, je les déconseilles ou à moindre dose, 7g semble être bien indiquer.
Je le prend en trois boucher. La deuxième qui fut la plus grosse failli me faire vomir ( Chez moi, c'est un excellent signe, ayant toujours eu d’excellente expérience quand j'ai eu des nausées en mangeant. )
Je fais passer le tout avec un carrée de chocolat ou deux.
Commence l'attente de la monté et je viens dans la partit flood du forum, dire que je vais triper.
Je m'allonge dans mon lit, repoussant comme un roi mon ami qui me traite de grosse loque.
Il doit partir pour 17h45. Donc, je commencerai la monté avec lui et ça me rassure beaucoup. C'était d'ailleurs ce qui était prévu. Non, ce qui était prévu c'est que mon ami devait prendre ses truffes aussi chez moi. Mais ayant peur d'être trop dans le cake pour son rendez vous d'entreprise Mardi, il ne veux pas. J'essai de lui faire comprendre qu'il sera opérationnel mais non, pas confiance en lui, pas en mon expérience. Il est pas beaucoup expérimentez.
La monté commence à montrer le bout de son nez. Tout comme le bodyload désagréable aux ventre. J'allume le premier joint.
L'effet est presque immédiat et le ventre s'apaise.
Eclat de rire. Ah, je suis euphorique.
Je lui dit à peux près ceci : Ah, mais pourquoi j'avais peur, je suis bien là. Je suis une flipette. J'avais oublier. Ah comment c'est bon.
Les déformations de la pièce commencent, ma télé bouge. Mes rideaux ondulent, bref.
Je reste allonger et ne dit plus rien.
La monté est douce, j'ai vraiment la sensation de m'ouvrir de plus en plus. Je ressens l'ennui de mon ami, il attend son train et moi je ne dit rien. Je réfléchis à mille façon de l'occuper, de le faire rire. Mais triper ne donne pas de super-pouvoir.
Je lui dit donc ce que je ressens et là ça va être assez compliquer à expliquer.
Le bonheur est accessible en ouvrant des zones de son esprit. Et en acceptant certaines choses. J'ai l'image d'une porte à verrou magnétique. Le nombre de verrou n'est pas vraiment définis, c'est sur l'instant. Mais pensez à être heureux, sourire, accepter de partir en vrille et surtout fermer les yeux sont parmi les plus important. Une série d'image se forment. Tout devient or, magnifique et transcendant. Tellement, tellement que je doit refermer un verrou. Je réouvre les yeux et je lui explique ce que je viens d'écrire. La dernière image est une gravure d'or d'un paysage étrange. Des dirigeables avec des yeux dans le ciel, des maisons sans toit et des arbres partout.
Et j'ai vraiment cette image de porte, avec des verrous. Rouge fermer. Vert ouvert. Tout le long de la porte. Et quand tout est aux vert mais bon dieu. Je m'envole tellement loin. Et je ne peux pas y rester. Je dois toujours faire pêter un verrou. C'est trop fort. C'est tellement. Je ne peux en dire plus. Je ne peux que faire des gravures d'or.
On discute un peux là dessus et il doit bientôt partir. On ce dit à tout bientôt. J'essaie de me renseigné sur sa prise de truffe. J'ai envie qu'il passe un excellent moment.
Il est mitigé. Première prise de truffe : Belle monté et appréciation du potentielle, bad paranoïaque moyen après la monté et sûrement les premiers bodyload plus fort. Tentative de sortir du trip;
J'ai étais le rassurer ce soir là plus tard, voir mon tr sur les royal beluga dans cette même section, et tout alla bien mais ce fût fort pour lui. Plus tard nous découvrons le LSD ensemble, et ce ne fût pas très intense pour lui. Nous avions pris un demi le vendredi et un demi le samedi du Nouvelle an.
J'ai donc tout naturellement envie d'être son sitter. On ce connais depuis que je suis un enfant. Nous sommes plus proche du frère que de l'amitié et ça c'est un fait inéluctable de ma vie. Et c'est beau.
Il s'en va et me souhaite bon voyage. Je m'installe comme un roi et allume le deuxième joint. Un peux las de son départ, je regarde ma pièce. Les arabesques dansent. Tout est chatoyant. Mais, bon, ma chambre n'est pas très belle. Je n'ai de toute ma vie quasiment jamais afficher un poster, une photo, un truc. Il faut que je change un peux ce côté là. Alors que j'adore les chambres ultra personnalisés. Ironique vie.
Je vais sur psychonaut quelques instant. Et vais dans la section Artiste et visionnaire pour y voir de belle image. Je regarde un peux et me rappel m'avoir déjà fait une playlist d'image. Je vais la voir et m'amuse beaucoup, chaque image colore la pièce de sa dominance. Les visuels sont de conséquence, violette, bleus, orange. Les lettres et les figurent s'envolent de l'écran se poursuivent sur les murs et disparaissent en un ploc.
Je referme les yeux.
Analyse. ( vous pouvez zappez )
Image malveillante d'homme qui souffre et ça c'est normal. J'ai conscience que mon corps souffre. J'ai le bras gauche qui a étais opérait plusieurs fois. Et qui souffre encore. J'ai une très mauvaise dentitions. Je fais de l'asthme et suit donc affaiblis constamment par le volume pulmonaire en moins. Et aussi car j'ai souffert dans ma vie. De plein de chose.
Je suis conscient de toute ces choses. Ce sont mes choses. Toute plus ou moins importante mais toute donnant ce que je suis maintenant. Un petit homme étrange, mais très gentil et peux être trop. Mais inspirant la confiance et ça me fait peur un peux parfois. Les gens avec qui je traine vois en moi quelqu'un en qui ils peuvent compter. Ce confier. Je ne suis pas moi même franchement responsable de ma vie. Même si j'assure comme des personnes de toute âge me l'on dit. C'est pas pour faire la victime ou quoi que ce soit. Mais j'ai prit dans la gueule et franchement trop. J'en ai marre quoi.
Je sais que j'ai toute les clés en moi pour m'en sortir, je le sait. Pourquoi je n'y arrive pas.
Je sais que quelque part en moi. Il y a quelque chose en moi qui s'y refuse. Je me sens responsable de trop de chose.
Je me dit donc ta gueule.
Et je rouvris les yeux.
C'était intense. Je referme les yeux pour rediscuter avec moi même. L'image du père intransigeant revient me dire tout ce qui va pas et en homme je lui dit que je suis un putain de junkie, que j'aime ça. Et qu'en sachant ce qui ne va pas car je le sait. Je reste maitre de mon destin. Et c'est quand même vachement grisant. Car ce que je me refuse. C'est que j'ai eu beaucoup de chance dans mon malheur. Et je trouve que c'est déjà suffisant.
Je peux VIVRE comme ça. J'ai qu'a me soigner la bouche et par contre mon bras je sais pas. Une nouvelle opération?
Une prothèse? Amputer ça serait abuser
Sûrement une prothèse, j'ai la conviction d'être un homme du futur. La médecine moderne me permettras d'avoir un bras gauche moderne. Une prothèse aux centièmes de millimètres au poignet et au coude sans trop niquer à nouveau la chair. Et je serais de nouveau complétement complet.
Fin du zapp. Retour à vos programme.
Comment être bien je me disait tout le temps. Allonger dans mon lit avec comme seul tension musculaire, mon index et le majeur. Tenant ces joints.
Comment de toute chose, y voir ce qui est positif et c'est possible. Je m'y attèle et c'est pour ça qu'en festival je suis un tout autre homme. D'une convivialité, d'un franc parler et d'une découverte toute nouvelle. La drogue y est pour beaucoup. Ok.
Buvant plus qu'a l'accoutumer en festival, il est normal que je sois déchainer mais même. Je ne bois jamais avant d'arriver et je suis toujours très énerver en arrivant et discutant directement avec toute personnes que je considère comme festivalier et amical. Pas de problème en festival. Je suis /woodstockon.
Et donc j'arrive a la conclusion de comment être bien là maintenant comme un âne, car je suis triper comme un âne. J'ai du mal à contenir le flot d'information, d'image, de visuel et de son. La psytrance m'envoie loin. Et c'est bon.
Le temps n'est qu'une illusion et je m'amuse de sa lenteur, de ma rapidité. Je continue les yeux fermer mais je suis motivé. J'ai pas envie d'avoir les yeux fermer. Mes jambes qui sont actives m'empêchent de me concentrer.
Et pourtant. Quand elles me laissent tranquille. J'ai la sensation d'être debout. La tête immense, de petites jambes si lointaines. Un torse plat. Petit bras. En étant allonger.
Et donc je m'ennuie un peux. Et c'est le début de la descente en dent de scie. C'est assez marrant dans l'ensemble.
Je vais sur facebook, regarde quelques image. Et me refuse à réponde ou parler à quiconque. J'alterne entre vous et facebook. La journée est plus ou moins active ce jours là et me tient éveiller dans le bon sens.
Le post de neuronal31 à propos de : J'nique ta race, me fit partir.
Extrêmement loin.
Je vous conseille de lire ce lien ( je vais éditer ), même si il ne semble pas d'une quelconque utilité social.
Moi j'y est interpréter l'avancer social.
Je m'explique.
Ne pas dire à quelqu'un qu'il est raciste pour ses propos me tient particulièrement à coeur. Étant métisse, j'ai reçus des insultes des deux bords. Directement ou indirectement. Et le sentiment d'ouverture aux monde me tient particulièrement à cœur.
Nous sommes une seul race. Nous sommes les Hommes.
Et ce post me poussez aussi à réfléchir sur les propos que l'on tien avec les gens, avec la subjectivité qui entre quasiment toujours en compte. L'expérience et la connaissance de mes propos. J'étais humble.
J'aime aussi même si il est un peux énervant, le tic de me rappeler que je suis triper.
Je m'imaginais des situations il me semble. Je discuter en rêve, yeux fermer ou ouvert. Je ne sais plus, Je fixer.
Et toujours comme une boucle.
Ah mais qu'es qui ce passe là ? Flashback arrière, ah t'as pris des truffes :twisted:
Je voguer très certainement sur une étrange galère.
La descente s'amorça et je ne voyais plus rien. J'étais poser dans le pieux, le corps se réveillant.
Je commencer à remanger. Je précise que j'ai bu de temps en temps de l'eau sans trop me rappeler quand mais j'ai bu de l'eau à intervalle régulière.
Il doit être minuit, une heure. Je retourne sur facebook. Je discute avec une fille, arrivant enfin à me souvenir ce que je voulais dire 5 ligne plus haut.
Pas de problème particulier à signaler en fin de descente et j'ai très bien dormis aux alentour de trois heure.
Merci si vous m'avez lu